Contribution n°25 (Email)
Déposée le 23 mai 2025 à 11h24
A l’attention de Mr le Commissaire enquêteur
Contribution à l’enquête publique 5 Challes les eaux
Pour l’association Ensemble à Challes
Cordialement
Patrick CAILLET
28 Le Clos des Crettes
73190 Challes-les-Eaux
Document joint
Contribution n°24 (Web)
Déposée le 22 mai 2025 à 18h06
Je souhaiterais la solution de 2 immeubles de 3 étages sur l'ancienne usine , actuellement occupée par le collectif La Madrée.
Cordialement.
E.Volhuer
Contribution n°23 (Web)
Déposée le 22 mai 2025 à 16h30
Bonjour,
Dans le cadre de cette consultation publique relative à la modification du PLU, je souhaite exprimer mon intérêt à être consulté dans les réflexions entourant les futurs projets de construction sur la parcelle I18, à Challes-les-Eaux.
Cette parcelle, désormais réservée à la réalisation de logements sociaux, pourrait faire l’objet d’un projet de construction dans un avenir proche. Je suis actuellement en train de développer une ferme urbaine sur les terrains voisins (I17, I254, I15 & I243, en location auprès de la commune depuis 2023), en lien direct avec cette parcelle (I18).
Il me semble que cette situation représente une belle opportunité d’innover en intégrant harmonieusement cette ferme dans le futur aménagement du site. Un passage végétal relie d’ores et déjà les deux espaces, incluant des arbres et une mare, créant un écosystème en devenir. Il serait regrettable que ces aménagements soient remis en cause ou négligés dans le cadre du projet de construction. ( Passage sur la parcelle I18 pour relier I15 et 117)
C’est pourquoi je sollicite la possibilité d’être associé aux discussions futures. Mon objectif est de contribuer à un projet cohérent, durable et respectueux de l’environnement, qui prenne en compte :
la continuité du projet,
l’accessibilité à la ferme,
la sécurité de la ferme,
la préservation de la biodiversité,
et la complémentarité entre habitat et agriculture urbaine.
Je reste à disposition pour échanger à ce sujet et apporter toute contribution utile au projet.
Bien cordialement,
Contribution n°22 (Web)
Déposée le 22 mai 2025 à 14h45
Madame, Monsieur,
Dans le cadre de la modification n° 5 du PLUi, je souhaite soutenir le reclassement de la parcelle E 263, située à La Ravoire (73490) au sein de l’OAP 129 « Roc Noir », de la zone UAM1 vers la zone UAM2.
Cette évolution répond à plusieurs enjeux d’intérêt général :
Dynamisme économique local
L’implantation d’un complexe de loisirs indoor et d’un « village d’entreprises » créera des emplois directs et indirects dans les secteurs du sport, de la restauration et des services aux entreprises.
Elle renforcera l’attractivité du sud de l’agglomération sans concurrencer les centralités existantes, conformément à la logique de rééquilibrage portée par l’OAP 129.
Optimisation d’un foncier aujourd’hui sous-exploité
La zone UAM2 autorise la mixité d’usages ; elle constitue le cadre le plus pertinent pour accueillir des activités de loisirs et tertiaires tout en maîtrisant la densité bâtie.
Le projet prévoit un traitement paysager et des performances énergétiques alignées sur les orientations environnementales du PLUi (gestion des eaux pluviales, toitures végétalisées, mobilités douces).
Renforcement du maillage d’équipements pour les habitants
L’offre de loisirs couverts est encore limitée sur notre territoire ; ce complexe répondra aux besoins intergénérationnels, été comme hiver, au bénéfice des familles et des associations locales.
Le village d’entreprises adossé au site favorisera les coopérations entre acteurs locaux, soutenant l’économie circulaire et réduisant les trajets domicile-travail.
Convaincu qu’il constitue une opportunité de développement équilibré et durable pour le territoire, je vous remercie de l’attention portée à cette contribution et reste à disposition pour tout complément d’information.
Veuillez agréer, Madame, Monsieur, l’expression de ma considération distinguée.
Contribution n°21 (Web)
Déposée le 22 mai 2025 à 13h44
Document joint
Contribution n°20 (Web)
Déposée le 20 mai 2025 à 17h45
1, rue de la Banque
Ancien Couvent des Carmes – XVIIe siècle
73000 CHAMBERY
À l’attention de Monsieur le Maire
73000 CHAMBERY
Objet : Contestation du projet de construction dans l’îlot du Chardonnet
Monsieur le Maire,
Propriétaire d’un bien situé au 1, rue de la Banque, au sein de l’ancien couvent des Carmes datant du XVIIe siècle, je souhaite vous faire part de ma vive inquiétude et de ma ferme opposition au projet immobilier envisagé dans l’îlot du Chardonnet.
Ce n’est que par l’intermédiaire d’un collectif de riverains, qui s’est donné la peine de nous informer via des affichages sur les bâtiments concernés, que j’ai découvert l’existence de ce projet ainsi que la tenue de l’enquête publique. Je regrette profondément que la mairie n’ait pas pris l’initiative d’informer plus largement et directement les propriétaires concernés. Vous savez pourtant parfaitement nous retrouver chaque année pour le recouvrement des taxes foncières — mais il semble que, cette fois, nous ayons été « oubliés ».
Le projet envisagé dans ce secteur historique prévoit des constructions allant jusqu’à R+5+toit, dans une zone classée historique où les bâtiments ont du R+2/3 maximum. Ce dépassement, en totale inadéquation avec le cachet et l’histoire du quartier, est d’autant plus préoccupant que l’argument avancé est celui de la densification. Or, cette densification est non seulement contestable dans un tel périmètre patrimonial, mais également dangereuse sur le plan social et sécuritaire.
Avant d’envisager l’arrivée de nouveaux habitants, il serait indispensable de résoudre les problèmes déjà bien connus du quartier du faubourg Montmélian : absence de stationnement, nuisances sonores nocturnes, insécurité, trafic de stupéfiants, dégradation des immeubles, et sentiment général d’abandon du secteur. Ajouter de nouveaux bâtiments de grande hauteur ne ferait qu’aggraver une situation déjà fragile, tout en masquant et dévalorisant les bâtiments anciens qui mériteraient au contraire d’être mis en valeur.
Pour toutes ces raisons, je m’oppose fermement à ce projet et à la densification de ce quartier sinistré. Il est urgent de repenser ce projet avec une réelle ambition patrimoniale et une attention sincère aux habitants déjà présents.
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Maire, l’expression de mes salutations distinguées.
Virginie Aubertin
Contribution n°19 (Web)
Déposée le 20 mai 2025 à 17h38
Document joint
Contribution n°18 (Web)
Déposée le 19 mai 2025 à 10h44
Quand nous avons découvert le projet de supprimer le parking pour le remplacer par un immeuble de 5 étages afin d’avoir la même hauteur que celui qui existe (?), il nous a été facile de mesurer l’impact sur notre immeuble orienté plein sud dans l’impasse : perte d’ensoleillement tout l’hiver, perte de la vue lointaine verdoyante toute l’année et doublement du nombre de résidents dans notre courte impasse. Quel propriétaire accepterait un tel dérèglement dans sa qualité de vie ?
Proche du faubourg Montmélian qui a vu ses classiques commerces disparaître au profit d’une vie nocturne bruyante et même des points de deal, le secteur Chardonnet a connu des soirées agitées, rodéo compris. Deux aménagements, la vidéo surveillance face à la rue du Chardonnet et surtout l’installation d’un plot escamotable au niveau de la rue Pasteur nous ont redonné le calme passé en éloignant les points de deal, diminuant la circulation et les rassemblements nocturnes. Sincèrement, notre qualité de vie s’est améliorée, moins de mouvements, moins de stationnements sur les lignes jaunes de l’impasse, moins de rassemblements, la tranquillité était revenue !!!
Hélas, cet OAP 161 signerait un inacceptable retour en arrière. La suppression récente de la borne escamotable a déjà eu comme conséquence la recrudescence des nuisances passées. Les lignes jaunes dans l’impasse sont des « chanceuses » places toujours libres pour les clients du Faubourg après 18h… Les incivilités de tout genre sont revenues. Une surpopulation dans l’impasse risque de les aggraver.
Cette extension résidentielle nous promet une dégradation générale de notre qualité de vie en annulant tous nos efforts des dernières années pour une vie plus tranquille. Demain la circulation, les embouteillages dans la rue du chardonnet et l’impasse sans rond-point de retournement, et peut-être des rassemblements, voire le retour de point de deal et pire des faits divers tragiques comme ceux qu’on a déjà connus rue du Laurier feront à nouveau notre insécurité.
Est-elle bien judicieuse cette extension résidentielle dans un quartier encore gangréné par la drogue et les incivilités de tout genre : dépôts sauvages de canettes, papier, sacs d’ordures ménagères, disputes etc..
Qui peut anticiper l’effet de doubler des résidents dans une si petite impasse ? L’air du temps aujourd’hui n’est-il pas à supprimer les quartiers surpeuplés au profit de zones décongestionnées où il fait bon vivre dans le calme, la sérénité et plus de sécurité.
Espoir de voir cette OAP 161 profondément repensée prenant en compte tous les enjeux futurs de notre société dont l’évolution interroge après chaque nouvelle incivilité ou plus…
Conserver le parking nous parait judicieux à plusieurs égards : plus de fluidité, nos acquis d’ensoleillement et de vue conservés, une impasse où le bon vivre persistera.
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Contribution n°17 (Web)
Déposée le 16 mai 2025 à 21h40
En tant qu’habitant du quartier concerné par le projet de construction de 55 logements sur le secteur de l’Impasse du Chardonnet, comme d'autres précédemment je souhaite également exprimer mon inquiétude vis à vis de ce projet immobilier, qui risque d’altérer profondément et durablement la qualité de vie des riverains, déjà menacée, tout en déséquilibrant l’aménagement urbain actuel.
Je vous prie de bien vouloir prendre en compte les éléments suivants :
1. Gestion des déchets : une situation déjà critique
La gestion des déchets dans notre quartier est aujourd’hui problématique et saturée. Des conteneurs aériens ont été récemment installés au 126 rue Pasteur et devant le Puits Pasteur, mais ils sont rapidement pleins et donnent lieu à des dépôts sauvages constants, dégradant fortement l’environnement immédiat. Le service des déchets nous a informés qu’il était impossible d’installer de nouveaux conteneurs rue du Chardonnet, les camions de collecte ne pouvant plus manœuvrer en marche arrière. Cela signifie que les déchets générés par les 55 nouveaux logements devront être absorbés par des points de collecte déjà saturés, ce qui est ni réaliste, ni acceptable.
2. Circulation et accessibilité : un réseau inadapté
Le quartier est desservi par des voiries étroites, souvent en impasse ou à sens unique, inadaptées à une circulation plus dense. La construction de 55 logements entraînerait une augmentation considérable du trafic automobile, générant davantage de bruit, de pollution de l’air et de risques pour la sécurité des piétons et cyclistes. Les rues sont déjà encombrées aux heures de pointe et difficilement accessibles pour les véhicules de secours ou de service, ainsi que les camions de livraison.
3. Bétonisation excessive et vulnérabilité climatique
Le quartier, notamment la rue et l’impasse du Chardonnet, est déjà entièrement bétonné, sans arbres ni espaces verts. Cette minéralisation rend le secteur particulièrement invivable lors des épisodes de fortes chaleurs, qui s’intensifient avec le réchauffement climatique. Plutôt que d’ajouter du bâti dense, il devient urgent de désimperméabiliser, de végétaliser et de créer des zones naturelles de fraîcheur, ce que ce projet ne prévoit nullement.
4. Stationnement : un déficit déjà manifeste
Le stationnement est déjà tendu dans le quartier. Les besoins engendrés par 55 logements supplémentaires seront considérables. Or, les projets de ce type prévoient rarement un nombre suffisant de places privatives, ce qui aggravera la saturation des rues. Aujourd’hui déjà, de nombreuses voitures stationnent devant des entrées de maisons et d’immeubles, faute d’alternative. Le projet risque de rendre la situation ingérable et conflictuelle pour les habitants.
5. Une dégradation globale de la vie de quartier
À tous les niveaux — propreté, circulation, stationnement, environnement — ce projet risque d’aggraver significativement les conditions de vie dans le quartier. Il ne répond ni aux besoins locaux, ni aux exigences environnementales et sociales d’un urbanisme responsable.
6. Refus du classement de notre maison au « Petit Patrimoine »
Enfin, nous tenons à exprimer notre refus du classement de notre maison située au 123 rue Pasteur au titre du « Petit Patrimoine ». Ce classement représenterait une contrainte supplémentaire injustifiée, alors même que nous faisons déjà face à de nombreuses difficultés de cadre de vie. Il serait bien plus pertinent de concentrer les efforts sur l’amélioration concrète du quartier, notamment en matière de gestion des déchets, végétalisation et revalorisation de l’espace public, plutôt que d’imposer un classement symbolique à deux maisons isolées.
Pour conclure, ce projet présente, selon moi, de nombreux impacts négatifs non compensés pour les riverains et ne s’inscrit pas dans une logique de développement durable, ni d’harmonie avec le tissu urbain existant.
Il me semble souhaitable que ce projet fasse l’objet d’une réflexion approfondie et, dans cette perspective, qu’une concertation élargie avec les habitants concernés puisse être engagée avant toute décision définitive.
Merci de l'attention que vous porterez à cette contribution.
Bien cordialement,
David Redon
Contribution n°16 (Web)
Déposée le 16 mai 2025 à 16h08
Je suis une habitante du quartier de Bissy avec des enfants scolarisés à l'école Jacques Prévert.
Nous nous déplaçons essentiellement en vélo.
Nous restons encore un quartier préserver sans hyper urbanisation même si depuis quelques années m, il y a une augmentation des logements avec des conséquences directes sur la circulation notamment au rond point de la croix de Bissy que nous devons obligatoirement prendre pour aller à l'école ou pour prendre l'autoroute d'où notre choix du vélo.
Une installation d'une telle aire diminuerait les espaces verts.
La mairie fait des travaux dans certaines écoles pour les arborer, pour diminuer la betonisation et notre école subirait l'inverse...
L'accès à cette aire couperait une nouvelle fois la piste cyclable qui est déjà dangereuse. On ne peut pas nous insiter à prendre le vélo et interrompre des voies cyclables aux abords d'école.
Et dernier point, Chambéry fait fasse à une crise du logement avec des personnes qui travaillent et qui n'arrivent pas à se loger dans Chambéry ce qui les obligent à s'éloigner du centre, à prendre une voiture, avec encore un impact environnemental mais on proposerait une aire mise à disposition gracieusement avec des travaux payés par le contribuable quasi au centre de Chambéry.
Merci pour ce temps qui nous ai donné pour nous exprimer en espérant que nos arguments soient pris en considération.