Les contributions

Contribution n°108 (Web)

Anonyme
Déposée le 18 novembre 2025 à 18h00
Arrétons d'urbaniser des zones vertes de plus inondables.BIentot des immeubles de Nantes à Thouaré,ce n'est pas super et c'est pourquoi [...]
Arrétons d'urbaniser des zones vertes de plus inondables.BIentot des immeubles de Nantes à Thouaré,ce n'est pas super et c'est pourquoi je m'oppose à vos projets.

Contribution n°107 (Web)

Anonyme
Déposée le 18 novembre 2025 à 17h25
Après examen du dossier, je ne trouve pas de réponse aux problématiques liées aux transports, en particulier à la circulation lors [...]
Après examen du dossier, je ne trouve pas de réponse aux problématiques liées aux transports, en particulier à la circulation lors des heures de pointes vers Nantes le matin et depuis Nantes le soir.
Les axes actuels de circulation sont déjà complètement saturés et aucune solution n'est apportée au projet pour améliorer cet situation et absorber les usagers supplémentaires liés au projet de la ZAC.
Dans les réponses apportées, on nous promet : "Néanmoins, on peut considérer qu'un afflux trop important de trafic sur le carrefour rue du Jaunais X Rte de Paris entrainera une désaffection pour cet itinéraire et participera à limiter l'aubaine que présente cet itinéraire actuellement" (sic). En d'autres termes, il y aura bien une augmentation du trafic, rien ne sera fait, mais les usagers s'habitueront petit à petit à trouver l'itinéraire le moins pire...
Qu'en est t'il de vrais projets pour fluidifier les déplacements vers / depuis la métropole et absorber la hausse constante du trafic ?
Que sont devenus les projets de liaison vers Sainte Luce depuis la route de la Barre (au niveau du Centre Technique Municipal) et de sécurisation du carrefour Rue Jaunais / Route de Paris ?
Le projet privilégie les transports doux, certes nécessaires, mais ne constituant pas une réalité pour le quotidien des Thouaréens (pour exemple, rejoindre le C7 par voie piétonne depuis Jaunais nécessite plus de 20 minutes...)

Contribution n°106 (Web)

Anonyme
Déposée le 18 novembre 2025 à 00h36
La personne qui a laissé un avis précédemment soulève un point important. Les terrains constructibles !

En France, un particulier [...]
La personne qui a laissé un avis précédemment soulève un point important. Les terrains constructibles !

En France, un particulier ne peut pas construire sur un terrain classé en zone agricole, naturelle, humide ou inondable.
En revanche, une collectivité publique peut exceptionnellement le faire, mais uniquement lorsqu’un projet répond clairement à l’intérêt général, démontré, documenté et proportionné.

Cette prérogative est strictement encadrée par le Code de l’Urbanisme, le Code de l’Environnement, la loi Climat & Résilience (Zéro Artificialisation Nette) et la jurisprudence du Conseil d’État.
Si l’intérêt général est insuffisamment établi, incohérent, ou contestable, la dérogation devient illégale.

Dans le cas présent, plusieurs éléments du dossier interrogent directement la réalité de cet intérêt général :
1. Des avis environnementaux problématiques
• Le CSRPN souligne des impacts majeurs sur la biodiversité.
• L’ARS émet des réserves substantielles.
• La MRAe n’a pas rendu d’avis complet faute de temps, ce qui fragilise la solidité juridique de l’étude d’impact.
2. Une urbanisation sur zones humides et à risques
Plusieurs parcelles sont reconnues comme zones humides ou zones exposées aux inondations, ce qui devrait normalement empêcher l’urbanisation lourde.
3. Des infrastructures déjà saturées
• Ponts et axes routiers saturés quotidiennement, notamment aux heures de pointe.
• Parking de la gare, lignes SNCF et bus insuffisants.
• Crèches, écoles et périscolaire déjà en tension.
• Réseaux d’eau et d’assainissement non dimensionnés.
4. Incohérence avec la loi ZAN
Cette loi impose de limiter l’artificialisation, surtout lorsque des alternatives existent en zone déjà urbanisée. Ici, l’urbanisation porte sur des espaces naturels ou agricoles, ce qui va clairement à l’encontre de l’esprit du texte.
5. Une atteinte disproportionnée au cadre de vie
Pollution, trafic, bruit, disparition d’espaces naturels, destruction de corridors écologiques : les impacts négatifs sont importants et insuffisamment justifiés.

Dans ces conditions, il paraît difficile de considérer que ce projet répond réellement à l’intérêt général tel que la loi l’exige.

Dès lors, permettre à Nantes Métropole de rendre constructibles des terrains où un particulier n’aurait légalement pas le droit de construire pose un problème majeur de rupture d’égalité devant les règles d’urbanisme.

Si l’intérêt général n’est pas clairement démontré, la dérogation devient injustifiée.
La puissance publique ne peut pas, en toute légalité, appliquer aux citoyens des contraintes qu’elle s’autorise ensuite à contourner.

Au vu de ces éléments, je demande que l’autorisation environnementale soit refusée dans l’état actuel du dossier.

Contribution n°105 (Web)

Anonyme
Déposée le 17 novembre 2025 à 19h41
Le site en zone verte n'est pas approprié pour plus de 300 logements,zone inondable,routes déjà saturées.
Je ne suis pas d'accord [...]
Le site en zone verte n'est pas approprié pour plus de 300 logements,zone inondable,routes déjà saturées.
Je ne suis pas d'accord avec ce projet sur des terrains non constructibles pour le particulier et constructibles pour Nantes Metropole.Pourquoi???????????

Contribution n°104 (Web)

Anonyme
Déposée le 17 novembre 2025 à 15h42
Petit rappel !!!
Article Ouest france du 04/10/2021
Thouaré-sur-Loire. Des inondations après des pluies diluviennes
​Trente sapeurs-pompiers, [...]
Petit rappel !!!
Article Ouest france du 04/10/2021
Thouaré-sur-Loire. Des inondations après des pluies diluviennes
​Trente sapeurs-pompiers, dont des plongeurs du Centre nautique départemental de Nantes-Gouzé, sont intervenus dans la rue du Saule-Blanc, durant plusieurs heures.

Les pompiers plongeurs de la caserne de Nantes-Gouzé ont notamment assuré des reconnaissances pour être sûrs qu’aucune personne n’était restée dans le garage souterrain de l’immeuble, dans la nuit de samedi à dimanche, à Thouaré-sur-Loire.

À Thouaré-sur-Loire, l’écoquartier, dense en habitations, est traversé par le cours d’eau du Pré-Poulain et jouxte la voie ferrée, avec, de l’autre côté, la Loire, à quelques centaines de mètres de là. Au pied des bâtiments A et B des Terrasses du Saule-Blanc, dans la rue du même nom, des espaces de verdure arborés font d’ordinaire le bonheur des riverains, des promeneurs, des chiens aussi, au vu des crottes laissées au sol.

Entre samedi et dimanche, dans la commune de 9 500 habitants, au nord-est de Nantes, le calme des lieux a été bouleversé par les intempéries ayant traversé l’ensemble du département de Loire-Atlantique. Au fil des heures de pluie abondante, l’eau du ruisseau Pré-Poulain est sortie de son lit. Peu à peu, massivement. Jusqu’à créer une vaste mare au pied des immeubles.

« Deux mètres en quatre heures… »
Dans un sous-sol de 300m2, qui abrite le parking, l’eau s’est immiscée partout. Quasiment jusqu’au plafond, à environ 2,50 mètres de hauteur. Quelques appartements du rez-de-chaussée aussi ont fait les frais de cette invitée inopportune…

À Thouaré, ce week-end, l’alerte vigilance rouge de Météo France a pris tout son sens. D’autant plus que les locataires et les propriétaires auraient déjà connu des inondations de leur lieu de vie, en 2015, selon l’un d’eux. Au rez-de-chaussée du bâtiment A qui compte vingt appartements, un jeune homme raconte : « C’est un voisin, à 4 h, qui m’a réveillé. Il partait au travail, il a fait le tour des logements pour alerter tout le monde. »

Ce dernier, voyant poindre de potentiels gros dégâts et l’immersion des véhicules stationnés, est allé sonner ici et là, pour prévenir de la montée des eaux rapide. « Deux mètres en quatre heures… », ajoute le Thouaréen, tout en montrant sur son smartphone la photo des restes d’une canalisation d’eaux pluviales. Sous la pression, celle-ci a cédé dans la nuit, au sous-sol, occasionnant ce déferlement soudain, à l’intérieur comme à l’extérieur. 

Dans le couloir, un autre locataire poursuit le récit de cette nuit très agitée : « Moi, je rentrais d’une soirée, j’ai réveillé tous ceux que je pouvais. Tout le monde a sorti les voitures et les motos du garage souterrain. Il a fallu qu’on en pousse certaines, dont le moteur avait déjà été noyé. » Le véhicule Clio d’une occupante, absente, n’a, lui, pas pu être extrait.
« Un véritable goulot d’étranglement »
Parmi les trente pompiers venus à bord de neuf véhicules des centres de secours de la caserne Nantes-Gouzé, de Carquefou, Rezé et Couëron, les plongeurs du Centre nautique départemental ont pris le temps de mener des reconnaissances, dites de routine, « afin de s’assurer qu’aucune personne n’était restée à l’intérieur », a précisé, sur place, le commandant des opérations de secours, Christophe Leray, venu de Carquefou. Histoire de lever tout doute, il indique qu’il n’y avait pas lieu d’« inquiétude particulière : aucune victime à déplorer, aucun risque d’effondrement ».

En revanche, les conséquences matérielles et les dégâts occasionnés devraient occuper quelques experts et autres assureurs. Des questions demeurent également : comment se fait-il que deux des quatre bancs publics en grande partie en bois, visiblement pas fixés au sol, soient allés boucher la grille où l’eau aurait normalement dû s’écouler ? Au lieu de cela, observe un technicien de Nantes métropole, ça a créé « un véritable goulot d’étrangement ». Et mobilisé des dizaines de pompiers qui ont dû engager des « moyens lourds » pour pomper toute cette eau.

Contribution n°103 (Web)

Anonyme
Déposée le 15 novembre 2025 à 16h09
400 logements supplémentaires pour une ville ou le collège est déjà trop petit, des installations sportives insuffisantes, et des [...]
400 logements supplémentaires pour une ville ou le collège est déjà trop petit, des installations sportives insuffisantes, et des infrastructures routières non adaptées, saturées, des axes de délestage ont été fermées pour les cyclistes du dimanche. En sachant que cela va augmenter le nombre de véhicule suivant la moyenne nationale de 1,30 soit 520 véhicules de plus.
La rue du Jaunais qui sert de délestage à la M37 est déjà saturée, bien des fois ça bouchonne le matin pour prendre la M723 sur 400m. Le plan de circulation de Thouare sur loire est complétement à revoir. L accès aux commerces et au centre ville est de plus en plus difficile.
400 logements en barre d immeuble avec 3 voir 4 et peut être 5 étages pour être rentable d’après la LOD. Thouaré va devenir ville dortoir avec des quartiers cités et on en connait la problématique sécuritaire et socialement difficile. S'agrandir certes mais en pavillonnaire pour le bien vivre.
Regarder toutes les infrastructures, voies, fibre, électricité, transport en commun (les lotissements de la garenne n'en n ont pas) la fibre il a fallu des années et se battre pour l'avoir.
Quand à l'écologie, chère à Mme la maire, on abat tout, on assèche les zones humides? Les écureuils et autres animaux qui passent de terrains en terrains, fini?
Alors NON , revoyez votre copie et soyez sérieux.

Contribution n°102 (Web)

Anonyme
Déposée le 15 novembre 2025 à 13h29
LA ZAC DES DEUX RUISSEAUX PREND L’EAU.

Contribution n°101 (Web)

Anonyme
Déposée le 15 novembre 2025 à 00h07
Lors de la réunion publique du 5 mars 2025, Mme la Maire a présenté publiquement le chiffre de 140 logements maximum pour la ZAC des [...]
Lors de la réunion publique du 5 mars 2025, Mme la Maire a présenté publiquement le chiffre de 140 logements maximum pour la ZAC des Deux-Ruisseaux.
Cette affirmation a été faite oralement, en réunion, devant les habitants, sous forme d’engagement politique clair.

Pourtant, dès cette même réunion, un point a interpellé plusieurs citoyens :
la mention « nombre indicatif» affichée sur son propre support de présentation.
À la question : « Pourquoi *indicatif* et non *maximum* ? », aucune explication n’a été donnée.

Quelques mois plus tard, dans la presse locale (Ouest-France, 11 juin 2025), Mme la Maire déclarait être :

- « opposée aux constructions nouvelles »,
- « attachée aux formes individualisées »,
- « consciente des impacts sur le bien-être et la santé mentale ».

Ces propos ont été reçus comme le signe d’une volonté de modération et de cohérence écologique.

Pourtant, le dossier d’étude du projet, mis à disposition dans la concertation (volume B), affiche désormais un projet de 330 logements, soit plus du double du chiffre présenté en mars.

Il ne s’agit pas d’une simple révision technique :
- L’étude présentée le 5 mars mentionnait déjà un potentiel allant jusqu’à 450 logements (présenté en réunion dans les phases amont du PLUm).
- La municipalité ne pouvait pas ignorer ces données.
- La communication initiale de 140 logements apparaît donc comme inexacte, minimisée, ou à tout le moins très éloignée du projet réellement envisagé.

Pour les habitants, cela pose un problème majeur de confiance :
- Comment faire confiance à un processus de concertation fondé sur des chiffres qui doublent entre deux étapes ?
- Comment accepter un projet de cette ampleur quand les engagements publics ne sont pas respectés ?
- Comment croire à la sincérité des démarches participatives si les données fondamentales ne sont pas stables ni transparentes ?

Une concertation n’a de valeur que si la parole donnée est tenue.
Les habitants demandent simplement que la municipalité respecte ses engagements publics, ou, à défaut, explique clairement pourquoi elle y renonce alors qu'elle sait très bien que ce projet de ZAC est néfaste pour l'écologie de notre ville et pour notre qualité de vie.

Contribution n°100 (Web)

Par Association A.D.I.P.P.
Déposée le 14 novembre 2025 à 21h13
L’A.D.I.P.P., association déclarée le 30 mars 2005 sous le numéro 0442030526, a pour but de défendre, depuis plus de 20 ans, les intérêts [...]
L’A.D.I.P.P., association déclarée le 30 mars 2005 sous le numéro 0442030526, a pour but de défendre, depuis plus de 20 ans, les intérêts des particuliers et professionnels du secteur Nord-Ouest de Thouaré sur Loire.

Après consultation des différentes pièces du dossier :

- Il apparait que l’opportunité de développer des services et d’améliorer les déplacements, dans le cadre de cette vaste opération d’aménagement, a été complètement ignorée.
- Bien au contraire, la densification de l’habitat et les choix opérés ne peuvent que dégrader la qualité de vie et le quotidien de ses habitants et salariés/artisans. Ceci au détriment de l’attractivité de ce secteur, pour y résider ou développer une activité économique.

En conséquence, l’association A.D.I.P.P. formule un AVIS DEFAVORABLE sur le projet soumis à enquête.

Contribution n°99 (Web)

Anonyme
Déposée le 14 novembre 2025 à 18h00
Je suis contre la zac des 2 ruisseaux qui va encore vandaliser notre campagne restante en ayant en plus une route déjà pas adaptée [...]
Je suis contre la zac des 2 ruisseaux qui va encore vandaliser notre campagne restante en ayant en plus une route déjà pas adaptée a la circulation actuelle.

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