Contribution n°21 (Web)
Déposée le 9 octobre 2025 à 10h03
Dans la zone concernée par la ZAC des Deux Ruisseaux, le manque de trottoirs est flagrant, notamment rue des Jaunais, où la circulation est déjà intense et dangereuse pour les piétons, les enfants et les cyclistes.
À cela s’ajoute un éclairage public insuffisant, qui rend les déplacements risqués dès la tombée de la nuit.
Ces problèmes sont connus depuis des années, mais rien n’a été fait pour y remédier.
Et pourtant, la ville prévoit d’investir des sommes colossales dans l’agrandissement urbain, en ajoutant des centaines de logements sans le moindre chantier de mise en sécurité préalable.
Résultat : plus de 700 véhicules supplémentaires par jour dans le secteur.
Et encore, cette estimation reste floue : englobe-t-elle bien les voitures liées aux immeubles à venir, ou seulement celles des maisons individuelles ? Dans les deux cas, la charge supplémentaire sur la circulation locale sera énorme.
J’aimerais bien voir les membres du conseil municipal supporter autant de véhicules supplémentaires chaque jour dans leur propre rue ! Peut-être alors prendraient-ils la mesure de ce que cela représente concrètement pour les riverains : bruit, pollution, dangers pour les piétons, stationnements anarchiques et stress permanent.
Avant d’élargir Thouaré, la mairie devrait déjà commencer par la sécuriser. Car aujourd’hui, c’est un projet d’agrandissement bâti sur un réseau routier et piétonnier totalement inadapté et dangereux.
-- Demandes :
1/ Création immédiate de trottoirs et d’un éclairage complet sur la rue du Jaunais et les voies d’accès à la ZAC, avant tout début de chantier.
2/ Mise en place d’un plan de circulation sécurisé pour les piétons, cyclistes et riverains pendant les travaux.
3/ Installation d’un éclairage LED renforcé et continu pour toute la zone, en particulier les axes piétons vers les écoles et la gare.
4/ Réévaluation de l’étude de trafic, incluant le nombre réel de véhicules liés à l’ensemble des logements (maisons et immeubles).
5/ Engagement écrit de la mairie à ne pas lancer les chantiers de construction tant que les aménagements de sécurité (trottoirs, éclairage, signalisation) ne sont pas réalisés.
Contribution n°20 (Web)
Déposée le 8 octobre 2025 à 16h31
Dans le dossier, il est indiqué que les bus ne peuvent pas desservir la rue du Jaunais, car il serait impossible de faire demi-tour.
Cette affirmation est surprenante :
Un rond-point est prévu (cf. plans) à l’entrée d’un îlot avenue de la Garenne ;
Des rues adjacentes (rue des Étangs, Avenue de la Garenne) sont suffisamment larges pour envisager une boucle ;
Aucune étude de faisabilité technique n’est fournie à l’appui de ce choix.
Cette non-desserte exclut une grande partie du quartier des transports en commun, renforçant la dépendance à la voiture, en contradiction avec les objectifs du PLUm.
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Demandes :
Une étude sérieuse sur l’aménagement d’une boucle ou d’un rond-point de retournement pour bus ;
L’inscription claire d’une station de bus dans la rue du Jaunais dans les plans du projet.
Contribution n°19 (Web)
Déposée le 8 octobre 2025 à 16h29
Le projet affiche vouloir "favoriser les mobilités douces", mais les plans et la réalité sont en contradiction :
La chaussidou même s'il étais complet resterai insuffisant au regard des recommandations en la matière et ne couvre que les entrées des îlots (réunion publique du 23/09/2025) ;
Les trottoirs sont segmentés, parfois inexistants sur certaines parcelles ;
Aucune liaison sécurisée vers le centre-ville, les écoles, ou les arrêts de transports en commun n’est définie clairement.
Cette approche "par morceaux" ne permet ni un usage quotidien sécurisé, ni un réel changement de comportement de mobilité.
À titre d’exemple, l’Avenue de la Garenne, artère centrale du projet, ne propose aucun aménagement structurant sur tout son linéaire pour les piétons ou cyclistes.
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Demandes :
Un réseau piéton/cycle continu sur l’ensemble de la ZAC, relié au reste de la commune ;
Des priorités claires données aux cheminements doux dans les plans de circulation et de voirie.
Contribution n°18 (Web)
Déposée le 8 octobre 2025 à 16h27
Il est indiqué dans la notice explicative que la circulation sur la rue du Jaunais passera de 2 700 à 3 400 véhicules/jour, soit une augmentation de 700 véhicules/jour (+26%) (p. 56/68).
Le projet prétend que "le trafic restera modéré", ce qui est un contresens au regard de la réalité de la rue du Jaunais.
La rue du Jaunais est aujourd’hui une rue résidentielle étroite, avec peu de trottoirs continus, une vitesse souvent excessive et des carrefours peu visibles. L'augmentation prévue du trafic va aggraver la dangerosité pour les piétons, cyclistes et enfants, sans qu’aucun plan de sécurisation réel ne soit clairement exposé.
Par ailleurs, cette rue mène à la route de Paris (RD37), déjà très congestionnée aux heures de pointe. Le document ne prend pas du tout en compte l’effet de ce report de charge sur cet axe structurant, ni l'impact cumulé de plusieurs ZAC récentes dans l'Est métropolitain (ZAC de la Guindonnière, ZAC de la Haute-Forêt...).
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Demandes :
Une étude d’impact trafic élargie à la RD37 et aux carrefours principaux ;
La mise en place de modérateurs de vitesse, de trottoirs sécurisés et d’un traitement paysager complet de la rue du Jaunais avant toute nouvelle tranche.
Contribution n°17 (Web)
Déposée le 8 octobre 2025 à 15h45
Je rejoins les commentaires déjà déposés (notamment ceux très complets du 28 septembre vers 22h).
L’arrivée de nombreux nouveaux habitants est une évolution naturelle et bienvenue pour une commune dynamique comme Thouaré-sur-Loire, mais cela ne doit pas se faire au détriment du cadre de vie, de la biodiversité, ni de la sécurité des habitants.
Le périmètre d’analyse du projet semble bien trop restreint au secteur immédiat de la ZAC. Or ses conséquences auront un impact bien plus large sur l’ensemble du territoire communal : traffic, capacité de stationnement, capacité scolaire, ect. Cela mérite une réflexion plus globale en matière d’urbanisme, de mobilité, et d’infrastructures.
A votre disposition pour en discuter,
Cordialement
Contribution n°16 (Web)
Déposée le 8 octobre 2025 à 15h31
Lors de la réunion publique du 23 septembre, il a été indiqué que la disposition des bâtiments et des haies figurant sur les plans était "indicative". Cela n’avait jamais été précisé dans les documents publics précédents, qui donnaient à voir des plans structurés, laissant penser qu’ils étaient stabilisés.
Comment est-il possible d’avoir un dialogue constructif avec les riverains si les documents de référence évoluent sans cadre clair, ni explication formelle ? Cela nuit gravement à la confiance dans la démarche de concertation.
Par ailleurs, je souhaite exprimer ma position défavorable à l’installation de bâtiments collectifs dans ce secteur, pour plusieurs raisons :
- Un projet incompatible avec l’identité du quartier
La rue du Jaunais est un quartier à dominante pavillonnaire, avec une ambiance résidentielle calme et un cadre de vie tourné vers la nature.
L’introduction de bâtiments collectifs en R+2+C créerait une rupture architecturale évidente avec le tissu existant. Ces immeubles, par leur hauteur, leur densité et leur aspect, dénaturent totalement l’esprit du quartier, pourtant mis en avant dans le dossier (“esprit champêtre de la commune” – p. 27/68). Rajouter du bardage n'y changerait rien.
Il est paradoxal de se revendiquer de cet esprit tout en proposant des formes urbaines radicalement opposées.
- Des nuisances inévitables pour les riverains
La hauteur prévue engendrera des problèmes de vis-à-vis, une perte d’ensoleillement et une hausse de la densité humaine et automobile très localisée. Cela aura un impact direct sur la tranquillité des habitants actuels.
Le PLU impose des distances minimales, mais elles ne suffisent pas à garantir la qualité de vie si les bâtiments sont surdimensionnés par rapport au tissu environnant.
- Une absence de justification urbanistique ou sociale claire
Le dossier ne démontre pas en quoi des logements collectifs seraient indispensables précisément sur la parcelle AA36 (qui est celle qui nous concerne directement), ni s’il existe une demande locale spécifique à laquelle ce type de logement répondrait.
Des formes alternatives existent : logements intermédiaires, petits ensembles de maisons groupées, densification douce par divisions parcellaires. Elles permettraient d’augmenter l’offre de logements sans rupture avec le tissu existant.
En résumé, je considère que ce projet de bâtiments collectifs sur la parcelle AA36 (et dans cette zone en général) n’est ni adapté au contexte local, ni cohérent avec les intentions affichées dans le dossier, ni souhaité par une majorité de riverains.
Je demande donc que le projet soit revu avec des alternatives plus respectueuses du cadre de vie actuel, des formes architecturales plus intégrées, et un véritable dialogue avec les habitants.
Contribution n°15 (Web)
Déposée le 8 octobre 2025 à 15h25
Si le dossier d’étude d’impact est globalement bien structuré, je reste très surprise du décalage entre la qualité des observations initiales et la faiblesse des mesures proposées en réponse.
Voici quelques points particulièrement préoccupants :
- Pollution de l’air et émissions de gaz à effet de serre (pages 58–59/68 de la notice explicative)
La réponse apportée me semble largement insuffisante : « La conception du projet favorise l’utilisation de modes de déplacements non ou peu polluants et limiteront l’usage de la voiture pour les déplacements de proximité et ses impacts sur le climat. »
=> Pourtant, le projet entraîne une hausse de 700 véhicules/jour (p. 56). Il est donc aberrant de conclure à une absence d’impact significatif sur la qualité de l’air.
- Bruit et vibrations
Là aussi, les impacts sont minimisés alors même que le trafic va croître de 25%. Aucune mesure concrète n’est proposée pour limiter ces nuisances sur la rue du Jaunais ou sur les riverains proches.
- Infrastructures scolaires
Page 59, il est indiqué que « le projet n’a aucun impact direct et permanent sur les équipements présents sur le secteur. »
=> Qu’en est-il de la capacité scolaire ? Aucune évaluation sérieuse ne semble avoir été menée sur la pression démographique future. Cela interroge fortement.
- Faune et biodiversité
L’étude d’impact reconnaît à plusieurs reprises des effets forts sur la faune (ex : page 464), mais très peu de mesures de compensation concrètes sont proposées.
=> On ne peut pas se contenter de reconnaître l’impact sans engager de véritables solutions de préservation ou de compensation.
- Pollution et parc automobile
Il est également écrit (p. 571 de l’étude d’impact) que « les émissions après la réalisation du projet seront en baisse pour la plupart des polluants en raison des évolutions technologiques sur les véhicules. »
=> Cette affirmation, non chiffrée, relève plus du vœu pieux que d’une analyse sérieuse. Elle ne saurait justifier l’absence de mesures concrètes aujourd’hui.
Contribution n°14 (Web)
Déposée le 8 octobre 2025 à 15h20
Le dossier indique que le projet aurait un "impact faible" sur la circulation. Pourtant, il est écrit noir sur blanc (p. 56/68) que le trafic passera de 2 700 à 3 400 véhicules/jour, soit une hausse de +25%. Comment justifiez-vous cette contradiction ?
La rue du Jaunais est déjà étroite, sinueuse, peu visible, avec une vitesse limite rarement respectée. Cette augmentation de circulation est incompatible avec la sécurité des habitants actuels et futurs.
Par ailleurs, vous indiquez que les mobilités douces seront encouragées. Mais combien de personnes devront prendre leur voiture pour aller faire leurs courses ou se rendre au travail, faute de transports collectifs suffisants ou d'infrastructures cyclables sûres ? Tant que la Route de Paris restera difficilement praticable à vélo, ces efforts resteront très limités.
Enfin, lors de la réunion publique du 23 septembre, il a été dit que les trottoirs et chaussidous ne concerneraient que les entrées des îlots. Cela va à l’encontre du dossier. Pouvez-vous clarifier ce point ? Et surtout : comment comptez-vous encourager les mobilités douces sans infrastructures continues et sécurisées sur l’ensemble des voiries concernées ?
Contribution n°13 (Web)
Déposée le 8 octobre 2025 à 15h19
Dans un contexte d'urgence écologique, il est très difficile de comprendre la logique qui consiste à continuer d’artificialiser les rares espaces naturels restants.
Certes, une partie de la parcelle AA36 est identifiée comme zone humide, mais la délimitation affichée n’a aucun sens du point de vue de la faune et de la flore locales. Les insectes, oiseaux, mammifères et autres espèces utilisent tout l’espace — y compris les zones dites “constructibles” — pour leurs déplacements et leur habitat.
Les tranches déjà livrées dans le périmètre de la ZAC n’ont pas permis de préserver réellement la biodiversité : les espaces dits "verts" ne sont que des petits parterres entre les bâtiments, sans réel intérêt écologique. Il ne suffit pas de "verdir" un projet sur le plan graphique pour répondre aux enjeux environnementaux.
Quelles mesures concrètes vont être prises pour limiter les déplacements de la faune vers les zones urbanisées ? Des corridors écologiques efficaces seront-ils créés ? Des haies bocagères conservées ? Des îlots de biodiversité sanctuarisés ?
Le projet semble aujourd’hui loin de répondre à ces enjeux, ce qui est très préoccupant.
Contribution n°12 (Web)
Déposée le 7 octobre 2025 à 16h02
- - - - Les constructions :
- Est il possible d'avoir une idée assez précise de la hauteur des différents types de constructions envisagés, maisons individuelles, maisons accolées / groupées, immeuble collectif ?
- Pour chaque lot, l'implantation des constructions est-elle libre, ou existe t il une surface constructible délimitée, pour éviter les vis à vis et les trop grandes proximités de voisinage ? Il y a bien sûr des distances minimales réglementaires à respecter mais elles pourraient être considérées comme largement insuffisantes dans ce type de projet conséquent et intrusif.
Merci de porter une attention particuliere à chaque habitation existante en limite de périmètre, car ce sont les seules qui ont quelque chose à perdre. Que ce soit en incidence sur la jouissance du bien (perte d'ensoleillement, proximité d'une construction nouvelle, vis à vis, bruit .. ), comme en perte de valeur (dépréciation du bien ). Ces effets 'induits' pourront amener à devoir procéder à des aménagements tels que, renforcement d'isolation phonique des ouvrants, mise en place de clôtures, relèvement des hauteurs de séparation .. toutes choses qui peuvent être minimisées en en mesurant l'impact au plus tôt.
- - - - La voirie
- Du fait de l'intensification de la circulation, que vous avez estimée par secteur, quelles sont les dispositifs prévus pour faire ralentir, et/ou améliorer la visibilité dans les endroits d'ores et déjà dangereux du fait du niveau de circulation actuel ?.
A titre d'exemple, j'ai déjà énormement de mal à sortir de chez moi ( cf adresse courrier) et je n'imagine pas ce que cela va devenir avec jusqu'à 200 véhicules supplémentaires aux heures de pointe. Dois-je envisager de ne plus sortir que la nuit .. ? A votre disposition pour une visite sur place ...
- Zones de stationnement en entrée des ilots.
S'agit-il d'une première, ou d'un dispositif déjà installé par ailleurs avec suffisamment de recul pour attester de son efficacité ?
J'ai pour ma part, un doute, face aux habitudes et comportements individuels, ou à la nécessité, justifiée, des anciens ou des personnes à mobilité réduite. Le fait de stationner au plus près reste quand même la préoccupation principale d'un automobiliste. N'y voyez vous pas un risque de détournement d'usage si ces espaces s'avèrent en permanence déserts ou largement sous-utilisés ( Véhicule ventouse, installations illégales, dépôt sauvage .. ).
Ne faut-il pas envisager de commencer avec des espaces réduits, tout en conservant
une possibilité d'extension, à la surface prévue à ce jour, si besoin ?
Pour autant, je pense qu'il faudra trouver un compromis entre la fluidité, que tout le monde semble réclamer, et le risque que cela ne devienne un itinéraire alternatif, avec donc un nombre significatif de véhicules supplémentaires, aux heures de saturation des principaux axes déjà largement encombrés en début et fin de journée. La priorité doit cependant rester à la sécurisation des usagers, y compris des automobilistes .. Faut-il aller jusqu'à des mesures visant à rendre la vitesse impossible ? ( limitation, stop, rétrécissements, . . )
- - - - Généralités
Vous aurez à traiter des remarques à caractère général, relatives aux infrastructures communes, qu'il faudra instruire, mais ne négligez pas les considérations individuelles, fondées, dont aucune ne doit être ignorée à ce stade du projet. Tout doit encore pouvoir être analysé, puisque l'on nous dit que pour l'instant rien n'est définitif ni arrêté.
Et delà une question subsidiaire :
- quand aurons nous une situation 'suffisamment aboutie' pour pouvoir traiter les derniers litiges sans que nous soit opposé le fait que justement, c'est entre temps devenu définitif ?
Il serait bon que la procédure prévoit ce dernier temps d'échange pour élaborer les derniers compromis, sans qu'il soit question de tout remettre en cause.
Enfin, je ne doute pas que toutes les personnes concernées feront l'effort, de se projeter, d'identifier et de décrire, à partir des éléments communiqués, les points à revoir ou à améliorer. Je pense aussi qu'il ne faut pas exclure le fait qu'un certain nombre de 'désagréments' ne pourront être appréhendés qu'une fois le projet terminé, avec juste un peu de recul. Pour répondre efficacement à ces ultimes, mais cette fois ci bien réelles, 'nuisances', est-il envisageable de prévoir, dans l'enveloppe globale du projet, une réserve budgétaire , pour se donner les moyens financiers de traiter ces ultimes 'incidences préjudiciables' ?
Réponse apportée
1/ Sur les constructions :
Tous les projets devront respecter les règles du PLUm, à savoir une hauteur maximale de R+2+couronnement sur l'ensemble du secteur (13m)
Le projet va plus loin en imposant pour les logements collectifs, un retrait du dernier niveau en attique qui limite l'impact visuel de ce dernier niveau depuis la vue du piéton.
Pour les logements individuels et les maisons groupées, les constructions devront être au maximum en R+1+C, à savoir 10m.
Pour chaque parcelle, le projet impose une emprise constructible maximale sur laquelle les constructions pourront s'implanter. Cette emprise constructible a été pensée pour limiter les vis-à-vis entre les projets, et avec les riverains, et pour proposer des reculs minimum suffisant pour garantir l'intimité de chaque logement. De plus, l'organisation et l'orientation des constructions ont été réfléchies pour orienter les vues vers le grand paysage ou vers les cœurs d'ilot plantés. De plus, le projet impose à certains endroits la création de haies plantées qui formeront un filtre végétal et paysager supplémentaire pour garantir l'intimité des logements, notamment en limite d'opération ou en limite avec les riverains.
2/ Sur la question de la voirie : réponse à venir
3/ Généralités : Le processus de concertation en cours vise précisément à recueillir l’ensemble des observations, qu’elles concernent les infrastructures communes, l’intégration urbaine ou les situations particulières.
Le projet, tel qu’il est présenté, correspond à une version quasi définitive du point de vue de la programmation, des infrastructures et du plan d’aménagement. Il constitue une base suffisamment aboutie pour comprendre l’organisation générale du quartier et ses principales caractéristiques.
Cependant, cette version reste susceptible d’évoluer. Les ajustements pourront intervenir quand cela est possible en fonction des remarques des habitants, des avis des services de l’État et des résultats des études techniques et environnementales encore en cours.