Les contributions

Contribution n°56 (Web)

Par JB LECHAT
Déposée le 9 novembre 2025 à 22h21
Bonjour, je souhaite exprimer un avis réservé concernant le projet de ZAC.

Si je reconnais l’intérêt de développer de nouveaux logements [...]
Bonjour, je souhaite exprimer un avis réservé concernant le projet de ZAC.

Si je reconnais l’intérêt de développer de nouveaux logements et activités, plusieurs aspects du projet me semblent problématiques dans sa conception actuelle.

1. Problèmes de circulation pour accès aux différents ilôts:

Le réseau routier autour du périmètre concerné est étroit, sinueux et insuffisamment aménagé pour absorber un trafic supplémentaire.
Les rues existantes, comme les Rues du Jaunais, de Beaulieu et de la Roussellerie, ne permettent pas la circulation fluide de véhicules, notamment lors des heures de pointe ou pour les services de secours: manque de trottoirs, piste cyclable, luminaires,
Le projet risque donc d’entraîner :
une augmentation des embouteillages et du temps de parcours, des risques accrus pour la sécurité routière, et une détérioration de la qualité de vie des riverains.
Il paraît essentiel de réaliser une étude de circulation approfondie et de prévoir des aménagements routiers adaptés: trottoirs, pistes cyclables, candélabres, afin d’accéder aux différents îlots concernés.

2. Impact environnemental:

Le projet aura également un impact environnemental notable :
artificialisation des sols au détriment d’espaces naturels ou agricoles, réduction de la biodiversité locale, et augmentation des émissions de CO₂ liées à la circulation accrue.

3. Problèmes de stationnement:

Le projet ne semble pas offrir une capacité de stationnement suffisante pour les futurs habitants et visiteurs.
Dans un secteur déjà saturé, cela risque d’aggraver :
le stationnement sauvage sur les voies publiques, la gêne pour les riverains et les services (collecte des déchets, secours), et la détérioration de la sécurité et du cadre de vie.
Une revalorisation du plan de stationnement et une meilleure intégration de parkings mutualisés ou en sous-sol seraient souhaitables.

De plus j'aimerai savoir ce que va devenir l'arbre remarquable au 922 rue de Beaulieu.

En vous remerciant d'avance pour l’intérêt porté à ma contribution.

Document joint


Contribution n°55 (Web)

Anonyme
Déposée le 8 novembre 2025 à 15h05
Bonjour riverain la garenne

Quelles sont les projets de constructions exactes ? Quels impactes environnementaux ?
Vous allez imperméabiliser [...]
Bonjour riverain la garenne

Quelles sont les projets de constructions exactes ? Quels impactes environnementaux ?
Vous allez imperméabiliser les sols en nous disant que des bassines seront mises en place , nous souhaitons avoir des trottoirs des éclairage sur la rue du Jaunais et bus car aucun transport : zone blanche …!!
Votre contre argument est de nous dire que vous ne pouvez pas imperméabiliser le fossé ( pour élargir la chaussée et créer un trottoir sécurisé …) car il faut respecter le trajet de l’eau ….
Il y a des solution le busage par exemple

Tous les matins je dépose ma fille à l’arrêt le halleraye 2 pour se rendre au collège de Carquefou , je ne peux la laisser rejoindre à pieds cet arrêt ( sur le bord de la route ) route dangereuse sans éclairage et non sécurisée .. bref c’est désolant .

Vous allez bâtir 330 logements et du trafic supplémentaire et bien avant l’arrivée des nouveaux habitants les engins de chantier .

Je suis consciente que les projets doivent aboutir mais pas n’importe comment .

Contribution n°54 (Web)

Anonyme
Déposée le 7 novembre 2025 à 16h13
Le projet de LOD a reçu un avis défavorable par le Conseil Scientifique Régional du patrimoine Naturel et je souhaite attirer l’attention [...]
Le projet de LOD a reçu un avis défavorable par le Conseil Scientifique Régional du patrimoine Naturel et je souhaite attirer l’attention du commissaire enquêteur sur plusieurs points soulevés dans cet avis défavorable rendu le 9 octobre 2025 concernant la ZAC des Deux Ruisseaux.
Le CSRPN relève plusieurs manques importants dans le dossier présenté. Il s’interroge d’abord sur la nature exacte des prairies concernées (naturelles, fauchées ou pâturées) et estime que, si elles sont naturelles, leur destruction ne peut être justifiée sans compensation adaptée. Il souligne également l’absence d’une véritable trame verte et bleue dans la conception du projet, ce qui limite la cohérence écologique à l’échelle du territoire.

Par ailleurs, la séquence Éviter – Réduire – Compenser apparaît insuffisamment argumentée : les impacts sur les prairies et les haies ne sont ni quantifiés ni qualifiés, et les ratios de compensation proposés semblent trop faibles pour éviter une perte nette de biodiversité. Le positionnement des haies replantées, souvent le long de voiries ou de logements, ne garantit pas leur réelle fonctionnalité écologique.

Le Conseil note aussi le manque d’études spécifiques récentes sur certaines espèces protégées (reptiles, amphibiens, chiroptères) et l’absence de mesures concrètes pour limiter la pollution lumineuse induite par les nouveaux aménagements.

Enfin, le CSRPN regrette la forme du dossier, jugée peu claire : un volume de plus de 600 pages, des cartes difficilement lisibles et des plans manquant de précision rendent la compréhension du projet complexe, y compris pour le public.
Il serait souhaitable que des documents plus synthétiques et des plans plus lisibles soient mis à disposition des citoyens afin de permettre une analyse transparente et équitable.
Au vu de ces observations, il semble légitime de demander que LOD précise comment il compte répondre à ces remarques substantielles, notamment sur la qualité du dossier, la lisibilité des documents et la prise en compte des réserves écologiques exprimées par le CSRPN.

Contribution n°53 (Web)

Anonyme
Déposée le 7 novembre 2025 à 14h22
Dans la continuité de la réunion en public, qui s'est tenue au mois de septembre, et après étude approfondie des documents fourni [...]
Dans la continuité de la réunion en public, qui s'est tenue au mois de septembre, et après étude approfondie des documents fourni dans l'enquête, je me sens obligé d'attirer l'attention sur l'urbanisation massive des îlots concernés par la ZAC.

En effet, la singularité de notre commune réside dans des espaces qui doivent être préservés dans leur diversité, temps du point de vue de la faune que de la flore. L'intégralité des îlots concernés se trouvent dans des zones en secteur pavillonnaires et sont de fait des environnements agréables pour nos concitoyens.

Ce projet, bien qu'initié depuis de nombreuses années, implique nécessairement une transformation très importante du tissu qui nous entoure.
Beaucoup d'administrés ont choisi cette commune pour le cadre, le bien vivre, et la notion de ruralité aux portes de la grande ville de Nantes. Le risque majeur étant la défiguration complète de ces endroits autrefois considérés comme « la campagne » de notre commune.

Notre magazine municipal du mois de septembre 2025 titrait : "laisser sa place à la nature"

https://www.thouare.fr/app/uploads/2025/08/ECHO_THOUARE_SEPTEMBRE_2025_BD.pdf

Aussi considérer que 380 logements prévus ne vont pas dégrader les zones naturelles présentes sur la commune, occasionner des nuisances et modifier un éco-système en compensant par de simples noues végétales ne semble pas parfaitement aligné avec cette vision programmatique.

Par ailleurs, il reste, et demeure en suspend, la cruciale question de la sécurité dans cet environnement en pleine mutation. En effet, quels seront les flux dans les années à venir sur l'axe structurant qu'est la rue de Beaulieu. Comment garantir la sécurité de nos piétons quand la municipalité, ainsi que l'aménageur de La métropole, nous informent que les trottoirs vont être aménagés en façade de route des îlots concernés, sans tenir compte d'un aménagement global ^^
Ces zones, actuellement hors de l'environnement du bourg, sont délimitées par des fossés accueillant aussi des espèces autochtones. Le comblement de ces dispositifs occasionnera nécessairement un déséquilibre majeur pour la biodiversité.

En conclusion, malgré ces différentes remarques, le sentiment général, autour de ce projet, reste très mitigé et donne l'impression d'une volonté de sécuriser une opération de cette envergure avant les prochaines échéances électorales.

Thouaréens : mobilisons nos forces pour éviter que notre cadre de vie, celui de nos enfants, ou de nos parents, soit détérioré durant les 10 années à venir et que ce projet soit étudié rigoureusement afin qu'il n'entache pas nos investissements.

Contribution n°52 (Web)

Par anonyme
Déposée le 6 novembre 2025 à 20h28
Mobilité “douce” ou parcours d’obstacles ?

Les réponses du LOD au sujet de la mobilité sont déconnectées de la réalité quotidienne [...]
Mobilité “douce” ou parcours d’obstacles ?

Les réponses du LOD au sujet de la mobilité sont déconnectées de la réalité quotidienne des habitants.
Présenter le vélo comme la solution miracle à tous les problèmes de circulation relève d’une vision idéalisée, voire caricaturale, de la vie de famille et du travail.

Le “mode doux” a bon dos quand il se transforme en véritable parcours du combattant : entre les enfants, la météo, les horaires, et les contraintes professionnelles, ce n’est plus une mobilité “douce”, c’est une épreuve.
Qui, concrètement, va amener trois enfants à la crèche, à l’école ou au collège en plein hiver à vélo ?
Qui va rentrer du travail à Nantes, aller faire vacciner son enfant à 19h, puis passer au supermarché tout cela à bicyclette ?
Et en cas de maladie, un enfant avec la gastro, de la fièvre, un rendez-vous médical imprévu, on fait comment ? On pédale aussi ?

Ces réponses technocratiques montrent une méconnaissance totale du quotidien des familles et des personnes âgées.
La voiture n’est pas un caprice : c’est un outil de vie indispensable pour beaucoup, surtout dans une commune où les transports collectifs restent limités et où les trajets sont multiples et éloignés.

À force de diaboliser la voiture, on oublie que la vraie écologie, c’est aussi celle du bon sens.
Encourager le vélo, oui mais pas au détriment de la sécurité, du réalisme et du respect des modes de vie.
La mobilité doit être pensée comme un équilibre, pas comme une injonction idéologique

Contribution n°51 (Web)

Anonyme
Déposée le 6 novembre 2025 à 20h22
Les réponses du LOD au sujet de la mobilité sont déconnectées de la réalité quotidienne des habitants.
Présenter le vélo comme la [...]
Les réponses du LOD au sujet de la mobilité sont déconnectées de la réalité quotidienne des habitants.
Présenter le vélo comme la solution miracle à tous les problèmes de circulation relève d’une vision idéalisée, voire caricaturale, de la vie de famille et du travail.

Le “mode doux” a bon dos quand il se transforme en véritable parcours du combattant : entre les enfants, la météo, les horaires, et les contraintes professionnelles, ce n’est plus une mobilité “douce”, c’est une épreuve.
Qui, concrètement, va amener trois enfants à la crèche, à l’école ou au collège en plein hiver à vélo ?
Qui va rentrer du travail à Nantes, aller faire vacciner son enfant à 19h, puis passer au supermarché tout cela à bicyclette ?
Et en cas de maladie, un enfant avec la gastro, de la fièvre, un rendez-vous médical imprévu, on fait comment ? On pédale aussi ?

Ces réponses technocratiques montrent une méconnaissance totale du quotidien des familles et des personnes âgées.
La voiture n’est pas un caprice : c’est un outil de vie indispensable pour beaucoup, surtout dans une commune où les transports collectifs restent limités et où les trajets sont multiples et éloignés.

À force de critiquer la voiture, on oublie que la vraie écologie, c’est aussi celle du bon sens.
Encourager le vélo, oui mais pas au détriment de la sécurité, du réalisme et du respect des modes de vie.
La mobilité doit être pensée comme un équilibre, pas comme une injonction idéologique.

Contribution n°50 (Web)

Anonyme
Déposée le 6 novembre 2025 à 20h08
Mobilité “douce” ou parcours d’obstacles ?

Les réponses du LOD au sujet de la mobilité sont déconnectées de la réalité quotidienne [...]
Mobilité “douce” ou parcours d’obstacles ?

Les réponses du LOD au sujet de la mobilité sont déconnectées de la réalité quotidienne des habitants.
Présenter le vélo comme la solution miracle à tous les problèmes de circulation relève d’une vision idéalisée, voire caricaturale, de la vie de famille et du travail.

Le “mode doux” a bon dos quand il se transforme en véritable parcours Koh-Lanta : entre les enfants, la météo, les horaires, et les contraintes professionnelles, ce n’est plus une mobilité “douce”, c’est une épreuve.
Qui, concrètement, va amener trois enfants à la crèche, à l’école ou au collège en plein hiver à vélo ?
Qui va rentrer du travail à Nantes, aller faire vacciner son enfant à 19h, puis passer au supermarché tout cela à bicyclette ?
Et en cas de maladie, un enfant avec la gastro, de la fièvre, un rendez-vous médical imprévu, on fait comment ? On pédale aussi ?

Ces réponses technocratiques montrent une méconnaissance totale du quotidien des familles et des personnes âgées.
La voiture n’est pas un caprice : c’est un outil de vie indispensable pour beaucoup, surtout dans une commune où les transports collectifs restent limités et où les trajets sont multiples et éloignés.

À force de diaboliser la voiture, on oublie que la vraie écologie, c’est aussi celle du bon sens.
Encourager le vélo, oui mais pas au détriment de la sécurité, du réalisme et du respect des modes de vie.
La mobilité doit être pensée comme un équilibre, pas comme une injonction idéologique.

Contribution n°49 (Web)

Par Mylène Leger
Déposée le 6 novembre 2025 à 20h05
Mobilité “douce” ou parcours d’obstacles ?

Les réponses du LOD au sujet de la mobilité sont déconnectées de la réalité quotidienne [...]
Mobilité “douce” ou parcours d’obstacles ?

Les réponses du LOD au sujet de la mobilité sont déconnectées de la réalité quotidienne des habitants.
Présenter le vélo comme la solution miracle à tous les problèmes de circulation relève d’une vision idéalisée, voire caricaturale, de la vie de famille et du travail.

Le “mode doux” a bon dos quand il se transforme en véritable parcours Koh-Lanta : entre les enfants, la météo, les horaires, et les contraintes professionnelles, ce n’est plus une mobilité “douce”, c’est une épreuve.
Qui, concrètement, va amener trois enfants à la crèche, à l’école ou au collège en plein hiver à vélo ?
Qui va rentrer du travail à Nantes, aller faire vacciner son enfant à 19h, puis passer au Super U, tout cela à bicyclette ?
Et en cas de maladie, un enfant avec la gastro, de la fièvre, un rendez-vous médical imprévu : on fait comment ? On pédale aussi ?

Ces réponses technocratiques montrent une méconnaissance totale du quotidien des familles et aussi, des personnes âgées.

Vous faites un plein de courses pour 4 à vélo ?! Le pack d’eau sur le guidon, le beurre sur les pédales, les brochettes sous les fesses et aucune visibilité sur les enfants ???

La voiture n’est pas un caprice : c’est un outil de vie indispensable pour beaucoup, surtout dans une commune où les transports collectifs restent limités et où les trajets sont multiples et éloignés.

À force de diaboliser la voiture, on oublie que la vraie écologie, c’est aussi celle du bon sens.
Encourager le vélo, oui mais pas au détriment de la sécurité, du réalisme et du respect des modes de vie.

La mobilité doit être pensée comme un équilibre, pas comme une injonction idéologique qui en devient limite un régime totalitaire.

Contribution n°48 (Web)

Par Nénette
Déposée le 6 novembre 2025 à 20h02
Je vous remercie pour votre réponse concernant la contribution N°2.
Cependant, la justification apportée ne répond pas pleinement [...]
Je vous remercie pour votre réponse concernant la contribution N°2.
Cependant, la justification apportée ne répond pas pleinement à la préoccupation exprimée concernant l’intégration urbaine du futur bâtiment collectif rue du Jaunais nord.
Même si la hauteur maximale de 13 mètres est conforme au PLUM, il convient de rappeler que ce secteur est actuellement exclusivement pavillonnaire, constitué de maisons individuelles de plain-pied ou à un étage. L’implantation d’un bâtiment en R+2, même avec un attique, représenterait une rupture marquée dans la cohérence architecturale et paysagère du quartier.

Par ailleurs, la réponse mentionne un « recul significatif » des constructions sans en préciser la valeur concrète. Cette notion reste donc floue : s’agit-il de 5 mètres, 10 mètres, davantage ? Sans donnée précise, il est difficile d’évaluer la pertinence réelle de ce recul pour atténuer l’impact visuel du bâtiment, d’autant que la volumétrie globale restera dominante au regard des habitations environnantes.

Le simple maintien des haies ne permettra pas, à lui seul, d’assurer une bonne intégration dans un tissu urbain aussi homogène.
Il serait souhaitable que la maîtrise d’ouvrage reconsidère la typologie du bâti sur ce secteur, en privilégiant des formes plus intermédiaires et cohérentes (logements en bande, petits collectifs R+1) afin de préserver l’équilibre visuel et l’harmonie du quartier tout en respectant les objectifs de densification du PLUM.
Votre rapport est vague, obscur et vous n'apportez pas de réponse claire aux différentes contributions.

Contribution n°47 (Web)

Par yann Haute
Déposée le 6 novembre 2025 à 19h47
Je souhaite attirer l’attention sur les enjeux écologiques liés au projet de construction de trois immeubles prévus dans le champ [...]
Je souhaite attirer l’attention sur les enjeux écologiques liés au projet de construction de trois immeubles prévus dans le champ situé au centre du secteur « Jaunais nord 2 »

Les documents du volet G – annexes environnementales indiquent la présence d’espèces protégées au titre de l’article L411-1 du Code de l’environnement, notamment plusieurs espèces de couleuvres (couleuvre d’Esculape, couleuvre helvétique) et de lézards (lézard à deux raies, lézard des murailles).
Ces espèces ont été observées dans et aux abords immédiats des haies délimitant la parcelle concernée.
Même si le projet prévoit la conservation des haies existantes, la construction d’immeubles au sein du champ représente un risque réel pour la conservation de ces populations :

Destruction ou fragmentation d’habitats : les zones herbacées et ouvertes utilisées pour leur chasse, la thermorégulation et la reproduction seraient en grande partie supprimées

Rupture de corridors écologiques: les déplacements des reptiles entre les haies et les zones voisines pourraient être interrompus

Perturbations indirectes: bruit, vibration, éclairage nocturne et fréquentation humaine accrue risquent de compromettre la présence durable de ces espèces

Afin de garantir la compatibilité du projet avec les obligations réglementaires de préservation de la faune protégée, il serait souhaitable :
- de réaliser une expertise écologique complémentaire, en période favorable à l’observation des reptiles
- de relocaliser ou réduire l’emprise bâtie afin de préserver une zone herbacée fonctionnelle en continuité avec les haies et, le cas échéant, de prévoir des mesures d’atténuation et de compensation (création de murets, tas de pierres, bandes enherbées connectées aux haies, corridors de déplacement).
En l’état, la mise en œuvre du projet dans ce champ pourrait conduire à la dégradation d’un habitat d’espèces protégées, ce qui serait contraire au principe de non-destruction défini par la réglementation sur la biodiversité

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