Contribution n°183 (Web)
Déposée le 4 juin 2025 à 15h52
Contribution n°182 (Web)
Déposée le 4 juin 2025 à 14h36
- La construction d'une nouvelle voie dans ce secteur résidentiel porterait gravement atteinte à la qualité de vie des habitants. Le trafic routier induit engendrerait des nuisances sonores et une pollution atmosphérique accrue, dans un quartier aujourd’hui calme et paisible. Ce projet entraînerait par ailleurs une dévalorisation financière de notre bien immobilier, exposé directement à cette nouvelle route. Nous soulignons également le risque de suppression de places de stationnement actuellement existantes, pourtant financées par la copropriété, ce qui constituerait une atteinte manifeste à nos droits de jouissance et à l’équilibre foncier de la résidence.
- Le Plan Local d'Urbanisme doit garantir la cohérence de l’aménagement du territoire avec les objectifs de protection des espaces de vie résidentiels. Ce projet va à l’encontre des principes d’une urbanisation maîtrisée.
Il est également légitime de s’interroger sur la nécessité réelle d’une nouvelle voirie motorisée à cet endroit sans compromettre l’environnement ni la sécurité.
Impacts environnementaux - Le projet entraînerait la destruction d’espaces verts et zones arborées existantes, qui contribuent à la biodiversité et à la régulation thermique locale.
La création d’une route imperméable va à l’encontre des engagements environnementaux en matière de gestion durable des eaux pluviales et d’imperméabilisation des sols.
Le passage d'une voie carrossable à proximité immédiate des habitations, notamment d’une résidence abritant des personnes âgées et des familles, représente un risque direct : circulation motorisée, conflits d’usage, et accidents piétons-véhicules.
La circulation en cœur de village de Poisy, via les cheminements existants, est essentiel pour maintenir une vie locale dynamique. Il favorise la fréquentation des commerces de proximité, du marché, des services publics. Dévier ou contourner ces circuits au profit d’une route parallèle nuit directement à cette dynamique.
Au regard de l’ensemble de ces éléments – atteinte au cadre de vie, incohérence urbanistique, enjeux environnementaux et sécuritaires, et menace sur le tissu commercial local – je demande formellement que ce projet de création de voie soit abandonné pour respecter le cadre de vie des habitants.
Je vous remercie de bien vouloir prendre en compte cette contribution dans le cadre de l’enquête publique.
Veuillez agréer, Madame, Monsieur, l’expression de mes salutations distinguées.
Contribution n°181 (Web)
Déposée le 4 juin 2025 à 14h29
Les paragraphes sont en partie identiques et mentionnent à deux reprise les zones Ub au lieu d'évoquer les Ub et Uc.
Cela nuit à la compréhension du document.
Contribution n°180 (Web)
Déposée le 4 juin 2025 à 13h55
Ce projet de PLUi HMB a vocation à créer les conditions nécessaires à la transition écologique
et solidaire dans le Grand Annecy. Pourquoi France Nature Environnement Haute Savoie
considère que ce projet de PLUi HMB ne répond pas à cette exigence vitale pour l’avenir du Grand
Annecy?
Le PADD, qui définit l’orientation politique du PLUiHMB, intègre l’artificialisation de 240
hectares agricoles et naturels pour permettre de loger 24000 habitants supplémentaires dans
21000 logements. Le PADD justifie ce choix a priori par une volonté de respecter la loi ZAN et de
modérer la croissance démographique. Mais il ne se pose pas la question de la capacité du milieu
naturel à supporter cette croissance.
Or le Grand Annecy a perdu un tiers de son espace agricole depuis les années 70 généralement
les meilleures terres d’un point de vue agronomique. L’urbanisation très rapide a touché 475
hectares entre 2010 et 2020. Quelques exemples de forte consommation de terres entre 2008 et
2015 : 51 hectares à Seynod, 25 hectares à Epagny, 20 hectares à Poisy, 29 hectares à Chavanod, 20
hectares à Groisy et 16 hectares à Saint Martin . Le rythme d’artificialisation au cours des dernières
années est inquiétant puisque entre 2021 et 2024, 81 hectares ont été urbanisés.
Cet emballement de l’urbanisation a fortement dégradé la qualité de l’eau des rivières, de la faune
et de la flore. Mais les conséquences sont aussi très néfastes sur la qualité de la vie des habitants :
engorgement de la circulation, mauvaise qualité de l’air alors que dans le même temps le logement
est devenu inaccessible aux habitants qui ne sont pas travailleurs frontaliers. Dans le même temps
l’agriculture locale n’est plus en capacité de nourrir la population du Grand Annecy : moins de 1 %
d’autonomie alimentaire.
Notre pays est surpeuplé, et avec le réchauffement climatique les rendements vont baisser.
N’est-il pas temps de baisser la démographie ? ( heureusement, les peuples sont moins idiots que leurs dirigeants, et beaucoup ont compris en commençant à décroître ).
Et n’est-il pas temps de comprendre pour nos chers « aménageurs » que sacrifier les terres agricoles et les espaces naturels est inacceptable pour l’avenir de VOS enfants ?
AVIS DÉFAVORABLE
Contribution n°179 (Web)
Déposée le 4 juin 2025 à 13h55
Ce projet de PLUi HMB a vocation à créer les conditions nécessaires à la transition écologique
et solidaire dans le Grand Annecy. Pourquoi France Nature Environnement Haute Savoie
considère que ce projet de PLUi HMB ne répond pas à cette exigence vitale pour l’avenir du Grand
Annecy?
Le PADD, qui définit l’orientation politique du PLUiHMB, intègre l’artificialisation de 240
hectares agricoles et naturels pour permettre de loger 24000 habitants supplémentaires dans
21000 logements. Le PADD justifie ce choix a priori par une volonté de respecter la loi ZAN et de
modérer la croissance démographique. Mais il ne se pose pas la question de la capacité du milieu
naturel à supporter cette croissance.
Or le Grand Annecy a perdu un tiers de son espace agricole depuis les années 70 généralement
les meilleures terres d’un point de vue agronomique. L’urbanisation très rapide a touché 475
hectares entre 2010 et 2020. Quelques exemples de forte consommation de terres entre 2008 et
2015 : 51 hectares à Seynod, 25 hectares à Epagny, 20 hectares à Poisy, 29 hectares à Chavanod, 20
hectares à Groisy et 16 hectares à Saint Martin . Le rythme d’artificialisation au cours des dernières
années est inquiétant puisque entre 2021 et 2024, 81 hectares ont été urbanisés.
Cet emballement de l’urbanisation a fortement dégradé la qualité de l’eau des rivières, de la faune
et de la flore. Mais les conséquences sont aussi très néfastes sur la qualité de la vie des habitants :
engorgement de la circulation, mauvaise qualité de l’air alors que dans le même temps le logement
est devenu inaccessible aux habitants qui ne sont pas travailleurs frontaliers. Dans le même temps
l’agriculture locale n’est plus en capacité de nourrir la population du Grand Annecy : moins de 1 %
d’autonomie alimentaire.
Notre pays est surpeuplé, et avec le réchauffement climatique les rendements vont baisser.
N’est-il pas temps de baisser la démographie ? ( heureusement, les peuples sont moins idiots que leurs dirigeants, et beaucoup ont compris en commençant à décroître ).
Et n’est-il pas temps de comprendre pour nos chers « aménageurs » que sacrifier les terres agricoles et les espaces naturels est inacceptable pour l’avenir de VOS enfants ?
AVIS DÉFAVORABLE
Contribution n°178 (Web)
Déposée le 4 juin 2025 à 11h36
Ce projet suscite de vives inquiétudes pour plusieurs raisons majeures :
Atteinte directe à notre cadre de vie : Le tracé prévu traverse notre parking et longe directement les bâtiments A (le miens) et C, ce qui compromet gravement la tranquillité et le confort des résidents. Il en résulterait une augmentation significative des nuisances sonores et visuelles, ainsi qu'une détérioration de notre cadre résidentiel.
Perte de places de stationnement : La suppression de plusieurs emplacements de parking est particulièrement problématique dans une résidence où les besoins en stationnement sont déjà élevés.
Sécurité des résidents : L'ajout d’un axe routier à proximité immédiate de nos habitations, couplé à un cheminement piétonnier traversant la copropriété, fait peser un risque accru sur la sécurité des enfants, piétons et cyclistes, dans un espace initialement conçu pour un usage privé et résidentiel.
Impact sur la valeur des biens immobiliers : Un tel aménagement est susceptible de provoquer une dépréciation de nos logements, en raison de la proximité directe avec une route ouverte à la circulation et à un flux accru de passants.
Pour toutes ces raisons, je vous demande de reconsidérer ce projet et d’étudier des solutions alternatives qui respecteraient davantage la vie des habitants, la sécurité des usagers et la préservation des espaces résidentiels existants de notre copropriété.
Je vous remercie de prendre en compte cette contribution dans le cadre de l’enquête publique.
Veuillez agréer, Madame, Monsieur, l’expression de mes salutations distinguées.
Propriétaire à la résidence WOODPARK
Contribution n°177 (Web)
Déposée le 4 juin 2025 à 10h26
Tout cela, soi-disant, pour "loger les gens", c'est à dire faire venir touristes et retraités en nombre croissant, au détriment de la qualité de vie.
Quand Annecy et son lac, si attractifs, seront définitivement inaccessibles aux Annéciens d'origine, du fait d'un engorgement incompressible de la population et de la circulation, (+ pollution de l'air, dégradations environnementales, problèmes d'eau, etc.) - nous n'aurons plus que nos yeux pour pleurer devant tout ce béton... !
Document joint
Contribution n°176 (Email)
Déposée le 3 juin 2025 à 20h15
Bonjour,
Je souhaiterais répondre à l'enquête citée en objet, comment procéder pour accéder au formulaire ?
Bien cordialement,
Hugo Delorme
Contribution n°175 (Email)
Déposée le 3 juin 2025 à 18h32
Madame, Monsieur,
En tant que propriétaire d’un appartement de la copropriété WOODPARK, je souhaite faire part de mon opposition au projet de création d’une nouvelle voie de liaison entre la route de Lovagny et la route de Marny, tel que présenté dans le cadre de l'enquête publique en cours.
Ce projet suscite de vives inquiétudes pour plusieurs raisons majeures :
Atteinte directe à notre cadre de vie : Le tracé prévu traverse notre parking et longe directement les bâtiments B (le miens) et C, ce qui compromet gravement la tranquillité et le confort des résidents. Il en résulterait une augmentation significative des nuisances sonores et visuelles, ainsi qu'une détérioration de notre cadre résidentiel.
Perte de places de stationnement : La suppression de plusieurs emplacements de parking est particulièrement problématique dans une résidence où les besoins en stationnement sont déjà élevés.
Sécurité des résidents : L'ajout d’un axe routier à proximité immédiate de nos habitations, couplé à un cheminement piétonnier traversant la copropriété, fait peser un risque accru sur la sécurité des enfants, piétons et cyclistes, dans un espace initialement conçu pour un usage privé et résidentiel.
Impact sur la valeur des biens immobiliers : Un tel aménagement est susceptible de provoquer une dépréciation de nos logements, en raison de la proximité directe avec une route ouverte à la circulation et à un flux accru de passants.
Absence de concertation : Aucun échange préalable n’a été mené avec les habitants concernés pour étudier des alternatives ou recueillir leur avis, ce qui soulève une interrogation légitime sur la transparence et l’équité de la démarche.
Pour toutes ces raisons, je vous demande de reconsidérer ce projet et d’étudier des solutions alternatives qui respecteraient davantage la vie des habitants, la sécurité des usagers et la préservation des espaces résidentiels existants de notre copropriété.
Je vous remercie de prendre en compte cette contribution dans le cadre de l’enquête publique.
Veuillez agréer, Madame, Monsieur, l’expression de mes salutations distinguées.
Yoann Bouilly
Propriétaire à la résidence WOODPARK
Contribution n°174 (Web)
Déposée le 3 juin 2025 à 21h59
Nous avons vu, dans le projet du PLUi HMB du Grand Annecy que ces terrains de La Lionnaz, initialement classés en zone constructible, figuraient dorénavant en secteur agricole. Pour rappel, plusieurs successions ont été réalisées sur des estimations de terrains constructibles, la dernière datant du 23/04/2004.
Nous sommes surpris de ce changement d’affectation puisque le tènement déclassé est entouré de terrains construits :
- au nord par une zone Ucp
- à l’ouest par les zones Uab et Ucp
- au sud et à l’est par une zone Ucp et une zone A (agricole). Cette dernière est construite : parcelles B1290, B1287, B237 et B1395. De plus, d’autres parcelles agricoles sont également bâties le long de la route des Vignes en direction de Chaux Balmont rendant l’activité agricole impossible : B1398, B1399 et B1402.
Ce déclassement de La Lionnaz se traduit par la création d’une « dent creuse » en référence à l’article L 121-8 et 151-4 du code de l’Urbanisme.
D’autre part, ces terrains ne font l’objet d’aucun bail agricole, disposent de réseaux (eau, électricité, assainissement) à proximité et d’un accès par Le Chemin Des Prés Ronds à l’angle de la parcelle B1058 (extrait de l’acte notarié en pièce jointe).
Nous pouvons comprendre les attendus du PADD qui orientent la préservation de l’activité agricole. Cependant, pourquoi introduire une zone agricole, La Lionnaz, au milieu du village tout en maintenant par ailleurs une zone constructible dans le prolongement de celle.ci (parcelles B223, B1462, B1463, B1360 et B225) et située en limite d’un secteur agricole non morcelé représentant pour le coup un réel atout agricole (parcelles B878, B875, B874, B871…) ?
Enfin, nous vous précisons que le tribunal administratif de Grenoble, par décision ci jointe N°2000119 du 27 février 2023, a condamné la commune de MESIGNY à classer en zone constructible une parcelle avec le même environnement de tènements construits.
Pour ces raisons, nous demandons à ce que ces terrains soient rendus à leur classement d’origine.
Comptant sur votre compréhension, veuillez agréer, Monsieur le Président, l’expression de nos respectueuses salutations.