Contribution n°41 (Web)
Déposée le 28 octobre 2025 à 09h48
Vous prévoyez des bâtiments, mais serait-il possible de prévoir aussi des zones de "petits commerces de proximité" par exemple au rez-de-chaussé des immeubles ?
Thouaré aurait grand besoin d'autres lieu comme boulangerie, épicerie, même d'autres maisons médicales ou des pharmacies pour pouvoirs répondre aux besoins des habitants insuffisant à l'heure actuel et qui sera encore plus grand demain avec les constructions de la zone.
Qu'en pensez-vous ?
Contribution n°40 (Web)
Déposée le 28 octobre 2025 à 09h45
La route de la rue du Jaunais est déjà aujourd'hui trop étroite pour le croisement de certains véhicule, sans oublier les difficultés liées aux passage des bus et des éboueurs.
Vous prévoyez aujourd'hui de la modifier en ajoutant un trottoir et utilisant les marquages de chaussidou.
Vous savez aussi que que tout conducteur et utilisateur de cycle, que les chaussidoux n'ont pas la même efficacité que des voies réservées aux vélos : pourquoi alors ne pas utiliser la place du fossé pour créer une vrai piste cyclable ? Nous vous rappelons qu'il y a régulièrement des voitures accidentées qui finissent dans ces fossés.
Lors de la création du trottoir (qui reste une très bonne chose), avez-vous prévu l’enterrement des lignes électriques et téléphoniques, ainsi que la mise en place d'un éclairage public ?
Enfin, une dernière question sur les routes ; il avait été prévu il y a quelques temps entre Thouaré et Sainte Luce la réalisation d'une route de liaison des deux communes pour libérer la circulation. La route du côté de Sainte Luce est prête, mais Thouaré n'a jamais effectué les travaux de liaison. Ne serait-il pas judicieux de profiter de l'aménagement de cette zone pour réaliser la jonction, libérant ainsi la sortie de Cupa Stone ?
Nous attendons vos réponses et solutions à ces problématiques au plus tôt.
Contribution n°39 (Web)
Déposée le 28 octobre 2025 à 09h31
Actuellement dans la zone de la rue du Jaunais, il n'y a que des maisons d'un seul étage (R+1).
Dans votre proposition, vous souhaiter garder le côté champêtre et la qualité de vie de cette zone. Ors vous avez prévu des bâtiments de deux étage (R+2) augmentant considérablement la hauteur et dénaturant indéniablement l'ambiance existante.
Ne pourriez-vous pas concevoir des bâtiments un peu moins haut pour conserver cette qualité ?
Merci d'avance pour votre réponse.
Contribution n°38 (Web)
Déposée le 28 octobre 2025 à 09h26
Nous sommes dans un groupe de maisons individuelles existant sur la rue du Jaunais.
Lors de la construction, il nous a été imposé l'installation de micro-station pour le traitement des eaux usées.
Lors de l'aménagement de cette zone par vos soins, nous supposons que vous allez prévoir le raccordement des nouveaux logements au réseau des eaux usées.
Etant situé en plein milieu de cette aménagement, allons-nous pouvoir bénéficier de ce raccordement ? Ou serons-nous encore isolés de ce dispositif ?
Merci d'avance pour votre réponse.
Contribution n°37 (Web)
Déposée le 25 octobre 2025 à 11h30
Là où les eaux s’écoulaient naturellement, maintenant le moindre épisode pluvieux, génère l’inondation de notre jardin.
Je répète : il s’agit de seulement 5 maisons, et de pluies tout à fait modérées.
Qu’en sera-t-il avec la construction de 300 logements, lors d’épisodes pluvieux intenses ?
On sait pertinemment que ce genre de phénomène va hélas se développer à cause du changement climatique.
Contribution n°36 (Web)
Déposée le 23 octobre 2025 à 10h36
Cette disposition relève soit de la béatitude soit de l’ignorance totale de réalités existantes.
Le plateau ralentisseur installé en haut de l’avenue du vallon ne sert strictement à rien. Pire il est même contreproductif, certains automobilistes au tempérament joueur s’en servent comme tremplin pour faire décoller leur voiture…
Contribution n°35 (Web)
Déposée le 23 octobre 2025 à 10h28
Doit-ton comprendre que 700 véhicules supplémentaires sur cette voirie n’auront d’incidence qu’à l’aplomb des nouveaux bâtiments ? ou doit on comprendre que les nouveaux arrivés se cantonneront à circuler uniquement à l’aplomb des nouvelles constructions ?
Comment peut on appréhender un projet aussi impactant avec autant de légèreté ?
Comment imaginer ne pas commencer par le début en réfléchissants d’abord aux voies structurantes, plutôt que de réaliser des bricolages infames avec l’existant.
Il est vrai qu’en Absurdistant, tous les coups sont permis, vu que les auteurs de ces décisions ubuesques ne seront jamais inquiétés au sujet de leurs responsabilités dans un tel désastre.
Contribution n°34 (Web)
Déposée le 22 octobre 2025 à 21h58
J’ai 3 questions en lien avec le projet et plus particulièrement l’impact sur la rue de Beaulieu.
- le projet prévoit un aménagement de la rue de Beaulieu en chaussée « chaucidou ». Confirmez-vous que cette chaussée restera à double sens ?
Pour la sécurité de nos enfants, une voie piéton avec trottoir / voie cyclable / voie voiture serait plus adaptée, surtout que la création de ces 300 logements devrait s’accompagner d’un trafic routier plus dense. C’est une rue très empruntée par les adolescents car se situe aux abords du Collège.
- Est-ce que le réaménagement de la rue de Beaulieu prévoit également l’enfouissement des câbles électriques ? Ce serait une bonne chose.
- Est-ce que ce projet s’accompagne de nouveaux modes de transport en commun? Et en particulier le transport ferroviaire (des trains TER avec une plus grande capacité de voyageurs et/ou plus de passages aux heures de pointe ?
Merci de vos réponses et de vos actions.
Contribution n°33 (Web)
Déposée le 20 octobre 2025 à 18h09
Habitant de Thouaré-sur-Loire, je souhaite exprimer mon opposition au projet d’aménagement des tranches 3 à 8 de la ZAC des Deux Ruisseaux, tel que présenté par la municipalité et l’aménageur Loire Océan Développement (LOD).
En l’état, ce projet soulève d’importantes incohérences urbanistiques, environnementales et sociales, qui compromettent la qualité de vie des habitants actuels et futurs.
1. Une densification urbaine démesurée et incohérente avec le tissu local
Les tranches 3 à 8 concernent notamment les secteurs du Jaunais et des Ruisseaux.
Le programme prévoit environ 330 logements, soit une densité moyenne supérieure à celle du bâti environnant.
Cela représente près de 1 000 habitants supplémentaires, après les 117 logements de la tranche 1 et les 282 logements de la tranche 2 déjà réalisés.
Autrement dit, la ZAC passera à près de 700 logements au total, pour 2 200 à 2 400 habitants nouveaux dans un seul quartier.
Ce rythme de densification est totalement disproportionné au regard des capacités d’accueil du secteur nord-ouest de Thouaré. Il dénature un quartier jusqu’ici pavillonnaire, calme et semi-rural, en imposant des bâtiments collectifs R+2/R+3 sans transition avec les habitations existantes.
Le principe “d’îlots résidentiels” vanté par la ville masque en réalité une urbanisation compacte, où les parkings et voies de desserte domineront le paysage.
2. Des accès routiers et réseaux sous-dimensionnés
Les nouvelles dessertes sont prévues depuis la rue du Jaunais, la rue des Étangs et la rue de Beaulieu.
Or, ces axes sont déjà étroits, mal éclairés, sans trottoirs continus et soumis à une circulation dense et rapide (jusqu’à 8 500 véhicules/jour sur la rue des Étangs, selon l’étude municipale).
Le projet prévoit une sortie directe des véhicules sur cette voie, à proximité immédiate d’un virage dangereux et sans giratoire prévu.
Aucune étude de sécurité sérieuse n’a été produite à ce jour.
Le trafic supplémentaire, estimé par l’aménageur à 600 à 700 véhicules/jour, est en ce sens notoirement sous-évalué (quid des livraisons ? professionnels de santé ?, visiteurs ?).
En considérant 2 véhicules par logement et les déplacements des artisans, livreurs, professionnels de santé et visiteurs, le flux réel pourrait plutôt atteindre 1 000 à 1 200 véhicules/jour supplémentaires.
Les conséquences seront immédiates :
• saturation des carrefours de la rue du Jaunais et de l’avenue de la Garenne,
• risque accru d’accidents (ex. sorties sur la rue du Jaunais),
• pollution atmosphérique et sonore,
• et stationnements anarchiques sur les voies adjacentes (rue de la Matière, rue des Acacias, etc.).
Aucune amélioration du réseau d’eau, d’assainissement ou de fibre n’est documentée dans les documents présentés. Ces réseaux, déjà fragiles dans les tranches précédentes, risquent d’être rapidement dépassés.
3. Une absence totale de desserte en transports publics
Le dossier mentionne que les bus ne peuvent pas desservir la rue du Jaunais, faute de boucle de retournement.
Pourtant :
• un rond-point est prévu à l’entrée de l’îlot avenue de la Garenne,
• la rue des Étangs est suffisamment large pour envisager une boucle,
• et aucune étude technique de faisabilité n’est fournie.
Cette non-desserte condamne tout le quartier à la dépendance automobile, en contradiction flagrante avec le plan vélo opéré depuis 2020, le PLUm et les objectifs de la Métropole en matière de mobilités durables.
Il est inacceptable d’ajouter 1 000 habitants sans prévoir la moindre station de bus, voie cyclable sécurisée ou liaison douce vers la gare.
4. Un zonage trompeur et une écologie de façade
La municipalité vante la création d’un “grand parc de 17 hectares” préservant les zones humides et les haies bocagères.
Mais cette zone centrale (ex. des parcelles AD 17 et AD 18) ne constitue pas une véritable protection écologique :
• elle est déjà encerclée par les futures tranches urbanisées,
• les haies existantes seront en grande partie arrachées puis “replantées” artificiellement,
• et les “espaces verts” entre les îlots ne seront que des bandes résiduelles de gazon entre des parkings et des routes.
En pratique, on artificialise près de 70 % de la surface brute du projet, ce qui contredit totalement l’affirmation selon laquelle “les espaces naturels sont isolés de l’occupation urbaine”.
Les zones humides partiellement conservées ne suffisent pas à maintenir les continuités écologiques : la faune n’a pas besoin d’un “parc décoratif”, mais de corridors fonctionnels non urbanisés.
5. Une nuisance directe pour les riverains établis
Les habitants des rues du Jaunais, des Étangs et de Beaulieu verront :
• une perte de lumière et d’intimité avec l’implantation d’immeubles R+2/R+3,
• des nuisances sonores accrues (circulation, livraisons, chantiers),
• une insécurité routière renforcée, notamment pour les enfants,
• et une baisse de la valeur de leur bien immobilier.
Il est paradoxal de parler de “cadre de vie agréable” quand les infrastructures actuelles (écoles, voiries, parkings, services médicaux) sont déjà à saturation.
Demandes et propositions
1. Gel immédiat du programme de construction tant qu’une étude de circulation complète et indépendante n’a pas été réalisée.
2. Révision à la baisse de la densité : limiter les bâtiments collectifs, privilégier des typologies mixtes et cohérentes avec le bâti environnant.
3. Création de trottoirs continus, éclairés et sécurisés rue du Jaunais et rue des Étangs, avant tout début de chantier.
4. Mise en place d’une boucle de desserte bus (L87 renforcée) et d’une station identifiable dans la rue du Jaunais.
5. Protection stricte et non constructible des parcelles à haute valeur écologique.
6. Vérification indépendante des mesures de compensation environnementale par un organisme tiers.
En conclusion, le discours officiel promet une “connexion des quartiers et un cadre de vie durable”. Mais derrière ces mots, le projet des Deux Ruisseaux n’est qu’une opération de densification administrative, motivée par les obligations de la loi SRU et la recherche de financements publics.
Pour les Thouaréens, le résultat sera tout autre : embouteillages, nuisances, perte de nature et d’identité locale.
Contribution n°32 (Web)
Déposée le 17 octobre 2025 à 11h08
Le projet indique que les postes électriques seront enfouis au début de l’année 2026. Or, selon un technicien d’Enedis rencontré sur place, le dossier final de cette opération doit être rendu avant la fin du mois et les travaux sont bien prévus pour le tout début de 2026.
Or, dans plusieurs documents, notamment le diaporama du porteur de projet et l’étude d’impact (volet C2), il est déjà question d’un démarrage des travaux techniques début 2026, ce qui revient implicitement à anticiper une issue favorable de la procédure, alors que celle-ci n’est pas terminée. Cela donne l’impression que la phase de consultation serait une simple formalité administrative, et non un véritable moment de prise en compte des observations du public.
Cette situation interroge sur le respect de la parole citoyenne et sur la sincérité de la démarche participative ...
La mairie et le porteur de projet devraient suspendre toute planification ou communication sur un calendrier de travaux tant que le rapport du commissaire-enquêteur n’a pas été rendu et que l’autorisation environnementale n’a pas été délivrée.
Annoncer ou préparer des interventions avant la fin de la consultation revient à vider celle-ci de tout sens, et à nier la participation des habitants. Croisons les doigts pour que cette municipalité ne soit pas reconduite. A tous les niveaux, on se moque de nous.