Contribution n°21 (Web)
Déposée le 26 juin 2025 à 21h28
Les factures d électricité des Français vont exploser avec ces moulins à vent qui ne profitent qu à des fonds d investissement la plus part étrangers., l argent nous tue désormais !
Stop l'Arnac
Contribution n°20 (Web)
Déposée le 26 juin 2025 à 17h15
Arguments en pièce jointe.
Document joint
Contribution n°19 (Web)
Déposée le 26 juin 2025 à 16h34
aberrant sur les plans économique et écologique. À défaut de dispositif fiable de conservation de l'électricité non consommée immédiatement, ces éoliennes ne fonctionneront que très peu. Leur coût rapporté à leur production n'est pas amortissable .
L'obsolescence des éoliennes est courte ( 10 à 15 ans ). À terme les sociétés propriétaires auront disparu et c'est les deniers publics qui supporteront leur démembrement.
C'est par ailleurs une catastrophe pour la beauté de nos paysages déjà altérée par la disparition des haies et bosquets liée au développement de l'agriculture conventionnelle dans le cadre de la PAC et du remembrement.
Contribution n°18 (Web)
Déposée le 26 juin 2025 à 16h15
Je suis opposée à ce projet de parc éolien sur la commune de Roche et Raucourt.
La Haute Saône est très belle avec ces forêts, abattre des arbres pour implanter des éoliennes pour enrichir certaines personnes je dis non !!!!!
Ne touchez pas à notre belle Haute Saône avec cette belle nature pour du fric !!!!!!
cordialement
Contribution n°17 (Web)
Déposée le 26 juin 2025 à 14h40
Je me permets de vous renvoyer ma contribution en entier.
Ce matin je l'ai divisée en trois parties, car je ne pouvais pas la publier.
Cordialement
Document joint
Contribution n°16 (Web)
Déposée le 26 juin 2025 à 11h26
Je vous envoie ma contribution en pièce jointe.
Cordialement
Document joint
Contribution n°15 (Web)
Déposée le 26 juin 2025 à 11h20
Je vous envoie ma contribution qui se décompose en 3 parties.
Ci-joint la 3ème partie.
Cordialement
Document joint
Contribution n°14 (Web)
Déposée le 26 juin 2025 à 11h19
Je vous envoie ma contribution qui se décompose en 3 parties.
Ci-joint la 2ème partie.
Cordialement
Document joint
Contribution n°13 (Web)
Déposée le 26 juin 2025 à 11h18
Je vous envoie ma contribution qui se décompose en 3 parties.
Ci-joint la 1ère partie.
Cordialement
Document joint
Contribution n°12 (Web)
Déposée le 26 juin 2025 à 10h14
Je tiens à manifester ma vive opposition au nouveau projet éolien de Roche et Raucourt.
L’amendement introduisant un moratoire sur tout nouveau projet éolien à la loi Gremillet a été adopté en commission le 19 juin. Il avait été médiatisé par le mouvement d’Alexandre Jardin destiné à défendre les « gueux ». Des gueux condamnés à l’explosion de leur facture d’électricité pour financer les surcouts induits sur le réseau par l’intermittence des énergies renouvelables et la nécessité d’assurer la rentabilité de leur production, ainsi que l’entretient de leur doublon pilotable dont l’intégralité est nécessaire pour affronter les périodes sans vent ni soleil.
Des gueux payant ainsi 3 fois pour chaque kWh produit.
La double peine
Mais surtout, des gueux condamnés à la double peine de voir, et d’entendre, des éoliennes géantes se multiplier dans leur cadre de vie en dévalorisant leurs habitations, qui sont, chez les gueux, l’essentiel de l’héritage laissé à leurs enfants après une vie de travail. Cette perte de valeur est attestée par les études à la fois les plus larges et les plus précises sur le sujet, notamment l’étude conjointe de RWI – Leibniz-Institut für Wirtschaftsforschung, Ruhr-Universität Bochum (RUB), Department of Economics, Technische Universität Dortmund, Department of Economic and Social Sciences, et Universität Duisburg-Essen, Department of Economics
Celle-ci conclut en effet : « si les prix des maisons proches des zones urbaines ne sont pas affectés par la proximité des éoliennes, les maisons en zone rurale subissent une dévaluation importante. Cet effet est encore plus prononcé pour les bâtiments anciens construits avant 1949, dont les prix affichés diminuent jusqu'à 23 % ».
Cette étude est corroborée par l’étude anglaise de S. Gibbons portant sur 38 000 observations et 12 ans de transactions immobilières. Elle considère en effet : « Toutes ces comparaisons suggèrent que la visibilité des parcs éoliens réduit les prix des maisons locales, et les coûts environnementaux visuels impliqués sont substantiels. »
Cette dévalorisation fait d’ailleurs l’objet de plusieurs estimations judiciaires, notamment du récent arrêt de la Cour d’Appel de Rennes du 12 mars 2024 (RG n° 17/03596), qui ordonné à l’exploitant, pour la réparation des troubles anormaux de voisinage subis réclamée par les plaignants, de verser 633.400 euros aux 13 plaignants au titre de la dépréciation immobilière, en plus des frais d’expertise et de 5 000 euros de dépens par plaignant.
Or les éoliennes se multiplient dans le cadre de vie des gueux dont les habitations sont très largement construites avant 1949. Leurs communes se déchirent systématiquement entre ceux qui en tirent un bénéfice et ceux qui n’en ont que les nuisances, lesquelles ont dû recourir à une dérogation au code de la santé publique par un régime acoustique qui leur est propre, ainsi que l’a rappelé la sénatrice Loisier dans sa question écrite question écrite n°22904, et que celui-ci occulte systématiquement leurs pics d’intensité sonore : le fameux whoof whoof obsédant du passage des pales devant le mât, contrairement aux bonnes pratiques de la norme de référence pour le bruit de l’environnement, NF S31-010, qui préconise de prendre en compte ce caractère impulsionnel du bruit.
Le cadre de vie des gueux
Le paysage est la seule chose qui reste à ceux qui n’ont plus rien. Les gueux de Roche et Raucourt comme ceux des communes limitrophes ne jouissent déjà plus de cette contrepartie de la désaffection des services publics que représentait leur cadre de vie rural, naturel et authentique. Où qu’ils portent leurs yeux, leur horizon est déjà hérissé de ces machine hors d’échelle dont le clignotement nocturne symbolise autant de zones industrielles sans emploi.
Pour n’avoir pas la chance d’être emblématiques et protégés, leurs paysages anonymes sont sacrifiés.
La loi Gremillet de « Programmation nationale et simplification normative dans le secteur économique de l’énergie », hélas, a été rejetée en bloc mardi 24 juin par 377 voix contre 142. Pour autant, aucun objectif chiffré en termes de développement éolien n’est plus contraignant désormais. Le blackout ibérique du 28 avril dernier a rappelé le rôle central de la France dans la stabilisation de la fréquence du réseau européen grâce à l’inertie de son parc nucléaire, dont il est convenu désormais qu’on n’est pas près de pouvoir se passer.
Le dimensionnement déjà largement surcapacitaire du parc de production national multiplie les épisodes de prix négatifs lors desquels le nucléaire se voit contraint de moduler à la baisse. Cette surcapacité qui fait de la France chaque année le plus gros exportateur MONDIAL d’électricité interroge sur l’intérêt suprême qui justifierait la double peine que les gueux seraient les seuls à devoir purger en saturant leur horizon de nouvelles éoliennes.
En pièce jointe, l'évolution des capacités européennes de production d'électricité depuis 2000 qui montre que le développement exponentiel des renouvelables intermittents n'a pas permis la fermeture d'1 seul MW pilotable. Ce qui pose la question de l'intérêt de cette politique en regard du parc français, majoritairement nucléaire.