Contribution n°41 (Web)
Déposée le 12 novembre 2025 à 09h58
Contribution n°40 (Web)
Déposée le 12 novembre 2025 à 09h36
Contribution n°39 (Web)
Déposée le 12 novembre 2025 à 08h05
Arrêtons l'artificialisation des sols au bénéfice du confort de certains.
Pensons aux générations futures.
Contribution n°38 (Web)
Déposée le 11 novembre 2025 à 17h09
Contribution n°37 (Web)
Déposée le 11 novembre 2025 à 14h34
La réalisation du projet va aboutir à la destruction de 93 arbres et de haies qui va provoquer l’artificialisation de plusieurs hectares des marais, leur perméabilité et la disparition de la faune et la flore. Malgré les choix plus protecteurs des revêtements, on aboutira inévitablement à l’imperméabilisation du périmètre.
Les dégâts de ce qui a été fait sur les parcelles ouest, parking et anneau de galop, sont là pour inciter à préserver ce qui reste des marais les plus proches.
Contribution n°36 (Web)
Déposée le 11 novembre 2025 à 12h46
Contribution n°35 (Web)
Déposée le 11 novembre 2025 à 09h46
La réalité de cet "'écoparc" c'est 153 places de parking, 8 paddocks, une extension du stationnement actuel, c'est plus d'artificialisation des sols, plus de risques d'inondation, plus de destruction des espaces naturels, pour le confort des professionnels et amateurs des activités hippiques.
Vous ne pourrez pas dire que vous ne saviez pas...
Contribution n°34 (Web)
Déposée le 11 novembre 2025 à 09h06
1. Une appellation trompeuse : « écoparc » ou parking déguisé ?
Le projet présenté sous le nom d’« écoparc » ou « parc écologique » est avant tout un parking de 153 places, destiné à accueillir les visiteurs des quelques grands événements hippiques annuels. L’utilisation du terme « écologique » relève d’une stratégie de communication trompeuse, visant à masquer la réalité : un aménagement principalement dédié au stationnement automobile, sans proposition sérieuse de solutions alternatives (navettes, covoiturage, parkings de délestage).
Rappel réglementaire : La loi sur la biodiversité (2016) et le code de l’environnement (art. L. 110-1) imposent que tout projet d’aménagement respecte les principes de non-régression du droit de l’environnement et de compensation écologique effective. Or, ce projet ne répond pas à ces exigences, puisqu’il aggrave les impacts existants (imperméabilisation, destruction d’arbres) sans offrir de réelle compensation écologique.
2. Un bilan écologique désastreux
Destruction de la biodiversité : Le projet prévoit l’abattage de 93 arbres, alors même que la loi pour la reconquête de la biodiversité (2016) et la stratégie nationale pour la biodiversité (2030) encouragent la préservation des écosystèmes et la lutte contre l’artificialisation des sols.
Imperméabilisation accrue : Le parking actuel est déjà un « désert imperméabilisé ». Le nouveau projet, malgré une végétalisation annoncée, maintient une surface importante de stationnement, en contradiction avec les objectifs de zéro artificialisation nette (ZAN) fixés par la loi Climat et Résilience (2021).
Référence : Le principe de compensation écologique (art. L. 163-1 du code de l’environnement) exige que les mesures compensatoires soient proportionnées et effectives. Ici, la compensation est illusoire et ne répond pas aux exigences légales.
3. Un projet économiquement et écologiquement incohérent
Le parking sera vide 360 jours par an, pour seulement 3 à 4 événements annuels. Cette logique de surdimensionnement est incompatible avec les principes de sobriété foncière et de gestion sobre des ressources, pourtant au cœur des politiques publiques environnementales actuelles.
Alternatives ignorées :
Développement de navettes depuis les gares et parkings existants.
Création d’aires de covoiturage et de parkings de délestage en périphérie.
Limitation stricte du stationnement sur site, avec priorité aux modes doux.
4. Conclusion : un projet à rejeter
L’appellation « écoparc » est un leurre. Ce projet, sous couvert d’écologie, aggrave les atteintes à l’environnement et illustre le greenwashing à l’œuvre dans certains aménagements. C'est pourquoi j'exige de renoncer à ce projet et je demande à l'avenir qu'on nous présente des projets respectueux des textes environnementaux et des écosystèmes locaux.
Contribution n°33 (Web)
Déposée le 9 novembre 2025 à 16h05
Je suis en accord sur le principe d'Ecoparc à des fins pédagogiques tout en étant un endroit de plaisir et de loisir. En revanche il y a quand même bcp à dire sur le fait qu'il faille un parking de 153 places alors qu'il est évident qu'en cette période de guerre contre l écologie , de négation de changement climatique par la faute des humains, alors qu'il serait très étonnant que 153 familles viennent s y promener tous les jours. Il y a fort à parier qu’une fois de plus un tel projet ne soit en final que du greenwashing. Ici à Honfleur nous en avons malheureusement la triste expérience.
1° que veut dire OX and Bucks : pourquoi utiliser des anglicismes si appréciés par les cabinets de conseils ! S il s’agit d’un chemin goudronné ou cimenté comme pourrait être le parvis d’accueil, j’y suis fermement opposée , à moins qu’il s’agisse de revêtement PERMEABLE.
2° Je m’oppose également à l’installation de paddocks pour chevaux ainsi que d’un parking pour les PL et suppose qu’il s’agit de vans . En effet ils n’ont rien à voir avec l éco parc mais plutôt avec le Pôle International du Cheval qui a certainement besoin de parkings supplémentaires et profite de ce projet d’ECOPARC pour y empiéter à son profit . Ce qui justifie le sentiment que j’ai , d une sorte de Green washing pour parkings supplémentaires ! Sans oublier que tout cela se ferait sur une zone humide riche en biodiversité. Il n y a qu'à voir le monstrueux Village de Marques à Honfleur sur une zone humide et qui s'agrandit encore avec un projet de Casino et de Centre aquatique pharaonique.
Je suis comme beaucoup d amoureux de la nature écoeurés par la bétonisation à outrance pour des projets d'immeubles alors que la démographie en Normandie est sensiblement en baisse, ou pour des projets comme l éco parc servant d'alibi à la création d'un parking géant.
Contribution n°32 (Web)
Déposée le 9 novembre 2025 à 14h47
L’absence criante de mesures d’évitement qui n’ont pas été sérieusement recherchées dans la gestion des flux des véhicules des particuliers dont la très grande partie vient de l’extérieur de la Communauté de Communes et même de l’étranger :
- pas de remise en cause de la suppression du parking situé à l’intérieur du PIC au profit de l’élargissement d’une des nombreuses carrières,
- circuit de bus en place non efficace et très peu utilisé sur la 4CF et non remis en question,
- pas de mise en place d’aires de covoiturage,
- pas de navettes depuis les centres-villes et les hôtels,
- pas d’incitations à l’usage du vélo,
- pas de parking de délestage dont un est proche du champ de course, ouvert lors des grands évènements,
- l’autre sur une ancienne friche où se trouvait une des déchetteries communautaires, les deux dans un périmètre d’un km.
L’atteinte à un trésor de notre région en termes de biodiversité et de protection de notre territoire :
Le parc naturel de la Touques, bien naturel, lui, est classé comme Espace Naturel Sensible et joue un rôle essentiel dans la préservation de la biodiversité exceptionnelle comprenant 212 espèces d'oiseaux, 9 espèces d'amphibiens, 33 espèces de libellules et 266 espèces de flore recensées.Le marais abrite aussi 9 espèces d’amphibiens, 33 espèces de libellules, et 266 espèces de flore patrimoniale.
• Certaines espèces aquatiques présentes sont rares à très rares, ce qui confère au site une importance majeure pour la conservation.
Il faut savoir qu’en Normandie 38 % d’espèces sont menacées (source ANBDD)
Protection contre les crues :
• Rôle hydrologique : fonction de réservoir biologique et hydraulique pour le bassin versant, importance pour la continuité écologique et la gestion des crues.
L'artificialisation de l'ensemble des deux zones de parking et leur inévitable imperméabilisation vont contribuer à l'inondation du PIC et de Saint Arnoult lors des pluies importantes. L'avenue longeant ces zones est déjà régulièrement inondée.
Les atteintes aux marais, à la flore et la faune portées par ce projet :
L’aménagement prévoit :
- l’abattage de 93 arbres dont les espèces ne sont pas mentionnées, alors que plusieurs sont essentielles à l’habitat des insectes, des oiseaux et à la protection des berges de la Touques. Certaines menacées comme les ormes, les frênes, ou à protéger comme les aulnes, les saules, les peupliers noirs, l’érable champêtre.
- la disparition de haies, de ronciers qui sont aussi garants de la biodiversité,
- l’artificialisation de sols pour la création d’un parking disproportionné et d’espaces de jeux,
- la restructuration de la mare existante avec des conséquences immédiates sur son habitat actuel.
Toutes actions qui vont prolonger l’artificialisation des marais déjà entamée avec le parking de 200 places et l’anneau de galop, et donc contribuer à la fragilisation de la flore et de la faune.
En PJ Photos du parking actuel et du bas de la zone visée par le projet . Extrait du Panorama de l’Agence Normande de la Biodiversité et du Développement Durable