Contribution n°65 (Web)
Par Anonyme
Déposée le 11 novembre 2025 à 19h57
Déposée le 11 novembre 2025 à 19h57
Je m’oppose à la construction des immeubles de la ZAC des Deux Ruisseaux, car ce projet menace l’équilibre environnemental du quartier et la biodiversité locale
Contribution n°64 (Web)
Anonyme
Déposée le 11 novembre 2025 à 19h31
Déposée le 11 novembre 2025 à 19h31
Des zones humides reconnues... mais bétonnées quand même donc violation flagrante de la loi sur l'eau !
Le LOD le reconnaît noir sur blanc dans ses réponses aux observations du public : plusieurs parcelles qu'il a achetées (notamment AE64 et AE65) sont situées en grande partie en zone humide.
Et malgré ça, le projet prévoit d'y construire deux lots, en totale violation de la loi sur l'eau et les milieux aquatiques (articles L214-1 et suivants du Code de l'environnement).
Urbaniser une zone humide, même partiellement, c'est détruire la continuité écologique et piétiner ouvertement la doctrine nationale du "zéro perte nette de zones humides".
Ce choix sabote la gestion naturelle des eaux pluviales et aggrave directement le risque d'inondation, déjà dénoncé à plusieurs reprises par les habitants du secteur.
En validant ces constructions, la Métropole s'apprête à violer la loi en toute connaissance de cause et à créer un précédent catastrophique pour l'ensemble du territoire. Cette urbanisation doit être immédiatement suspendue tant qu'une évaluation hydrologique et écologique complète n'aura pas été produite et rendue publique. On ne bétonne pas impunément des zones protégées.
Le LOD le reconnaît noir sur blanc dans ses réponses aux observations du public : plusieurs parcelles qu'il a achetées (notamment AE64 et AE65) sont situées en grande partie en zone humide.
Et malgré ça, le projet prévoit d'y construire deux lots, en totale violation de la loi sur l'eau et les milieux aquatiques (articles L214-1 et suivants du Code de l'environnement).
Urbaniser une zone humide, même partiellement, c'est détruire la continuité écologique et piétiner ouvertement la doctrine nationale du "zéro perte nette de zones humides".
Ce choix sabote la gestion naturelle des eaux pluviales et aggrave directement le risque d'inondation, déjà dénoncé à plusieurs reprises par les habitants du secteur.
En validant ces constructions, la Métropole s'apprête à violer la loi en toute connaissance de cause et à créer un précédent catastrophique pour l'ensemble du territoire. Cette urbanisation doit être immédiatement suspendue tant qu'une évaluation hydrologique et écologique complète n'aura pas été produite et rendue publique. On ne bétonne pas impunément des zones protégées.
Contribution n°63 (Web)
Anonyme
Déposée le 11 novembre 2025 à 19h27
Déposée le 11 novembre 2025 à 19h27
Je souhaite exprimer mon opposition au projet de ZAC des Deux Ruisseaux tel qu’il est actuellement présenté.
Je ne suis pas contre le développement de Thouaré-sur-Loire, mais je considère que ce projet est disproportionné, mal planifié et dangereux pour l’équilibre environnemental et social de notre commune.
1. Un environnement menacé
Le secteur concerné comporte des zones humides, des haies bocagères et une biodiversité précieuse.
Le Conseil Scientifique Régional du Patrimoine Naturel (CSRPN) a d’ailleurs rendu un avis défavorable à la dérogation “espèces protégées”.
Poursuivre malgré cet avis serait contraire à l’esprit de la loi sur l’eau et à la trajectoire Zéro Artificialisation Nette (ZAN).
Avant de construire sur des espaces naturels, il faut d’abord réhabiliter les friches existantes.
2. Des infrastructures déjà saturées
Les axes routiers principaux (rue du Jaunais, rue des Étangs, route de Paris) sont déjà congestionnés.
Le projet va accentuer le trafic, sans solution crédible pour les transports en commun, les stationnements ou les pistes cyclables.
La gare de Thouaré-sur-Loire est elle-même saturée : parkings insuffisants, horaires mal adaptés, accès dangereux.
Comment accueillir des centaines de nouveaux habitants sans aggraver la situation ?
3. Des services publics sous tension
Les écoles, structures périscolaires, crèches, cabinets médicaux et commerces de proximité peinent déjà à répondre aux besoins des habitants actuels.
L’arrivée de plusieurs centaines de nouvelles familles sans renforcement préalable des infrastructures mènera à une dégradation du cadre de vie et du lien social.
4. Des nuisances sous-estimées
La phase de chantier, sur plusieurs années, générera bruits, poussières, circulation de poids lourds et vibrations.
Aucun plan concret de gestion des nuisances n’a été communiqué.
Les riverains sont directement exposés, sans garantie de compensation ni d’écoute.
5. Une concertation insuffisante
Les réunions publiques se sont limitées à des présentations descendantes, sans réelle prise en compte des remarques citoyennes.
Cette absence de dialogue va à l’encontre de l’article L.103-2 du Code de l’urbanisme, qui impose une concertation effective et transparente.
En conclusion
Je demande :
• la suspension du projet,
• une réévaluation environnementale et urbaine complète,
• et une véritable concertation avec les habitants avant toute décision définitive.
Ce projet, dans sa forme actuelle, ne répond pas aux besoins réels de Thouaré-sur-Loire et compromet l’avenir environnemental, social et humain de notre commune.
Je ne suis pas contre le développement de Thouaré-sur-Loire, mais je considère que ce projet est disproportionné, mal planifié et dangereux pour l’équilibre environnemental et social de notre commune.
1. Un environnement menacé
Le secteur concerné comporte des zones humides, des haies bocagères et une biodiversité précieuse.
Le Conseil Scientifique Régional du Patrimoine Naturel (CSRPN) a d’ailleurs rendu un avis défavorable à la dérogation “espèces protégées”.
Poursuivre malgré cet avis serait contraire à l’esprit de la loi sur l’eau et à la trajectoire Zéro Artificialisation Nette (ZAN).
Avant de construire sur des espaces naturels, il faut d’abord réhabiliter les friches existantes.
2. Des infrastructures déjà saturées
Les axes routiers principaux (rue du Jaunais, rue des Étangs, route de Paris) sont déjà congestionnés.
Le projet va accentuer le trafic, sans solution crédible pour les transports en commun, les stationnements ou les pistes cyclables.
La gare de Thouaré-sur-Loire est elle-même saturée : parkings insuffisants, horaires mal adaptés, accès dangereux.
Comment accueillir des centaines de nouveaux habitants sans aggraver la situation ?
3. Des services publics sous tension
Les écoles, structures périscolaires, crèches, cabinets médicaux et commerces de proximité peinent déjà à répondre aux besoins des habitants actuels.
L’arrivée de plusieurs centaines de nouvelles familles sans renforcement préalable des infrastructures mènera à une dégradation du cadre de vie et du lien social.
4. Des nuisances sous-estimées
La phase de chantier, sur plusieurs années, générera bruits, poussières, circulation de poids lourds et vibrations.
Aucun plan concret de gestion des nuisances n’a été communiqué.
Les riverains sont directement exposés, sans garantie de compensation ni d’écoute.
5. Une concertation insuffisante
Les réunions publiques se sont limitées à des présentations descendantes, sans réelle prise en compte des remarques citoyennes.
Cette absence de dialogue va à l’encontre de l’article L.103-2 du Code de l’urbanisme, qui impose une concertation effective et transparente.
En conclusion
Je demande :
• la suspension du projet,
• une réévaluation environnementale et urbaine complète,
• et une véritable concertation avec les habitants avant toute décision définitive.
Ce projet, dans sa forme actuelle, ne répond pas aux besoins réels de Thouaré-sur-Loire et compromet l’avenir environnemental, social et humain de notre commune.
Contribution n°62 (Web)
Anonyme
Déposée le 11 novembre 2025 à 19h24
Déposée le 11 novembre 2025 à 19h24
Ce dossier affiche une série de contradictions graves avec les avis rendus par des instances publiques indépendantes :
Le Conseil Scientifique Régional du Patrimoine Naturel (CSRPN) a émis un avis défavorable au titre de la dérogation « espèces protégées », soulignant l’absence d’évaluation quantitative des impacts, des compensations insuffisantes et la perte nette de biodiversité.
De son côté, l’Agence Régionale de Santé (ARS) a relevé des risques sanitaires et environnementaux majeurs : nuisances sonores, pollution de l’air, proximité d’axes routiers bruyants, et exposition potentielle au radon.
Malgré ces alertes, le LOD continue d’affirmer que le projet est “respectueux de la faune et de la flore” et qu’il “préserve les zones sensibles”, sans présenter de contre-étude indépendante. Et si la mairie prenait le bien de cette ville au sérieux, elle aurait exigé une telle étude.
Une telle dissonance entre les constats scientifiques et les déclarations du porteur de projet et de la mairie est inacceptable dans une procédure d’évaluation environnementale.
Le préfet doit exiger une réévaluation complète du dossier, menée par un organisme indépendant, avant toute décision d’autorisation.
Le Conseil Scientifique Régional du Patrimoine Naturel (CSRPN) a émis un avis défavorable au titre de la dérogation « espèces protégées », soulignant l’absence d’évaluation quantitative des impacts, des compensations insuffisantes et la perte nette de biodiversité.
De son côté, l’Agence Régionale de Santé (ARS) a relevé des risques sanitaires et environnementaux majeurs : nuisances sonores, pollution de l’air, proximité d’axes routiers bruyants, et exposition potentielle au radon.
Malgré ces alertes, le LOD continue d’affirmer que le projet est “respectueux de la faune et de la flore” et qu’il “préserve les zones sensibles”, sans présenter de contre-étude indépendante. Et si la mairie prenait le bien de cette ville au sérieux, elle aurait exigé une telle étude.
Une telle dissonance entre les constats scientifiques et les déclarations du porteur de projet et de la mairie est inacceptable dans une procédure d’évaluation environnementale.
Le préfet doit exiger une réévaluation complète du dossier, menée par un organisme indépendant, avant toute décision d’autorisation.
Contribution n°61 (Web)
Par LE GORGEU PATRICK
Déposée le 11 novembre 2025 à 19h00
Déposée le 11 novembre 2025 à 19h00
je m'oppose au projet de la ZAC des deux ruisseaux déjà bien ficelé.Plusieurs raisons faire des immeubles dans des zones vertes,inondables avec une circulation saturée.Pour ma part il serait plutot urgent d' aménager le confort de la population existante.Aménager donc notre tristounet centre bourg,il y a un projet et mettez donc les immeubles en ville plutot que dans une zne verte et résidentielle.Cordialement
Contribution n°60 (Web)
Anonyme
Déposée le 11 novembre 2025 à 18h40
Déposée le 11 novembre 2025 à 18h40
On nous dit que ce projet va permettre à notre ville d'être encore plus dynamique. Pardon mais ... On est pas une ville dynamique ! On a 4-5 vrais restos où tu peux t'asseoir, 4-5 snacks/fast-foods, un PMU et C'est tout. Honnêtement, avec l'offre actuelle, on s'ennuie déjà pas mal. Quand on veut sortir entre potes ou juste manger un truc sympa, on file direct sur Nantes ou les communes voisines genre Sainte-Luce. C'est devenu un automatisme. Du coup, quand on nous dit qu'on va faire venir plusieurs centaines de personnes en plus sans rien prévoir niveau commerces, restos ou animations... je vois pas comment ça peut marcher. Votre offre dynamique c'est de trainer dans les rues et de soutenir les murs ? Les jeunes, quand ça n'ennuies, ça fait n'importe quoi. Vous voulez vraiment avoir des zonards ?
Sans une vraie stratégie pour développer l'économie locale, genre plus de restos, des commerces de proximité qui tiennent la route, des services concrets, ce projet de ZAC va juste transformer Thouaré en gigantesque ronfloir (c'est pire qu'un dortoir). Les gens vont rentrer le soir pour dormir, mais pour tout le reste (bosser, sortir, se restaurer), ils iront ailleurs.
Ce qu'on demande, c'est pas la lune : juste qu'une vraie étude socio-économique soit faite et qu'un plan concret d'accompagnement commercial soit présenté avant de valider quoi que ce soit. Parce que là, franchement, ça ressemble plus à de l'improvisation qu'à un vrai projet réfléchi.
Sans une vraie stratégie pour développer l'économie locale, genre plus de restos, des commerces de proximité qui tiennent la route, des services concrets, ce projet de ZAC va juste transformer Thouaré en gigantesque ronfloir (c'est pire qu'un dortoir). Les gens vont rentrer le soir pour dormir, mais pour tout le reste (bosser, sortir, se restaurer), ils iront ailleurs.
Ce qu'on demande, c'est pas la lune : juste qu'une vraie étude socio-économique soit faite et qu'un plan concret d'accompagnement commercial soit présenté avant de valider quoi que ce soit. Parce que là, franchement, ça ressemble plus à de l'improvisation qu'à un vrai projet réfléchi.
Contribution n°59 (Web)
Par Mme Durrieux
Déposée le 11 novembre 2025 à 17h44
Déposée le 11 novembre 2025 à 17h44
Madame, Monsieur,
Notre service petite enfance est déjà un système à bout de souffle !
Le projet que vous voulez imposer, c'est surtout des logements pour familles. Le problème ? Avant même de parler de ces futurs habitants, Thouaré affiche déjà complet sur tout ce qui concerne la petite enfance. On compte 196 assistantes maternelles agréées dans la commune. Sur le papier, ça a l'air correct. Dans les faits ? Elles sont quasi toutes complètes depuis des mois. Ramené à une population qui devra grossir vite, ce chiffre devient ridicule : faire venir des familles sans prévoir où elles pourront faire garder leurs enfants, c'est préparer une crise sociale annoncée.
Vendre du logement familial sans solutions de garde, c'est une erreur de base. Les nouveaux arrivants devront chercher une nounou, une crèche ou un mode d'accueil dans les communes d'à côté. En clair : on fait venir des familles à Thouaré, mais pour leur quotidien, elles devront se débrouiller ailleurs.
Le tableau est encore plus inquiétant quand on regarde de plus près : la commune n'a qu'une seule crèche municipale et les places sont ultra-limitées, les refus s'enchaînent. Côté centre de loisirs, pareil : des enfants sont déjà refusés par manque de place. Aujourd'hui, la commune n'arrive même plus à garantir l'accès à ses propres services pour ses habitants actuels alors pourquoi en faire venir d'autres ? Pour l'argent que va ramener les taxes foncières, entre autre ? Pour le fait qu'il faut apporter des données chiffrées à l'état dont on pourra s'enorgueillir ?
Les vraies questions, les voilà :
Qu'est-ce qui va se passer quand plusieurs centaines d'enfants en plus vont débarquer ? Sur quels critères on va décider qui a une place et qui n'en a pas ? Les familles déjà là vont-elles être mises de côté au profit des nouveaux ? On devra habiter dans une ville, travailler dans une autre et déposer ses enfants dans une troisième ville ?
On est plus dans du développement maîtrisé, on est dans la saturation pure et simple. Sans un renforcement massif et anticipé des services médicaux, scolaires et périscolaires, cette urbanisation va juste empirer ce qui coince déjà. C'est un projet très néfaste pour notre ville et par ce commentaire détaillé et précis, je souhaite montrer ma désapprobation. La mairie transforme une ville déjà embouteillée en une ville qui n'aura plus aucun charme et aucun attrait. C'est une honte.
Notre service petite enfance est déjà un système à bout de souffle !
Le projet que vous voulez imposer, c'est surtout des logements pour familles. Le problème ? Avant même de parler de ces futurs habitants, Thouaré affiche déjà complet sur tout ce qui concerne la petite enfance. On compte 196 assistantes maternelles agréées dans la commune. Sur le papier, ça a l'air correct. Dans les faits ? Elles sont quasi toutes complètes depuis des mois. Ramené à une population qui devra grossir vite, ce chiffre devient ridicule : faire venir des familles sans prévoir où elles pourront faire garder leurs enfants, c'est préparer une crise sociale annoncée.
Vendre du logement familial sans solutions de garde, c'est une erreur de base. Les nouveaux arrivants devront chercher une nounou, une crèche ou un mode d'accueil dans les communes d'à côté. En clair : on fait venir des familles à Thouaré, mais pour leur quotidien, elles devront se débrouiller ailleurs.
Le tableau est encore plus inquiétant quand on regarde de plus près : la commune n'a qu'une seule crèche municipale et les places sont ultra-limitées, les refus s'enchaînent. Côté centre de loisirs, pareil : des enfants sont déjà refusés par manque de place. Aujourd'hui, la commune n'arrive même plus à garantir l'accès à ses propres services pour ses habitants actuels alors pourquoi en faire venir d'autres ? Pour l'argent que va ramener les taxes foncières, entre autre ? Pour le fait qu'il faut apporter des données chiffrées à l'état dont on pourra s'enorgueillir ?
Les vraies questions, les voilà :
Qu'est-ce qui va se passer quand plusieurs centaines d'enfants en plus vont débarquer ? Sur quels critères on va décider qui a une place et qui n'en a pas ? Les familles déjà là vont-elles être mises de côté au profit des nouveaux ? On devra habiter dans une ville, travailler dans une autre et déposer ses enfants dans une troisième ville ?
On est plus dans du développement maîtrisé, on est dans la saturation pure et simple. Sans un renforcement massif et anticipé des services médicaux, scolaires et périscolaires, cette urbanisation va juste empirer ce qui coince déjà. C'est un projet très néfaste pour notre ville et par ce commentaire détaillé et précis, je souhaite montrer ma désapprobation. La mairie transforme une ville déjà embouteillée en une ville qui n'aura plus aucun charme et aucun attrait. C'est une honte.
Contribution n°58 (Web)
Par Germaine
Déposée le 11 novembre 2025 à 17h04
Déposée le 11 novembre 2025 à 17h04
Ce projet (parce que soyons honnêtes : quand on lit les commentaires du LOD, c'est clair que c'est déjà bouclé, y'a plus grand-chose à discuter !!!), il tient pas compte de ce qu'on a vraiment sur le terrain. Les cabinets médicaux sont déjà débordés, les écoles et les centres de loisirs tournent déjà à fond, le collège pourra jamais suivre, et pour les commerces de proximité, faut déjà se déplacer pour trouver ce qu'il nous faut.
D'après Loire Océan Développement (LOD), les écoles primaires pourraient absorber les nouveaux élèves, mais pour le collège, c'est une autre histoire : il aurait pas les capacités. Le problème, c'est que cette affirmation, elle est basée sur quoi ? Y'a pas de chiffres concrets, pas d'engagement du Conseil départemental... bref, ça reste très flou. D'ailleurs, toutes leurs réponses sont comme ça : vagues et sans vraie substance.
Sans un vrai plan d'accompagnement avec des chiffres et des engagements concrets, faire venir plusieurs centaines de nouveaux habitants, ça va juste aggraver les problèmes. On va devoir aller se faire soigner ailleurs, mettre nos gamins à l'école dans les communes voisines, faire nos courses à l'extérieur... Thouaré va devenir une ville-dortoir où il se passe plus rien. C'est ça leur vision d'une ville attractive ?? La Maire est sérieuse là ?
Ce modèle de développement complètement déconnecté du terrain, c'est tout sauf la "ville durable" qu'ils nous promettent. Et puis stop avec vos vélos partout, c'est pas une vraie solution quand une ville est débordée de voiture car vous faites venir des tonnes de gens. Ce sera juste plus dangereux pour les pauvres cyclistes. Déjà, les mettre seuls au milieu des ponts c'est grotesque, alors là ... On pourra plus ni entrer et sortir de cette ville aux heures de pointes à savoir 3 fois par jours. On aura plus de qualité de vie.
D'après Loire Océan Développement (LOD), les écoles primaires pourraient absorber les nouveaux élèves, mais pour le collège, c'est une autre histoire : il aurait pas les capacités. Le problème, c'est que cette affirmation, elle est basée sur quoi ? Y'a pas de chiffres concrets, pas d'engagement du Conseil départemental... bref, ça reste très flou. D'ailleurs, toutes leurs réponses sont comme ça : vagues et sans vraie substance.
Sans un vrai plan d'accompagnement avec des chiffres et des engagements concrets, faire venir plusieurs centaines de nouveaux habitants, ça va juste aggraver les problèmes. On va devoir aller se faire soigner ailleurs, mettre nos gamins à l'école dans les communes voisines, faire nos courses à l'extérieur... Thouaré va devenir une ville-dortoir où il se passe plus rien. C'est ça leur vision d'une ville attractive ?? La Maire est sérieuse là ?
Ce modèle de développement complètement déconnecté du terrain, c'est tout sauf la "ville durable" qu'ils nous promettent. Et puis stop avec vos vélos partout, c'est pas une vraie solution quand une ville est débordée de voiture car vous faites venir des tonnes de gens. Ce sera juste plus dangereux pour les pauvres cyclistes. Déjà, les mettre seuls au milieu des ponts c'est grotesque, alors là ... On pourra plus ni entrer et sortir de cette ville aux heures de pointes à savoir 3 fois par jours. On aura plus de qualité de vie.
Contribution n°57 (Web)
Anonyme
Déposée le 11 novembre 2025 à 11h10
Déposée le 11 novembre 2025 à 11h10
1 / 2
Je souhaite exprimer mon opposition au projet d’aménagement envisagé sur le secteur de la Zac des deux ruisseaux, et ce pour plusieurs motifs majeurs, environnementaux, urbanistiques et de sécurité, qui soulèvent de profondes inquiétudes quant à l’avenir de notre commune et à la qualité de vie de ses habitants.
1. Enjeux environnementaux et écologiques
Le projet se situe à proximité immédiate de zones humides, dont la préservation est essentielle à l’équilibre écologique local. Or, au regard des évolutions climatiques actuelles, le risque d’extension de ces zones est accru.
L’arrachage des haies et des arbres, indispensables à la régulation hydrologique et à la biodiversité, serait particulièrement néfaste. Il convient de rappeler que ces éléments naturels participent à la filtration des eaux pluviales, à la lutte contre les inondations et abritent une faune riche : écureuils, biches, renards, pics verts, grenouilles, anguilles et bien d’autres espèces aujourd’hui présentes dans notre secteur.
Nous nous interrogeons par ailleurs sur la prise en compte réelle de l’impact hydrologique dans les études préalables au projet.
2. Densification urbaine inadaptée
La densification envisagée apparaît totalement en inadéquation avec le caractère pavillonnaire actuel de la zone. Ce type d’aménagement bouleverserait profondément le tissu urbain et la cohérence architecturale du quartier.
Aucune étude concrète et transparente ne semble avoir été présentée à ce jour, ce qui rend difficile l’évaluation objective de la pertinence du projet.
3. Dégradation du cadre de vie
L’augmentation significative du nombre d’habitants entraînerait inévitablement une dégradation du cadre de vie : nuisances sonores et atmosphériques, augmentation du trafic automobile, saturation du stationnement, dégradation des routes et risques accrus d’accidents.
Actuellement déjà, la circulation dans notre rue est dense, rapide et dangereuse, en raison notamment de l’absence d’éclairage public et de trottoirs.
Ces éléments laissent craindre une aggravation notable des conditions de sécurité et de confort des riverains.
4. Infrastructures et équipements insuffisants
L’accueil de nouveaux habitants suppose un renforcement des infrastructures existantes (écoles, transports, réseaux électriques, fibre optique, assainissement, etc.).
Or, il ne semble pas que ces besoins aient été évalués ni anticipés à ce jour. La capacité actuelle des structures communales ne permet pas d’absorber une telle croissance démographique dans de bonnes conditions.
5. Avis défavorables ignorés
Enfin, il est regrettable de constater que, malgré les avis défavorables exprimés par le Conseil scientifique régional du patrimoine naturel et de nombreux habitants, le projet semble avancer sans réelle concertation ni écoute des Thouaréens.
Je souhaite exprimer mon opposition au projet d’aménagement envisagé sur le secteur de la Zac des deux ruisseaux, et ce pour plusieurs motifs majeurs, environnementaux, urbanistiques et de sécurité, qui soulèvent de profondes inquiétudes quant à l’avenir de notre commune et à la qualité de vie de ses habitants.
1. Enjeux environnementaux et écologiques
Le projet se situe à proximité immédiate de zones humides, dont la préservation est essentielle à l’équilibre écologique local. Or, au regard des évolutions climatiques actuelles, le risque d’extension de ces zones est accru.
L’arrachage des haies et des arbres, indispensables à la régulation hydrologique et à la biodiversité, serait particulièrement néfaste. Il convient de rappeler que ces éléments naturels participent à la filtration des eaux pluviales, à la lutte contre les inondations et abritent une faune riche : écureuils, biches, renards, pics verts, grenouilles, anguilles et bien d’autres espèces aujourd’hui présentes dans notre secteur.
Nous nous interrogeons par ailleurs sur la prise en compte réelle de l’impact hydrologique dans les études préalables au projet.
2. Densification urbaine inadaptée
La densification envisagée apparaît totalement en inadéquation avec le caractère pavillonnaire actuel de la zone. Ce type d’aménagement bouleverserait profondément le tissu urbain et la cohérence architecturale du quartier.
Aucune étude concrète et transparente ne semble avoir été présentée à ce jour, ce qui rend difficile l’évaluation objective de la pertinence du projet.
3. Dégradation du cadre de vie
L’augmentation significative du nombre d’habitants entraînerait inévitablement une dégradation du cadre de vie : nuisances sonores et atmosphériques, augmentation du trafic automobile, saturation du stationnement, dégradation des routes et risques accrus d’accidents.
Actuellement déjà, la circulation dans notre rue est dense, rapide et dangereuse, en raison notamment de l’absence d’éclairage public et de trottoirs.
Ces éléments laissent craindre une aggravation notable des conditions de sécurité et de confort des riverains.
4. Infrastructures et équipements insuffisants
L’accueil de nouveaux habitants suppose un renforcement des infrastructures existantes (écoles, transports, réseaux électriques, fibre optique, assainissement, etc.).
Or, il ne semble pas que ces besoins aient été évalués ni anticipés à ce jour. La capacité actuelle des structures communales ne permet pas d’absorber une telle croissance démographique dans de bonnes conditions.
5. Avis défavorables ignorés
Enfin, il est regrettable de constater que, malgré les avis défavorables exprimés par le Conseil scientifique régional du patrimoine naturel et de nombreux habitants, le projet semble avancer sans réelle concertation ni écoute des Thouaréens.
Contribution n°56 (Web)
Par JB LECHAT
Déposée le 9 novembre 2025 à 22h21
Déposée le 9 novembre 2025 à 22h21
Bonjour, je souhaite exprimer un avis réservé concernant le projet de ZAC.
Si je reconnais l’intérêt de développer de nouveaux logements et activités, plusieurs aspects du projet me semblent problématiques dans sa conception actuelle.
1. Problèmes de circulation pour accès aux différents ilôts:
Le réseau routier autour du périmètre concerné est étroit, sinueux et insuffisamment aménagé pour absorber un trafic supplémentaire.
Les rues existantes, comme les Rues du Jaunais, de Beaulieu et de la Roussellerie, ne permettent pas la circulation fluide de véhicules, notamment lors des heures de pointe ou pour les services de secours: manque de trottoirs, piste cyclable, luminaires,
Le projet risque donc d’entraîner :
une augmentation des embouteillages et du temps de parcours, des risques accrus pour la sécurité routière, et une détérioration de la qualité de vie des riverains.
Il paraît essentiel de réaliser une étude de circulation approfondie et de prévoir des aménagements routiers adaptés: trottoirs, pistes cyclables, candélabres, afin d’accéder aux différents îlots concernés.
2. Impact environnemental:
Le projet aura également un impact environnemental notable :
artificialisation des sols au détriment d’espaces naturels ou agricoles, réduction de la biodiversité locale, et augmentation des émissions de CO₂ liées à la circulation accrue.
3. Problèmes de stationnement:
Le projet ne semble pas offrir une capacité de stationnement suffisante pour les futurs habitants et visiteurs.
Dans un secteur déjà saturé, cela risque d’aggraver :
le stationnement sauvage sur les voies publiques, la gêne pour les riverains et les services (collecte des déchets, secours), et la détérioration de la sécurité et du cadre de vie.
Une revalorisation du plan de stationnement et une meilleure intégration de parkings mutualisés ou en sous-sol seraient souhaitables.
De plus j'aimerai savoir ce que va devenir l'arbre remarquable au 922 rue de Beaulieu.
En vous remerciant d'avance pour l’intérêt porté à ma contribution.
Si je reconnais l’intérêt de développer de nouveaux logements et activités, plusieurs aspects du projet me semblent problématiques dans sa conception actuelle.
1. Problèmes de circulation pour accès aux différents ilôts:
Le réseau routier autour du périmètre concerné est étroit, sinueux et insuffisamment aménagé pour absorber un trafic supplémentaire.
Les rues existantes, comme les Rues du Jaunais, de Beaulieu et de la Roussellerie, ne permettent pas la circulation fluide de véhicules, notamment lors des heures de pointe ou pour les services de secours: manque de trottoirs, piste cyclable, luminaires,
Le projet risque donc d’entraîner :
une augmentation des embouteillages et du temps de parcours, des risques accrus pour la sécurité routière, et une détérioration de la qualité de vie des riverains.
Il paraît essentiel de réaliser une étude de circulation approfondie et de prévoir des aménagements routiers adaptés: trottoirs, pistes cyclables, candélabres, afin d’accéder aux différents îlots concernés.
2. Impact environnemental:
Le projet aura également un impact environnemental notable :
artificialisation des sols au détriment d’espaces naturels ou agricoles, réduction de la biodiversité locale, et augmentation des émissions de CO₂ liées à la circulation accrue.
3. Problèmes de stationnement:
Le projet ne semble pas offrir une capacité de stationnement suffisante pour les futurs habitants et visiteurs.
Dans un secteur déjà saturé, cela risque d’aggraver :
le stationnement sauvage sur les voies publiques, la gêne pour les riverains et les services (collecte des déchets, secours), et la détérioration de la sécurité et du cadre de vie.
Une revalorisation du plan de stationnement et une meilleure intégration de parkings mutualisés ou en sous-sol seraient souhaitables.
De plus j'aimerai savoir ce que va devenir l'arbre remarquable au 922 rue de Beaulieu.
En vous remerciant d'avance pour l’intérêt porté à ma contribution.
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