Contribution n°58 (Web)
Déposée le 13 novembre 2025 à 12h32
Quel est l’intérêt de celui-ci en dehors d’une utilisation ponctuelle quelques jours par an de courses ?
Contribution n°57 (Web)
Déposée le 13 novembre 2025 à 12h08
La démarche qui consiste à créer un nouveau parking de 153 places ne trouve aucune justification ni dans le cadre du projet d’Eco Parc, ni dans le cadre des quelques évènements hippiques exceptionnels, ni surtout dans le cadre de la préservation des marais.
La réalisation du projet va aboutir à la destruction d’arbres et de haies qui va provoquer l’artificialisation de plusieurs hectares des marais, leur perméabilité et la disparition de la faune et la flore. Malgré les choix plus protecteurs des revêtements, on aboutira inévitablement à l’imperméabilisation du périmètre.
Contribution n°56 (Web)
Déposée le 13 novembre 2025 à 11h40
Donc nous sommes contre.
Contribution n°55 (Web)
Déposée le 13 novembre 2025 à 11h28
Contribution n°54 (Web)
Déposée le 13 novembre 2025 à 11h19
Amis de Deauville , Saint Arnoult et Touques
Contribution n°53 (Web)
Déposée le 13 novembre 2025 à 11h09
Ce projet comporte des "caractéristiques principales" qui sont présentées en 13 points.
- Le point 1 (celui qui serait le plus important à réaliser?) évoque la création d'un "parc écologique" avec "sentiers écologiques".
- Le point 4 évoque la "création d'une mare".,
Apparemment cette mare est déjà présente et sa biodiversité va disparaître avec les travaux.
- Le point 6 parle de "diversifier des milieux". Ils sont cités dans la parenthèse qui suit et on peut remarquer que l'expression "noues tampons paysagères" figure 2 fois. Ce qui souligne l'importance de ces "fossés fermés, équipés d'un trop plein qui stockent momentanément l'eau de ruissellement en haut des parcelles, canalisent les eaux et permettent l'infiltration de l'eau dans le sol" (définition du terme noue)
Est-ce dû à la volonté de "diversifier des milieux" ou est-ce dû à la nécessité de tenter de contrebalancer une partie des effets néfastes de la création des 153 places de parking?
- Le point 10 "créer 153 places de parking" me semble être l'objectif majeur et inavoué de ce projet.
Pourtant le site se trouve en Zone NI (espace de loisirs à dominante naturelle)!
Il est précisé que 93 arbres (à 10% près) seront abattus.
Donc la prévision est "entre 93 et 101 arbres seront détruits".
Je comprends des documents que, en réalité, cette zone de parking est essentiellement destinée aux évènements équestres. Combien y en a-t-il dans une année? Pour quel public?
Elle n'est pas destinée aux locaux, ni aux familles en promenade. L'habillage du projet tente de le faire croire, mais ce ne semble pas vraiment être le cas!
Et on détruirait une zone naturelle, une centaine d'arbres pour une utilisation de quelques jours par an...
Je suis donc ABSOLUMENT CONTRE CE PROJET
Contribution n°52 (Web)
Déposée le 13 novembre 2025 à 10h52
Il n’y a pas eu de recherches sérieuses d’alternatives, d’abord au sein de PIC, où l’un des parkings a été transformé en carrière, mais aussi à quelques centaines de mètres de là, où il est possible de se garer le long du champ de courses, un espace utilisé lors des manifestations sur le site.
Ce projet ne me paraît absolument pas écologique : la preuve en est qu’il faudrait détruire environ 93 arbres pour le réaliser.
cordialement.
Contribution n°51 (Web)
Déposée le 13 novembre 2025 à 10h09
Contribution n°50 (Web)
Déposée le 13 novembre 2025 à 09h41
Je suis en accord avec l'argumentaire ci-dessous de l'Association des rivages de la Touques et je vous le transmets ci-dessous.
Respectueusement,
PMS
Un projet d’Ecoparc qui masque mal la volonté de créer un parking supplémentaire sur les marais destiné aux participants aux quelques épreuves hippiques d’envergure du PIC.
Un rappel : la fragilité de Deauville et de son proche environnement.
Tout le monde sait que Deauville est née de la volonté d’un groupe de spéculateurs emmenés par le Duc de Morny, et qu’elle a été construite sur des marais asséchés à la suite d’importants travaux, mais peu savent qu’en 1874, à la suite d’une tempête d’une puissance exceptionnelle ont été rajoutés plus de 40 hectares de terres vierges, remodelant la plage et la ville.
Cela donne à réfléchir et nous invite à rester modestes et précautionneux.
Les risques d’inondation
Quand on se réfère au Plan de Prévention des Risques d’Inondation de la Basse Vallée de la Touques, depuis la D27 , la quasi-totalité du bas de Saint , Arnoult et une frange de Touques, jusqu’à et y compris l’hippodrome de la Touques est une zone inondable à risque moyen.
En revanche la Touques et ses bras qui serpentent le long du même trajet jusqu’au niveau des bassins Morny et des Yachts, et l’écluse, présentent un risque fort, et leurs débordements en cas de fortes pluies peuvent menacer la ville.
Notons que les Marinas sont régulièrement inondées, et la poursuite de constructions en bord de mer et sur la Presqu’île de la Touques interroge.
D’où l’importance de préserver les marais qui bordent ces zones, car ils sont LE bassin de rétention de Saint Arnoult, Deauville, Touques et Trouville, ce que les promoteurs de l’immense parking déjà construit devant le PIC (Pôle International du Cheval) et d’un futur Eco parc qui imperméabilisent les marais n’ont pas compris.
Une première intrusion dans les marais sans compensations.
Le parking actuel dont nous avions contesté la création en 2015 peut contenir 200 voitures ou une quarantaine de longs vans pour chevaux.
Présenté comme pouvant absorber les pluies ordinaires, il est en fait devenu petit à petit imperméable du fait des tassements provoqués par le passage des vans pouvant transporter plusieurs chevaux. Lors des grosses pluies il favorise l’écoulement de l’eau vers la route Ox and Bucks toute proche qui est inondée régulièrement.
Ce circuit de l’eau est accentué par la présence derrière le parking d’un anneau de galop ayant nécessité l’apport de tonnes de sable et provoqué l’imperméabilisation d’une bonne partie de la zone.
Les aménagements prévus au titre des compensations (plantation de haies, d’arbres, création de noues) n’ont été pas réalisés, malgré nos demandes
réitérées encore récemment lors d’une visite organisée par la 4CF.pour présenter leur projet piloté par le Cabinet Mosaïc.
Ainsi, l’on ne trouve pas de plantations à l’arrière du parking et autour de l’anneau, pas de noue entre le parking et la route. Cela aurait pu contribuer à l’absorption de l’eau qui va jusqu’à menacer parfois le Pôle.
Une nouvelle atteinte aux marais, un projet contestable.
Le projet d’Ecoparc porté à la fois par la ville de Deauville et la Communauté de Communes et qui est principalement présenté comme une parcours écologique, longeant une mare à la riche biodiversité, cache en réalité un projet de parking.
En effet, qui va croire qu’il faut 153 places de parking pour les rares visiteurs d’une mare présentée comme une compensation écologique alors qu’elle est déjà présente, et d’un parcours collé à la départementale D27a, visiteurs qui ont déjà à leur disposition un parking de 200 places tout à côté.
A titre de comparaison, le Département du Calvados a créé un parcours de 5,3 km à travers les marais de la Touques, et a prévu pour cela près de Canapville, 18 places de véhicules et deux places pour les bus scolaires.
Après la suppression de 100 places de parking à l’entrée du Pôle International du Cheval afin d’agrandir une carrière , et devant l’affluence de véhicules et de vans lors des évènements hippiques du style Longines Deauville Classic, il est devenu nécessaire de trouver des places supplémentaires quatre à cinq fois dans l’année.
L’espace existe pourtant entre l’anneau de galop et l’actuel parking, qui est utilisé par les visiteurs lors de manifestations quand il ne pleut pas, et un autre parking de délestage existe aussi, le long d’hippodrome, déjà utilisé lors de manifestations comme lors des tournois de l’éphémère club de tennis sur gazon qui, entre parenthèse, aura coûté plus d’un million à la collectivité.
Ce dernier parking nécessitant la mise en place de navettes car situé à un kilomètre du PIC.
Conclusion
La démarche qui consiste à créer un nouveau parking de 153 places ne trouve aucune justification ni dans le cadre du projet d’Eco Parc, ni dans le cadre des quelques évènements hippiques exceptionnels, ni surtout dans le cadre de la préservation des marais.
La réalisation du projet va aboutir à la destruction d’arbres et de haies qui va provoquer l’artificialisation de plusieurs hectares des marais, leur perméabilité et la disparition de la faune et la flore. Malgré les choix plus protecteurs des revêtements, on aboutira inévitablement à l’imperméabilisation du périmètre.
Les dégâts de ce qui a été fait sur les parcelles ouest, parking et anneau de galop, sont là pour nous inciter à préserver ce qui reste des marais les plus proches.
Contribution n°49 (Web)
Déposée le 12 novembre 2025 à 23h28
Nous ne comprenons pas l’intérêt de ce projet d’un Parc qui se dit écologique ( terme très actuel..) mais qui va signifier l’abattage d’arbres, de haies, le bouleversement d’un espace de biodiversité existant pour permettre à 153 voitures de se garer, peut être pour les visiteurs de ce Parc mais bien plutôt semblerait il, pour les visiteurs du PIC.
Nos gouvernants nous enjoignent de changer nos habitudes, de freiner les constructions, de respecter la nature etc…
Ce projet n’hésite pas à modifier un espace naturel pour créer un parking supplémentaire avec les conséquences que cela pourrait avoir entre autre sur le sol.
Ne vaudrait il pas mieux inciter les gens à éviter de prendre la voiture plutôt que de les aider à la prendre en leur offrant des places ? Réfléchir à des solutions alternatives ? Envisager un parking de délestage ?
Décidément nous ne pouvons pas souscrire à ce projet « Ecologique » tel qu’il est présenté et qui cache un tout autre objectif : faciliter la venue en voiture au PIC du plus de monde possible pour un petit nombre d'événements dans l’année au détriment de la nature environnante
Espérant que notre voix sera entendue