Contribution n°52 (Web)
Déposée le 31 mai 2025 à 09h55
Il me semble que la moindre des choses dans ce type de projet est a minima de prendre attache des propriétaires en amont or, aucune information ni consultation préalable émanant de la Mairie ou de Grand Chambéry n’est arrivée jusqu’à moi (et pourtant la police municipale sait parfaitement me trouver quand une branche dépasse un peu ou quand elle a besoin de faire ouvrir ma cave en mon absence pour s’assurer qu’aucun chat sauvage ne s’y est trouvé enfermé).
Le projet prévoit de passer la parcelle de UGCE à UGI, elle serait alors la seule parcelle de ce type coincée entre des UGCE, UGe et UD. Rien ne justifie un tel changement de classification alors que les terrains voisins et notamment la parcelle I 184 qui est tout autant boisée et en proximité immédiate de La Mère, seront prochainement remplacés par un ensemble d’immeubles. Cette parcelle I184 serait d’ailleurs bien plus adaptée au maintien d’une zone de continuité (corridor vert) pour permettre les déplacements de la faune entre le Mont Saint Michel et le lac du Bourget, elle est en effet, de par son emplacement et sa mise « en jachère » depuis des décennies, particulièrement prisée des animaux.
Je ne m’oppose aucunement à conserver des arbres, notamment, en bordure de route (rue des Comtes de Challes et avenue du Parc), dans la mesure de mes moyens ou en contrepartie d’une prise en charge de l’entretien et du renouvellement de ceux-ci par la collectivité, mais je m’oppose totalement à un reclassement de ma propriété en UGI, classification extrêmement contraignante et totalement injustifiée pour un terrain privé entouré de parcelles construites ou en construction. Cette classification dans l’environnement est assimilable à une confiscation privant le petit propriétaire que je suis de toute possibilité de permettre à mes enfants de construire leur logement sur la parcelle. Je trouve par ailleurs que cette classification est une véritable sanction alors que contrairement aux voisins je résiste depuis des années contre le harcèlement incessant des promoteurs immobiliers.
Au regard de l’ensemble de ces éléments, je sollicite le maintien en UGCE.
Contribution n°51 (Web)
Déposée le 30 mai 2025 à 22h52
En effet, ce n’est pas protéger notre habitat et le travail agricole que de reclasser ces zones dans un unique but de profit et de commercialisation d’habitations
Contribution n°50 (Web)
Déposée le 30 mai 2025 à 16h38
Ma contribution se porte essentiellement sur l'OAP thématique « continuités écologiques et lutte contre les ilots de chaleurs ».
Félicitations à Grand Chambéry pour la prise en compte de ce thème dans le développement des communes et des pistes d'adaptation du vivant face aux défis du changement climatique. C'est une belle étape en sachant que Chambéry sera la 6eme ville de France la plus impactée par la hausse de température (voir doc stratégie de désimperméabilisation du 12/12/2024 https://participons.chambery.fr/processes/desimper).
Je me permets de vous proposer des recommandations pour plus de pertinence à cette OAP.
A/ Dans le volet 1 paragraphe 2/ favoriser la préservation et le développement de la biodiversité au sein des projets (p. 7), un certain nombre de prescriptions est listé, sans en donner l'aspect opérationnel. Voici quelques propositions, pour toutes demandes de permis de construire où se trouve des réservoirs de biodiversité ou des corridors (trames vertes et bleues) :
- les communes devront exiger au mieux une étude environnementale par un ou une écologue. Le CIBI (Conseil International Biodiversité ) par son label BiodiverCity propose une liste d'écologues certifiés et un accompagnement lors du chantier.
- ou a minima les communes mettent à disposition des porteurs de projet et avant toute délivrance du permis un inventaire de l'atlas de la biodiversité. Une base de donnée existe déjà NaturaList, alimenté-es par des amateur-rices. Une meilleure communication avec des organismes locaux de défense de la nature ou de collectif d'habitants identifiés permettrait par leurs expertises d'usages de remettre aux porteurs de projets la pertinence des types de nichoirs, de leurs emplacements et des essences d'arbres à conserver ou à planter.
- Les communes désigneront dans les services d'urbanisme une personne en charge de vérifier avec sérieux si les demandes de permis de construire sont sur des parcelles concernées par des réservoirs biologiques, TVB, et de faire appliquer les 2 premiers points. Cette même personne devra s'assurer que le porteur de projet respecte bien les prescriptions de la présente OAP au moins une fois pendant et après chantier ou suivant une demande d'habitant.
Ou alors Grand Chambéry ou les communes engagent en interne un-e ou plusieurs écologues spécialistes en accompagnement des projets urbains.
Les agent-es de service espaces verts et élagage devront être informé-es de l'emplacement des réservoirs biologiques et trames vertes et bleues du pluiHD.
Tout une partie d'un boisement (OAP 107 Ancien internat de Vaugelas) a été coupé récemment par le service élagage de Chambéry (ce service aurai pu être épaulé par un ou une écologue) et un projet immobilier rase tout un ensemble haie et jardin centenaire dans la continuité de ce même "ex"-boisement, noté comme « inclus dans la trame verte et bleue urbaine ». De nombreuses espèces protégées dont l'écureuil roux sont menacées, un pan entier de leur territoire est amputé sans y appliquer la séquence ERC (Eviter Réduire Compenser).
B/ Dans le volet 3 Nature en ville et lutte contre la surchauffe urbaine sur la commune de Chambéry au paragraphe 2/ conserver les arbres et déployer la canopée dans les milieux urbains.(p. 33)
Attention à la possible interprétation de l'objectif de pourcentage de canopée fixé dans le cas où la canopée dépasse 15% et 25%, il serait possible de la réduire à 15%. Le texte "et/ou retrouver à minima 15% de canopée" est à supprimer pour éviter cette confusion !
Pour éviter toutes ces confusions, il serait intéressant que Chambéry se dote d'un « plan canopée ».
Des villes comme Lyon ou Strasbourg ont adopté leur plan. https://developpementdurable.grandlyon.com/en-actions/dispositifs-partenariaux/plan-canopee-larbre-au-service-du-climat-urbain/
C/ Dernière remarque figurant dans le règlement écrit du secteur urbain pour la zone UCA et plus précisément dans le tableau reliant le pourcentage de pleine terre à conserver à celui de l'emprise au sol (p.30).
Attention là aussi à l'interprétation des limites de pourcentages à 20, 40 et 60 % concernant l'emprise au sol. Rien n'est indiqué si c'est une limite incluse ou exclue, les mêmes limites sont reprises dans la tranche suivante laissant libre cours aux promoteurs de choisir la ligne qui les arrangent c'est à dire celle où il y a le plus petit pourcentage de pleine terre. En effet en limite max d'emprise au sol pour la zone UCA qui est de 60% , le promoteur peut très bien laisser que 10% de pleine terre au lieu de 20% comme le stipule la ligne juste au dessus, donc une pleine terre divisée par 2.
Consciente que nos contributions n'ont aucun poids, j'espère tout de même que certaines vous semblent pertinentes et que les responsables de la future modification n°5 du pluiHD en prendront compte, veuillez agréer mes sincères salutations.
Contribution n°49 (Web)
Déposée le 30 mai 2025 à 13h10
stade comme leur propre jardin et s'auto approprient des zones du stage créant des nuisances et des conflits avec les usagers du stade et les riverains.
Contribution n°48 (Web)
Déposée le 30 mai 2025 à 08h09
Étant donné qu'on habite en face du terrain nous préférons avoir des poneys et notre maraîchère que du béton et des immeubles
Merci par avance
Contribution n°47 (Web)
Déposée le 30 mai 2025 à 08h00
Je souhaite contribuer aux avis suite aux futurs projets de construction de Challes Les Eaux.
Je suis contre tous les projets à venir , car nous perdons tous les espaces verts de Challes les Eaux chaque jour un peu plus.
Il faut arrêter de tout betonner, nous devons préserver un minimum de verdure.
Il y a déjà trop de nouvelles constructions à Challes , trop de bétons, de moins en moins d'arbres et d'ombres.
Challes n'est bientôt plus que béton.
Et puis construire c'est bien mais il faut que les infrastructures suivent ce qui n'est pas le cas , la crèche ne suit plus , les écoles débordent....tout ca au detriment des familles et des enfants.
Et puis Challes les Eaux a perdu de son charme , de sa tranquillité, de son histoire.
Je souhaite que ma commune reste un endroit agréable à vivre , et qu'elle ne soit pas surpeuplé , plus assez équipé en infrastructures et qu'elle soit en souffrances , et surtout qu'on laisse une place à la nature ....
Personnellement je me sens de moins en moins bien dans ma commune.
Merci et on croise les doigts pour l'avenir
Contribution n°46 (Web)
Déposée le 29 mai 2025 à 19h42
Bonjour
Veuillez trouver en pièce jointe ma contribution à l'enquête publique.
Cordialement.
Document joint
Contribution n°45 (Web)
Déposée le 29 mai 2025 à 11h48
Le projet de modification N°5 du PLUIHD propose essentiellement sur Bassens le déclassement de terrains qui n’ont plus vocation à devenir constructibles et la mise en réserve de terrains en attendant un plan d’aménagement d’ensemble. Nous sommes favorables à ces propositions.
Nous sommes par contre totalement opposés aux raisons qui sous-tendent ces déclassements, telles qu’elle sont énoncées dans l’introduction page 87.
IL y est dit que ces déclassement sont le prélude à la densification au centre de la commune. « Une part importante de la production de logements sera ainsi réalisée sur des secteurs d’équipement de la commune non initialement prévus en habitat par le PLUIHD »
C’est à dire en fait sur des terrains actuellement préservés du centre ville.
Nous avons eu connaissance lors d’une réunion d’information en février 2024 de la volonté de la municipalité, avec l’appui du grand Chambéry, de construire des logements, non seulement dans la Livettaz, mais aussi, sur le terrain au nord de celle-ci, sur le terrain de sports actuel de la Plaine, sur tout le terrain autour de l’espace Colombe, sur les les terrains encore vierges au-dessous de la rue Lamarque, voire sur le terrain au nord du cimetière.
Ceci conduirait à construire sur les derniers terrains vierges de la commune, hors les Monts, au mépris de l’utilisation actuelle de certains comme équipements publics, au mépris du réchauffement climatique qui nécessite de conserver des espaces de respiration, au mépris des continuités écologiques, et au mépris des génération futures à qui on obérera toute possibilité d’aménagement.
On double la population en 15 ans à Bassens, mais on supprimerait une école sur deux et un terrain de sport sur 2 !
Cela dans le but que la commune de Bassens contribue aux constructions d’habitations sur le territoire du Grand Chambéry.
Or, la commune de Bassens a largement apporté sa contribution, elle a connu ces dernières années une urbanisation effrénée.
- Plus de 13 hectares, ont été artificialisés entre 2011 et 2024, sur le territoire de la commune qui n'en compte que 310.
- On y a construit 762 logements entre 2015 et 2021, soit une augmentation de 39% du parc immobilier. Dans le même temps, l’agglomération du Grand Chambéry augmentait son parc immobilier de seulement 8%, soit cinq fois moins.
- Entre 2015 et 2021, la population de Bassens est passée de 4000 à plus de 5100 habitants, soit une augmentation de 28% en 6 ans. Dans le même temps, la population du Grand Chambéry s'accroissait de 5%.
- Depuis 2021 le rythme s'intensifie encore à Bassens puisque plus de 350 logements ont été réalisés ou sont en cours de travaux.
- Les projets déposés représentent quant à eux encore au moins 200 logements à venir prochainement.
- Enfin il est prévu de mettre sur le marché entre 400 et 500 logements neufs ou en réhabilitation dans le parc de la Livettaz que la mairie a acquis.
La commune de Bassens va proposer dans les années qui viennent plus de 700 logements, entre les permis déjà déposés et les logements à prévoir au sein de la Livettaz. Il n’y a aucune nécessité de prévoir de construire des logements supplémentaires sur des terrains actuellement vierges.
Pour le plus long terme, nous ne contestons pas qu’il sera nécessaire d’offrir de nouveaux logements, notamment des logements sociaux et intermédiaires.
La zone commerciale de Bassens et Saint Alban-Leysse offre si on s’en donne la volonté de très fortes opportunités. Il s’agit, fait rare, d’une zone proche du centre ville et desservie par des bus à haut niveau de service et une voie verte cyclable. Il est absurde d’occuper cette surface par des entrepôts sans étages. Une étude de valorisation de cette zone doit être lancée dès à présent.
Contribution n°44 (Web)
Déposée le 29 mai 2025 à 09h49
A/ Il est appréciable que les préoccupations sur l’artificialisation importante d’espaces naturels, agricoles et forestiers permise par le PLUi HD ou le SCoT, notamment le secteur du Nant Petchi sur la commune de Saint-Alban-Leysse aient été notées dans le bilan de la pré-enquête fait par Grand Chambéry. Il sera très utile, pour le bien-être de la population, de bénéficier de terrains où implanter des jardins partagés et des professionnels du maraîchage ou de l’arboriculture qui pourraient alimenter la restauration scolaire ou les familles.
B/ Il est important d’atteindre des objectifs de mixité sociale dans l’habitat, surtout dans notre commune qui est en rattrapage de son retard. Cependant, la manière dont ces opérations sont conduites sur la commune semble contraire aux objectifs de baisse de l’artificialisation des sols. Ainsi, sur La Clusaz Hameau, les 14 logements pour la mixité sociale (sur les 45 de l’opération) sont installés dans une toute petite partie de la parcelle ; l’immense majorité du terrain est occupée par 18 villas individuelles dont 14 sont même pourvues de piscine. Il s’agit d’une manière difficilement acceptable de faire de la mixité sociale et de viser à limiter l’artificialisation des sols.
C/ Concernant le plan vélo, il serait urgent de prendre des mesures pour développer les modes actifs dans la partie ouest de la commune, côté Bassens. La partie est, côté Barby, est bien, voire très bien, pourvue et ce déséquilibre devrait être corrigé.
Contribution n°43 (Web)
Déposée le 29 mai 2025 à 00h04