Les contributions

Contribution n°105 (Web)

Par LE BRET Maryse et Jean-Claude
Déposée le 27 juillet 2025 à 15h05
STOP à l'implantation de nouvelles éoliennes dans le Jovinien. Seuls de puissants lobbys industriels (bien souvent étrangers) se gavent [...]
STOP à l'implantation de nouvelles éoliennes dans le Jovinien. Seuls de puissants lobbys industriels (bien souvent étrangers) se gavent des subventions que leur accordent généreusement nos gouvernants avec nos impôts. ça tue notre industrie au bénéfice des distributeurs qui ne font que de la spéculation.
Elles ne produisent de l'électricité que lorsque la ressource est disponible (vent) et pas souvent lorsque nous en avons besoin. Elles détruisent la faune, nos paysages.
Ne parlons pas d'écologie, elles fonctionnent grâce aux centrales à charbon où à gaz lorsque qu'il n'y a pas de vent et que nous avons besoin d'éléctricité.
NON NON NON ça suffit.

Contribution n°104 (Web)

Par Emmanuel dubu
Déposée le 27 juillet 2025 à 13h15
Il faut être contre cette modification je suis contre , ENR une erreur voir les informations de Nicolas Meilhan

Contribution n°103 (Web)

Par Dubu emmanuel
Déposée le 27 juillet 2025 à 13h04
Contribution 80 , on peut être contre faut avoir des convictions et les signer

Contribution n°102 (Web)

Par BILLET, Florence
Déposée le 27 juillet 2025 à 11h53
POUR UN URBANISME RESPONSABLE et REALISTE

Nous nous opposons au développement de l'agrivoltaïsme et de l'éolien terrestre en raison [...]
POUR UN URBANISME RESPONSABLE et REALISTE

Nous nous opposons au développement de l'agrivoltaïsme et de l'éolien terrestre en raison de leur inutilité ( l'électricité est décarbonée à 95% en France, et la France produit déjà en 2025 25% de plus que sa consommation et l'exporte à des prix bradés chez nos voisins) , du sacrifice...donc inutile de terres agricoles qui doivent rester sur leur fonction première, le 1er secteur économique français, pour nourrir 62 millions d'habitants et nos élevages, d'un intérêt individuel et privé au détriment de l'intérêt collectif, de la destruction des patrimoines culturel, historique, naturel et mémoriel ( voir détail en pj dans le courrier transmis aux députés en charge de la loi de modération de l'agrivoltaïsme)

Pour ces raisons nous demandons un moratoire de l'éolien et du solaire sur terres agricoles ( voir pj) et exigeons une étude d'impact socio-économique indépendante et comparative de différents mix énergétiques incluant la prise en compte des externalités positives et négatives, comme l'ont demandé de façon constate la quasi-totalité des groupes politiques à l'Assemblée nationale et au Sénat du 28 avril au 8 juillet 2025 ( voir pj).

Il existe en effet bien d'autres solutions beaucoup plus vertueuses, de moindre impact et moins chères pour la collectivité pour contribuer à la décarbonation des usages de la chaleur et de la mobilité : géothermie de surface, pompes à chaleur, biogaz, biocarburants, e-carburants, solaire thermique, récupération de chaleur fatale, PV en grande toiture en autoconsommation collective.( voir pj colloque RETM du 11 octobre 2024)

Ce sont ces énergies qu'il faut spécifier dans une révision de PLU, en excluant clairement l'éolien terrestre, le repowering et le solaire sur terres agricoles, car ces énergies thermiques renouvelables :
a) Sont prévisibles et pilotables;
b) Ont été plébiscitées à 48% par les communes françaises lors des procédures ZADER (seulement 1% pour l'éolien et 3% pour le solaire sur zones agricoles)
c) Sont des vraies opportunités de valorisation et de développement économique et industriel des territoires;
d) N'ont pas d'impact sur le réseau de distribution (ENEDIS) et de transport (RTE) dont les budgets ont explosés depuis 10 ans à cause de l'éolien et du solaire;
e) Elles n'artificialisent pas ( ou très faiblement pour le biogaz) les terres agricoles
f) Sont de très loin les plus rapides à mettre en œuvre pour contribuer à la décarbonation de la chaleur et de la mobilité.

Pour ces raisons nous nous opposons aux projets actuels de modification et de révision de la COMMUNAUTÉ DE COMMUNES DU JOVINIEN : procédures de modification n°2 ainsi que de révisions dites « allégées » n°1 et n°2 du Plan Local d'Urbanisme Intercommunal (PLUi)

Il faut donc au contraire modifier ces projets pour spécifier de façon précise et exclusive, après concertation avec les habitants de la CC du Jovinien, dans les documents d'urbanisme les principes de développement des énergies thermiques renouvelables pour favoriser leur mise en oeuvre , notamment avec les syndicats départementaux de l'énergie, les EPCI et le département de l'Yonne. ( voir fiche Yonne en pj et détails sur www.retm.fr)

Florence BILLET
Présidente EEDAM Aisne
Membre fondateur du Réseau Energies Terre&Mer
www.retm.fr

Contribution n°101 (Web)

Par Claude Riousset
Déposée le 27 juillet 2025 à 11h01
L’urgence climatique impose des choix courageux… mais aussi lucides.

Le réchauffement climatique est une réalité incontestable, aux [...]
L’urgence climatique impose des choix courageux… mais aussi lucides.

Le réchauffement climatique est une réalité incontestable, aux effets déjà visibles : canicules, sécheresses, inondations. Face à cela, il est essentiel d’agir. Mais agir ne signifie pas accepter n’importe quel projet, à n’importe quel endroit, sans discernement.

Les énergies renouvelables électriques ne sont pas une solution miracle. L’éolien et le solaire sont intermittents. Ils dépendent des conditions météo. Leur facteur de charge est faible (25 % pour l’éolien terrestre, 14 % pour le solaire). Sans stockage massif ou énergie d’appoint, ils ne peuvent assurer une production stable et continue, notamment en hiver. Ils aggravent la dépendance au gaz. Lors des périodes sans vent ni soleil, notamment en hiver, le réseau doit faire appel aux centrales à gaz pour assurer la continuité. C’est un paradoxe : décarboner avec des moyens fossiles pour compenser l’intermittence.

Le coût réel est plus élevé qu’il n’y paraît. Au-delà des 4,3 Mds € de soutien direct annoncés par la CRE pour 2025, la Cour des Comptes évoque plus de 8 Mds € de charges cumulées par an. Le renforcement du réseau électrique pour intégrer les ENR intermittentes coûtera plus de 30 Mds € d’ici 2035 (source : RTE). Ces installations ne participent pas aux coûts de stabilité du réseau qu’elles rendent pourtant plus complexe à gérer.

Des impacts locaux lourds et durables. Destruction de sols agricoles, artificialisation, bétonisation (jusqu’à 1500 tonnes de béton par mât), atteinte aux paysages, nuisances sonores, flashs lumineux, impact sur la biodiversité. Matériel souvent importé, recyclabilité partielle, bilan carbone peu favorable quand on intègre fabrication, transport, maintenance et démantèlement.

L’acceptation sociale ne peut être imposée. Trop souvent, les projets sont imposés contre l’avis des communes voisines (voir les avis des maires opposés au projet à Champlay), avec des études partielles et des concertations biaisées. Les bénéfices économiques sont concentrés, les nuisances partagées. Cela alimente la méfiance envers la transition énergétique.

Des alternatives crédibles et pilotables existent. Sobriété, efficacité, rénovation thermique, chaleur renouvelable, autoconsommation locale raisonnée, hydroélectricité, et bien sûr nucléaire, qui offre une production pilotable, stable et décarbonée (cf https://www.retm.fr/ ). Ce sont des leviers mieux adaptés à une transition cohérente et soutenable à long terme.

Refuser certains projets industriels d’EnR comme celui de Champlay via cette modification du PLUi de zone An en zone AeR, ce n’est pas nier l’urgence climatique. C’est au contraire revendiquer une transition énergétique responsable, maîtrisée, non opportuniste et respectueuse des territoires.

Une politique énergétique ambitieuse ne doit pas être guidée par la précipitation, mais par la cohérence technique, environnementale et sociale.

Contribution n°100 (Web)

Par Rémy et Patricia Bourgeon
Déposée le 27 juillet 2025 à 10h27
Bonjour Madame, Monsieur.

En tant qu’utilisateur régulier du paysage et des vallons proches du Jovinien, je me permets de vous faire [...]
Bonjour Madame, Monsieur.

En tant qu’utilisateur régulier du paysage et des vallons proches du Jovinien, je me permets de vous faire part de ma farouche opposition à l’implantation de nouvelles éoliennes géantes dans ce secteur pour les raisons principales suivantes :
1. L’impact visuel sera considérable et destructeur de la beauté du paysage : cônes de vues non respectés depuis Joigny, mitage du paysage ;
2. Imaginer une construction industrielle telle que celle-ci sur un site labellisé « Pays d’Art et d’Histoire » est une aberration ;
3. Ce projet ne respecte pas les monuments historiques locaux ;
4. Il a un impact très négatif sur la flore et la déforestation ;
5. Il a également un impact très défavorable sur la faune ; le taux de mortalité s’élèvera chez les chauves-souris, les grues cendrées ; la présence d’une cigogne noire non mentionnée dans l’étude d’impact sera mise en danger alors que cette espèce est protégée car en voie de disparition ; l’impact reconnu chez les animaux domestiques ou d’élevage plus sensibles que l’homme aux infrasons et vibrations sera encore augmenté ; les éleveurs déplorent des mauvais développements des fœtus par la vibration de l’utérus des animaux, des crises cardiaques pour les volailles qui confondent l’ombre portée des pales avec des attaques de buses, des crises nutritionnelles dans les élevages bovins soumis aux effets indirects des courants vagabonds et donc perte laitière ; tout cela a été documenté et référencé ;
6. Santé : doit-on, une nouvelle fois, rappeler la nocivité des effets stroboscopiques pour les habitants les plus proches, les lumières, qui, la nuit créant une forte gêne, le bruit qui occasionne différents troubles décrits par des habitants proches des éoliennes comme la perturbation du sommeil, l’amplification des acouphènes, les pertes d’équilibre, les maladies endocriniennes (thyroïde). Où est passé le principe de précaution ?
7. Impact sur la géologie : les huilles de rotor et les 1500/2000 tonnes de béton armé resteront pour l’éternité dans le sol contribuant à une vraie pollution foncière, les sols seront endommagés lors de la phase de construction pour permettre le passage des engins générant un nombre considérable de Co2. Enfin, ces installations conduiront inévitablement à une perte de terres cultivables.
8. Ce projet induira une perte de qualité de vie : impossibilité d’utiliser certains chemins de randonnées, réduction de liberté car on abîme le cadre de vie, on le dévalorise ;
9. Sur le plan strictement économique, qui peut croire à une absence de perte de la valeur immobilière ? Le 12/04/2024, la Cour d’Appel de Rennes a reconnu que les nuisances visuelles, sonores, sanitaires et électromagnétiques impactaient gravement l’habitabilité des biens immobiliers au point de constituer un trouble anormal de voisinage et a octroyé aux riverains des sommes allant de 20 à 40% de la valeur vénale des biens immobiliers. Et, parfois, les maisons ne sont même plus vendables car qui voudrait habiter au pied de ces engins ?
10.La commune s’acharne à soutenir ce projet pour des gains immédiats sans songer à sa perte future d’attractivité sur le plan touristique ou d’accueil (maisons d’hôtes, gîtes) ;
11. Ce projet crée clairement un climat délétère entre les habitants de la commune au détriment du vivre-ensemble serein ;
12. Ce projet ne procure aucun travail pérenne pour les habitants puisque l’on importe les éoliennes et qu’elles sont montées avec des sociétés étrangères à la commune.
13. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, le coût de l’énergie reste a minima identique localement, voire s’élève, aucune baisse de la taxe foncière n’est envisagée pour les riverains (qui voient pourtant la valeur de leurs biens amoindrie ainsi que vu supra) ; mais, naturellement, le promoteur, lui, est depuis 2024, exonéré des taxes foncières sur décision de l’Etat. Le manque à gagner pour le village par la diminution des dotations de l’Etat du fait de revenus provenant des éoliennes est avéré. C’est donc un marché de dupes économique pour les territoires qui accueillent ces éoliennes.
14. La nature des éoliennes est également à mettre en cause ; elles ne fonctionnent qu’avec de l’électricité (pour leur mise en route et le bridage), produisent peu, seulement 25% de leur capacité, car notre région est peu ventée et que le vent est intermittent. Elles proviennent exclusivement de Chine ou d’Allemagne, les pales ne sont pas recyclables. Elles nécessitent des terres rares. D’où la question après la fin de vie au bout de 20 ans : quid du retrait et de son financement ? Les sommes présentées sont largement insuffisantes et la société étrangère aura certainement disparue depuis longtemps. Les propriétaires devront payer pour leur retrait.
15. Il nous est vanté un d’intérêt général mais la réalité est celle d’une vente de l’électricité à un prix supérieur au prix de revient. Sur le plan national, c’est un gaspillage de 2,3 milliards de subventions publiques. Conséquences : nombre de projets sont revendus avant leur mise en exploitation avec enrichissement des sociétés privées souvent étrangères au détriment de la population locale.
16. Le département de l’Yonne est désormais (selon l’ADEME) le 1er devant la Côte d’Or en nombre de mâts et production. Pourquoi vouloir en ajouter ?
17. Enfin, comment ne pas tenir compte de l'abandon récent de son projet par le promoteur ABO ENERGY pour absence de vent (ce quimontre bien que sa démarche était exclusivement pécuniaire) et grâce à la mobilisation des riverains.

Pour toutes ces raisons, il faut refuser la construction ce nouveau projetqui n’apportent rien à notre environnement mais contribue à l’enrichissement d’un petit nombre.

Contribution n°99 (Web)

Par Benoît Pupier
Déposée le 27 juillet 2025 à 00h43
Nous sommes face au réchauffement climatique (inondations, sécheresses, canicules…). L’inaction serait dramatique : voir les projections [...]
Nous sommes face au réchauffement climatique (inondations, sécheresses, canicules…). L’inaction serait dramatique : voir les projections de Météo France sur un scénario à + 4 degrés.

Il est vital de réduire les émissions de gaz à effet de serre et de sortir des énergies fossiles qui représentent encore 60 % de l’énergie en France. Pour un coût annuel de 60 milliards (moyenne). A titre de comparaison : le montant annuel des subventions publiques au soutien des énergies renouvelables (EnR) en France pour l'année 2025 est estimé à environ 4,3 milliards d'euros (chiffres de la CRE).

Tous les scénarios Net Zéro (GIEC, AIE, Ademe, RTE, négaWatt, Shift Project…) montrent qu’il est impératif de continuer à développer les énergies renouvelables pour respecter les accords de Paris (voir le site Comprendre 2050 (Ademe - négaWatt - Shift Project) qui permet de comprendre les scénarios de transition). Le Haut Conseil pour le Climat alerte sur l’insuffisante baisse des émissions de CO2 en 2024.

Le nouveau nucléaire, autre énergie décarbonée, ne commencera à arriver qu’en 2038 (Penly). S’il permettra de continuer à assurer une base dans le mix électrique et de remplacer à terme les centrales nucléaires vieillissantes, son coût de production sera plus élevé que celui des EnR, les déchets laissés aux générations futures. Et il ne peut pas répondre à tous les besoins d’électrification (industrie, mobilité, chauffage…). D’ici 2038 la seule façon de continuer à décarboner l’énergie c’est de développer les EnR.

Cet été lors de la canicule le recours massif à la climatisation a beaucoup sollicité le réseau électrique, obligeant à rallumer des centrales à gaz.

Nous utilisons de l’énergie, il faut accepter les contraintes liées à la production de cette énergie. Si chaque coin de France s’oppose aux EnR (parfois en agitant de la désinformation, parfois avec une inquiétude légitime) nous ne pouvons pas nous en sortir et permettre aux générations futures de continuer à vivre sur la planète. La Convention citoyenne pour le climat avait proposé des pistes intéressantes pour permettre l’acceptation sociale de la transition : amélioration de la gouvernance territoriale/régionale de l’énergie ; participation des citoyens, entreprises locales, associations locales et collectivités locales aux projets d’énergie renouvelable ; développement de l’autoconsommation.

Contribution n°98 (Web)

Par Beuvard Laurent
Déposée le 27 juillet 2025 à 00h13
NON au projet éolien;
assez de ces destructions de paysages; assez de pourrir la vie des gens, assez de menacer la santé des troupeaux
NON au projet éolien;
assez de ces destructions de paysages; assez de pourrir la vie des gens, assez de menacer la santé des troupeaux

Contribution n°97 (Web)

Par josé
Déposée le 26 juillet 2025 à 19h54
la décarbonation ne peut ce faire sans mètre fin a cette orgie de consommation mondial

Contribution n°96 (Web)

Par Par l'Association Villes & villages en campagne
Déposée le 25 juillet 2025 à 19h10
NON au projet d'éoliennes !!!! Elles n'ont que 23% de rendement PAR AN =FAUX espoirs économique pour les citoyens qui ont tout de [...]
NON au projet d'éoliennes !!!! Elles n'ont que 23% de rendement PAR AN =FAUX espoirs économique pour les citoyens qui ont tout de suite compris et ont assisté à toutes les nuisances : Sonores des pâles ( lorsqu'elles tournent ... ) , visuelles de jour (barreaux de prison qui coupent l'horizon ) et de nuit (effets stroboscopes ) , nuisance pour la santé de par les ONDES qui émanent des têtes et branchements souterrains .
NON à la transformation d'une zone A.n en zone AeR !!!!
NON à la modification du PLUI qui est clair depuis des années : Il n'est pas autorisé de détériorer cette région car SITE D'ART ET D' HISTOIRE !!!!
Ces engins , ne servent à rien et suppriment des Terres Agricoles , de la Faune et Faune Migratoire d'Espèces Protégées car en voie de disparition à cause des engins de l'homme qui détruit de plus en plus leur espace que nous partagions autrefois.
Le tourisme qui créé des emplois pour la région , il vient des villes et ne trouvera plus les horizons qu'il cherche et les humains et les bêtes ont besoin D'HORIZONS .
Les éoliennes de Champlay ne tournent pratiquement pas avec le peu de vent d'ici , par contre elles arrivent à tourner quand il n'y a pas de vent ...cherchez l'erreur !!!!
Les RURAUX font des études supérieures et cela ne leur enlève pas la capacité du discernement !!!!
NON AUX PROJETS D'EOLIENNES !!!! NI SUR TERRE , NI EN MER !!!!

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