Les contributions

Contribution n°15 (Web)

Par Boissin Henri
Déposée le 7 juillet 2025 à 17h15
Je suis fermement opposé à l'installation d'éoliennes supplémentaires. Non seulement elle détérioreraient un peu plus la vue depuis [...]
Je suis fermement opposé à l'installation d'éoliennes supplémentaires. Non seulement elle détérioreraient un peu plus la vue depuis Joigny, mais comme déjà celles installées ne fonctionnent que très peu , entre autre par manque de vent, leur utilité serait p^lus que contestable.

Contribution n°14 (Web)

Par Sylvie
Déposée le 7 juillet 2025 à 17h12
En tant que visiteur régulier et amoureux de la magnifique Bourgogne, je désapprouve totalement le projet de construire des éoliennes [...]
En tant que visiteur régulier et amoureux de la magnifique Bourgogne, je désapprouve totalement le projet de construire des éoliennes autour de Joigny, cela aboutirait â gâcher la vue sur cette ville remarquable et à détruire encore plus son image et celle de notre France.

Contribution n°13 (Web)

Anonyme
Déposée le 7 juillet 2025 à 17h11
Je suis opposé à modifier une zone inconstructible pour installer des éoliennes qui détruisent le paysage dans une région saturée. [...]
Je suis opposé à modifier une zone inconstructible pour installer des éoliennes qui détruisent le paysage dans une région saturée. Les éoliennes n'apportent que peu d'électricité alors que la production par les centrales nucléaires nous permet de vendre notre excédent ; L'éolien permet seulement d'engraisser les promoteurs.

Contribution n°12 (Web)

Par Rougier philippe
Déposée le 7 juillet 2025 à 09h32
En tant que visiteur regulier et amoureux de la magnifique Bourgogne, je desapprouve totalement le projer de construire des eoliennes [...]
En tant que visiteur regulier et amoureux de la magnifique Bourgogne, je desapprouve totalement le projer de construire des eoliennes autoir de Joigny, qui aboutirait â gacher la vue sur cette ville remarquable et à dérruire encore plus l image de notre France.

Contribution n°11 (Web)

Par VINEY Nourjehan
Déposée le 6 juillet 2025 à 23h01
Je réagis à la première clause de la demande de modification n°2 du Plan local d’Urbanisme intercommunal de la CCJ : « 1. Adapter [...]
Je réagis à la première clause de la demande de modification n°2 du Plan local d’Urbanisme intercommunal de la CCJ : « 1. Adapter les secteurs Aer et Ner en cohérence avec la définition des zones d’accélérations des énergies renouvelables par les communes suite à la loi d’accélération des énergies renouvelables du 10 mars 2023 » car j’estime qu’il y a une meilleures connaissance des répercussions négatives liée au développement des énergies renouvelables ainsi qu’une prise de conscience de leur inutilité depuis 2023.

Le développement des énergies renouvelables d’origine éolienne induisent en effet :
1. Un effet d’écrasement et un effet d’encerclement, de « mitage » et de saturation du territoire qui ont pour conséquence directe une perte d’attractivité du territoire

2. Des effets délétères pour la santé (Nuisances sonores / flashs lumineux incessants la nuit / effets stroboscopiques / infrasons ) qui ont également :

3. des impacts sur la biodiversité (en particulièrement sur les rapaces et les espèces aviaires migratoires tels que les grues). Les éoliennes induisent une forte mortalité chez les chauves-souris. Les animaux sauvages et d’élevage (bovins notamment en pâtissent). A cet effet, veuillez écouter et lire les témoignages recueillis par la journaliste et auteure Sioux Berger, notamment dans « Le prix du vent ».

4. Une altération de la qualité de la vie. Le paysage magnifiquement vallonné, longtemps préservé de l’industrialisation a été irrémédiablement bouleversé par les éoliennes de Neuilly-Guerchy-Champlay . Je vous laisse également découvrir les propos de la Fondation Concorde, think tank indépendant et ouvert dont la particularité est de faire travailler ensemble universitaires, experts, hommes et femmes d’entreprise : « De tous les maux qu’infligent les éoliennes à la France et aux français, le plus flagrant est, sans conteste, le viol des paysages, des sites et des monuments de la France.

Avant même que de mesurer l’ampleur de la gabegie financière, de l’absurdité énergétique, des effets dévastateurs sur la biodiversité et la santé, de la corruption, de l’atteinte à la démocratie. Le saccage prévisible de notre patrimoine paysager et culturel aurait dû constituer, pour nos gouvernants, une raison majeure de s’opposer au désastre.».

Je vous laisse découvrir l’intégralité de ces propos sur : https://www.fondationconcorde.com/etudes/avec-les-eoliennes-le-massacre-de-nos-paysages-et-des-bords-de-mer/

5. Les risques géologiques sont importants avec un risques de pollution des nappes et la bétonisation des sols. D’autant plus que la machinerie éolienne et photovoltaïque nécessite l’utilisation de matériaux d’extractions irrémédiablement nocives pour l’environnement (au sujet des métaux rares, je me réfère notamment à l’ouvrage du journaliste Guillaume Pitron : « la guerre des métaux rares »)

6. Le faible rendement énergétique n’est plus à prouver.

7. Il y a en outre une incohérence du choix de l’emplacement (L’Yonne est un département très peu venté et pourtant déjà saturé d’éoliennes).

8. Il y a une mise à mal de la notion « d’intérêt général » due un surcoût très important pour l’électricité produite. Ce mode de production engloutit des milliards d’argent public au travers de subventions qui profitent à des intérêts privés souvent étrangers (véritable non-sens économique et politique).

9. Le recyclage « partiel » des éoliennes après démantèlement (notamment les pâles qui sont aujourd’hui enfouies ou incinérées) est une vraie question tant en termes de coût que de responsabilité auprès des générations futures : Comment s’effectuera et qui payera le démantèlement des aérogénérateurs après leurs phase d’exploitation ? Les « provisions » demandées aux promoteurs sont ridiculement faibles (60 000€ en moyenne) pour des coût avérés de plusieurs centaines de milliers d’euros. Comment dépolluera-t-on les sols ? Est-il prévu le retrait définitif des massifs en béton armé (1 500 tonnes par mât !). Quid des éoliennes implantées sur des parcelles communales ? Qui payera la note en cas de problèmes ou pour le démantèlement ? Seront-ce les administrés qui seront et sont déjà victimes de la dévaluation de leurs biens immobiliers ?

10. Sujet grave et non des moindres, l’utilisation des énergies renouvelables tels que les photovoltaïques et les éoliennes impliquent à fortiori l’usage du nucléaire pour compenser leur intermittence. Voici ce qu’en dit Anne Lauvergeon, ex PDG d’Areva, fondatrice de l’ALP, structure de conseil d’investissements qui se consacre à l’innovation, dans son ouvrage paru cette année : « Un secret si bien gardé » (Grasset, 2025) « Un dernier sujet pénalise la production française et non des moindres. C’EST LA MODULATION. Elle consiste, sur ordre de RTE ou d’EDF, à faire varier la puissance d’un réacteur de 20 à 80 % en fonction de la consommation et de la production des renouvelables considérée comme prioritaire.


AUCUN REACTEUR N’A ETE CONÇU POUR CET USAGE. Aucun autre pays ne le fait aussi systématiquement. Elle est présentée par EDF comme une chance pour la France. Le patron du parc nucléaire l’affirme dans son audition au Sénat le 4 avril 2024. « Là aussi nous sommes uniques au monde : nos réacteurs ont été conçus pour moduler. Ils sont les seuls réacteurs au monde à offrir ce service », « Nos réacteurs peuvent accepter jusqu’à deux baisses par jour avec une amplitude de variation de 80 % », « le volume de modulations qui est demandé, va croissant ». « Nous avons d’ailleurs connu énormément de modulations cet hiver [2023-2024]. »

AU RISQUE DE CASSER CE BEL ENTHOUSIASME, AUCUN REACTEUR N’A JAMAIS ETE CONÇU POUR MODULER, QU’IL SOIT FRANÇAIS OU NON. Cette pratique présentée comme un service formidable laisse certains sceptiques, d’autres réservés ou inquiets. Ne risque-t-on pas LA FATIGUE ACCELEREE de certains composants ?

Voilà ce que dit l’inspecteur général de la sûreté nucléaire d’EDF dans son dernier rapport annuel : « J’estime que la priorité aux EnR, dans une complémentarité unilatérale nucléaire-EnR, conduit à des variations de puissance dont il serait d’autant plus opportun de se dispenser qu’ELLES NE SONT JAMAIS ANODINES sur la sûreté, notamment la maitrise de la réactivité, et sur la maintenabilité, la longévité et le coût d’exploitation de nos installations »

Côté Autorité de sûreté nucléaire et de radioprotection, selon certains de ses responsables, la modulation de puissance des réacteurs pourrait faire augmenter la concentration d’oxygène dans les circuits primaires par injection de grandes quantités d’eau et donc FAVORISER LA CORROSION SOUS-CONTRAINTE DE CERTAINS CIRCUITS.

Cette modulation est imposée par RTE et exercée par EDF, et, en fonction de la consommation, fait varier la production nucléaire pour donner la priorité à la production solaire et à la production éolienne. Le parc nucléaire fonctionne non plus seulement en base mais de plus en plus en variable. IMPENSABLE POUR SES CONCEPTEURS. »

J’en déduis donc que les modes de production d’énergies renouvelables axées sur l’éolien et le solaire représentent un danger à tout égard. On ne peut plus à l’heure actuelle, avec nos connaissances actuelles, accorder plus de crédits au développement des aérogénérateurs et des photovoltaïques sur le territoire de la Communauté de Communes du Jovinien.

Je citerai pour appuyer mes propos, « L’ENERGIE DU DENI. Comment la transition énergétique va augmenter les émissions de CO2 » de l‘essayiste Vincent Mignerot (éditions Rue de l’Echiquier - 28/10/2021) : « La transition énergétique est actée : les investisseurs et les sociétés exploitant les énergies fossiles seraient résolument engagés dans la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre. Les débats ne portent plus que sur l’orientation générale du modèle, sur la place du nucléaire ou des énergies renouvelables dans le futur mix.

Un regard attentif et documenté sur le sujet fait toutefois apparaître une autre réalité. Au lieu de les remplacer, les énergies dites « décarbonées » nous procurent de nouveaux moyens afin de continuer à exploiter toutes les formes d’énergie existantes. Ainsi, l’extraction des hydrocarbures est à la fois soutenue financièrement et techniquement par le développement des énergies vertes.

Cette « synergie énergétique » pourrait avoir un plus grand impact sur le réchauffement climatique que si aucune transition n’était tentée – transition dont aucune étude scientifique n’a, à ce jour, démontré la possibilité. Au-delà de cette dimension écologique, Vincent Mignerot interroge la propension de l’humanité à se raconter des histoires et à s’illusionner sur ses capacités à orienter le cours de son destin selon son intérêt véritable. »

Il faut donc arrêter de se raconter des histoires et se rapporter uniquement aux faits et aux conséquences des politiques sur ce quoi elle doit tendre : le bien-être et la protection de la population.

Contribution n°10 (Web)

Par Krebs nicolas
Déposée le 5 juillet 2025 à 21h48
Je suis contre ce projet qui je pense n est qu à but lucratif au détriment de la population local. Je ne comprends pas comment on [...]
Je suis contre ce projet qui je pense n est qu à but lucratif au détriment de la population local. Je ne comprends pas comment on peut conclure que le site d aillant sur tholon ne sera pas assez productif, alors que celui de champlay et senan n est que de l’autre côté de l autoroute, les vent dominants venant d aillant sur tholon

Contribution n°9 (Web)

Anonyme
Déposée le 5 juillet 2025 à 20h40
Je ne vois pas en quoi cela nous aide dans une démarche écologique, fabriquée en Chine, couler du béton et avoir un impact sur l’écosystème [...]
Je ne vois pas en quoi cela nous aide dans une démarche écologique, fabriquée en Chine, couler du béton et avoir un impact sur l’écosystème car leur implantations nuit a certaine espèce...une vrai aberration gardon notre belle campagne et nos paysages que les parisiens nous envient tant ...et cela n'a rien d’écologique arrêtons ces sottises

Contribution n°8 (Web)

Anonyme
Déposée le 5 juillet 2025 à 20h39
Je ne vois pas en quoi cela nous aide dans une démarche écologique, fabriquée en Chine, couler du béton et avoir un impact sur l’écosystème [...]
Je ne vois pas en quoi cela nous aide dans une démarche écologique, fabriquée en Chine, couler du béton et avoir un impact sur l’écosystème car leur implantations nuit a certaine espèce...une vrai aberration gardon notre belle campagne et nos paysages que les parisiens nous envient tant ...et cela n'a rien d’écologique arrêtons ces sottises

Contribution n°7 (Web)

Par Besnier
Déposée le 5 juillet 2025 à 19h45
L’installation d’éoliennes sur se site ou ailleurs est un non-sens et surtout une hypocrisie locale appuyée par la région. Aucun argument [...]
L’installation d’éoliennes sur se site ou ailleurs est un non-sens et surtout une hypocrisie locale appuyée par la région. Aucun argument technique ne saurait justifier ces initiatives. Seulement la betise, l’appât du gain, la corruption et l’idéologie crasse…..

Contribution n°6 (Email)

Par Alice Bretagne
Déposée le 4 juillet 2025 à 16h47
Objet : Fwd: Contribution à l'enquête publique

Madame, Monsieur,

Nous nous permettons de vous adresser cette contribution dans [...]
Objet : Fwd: Contribution à l'enquête publique

Madame, Monsieur,

Nous nous permettons de vous adresser cette contribution dans le cadre de
l’enquête publique.
En tant que propriétaire des parcelles cadastrales ci-joint, numéro
000AB110, 000AB496, 000AB490, 000AB491, 000AB494, situées au 11 Rue des
Vignes et cote aux poules, à Bussy en Othe, nous souhaitons exprimer notre
intérêt pour une extension de la zone constructible sur la parcelle
000AB110.

Actuellement, la parcelle AB496, accolée à la parcelle AB110, est classée
comme non constructible en raison de son classement en zone naturelle.
Cependant, nous souhaiterions que vous considériez la possibilité de revoir
ce classement pour la raison suivante :

La parcelle AB496 était, en 2013, classée constructible et une véranda,
ci-joint, y a été construite. Quelques années après la création, l’ancien
propriétaire de notre maison a fait modifier le classement de cette
parcelle pour la rendre non constructible.
Aujourd’hui, la véranda se situe donc sur une zone non constructible et
n’est pas en accord avec la déclaration de travaux réalisée (dimensions,
couleur, toit en tôle PVC…).
Nous souhaitons remplacer cette véranda existante par une extension de
notre maison, celle-ci conforme aux exigences du code de l’urbanisme.

Nous sommes convaincus que cette demande mérite une attention particulière
et nous restons à votre disposition pour fournir tout élément
complémentaire qui pourrait s’avérer nécessaire à l’étude de notre dossier.

Nous vous remercions par avance pour l’attention que vous porterez à notre
requête, et vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de nos
salutations distinguées.

Alice BRETAGNE & Ludovic SIMIER
11 Rue des Vignes
89400 BUSSY EN OTHE
07 86 40 69 44
alicee.bretagne@gmail.com

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