Les contributions

Contribution n°159 (Web)

Par THUAL Alain
Déposée le 4 juin 2025 à 09h08
Bonjour, je possède quelques hectares de terrain sur Quelmer et je n'ai malheureusement pas d'abri pour remiser un tracteur, ainsi [...]
Bonjour, je possède quelques hectares de terrain sur Quelmer et je n'ai malheureusement pas d'abri pour remiser un tracteur, ainsi que quelques outils. Tout cela dort donc dehors. Serait-il possible de me permettre de construire un abri de 20 ou 30 m2, selon vos indications, au bas de la 099, le long de la rue de La Passagère ? (ardoises et bois local, sans fondations), là où c'est le plus urbanisé.

Par ailleurs, afin d'abriter deux ânes et deux moutons, pourrais-je avoir le droit de construire une cabane de 20 m 2, à l'angle de la 0116, 0121 et 0120 ?

Contribution n°158 (Web)

Par Véronique GIROUX
Déposée le 4 juin 2025 à 08h07
Propriétaire depuis 7 ans à la montagne St Joseph, je suis étonnée de voir dans ce projet que les voitures voulant rejoindre le futur [...]
Propriétaire depuis 7 ans à la montagne St Joseph, je suis étonnée de voir dans ce projet que les voitures voulant rejoindre le futur lotissement circuleront par la rue Belle Fontaine.
En 7 ans, cette rue est devenue plusieurs fois et sur de longs mois une impasse. La rue était fermée côté rue des prairies.
La rue belle fontaine est une rue étroite, avec priorité donnée aux piétons et aux cyclistes, y ajouter la circulation de tout un lotissement serait une hérésie.

Document joint


Contribution n°157 (Web)

Par PODEUR Jean-Philippe
Déposée le 4 juin 2025 à 08h00
Bonjour,
Je suis concerné par le nouveau PLU de Saint-Malo, en particulier pour le quartier de la Banneville.
Enfant, je jouais souvent [...]
Bonjour,
Je suis concerné par le nouveau PLU de Saint-Malo, en particulier pour le quartier de la Banneville.
Enfant, je jouais souvent dans les champs de la Banneville, car avec mes parents j’y habitais. C’est un espace où la nature a toute sa place. Pourquoi y construire des immeubles sur ces terres qui apportent du calme, de l’air et de la fraîcheur,
Je suis donc très inquiet de voir qu’on envisage de construire à cet endroit des immeubles. Pourquoi vouloir supprimer ce qui fait justement le charme et l’équilibre de ce quartier et de Saint Malo ? C’est le seul endroit TERRE de la ville de Saint Malo
Est-ce qu’il ne serait pas plus raisonnable de rénover les logements existants avant de grignoter des terres naturelles ?
Je ne comprends pas non plus pourquoi la Banneville n’a pas été informé ni consulté sur ce projet. Il faut qu’il y ait mérite une vraie discussion avec les gens qui vivent ici.
J’ai l’impression que ce projet a été réalisé sans respecter la population.
Bien cordialement.
Jean-Philippe PODEUR

Contribution n°156 (Web)

Par Farion Anthony
Déposée le 3 juin 2025 à 22h21
À l’attention de Madame la Commissaire Enquêtrice,
Madame,
Je me permets de vous adresser ce courrier dans le cadre de l’enquête publique [...]
À l’attention de Madame la Commissaire Enquêtrice,
Madame,
Je me permets de vous adresser ce courrier dans le cadre de l’enquête publique relative à la révision du Plan Local d’Urbanisme de Saint-Malo, et plus précisément concernant le projet d’Orientation d’Aménagement et de Programmation dit "Campus II", auquel je suis opposé.
Ce projet soulève, selon moi, plusieurs problématiques importantes. En premier lieu, il ne répond pas de manière pertinente aux besoins réels des Malouins. La pression sur le logement dans notre ville est bien connue, mais elle tient moins à un manque de constructions qu’à une mauvaise répartition de l’usage des logements. La multiplication des résidences secondaires et des locations de courte durée de type Airbnb aggrave fortement la difficulté pour les habitants permanents de trouver un logement stable et accessible.
Je suis profondément attaché à l’idée que les nouvelles constructions doivent d’abord bénéficier aux résidents à l’année. Or, rien ne garantit ici que les logements prévus seront véritablement occupés par des ménages malouins. Au contraire, ce type de projet semble alimenter une logique de développement qui favorise l’attractivité touristique et spéculative, au détriment des habitants de longue durée.
Par ailleurs, les projections démographiques ne justifient pas une telle extension urbaine. Les chiffres de l’INSEE montrent une population en croissance très modérée, avec un vieillissement prononcé et un solde naturel négatif. Il n’y a donc pas de justification sérieuse à construire autant de logements neufs, alors même qu’un grand nombre de logements vacants ou sous-occupés existent déjà sur le territoire. Une politique ambitieuse de rénovation, de remise sur le marché et de régulation des usages me semblerait bien plus adaptée.
Enfin, ce projet contribuerait à l’artificialisation de nouvelles surfaces, au moment même où l’on parle de sobriété foncière et de respect des objectifs de la loi Climat. Construire sur des espaces encore naturels ou agricoles, c’est porter atteinte à la biodiversité, au paysage et au cadre de vie des habitants, pour des bénéfices très incertains.
Je vous invite donc à recommander le retrait de ce projet, qui me paraît inadapté à la situation actuelle et aux besoins futurs de Saint-Malo. Une autre voie est possible, fondée sur la protection des terres naturelles, la priorité donnée aux résidents permanents et une gestion plus responsable de notre urbanisme.
Avec mes salutations les plus respectueuses,
Anthony Farion

Contribution n°155 (Email)

Anonyme
Déposée le 3 juin 2025 à 11h12
Objet : Avis projet revision plu st malo !!!

Bonjour,

Voici un ensemble de remarques, suite au rapport de la Mrae,

Je pense que [...]
Objet : Avis projet revision plu st malo !!!

Bonjour,

Voici un ensemble de remarques, suite au rapport de la Mrae,

Je pense que St Malo devrait justifier le besoin d'accueillir 1 745 et 2 745 habitants supplémentaires à échéance 2034.

Il n'est pas démontré que la capacité du territoire (dans un contexte de changement climatique) est en mesure d'accueillir le projet de PLU. Le SCot de GMVA (https://garance.e2.rie.gouv.fr/entrepot/documents/documents_2053/2019-007117-46254_7117_7122_7114_SCoT_PCAET_PDU_GMVA_Avis_delibere.pdf) a d'ailleurs été récemment annulé sur cette base (https://amisdugolfedumorbihan.org/index.php/2025/04/04/le-scot-gmva-perd-en-appel/).

Le projet de PLU est en effet trop important, dans une ville littorale telle que St Malo, pour préserver correctement l'environnement (cadre de vie, biodiversité, qualité et quantité d'eau). Le rapport de l'Autorité environnementale fait clairement apparaître "un décalage entre les projections démographiques de St Malo et les tendances de l'Insee". Les infrastructures d'eaux usées, les infrastructures routières et les périodes de sécheresse passées (quantité d'eau potable) montrent la vulnérabilité du territoire et la saturation progressive de la ville. En tant que citoyenne, je ne peux rester insensible à cela. Le PLU n'a pas évalué les incidences sur les déplacements non plus alors que les voies d'accès sont saturées, en particulier en pics saisonniers.

La consommation de 53,9 hectares d'espaces naturels agricoles et forestiers (ENAF) est prévue au PLU et les incidences ne sont pas évalués, justifiés ni compensés. En application de la séquence européenne "éviter, réduire, compenser" (ERC), le projet de St Malo n'est pas soutenable pour l'environnement.

Résidences secondaires : Le mémoire en réponse de St Malo à la Mrae est sans équivoque : potentiellement 2700 résidences secondaires à venir, par l'application du PLU. Je note l'absence de volonté d'encadrer plus fortement l'augmentation exponentielle des résidences secondaires.

Enfin, les données retenues par St Malo sont trop anciennes pour évaluer la montée des eaux (PPRSM de 2017). La ville ne peut pas continuer de se cacher derrière l'Etat ( qui vient d'annoncer la TRACC trajectoire de trajectoire nationale à +4°C de réchaufffement climatique (https://www.ecologie.gouv.fr/politiques-publiques/trajectoire-rechauffement-reference-ladaptation-changement-climatique-tracc). Il est nécessaire d'identifier les secteurs potentiellement touchés dès à présent.

Ce projet de PLU n'est pas un projet de territoire et protecteur de l'environnement pour les habitants: c'est un projet politique en faveur des promoteurs immobiliers et du tourisme, qui risque de nous conduire à la saturation des ressources (eau et qualité des eaux de baignade, biodiversité, fragmentation des habitats) à la dégradation du cadre de vie (paysage, déplacements) et à la surfréquentation des ENAF.

En espérant que vous tiendrez compte de cet avis, mais surtout de l'avis de l'Autorité environnementale.
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Contribution n°154 (Email)

Par Marie BEL
Déposée le 3 juin 2025 à 10h58
Objet : Avis sur le projet de révision du PLU de ST Malo

Bonjour,

Voici un ensemble de remarques, suite au rapport de la Mrae,

Je [...]
Objet : Avis sur le projet de révision du PLU de ST Malo

Bonjour,

Voici un ensemble de remarques, suite au rapport de la Mrae,

Je pense que St Malo devrait justifier le besoin d'accueillir 1 745 et 2 745 habitants supplémentaires à échéance 2034.

Il n'est pas démontré que la capacité du territoire (dans un contexte de changement climatique) est en mesure d'accueillir le projet de PLU. Le SCot de GMVA (https://garance.e2.rie.gouv.fr/entrepot/documents/documents_2053/2019-007117-46254_7117_7122_7114_SCoT_PCAET_PDU_GMVA_Avis_delibere.pdf) a d'ailleurs été récemment annulé sur cette base (https://amisdugolfedumorbihan.org/index.php/2025/04/04/le-scot-gmva-perd-en-appel/).

Le projet de PLU est en effet trop important, dans une ville littorale telle que St Malo, pour préserver correctement l'environnement (cadre de vie, biodiversité, qualité et quantité d'eau). Le rapport de l'Autorité environnementale fait clairement apparaître "un décalage entre les projections démographiques de St Malo et les tendances de l'Insee". Les infrastructures d'eaux usées, les infrastructures routières et les périodes de sécheresse passées (quantité d'eau potable) montrent la vulnérabilité du territoire et la saturation progressive de la ville. En tant que citoyenne, je ne peux rester insensible à cela. Le PLU n'a pas évalué les incidences sur les déplacements non plus alors que les voies d'accès sont saturées, en particulier en pics saisonniers.

La consommation de 53,9 hectares d'espaces naturels agricoles et forestiers (ENAF) est prévue au PLU et les incidences ne sont pas évalués, justifiés ni compensés. En application de la séquence européenne "éviter, réduire, compenser" (ERC), le projet de St Malo n'est pas soutenable pour l'environnement.

Résidences secondaires : Le mémoire en réponse de St Malo à la Mrae est sans équivoque : potentiellement 2700 résidences secondaires à venir, par l'application du PLU. Je note l'absence de volonté d'encadrer plus fortement l'augmentation exponentielle des résidences secondaires.

Enfin, les données retenues par St Malo sont trop anciennes pour évaluer la montée des eaux (PPRSM de 2017). La ville ne peut pas continuer de se cacher derrière l'Etat ( qui vient d'annoncer la TRACC trajectoire de trajectoire nationale à +4°C de réchaufffement climatique (https://www.ecologie.gouv.fr/politiques-publiques/trajectoire-rechauffement-reference-ladaptation-changement-climatique-tracc). Il est nécessaire d'identifier les secteurs potentiellement touchés dès à présent.

Ce projet de PLU n'est pas un projet de territoire et protecteur de l'environnement pour les habitants: c'est un projet politique en faveur des promoteurs immobiliers et du tourisme, qui risque de nous conduire à la saturation des ressources (eau et qualité des eaux de baignade, biodiversité, fragmentation des habitats) à la dégradation du cadre de vie (paysage, déplacements) et à la surfréquentation des ENAF.

En espérant que vous tiendrez compte de cet avis, mais surtout de l'avis de l'Autorité environnementale.

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Marie BEL
24 avenue Jean-Jaurès
35400 Saint-Malo

Contribution n°153 (Web)

Par Pierre et Marie C.
Déposée le 3 juin 2025 à 16h54
Enquête publique OAP n°8 – Frange Sud de Rothéneuf

Madame, Monsieur le Commissaire Enquêteur,

Habitant(es) de Rothéneuf, nous souhaitons [...]
Enquête publique OAP n°8 – Frange Sud de Rothéneuf

Madame, Monsieur le Commissaire Enquêteur,

Habitant(es) de Rothéneuf, nous souhaitons formuler une contribution personnelle concernant le projet d’aménagement de la frange sud de Rothéneuf (OAP n°8), tel que présenté dans le projet de révision du Plan Local d’Urbanisme.

Le secteur concerné est particulièrement sensible sur le plan environnemental : zones humides, boisements anciens, corridors écologiques en lien avec la Pointe de la Varde et proximité immédiate de sites classés (Natura 2000, ZNIEFF). L’OAP reconnaît cette richesse écologique, mais je m’inquiète du manque d’informations claires sur la façon dont elle sera effectivement préservée.

Nous relèvons notamment plusieurs points problématiques :
• L'absence d’inventaire écologique complet et actualisé sur l’ensemble des sous-secteurs, alors même que des zones humides sont avérées.
• Aucune saisine formelle de l’autorité environnementale (MRAE) ne figure dans le dossier, alors que le projet dépasse 30 ha.
• Pas d’analyse des effets cumulés avec les autres OAP et zones d’activités voisines (secteur du Pont, ZAE), ce qui est pourtant une obligation réglementaire.
• Le projet semble difficilement compatible avec les objectifs de Zéro Artificialisation Nette (ZAN) prévus à l’horizon 2050.

Nous ne sommes pas opposé(es) à toute évolution du quartier, mais nous demandons que le projet soit suspendu ou fortement revu tant que ces conditions ne sont pas remplies.

En résumé, nous appellons à :
• Une étude d’impact complète et indépendante,
• Une évaluation par l’autorité environnementale compétente,
• Une prise en compte claire du SCoT, du SAGE et du SDAGE,
• Et une vraie concertation avec les habitants.

Nous vous remercions de l’attention portée à cette contribution.
Cordialement.

Contribution n°152 (Web)

Par gabrielle lescanne
Déposée le 3 juin 2025 à 15h34
Madame la Présidente,

En tant que jeune citoyen, je tiens à exprimer ma vive inquiétude face au projet OAP Campus II, qui prévoit [...]
Madame la Présidente,

En tant que jeune citoyen, je tiens à exprimer ma vive inquiétude face au projet OAP Campus II, qui prévoit de consommer environ 52 hectares de terres agricoles. Une telle artificialisation est, selon moi, inacceptable et en totale contradiction avec les engagements environnementaux de notre territoire.

Nous ne pouvons pas prétendre défendre un urbanisme durable tout en poursuivant des politiques qui détruisent des sols nourriciers. Ces terres agricoles ne sont pas vides : elles produisent, elles stockent du carbone, elles filtrent l’eau et abritent de la biodiversité. Les transformer en routes et en bâtiments revient à sacrifier des fonctions vitales pour des objectifs de croissance mal définis.

Le SRADDET Bretagne rappelle la nécessité de préserver les terres agricoles comme ressource stratégique, et la loi impose dès 2026 des plafonds juridiquement contraignants dans le cadre du Zéro Artificialisation Nette (ZAN). Comment ce projet pourrait-il y être compatible, alors même qu’aucune démonstration d’absence d’alternative n’est apportée ?

Ce projet est d’un autre temps. Il répond à une logique d’expansion alors qu’il faudrait réparer, densifier, et optimiser le tissu urbain existant. Il traduit un refus de repenser notre modèle à l’aune des limites planétaires.

Je vous demande de ne pas valider cette extension, de préserver ces 52 hectares de terres agricoles, et de soutenir une stratégie fondée sur la réhabilitation, l’agriculture locale et le respect des équilibres territoriaux.

C’est là une condition minimale pour construire un avenir viable, pour ma génération et celles qui suivront.

Veuillez recevoir, Madame la Présidente, l’expression de mes sentiments les plus respectueux.

Gabrielle Lescanne 13 ans

Contribution n°151 (Web)

Par pierre lescanne
Déposée le 3 juin 2025 à 15h28
Madame la Présidente,
Je vous écris en tant que jeune de 16 ans, préoccupé par les choix d’aménagement qui vont façonner notre avenir. [...]
Madame la Présidente,
Je vous écris en tant que jeune de 16 ans, préoccupé par les choix d’aménagement qui vont façonner notre avenir. Le projet OAP Campus II, tel qu’il est présenté, me paraît totalement incompatible avec les enjeux environnementaux et climatiques auxquels nous faisons face.

Ce projet repose sur une logique d’extension urbaine qui implique l’artificialisation de terres naturelles et agricoles, alors même que la loi Climat et Résilience impose l’objectif de Zéro Artificialisation Nette (ZAN) d’ici 2050. À partir d’août 2026, toute consommation d’espace devra être justifiée de manière rigoureuse, or ici, aucune alternative sérieuse n’a été étudiée pour éviter cette destruction du vivant.

L’idée d’urbaniser une zone humide, proche de bassins de rétention, au nom d’un besoin en logements largement surestimé, est une erreur stratégique. Les données de l’INSEE montrent que la population malouine est stable, voire en baisse chez les jeunes. Plutôt que construire du neuf sur des espaces naturels, pourquoi ne pas réhabiliter les logements vacants ou mal occupés ?

Le projet Campus II est aussi présenté comme une réponse aux besoins étudiants. Pourtant, l’enseignement devient de plus en plus hybride, et aucun établissement n’a exprimé de demande claire d’installation. Créer un nouveau quartier pour des étudiants qui n’existent pas encore, c’est à la fois risqué et irresponsable sur le plan environnemental.

Enfin, au moment où l’urgence climatique devient visible dans nos vies quotidiennes, nous devons faire des choix courageux. Consommer du foncier, bétonner des sols, construire des routes nouvelles : cela revient à répéter les erreurs du passé.

Je vous demande donc, sincèrement, de rejeter ce projet. Ce n’est pas un projet pour demain. C’est un projet pour hier.

Respectueusement,

Pierre lescanne

Contribution n°150 (Web)

Par ROY Bruno
Déposée le 3 juin 2025 à 15h12
À l’attention de la Présidente de la Commission d’enquête publique,
Saint-Malo, le 3 juin 2035

Madame la Présidente,

Je vous écris [...]
À l’attention de la Présidente de la Commission d’enquête publique,
Saint-Malo, le 3 juin 2035

Madame la Présidente,

Je vous écris au sujet du PLU de Saint Malo et plus particulièrement sur l’aménagement prévu dans le secteur de la Banneville, dit « Campus II ».

Je connais bien ce secteur pour y marcher souvent, quand je rends visite à ma sœur et mon beau-frère. C’est un lieu calme, encore en lien avec la nature verte -ce qui n’est pas le cas de beaucoup d’endroits à Saint Malo. C’est un espace qui mérite vraiment d’être protégé, surtout à une époque où il faut limiter l’artificialisation des sols.

Le PLU prévoit de construire sur ces terres. Or, d’après les données publiques, la ville pourrait répondre à ses besoins en logement sans étendre autant l’urbanisation.

Par ailleurs, j’affirme que le développement du Campus II, en plus de consommer de l’espace, ne semble pas justifié, ni du point de vue des logements, ni de celui de l’enseignement. Pourquoi la ville ne privilégie-t-elle pas la réhabilitation des logements existants ? et quelles mesures seront prises pour préserver les espaces naturels de la Banneville à long terme ?

Je vous remercie de prendre en compte mon avis et d’y répondre, s’il vous plait,

Je vous prie d’agréer, Madame la Présidente, mes salutations respectueuses.

Bruno ROY

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