Contribution n°110 (Web)
Anonyme
Déposée le 4 octobre 2025 à 22h26
Déposée le 4 octobre 2025 à 22h26
Je suis défavorable à cette réserve, vu qu'elle ne sert à rien. Effectivement le but est de protéger une faune dont l'habitat est en surface et exceptionnellement dans certaine cavité, donc défavorable. De plus cela va couter à nous tous... pour rien, donc défavorable. Après les élus courent après car cela va leur rajouter une médaille sur leur plastron, donc défavorable. Si ils avaient écouter un peu les scientifiques et non les pseudos écologique qui se gargarisent de soit disant bonne conduite depuis leur bureau Parisien...On en serait pas là à faire des enquête alors que les conclusions sont connu depuis X années.
Contribution n°109 (Web)
Par SUBILEAU Isabelle
Déposée le 4 octobre 2025 à 21h01
Déposée le 4 octobre 2025 à 21h01
Nous avons une chance inestimable d'abriter sur notre terroir une faune exceptionnelle et naturellement protégée. Il est de notre devoir d'en assurer la préservation et la pérennité, surtout dans un contexte mondial concourant à la disparition de nombreuses espèces de manière irréversible. Il est inconcevable de ne pas mettre en oeuvre tous les moyens pour y parvenir au mieux et au plus long terme. En ce sens il faut que vive la RNNS.
Contribution n°108 (Web)
Par Levaslot Pascale
Déposée le 4 octobre 2025 à 20h39
Déposée le 4 octobre 2025 à 20h39
Indispensable
Contribution n°107 (Web)
Par Bourdeau
Déposée le 4 octobre 2025 à 18h12
Déposée le 4 octobre 2025 à 18h12
En réponse à la contribution n°99 de M. Bauer et aux autres de même nature :
Je réponds à ce monsieur qui semble adorer la réglementation inutile et le plus souvent sclérosante:
Question fondamentale : a quoi sert cette coûteuse structure bureaucratique puisque la faune des invertébrés vit dans le sol qui est un milieu protecteur où se sont réfugiés ces animaux ?
En dehors des vertébrés déjà protégés, les arthropodes ne vivent pas dans les cavités accessibles où elles n'apparaissent que très exceptionnellement.
J'ai participé sans aucune aide financière à la découverte de cette faune en découvrant et en décrivant des dizaines d'espèces et de genres nouveaux qui ont conduit à la publication commune sur l'Histoire des coléoptères souterrains. J'ai commencé cette recherche libre avec un autre passionné de découvertes Philippe Déliot dans le cadre du GES Couserans qui nous a permis de découvrir ces réseaux et cavités habités par des espèces inconnues et- nous avons fait beaucoup plus de découvertes que le Laboratoire de Moulis; Lorsque Arnaud Faille et Javier Fresneda nous ont rejoints, nos explorations se sont étendues LIBREMENT à l'ESpagne et à d'autres contrées, seulement motivées par le désir de découvrir et de comprendre ces biotopes inaccessibles pour lesquels il a fallu inventer des méthodes de prospection.
Bien évidemment, sans l'aide des clubs de spéléo nous n'aurions pas pu explorer les régions depuis les plaines jusqu'aux massifs glacés de la Pena Collarada et du Mont Perdu où vit l'extraordinaire Cerbaphaenops (ancien hydraphaenops) Penacollaradensis découvert sous la glace des gouffres explorés avec mon amis décédé Éric Dupré, un autre amateur passionné
Je suis bien sûr pour la protection de la Nature, c'est ma passion, mais je suis contre ce qui est absurde, nuisible et coûteux.
C'est inutile parce que la faune souterraine a été protégée de tous les bouleversements climatiques et géologiques depuis bien avant l'émergence des Pyrénées (45 millions d'années) car son milieu s'étend depuis la surface jusqu'à des profondeurs de plusieurs centaines de mètres dans le réseau impénétrable des interstices souterrains ===> rien à voir avec la nécessité de protéger les animaux de surface.
C'est coûteux et en tant que contribuable je m'élève fortement contre ces dépenses qui n'apporteront rien à la région déjà pauvre.
Enfin, toute structure administrative inutile produit des règlements pour justifier son existence et ces contraintes découragent les initiatives et les collaborations avec les spéléologues : on ne décrète pas les moments d'exploration à l'avance, il faut être libre en fonction des périodes favorables déduites de longues expériences sur la terrain; bien sûr, il faut être un spéléologue expérimenté pour se risquer seul ou à deux dans des parcours sur corde souvent scabreux où il faut équiper.
Les études sur 3 ans, conduites par Arnaud Faille et moi-même à la Salle de la Verna du réseau de la Pierre Saint Martin ont démontré que la faune n'est en rien perturbée par le tourisme qui s'effectue depuis des années avec des éclairages forts : les 4 espèces d'aphaenops et celle des collemboles sont toujours présentes sur la plateforme bétonnée où les groupes ce 30 personnes se succèdent pour contempler l'immense salle, tout comme je la découvrais en 1970 lorsque l'accès n'était pas aménagé.
CONCLUSION : j'ai passé mes loisirs à faire de l'entomologie en surface et sous terre et je connais parfaitement ces biotopes européens et si j'ai constaté des dégradations surtout forestière (résineux plantés en rangs de poireaux dans les Corbières si riches), mes multiples sorties en toutes saisons m'ont convaincu qu'il faut une grande liberté d'accès à ces milieux pour avoir la chance de découvrir un insecte qui n'y apparaît qu'exceptionnemment bien qu'il pullule dans les fentes inaccessibles, comme la Baronniesia delioti découverte dans les Baronnies, par le plus grand des hasards.ou le Cerbaphaenops laurenti (prénom de mon fils) découvert avec Christian Vanderbergh et Philippe Déliot au fond du réseau de Bordes de Cru. Souvent ce sont les spéléos qui nous ont porté des débris.
Bref, l'Entomologie a toujours été une activité essentiellement conduite par des amateurs qui sont en nombre beaucoup plus grand que les chercheurs et toute réglementation excessive nuit à ces initiatives pour la découverte d'une faune qui est naturellement protégée et dont la rareté apparente impose un très grand nombre de visites. C'est le nombre et la passion qui sont les moteurs et personnellement j'ai bien ralenti mes explorations devant tous ces interdits, je n'ai pas envie d'être poursuivi pour destruction de la Nature, je me contente d'observer lorsque je fais de l'escalade ou de la spéléo et je déteste cette réglementation que certains recherchent par principe sans avoir la moindre connaissance de ces faunes.
Il faut être forcené pour vouloir réglementer l'accès à des cavités sans intérêt spéléologique ou touristique , des trous infâmes et boueux où seuls quelques passionnés vont remuer 'humus pour trouver une bestiole aveugle de quelques millimètres, ils auront mis des cadenas partout et alors l'administration prendra le pas sur la Science et sur l'activité physique d'exploration des réseaux comme celui de Sourroque où j'ai vécu tant d'émotions.
Je refuse de payer ces structures administratives nuisibles et coûteuses et il faut informer les ariégeois de l'absurdité de ce projet contre lequel nous nous sommes opposés depuis que Juberthie, Directeur de Moulis, à eu cette folle idée ...ils sont sur le points de gagner car les écologistes forcenés luttent contre la liberté des écologistes et contre la découverte spontanée, raisonnable et passionnée, ils adorent les règlements globaux. Ces faunes pullulent dans les talus des pistes forestières, faut-il interdire les exploitations forestières ??? Si on suit leur doxa, il faut empêcher les pelleteuses de détruire des milliards d'individus minuscules. On est chez les fous du règlement !!!
Cordialement
BOURDEAU Charles
bio spéléologue amateur, ingénieur retraité du CNRS en Sciences pour l'Ingénieur, pratiquant l'entomologie depuis 70 ans en totale liberté dans une splendide nature. gérée par le paysan qui l'entretenait harmonieusement.
Je réponds à ce monsieur qui semble adorer la réglementation inutile et le plus souvent sclérosante:
Question fondamentale : a quoi sert cette coûteuse structure bureaucratique puisque la faune des invertébrés vit dans le sol qui est un milieu protecteur où se sont réfugiés ces animaux ?
En dehors des vertébrés déjà protégés, les arthropodes ne vivent pas dans les cavités accessibles où elles n'apparaissent que très exceptionnellement.
J'ai participé sans aucune aide financière à la découverte de cette faune en découvrant et en décrivant des dizaines d'espèces et de genres nouveaux qui ont conduit à la publication commune sur l'Histoire des coléoptères souterrains. J'ai commencé cette recherche libre avec un autre passionné de découvertes Philippe Déliot dans le cadre du GES Couserans qui nous a permis de découvrir ces réseaux et cavités habités par des espèces inconnues et- nous avons fait beaucoup plus de découvertes que le Laboratoire de Moulis; Lorsque Arnaud Faille et Javier Fresneda nous ont rejoints, nos explorations se sont étendues LIBREMENT à l'ESpagne et à d'autres contrées, seulement motivées par le désir de découvrir et de comprendre ces biotopes inaccessibles pour lesquels il a fallu inventer des méthodes de prospection.
Bien évidemment, sans l'aide des clubs de spéléo nous n'aurions pas pu explorer les régions depuis les plaines jusqu'aux massifs glacés de la Pena Collarada et du Mont Perdu où vit l'extraordinaire Cerbaphaenops (ancien hydraphaenops) Penacollaradensis découvert sous la glace des gouffres explorés avec mon amis décédé Éric Dupré, un autre amateur passionné
Je suis bien sûr pour la protection de la Nature, c'est ma passion, mais je suis contre ce qui est absurde, nuisible et coûteux.
C'est inutile parce que la faune souterraine a été protégée de tous les bouleversements climatiques et géologiques depuis bien avant l'émergence des Pyrénées (45 millions d'années) car son milieu s'étend depuis la surface jusqu'à des profondeurs de plusieurs centaines de mètres dans le réseau impénétrable des interstices souterrains ===> rien à voir avec la nécessité de protéger les animaux de surface.
C'est coûteux et en tant que contribuable je m'élève fortement contre ces dépenses qui n'apporteront rien à la région déjà pauvre.
Enfin, toute structure administrative inutile produit des règlements pour justifier son existence et ces contraintes découragent les initiatives et les collaborations avec les spéléologues : on ne décrète pas les moments d'exploration à l'avance, il faut être libre en fonction des périodes favorables déduites de longues expériences sur la terrain; bien sûr, il faut être un spéléologue expérimenté pour se risquer seul ou à deux dans des parcours sur corde souvent scabreux où il faut équiper.
Les études sur 3 ans, conduites par Arnaud Faille et moi-même à la Salle de la Verna du réseau de la Pierre Saint Martin ont démontré que la faune n'est en rien perturbée par le tourisme qui s'effectue depuis des années avec des éclairages forts : les 4 espèces d'aphaenops et celle des collemboles sont toujours présentes sur la plateforme bétonnée où les groupes ce 30 personnes se succèdent pour contempler l'immense salle, tout comme je la découvrais en 1970 lorsque l'accès n'était pas aménagé.
CONCLUSION : j'ai passé mes loisirs à faire de l'entomologie en surface et sous terre et je connais parfaitement ces biotopes européens et si j'ai constaté des dégradations surtout forestière (résineux plantés en rangs de poireaux dans les Corbières si riches), mes multiples sorties en toutes saisons m'ont convaincu qu'il faut une grande liberté d'accès à ces milieux pour avoir la chance de découvrir un insecte qui n'y apparaît qu'exceptionnemment bien qu'il pullule dans les fentes inaccessibles, comme la Baronniesia delioti découverte dans les Baronnies, par le plus grand des hasards.ou le Cerbaphaenops laurenti (prénom de mon fils) découvert avec Christian Vanderbergh et Philippe Déliot au fond du réseau de Bordes de Cru. Souvent ce sont les spéléos qui nous ont porté des débris.
Bref, l'Entomologie a toujours été une activité essentiellement conduite par des amateurs qui sont en nombre beaucoup plus grand que les chercheurs et toute réglementation excessive nuit à ces initiatives pour la découverte d'une faune qui est naturellement protégée et dont la rareté apparente impose un très grand nombre de visites. C'est le nombre et la passion qui sont les moteurs et personnellement j'ai bien ralenti mes explorations devant tous ces interdits, je n'ai pas envie d'être poursuivi pour destruction de la Nature, je me contente d'observer lorsque je fais de l'escalade ou de la spéléo et je déteste cette réglementation que certains recherchent par principe sans avoir la moindre connaissance de ces faunes.
Il faut être forcené pour vouloir réglementer l'accès à des cavités sans intérêt spéléologique ou touristique , des trous infâmes et boueux où seuls quelques passionnés vont remuer 'humus pour trouver une bestiole aveugle de quelques millimètres, ils auront mis des cadenas partout et alors l'administration prendra le pas sur la Science et sur l'activité physique d'exploration des réseaux comme celui de Sourroque où j'ai vécu tant d'émotions.
Je refuse de payer ces structures administratives nuisibles et coûteuses et il faut informer les ariégeois de l'absurdité de ce projet contre lequel nous nous sommes opposés depuis que Juberthie, Directeur de Moulis, à eu cette folle idée ...ils sont sur le points de gagner car les écologistes forcenés luttent contre la liberté des écologistes et contre la découverte spontanée, raisonnable et passionnée, ils adorent les règlements globaux. Ces faunes pullulent dans les talus des pistes forestières, faut-il interdire les exploitations forestières ??? Si on suit leur doxa, il faut empêcher les pelleteuses de détruire des milliards d'individus minuscules. On est chez les fous du règlement !!!
Cordialement
BOURDEAU Charles
bio spéléologue amateur, ingénieur retraité du CNRS en Sciences pour l'Ingénieur, pratiquant l'entomologie depuis 70 ans en totale liberté dans une splendide nature. gérée par le paysan qui l'entretenait harmonieusement.
Contribution n°106 (Web)
Par EMERY SANDRA
Déposée le 4 octobre 2025 à 16h55
Déposée le 4 octobre 2025 à 16h55
Je suis tout à fait favorable et enthousiaste à la création de la RNNS d’Ariège. Il faut protéger notre patrimoine naturel faunique unique et aider à le faire cohabiter avec nos activités humaines. Un beau programme à créer, pour le futur.
Contribution n°105 (Web)
Par Claude
Déposée le 4 octobre 2025 à 15h15
Déposée le 4 octobre 2025 à 15h15
Je suis totalement favorable à la création de cette réserve qui permettra de mieux connaitre et protéger ce milieu encore largement méconnu.
L'existence du CEN Ariège est de plus une chance grace à ses compétences dans ce domaine.
L'existence du CEN Ariège est de plus une chance grace à ses compétences dans ce domaine.
Contribution n°104 (Web)
Par MONASTIER SYLVAIN
Déposée le 4 octobre 2025 à 14h53
Déposée le 4 octobre 2025 à 14h53
Pour la création d'une RNNS.
Contribution n°103 (Web)
Par Vanderbergh Christian
Déposée le 4 octobre 2025 à 13h19
Déposée le 4 octobre 2025 à 13h19
Je suis contre la réserve souterraine car elle sera un frein aux recherches des amateurs (qui ont fait connaitre ce milieu depuis des lustres ( depuis plus de 50 ans pour ma part!).
Elle sera aussi un frein pour le domaine sportif /éducatif.
Le but recherché (protection des espèces "cavernicoles") n'a aucun sens, car les espèces rencontrées dans nos grottes n'y sont pas inféodées, mais vivent dans la milieu souterrain environnant constitué par le MSS, le milieu phréatique, et plus largement dans les fissures et les les fracture des roches et terrains environnants: ELLES NE SE TROUVENT QU'ACCIDENTELEMENT DANS LES GROTTES où elles sont entrainées généralement par les intempéries.
Les panneaux photos pseudo pédagogiques, fabriqués par les tenants du projet, ne montrent en rien des espèces exclusivement cavernicoles c'est un abus.
Le projet est contre productif, protéger des grottes ne sauvera en rien la faune qu'on y rencontre occasionnellement car le vrai danger se situe ailleurs: SI L'ON CONTINUE A DEBOISER EN SURFACE ET A EMPOISONNER NOTRE SOL PAR TOUT L'ARSENAL AGROCHIMIQUE, INSECTICIDES, HERBICIDES ET PESTICIDES EN TOUT GENRES !
C'est sur ces VRAIS PROBLEMES qu'il faut travailler!
Le cas des chauve-souris, en plus des causes TOXIQUES que je j'indique dans le paragraphe précédent, est aussi très dépendant de l'assèchement de leur gites en raison du changement climatique indubitable, mais pas pour les mauvaises raisons dont on nous rebat les oreilles en permanence, c'est un autre débat!
Elle sera aussi un frein pour le domaine sportif /éducatif.
Le but recherché (protection des espèces "cavernicoles") n'a aucun sens, car les espèces rencontrées dans nos grottes n'y sont pas inféodées, mais vivent dans la milieu souterrain environnant constitué par le MSS, le milieu phréatique, et plus largement dans les fissures et les les fracture des roches et terrains environnants: ELLES NE SE TROUVENT QU'ACCIDENTELEMENT DANS LES GROTTES où elles sont entrainées généralement par les intempéries.
Les panneaux photos pseudo pédagogiques, fabriqués par les tenants du projet, ne montrent en rien des espèces exclusivement cavernicoles c'est un abus.
Le projet est contre productif, protéger des grottes ne sauvera en rien la faune qu'on y rencontre occasionnellement car le vrai danger se situe ailleurs: SI L'ON CONTINUE A DEBOISER EN SURFACE ET A EMPOISONNER NOTRE SOL PAR TOUT L'ARSENAL AGROCHIMIQUE, INSECTICIDES, HERBICIDES ET PESTICIDES EN TOUT GENRES !
C'est sur ces VRAIS PROBLEMES qu'il faut travailler!
Le cas des chauve-souris, en plus des causes TOXIQUES que je j'indique dans le paragraphe précédent, est aussi très dépendant de l'assèchement de leur gites en raison du changement climatique indubitable, mais pas pour les mauvaises raisons dont on nous rebat les oreilles en permanence, c'est un autre débat!
Contribution n°102 (Web)
Par Ella Corpron
Déposée le 4 octobre 2025 à 13h11
Déposée le 4 octobre 2025 à 13h11
D'après la lecture de la présentation du projet, il me semblerait cohérent de mettre en place des mesures de régulation permettant à chaque acteurs de trouver une place. L'engouement de plus en plus important pour le retour à la nature est fantastique mais souvent destructeur par manque d'information et/ou de formation. La préservation des ressources en eau est essentielle pour tous et toutes.
Je suis donc favorable à la mise en place de cette réserve.
Je suis donc favorable à la mise en place de cette réserve.
Contribution n°101 (Web)
Par ROGEZ, Léon
Déposée le 4 octobre 2025 à 12h46
Déposée le 4 octobre 2025 à 12h46
Je soutiens ce projet de réserve naturelle souterraine. La biosphère entière est gravement impactée par nos activités économiques et ludiques. L'Ariège abrite encore de riches milieux naturels originaux qu'il est urgent de protéger en ces temps où la pérennité de notre espèce est plus incertaine chaque jour.
Apportez votre contribution à cette enquête publique :
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