Les contributions

Contribution n°72 (Web)

Anonyme
Déposée le 2 juin 2025 à 21h59
Bonjour
Je suis opposé au projet d installation du camp de gens de voyage qui jouxtera une école maternelle et primaire ainsi qu [...]
Bonjour
Je suis opposé au projet d installation du camp de gens de voyage qui jouxtera une école maternelle et primaire ainsi qu une propriété très ancienne reconnue avec un caractère historique.
Bien à vous

Contribution n°71 (Web)

Par Isabelle JUNET
Déposée le 2 juin 2025 à 21h57
1- Nous apprécions la prise en compte - dans le bilan de la pré-enquête présentée par Isabelle Dunod, vice-présidente chargée de l'urbanisme [...]
1- Nous apprécions la prise en compte - dans le bilan de la pré-enquête présentée par Isabelle Dunod, vice-présidente chargée de l'urbanisme - de l’attention portée à la préservation des espaces agricoles - propices notamment au maraîchage, à l’arboriculture ou à l’élevage de proximité - qui pourraient participer à la relocalisation de l’alimentation du territoire. Nous persistons dans nos critiques - notées dans le même bilan - de l’artificialisation importante d’espaces naturels, agricoles et forestiers permise par le PLUi HD ou le SCoT, notamment le secteur de Roc Noir sur la commune de La Ravoire, l’extension de Technolac sur la commune de La Motte-Servolex et le secteur du Nant Petchi sur la commune de Saint-Alban-Leysse.
2- Nous maintenons notre soutien à l’OAP Continuités écologiques et lutte contre la surchauffe urbaine qui décline des objectifs essentiels pour le bien-être et la santé de la population actuelle et future. Cependant, pour l’essentiel, il ne s’agit que de recommandations et il reviendra aux responsables politiques et à la population de veiller à leur mise en œuvre effective.
3- Nous réitérons notre détermination à préserver les terres agricoles, forestière et naturelles dans une perspective de Zéro Artificialisation Nette. Nous soutenons donc les opérations de réduction des surfaces urbanisées et d’atteinte des objectifs de mixité sociale (énoncés p.23 de la notice explicative). Cependant les ratios de logements sociaux ou en accession abordable, tels qu’ils sont actuellement fixés, rendent la mise en œuvre de ces opérations contraire aux objectifs annoncés.
Ainsi, la part minimale de 30% de logements sociaux (financés en PLS, PLUS et PLAI), maintenue dans les communes en rattrapage SRU, ne permet pas de rattraper le retard sans aller à l’encontre des objectifs de limitation de l’artificialisation des sols.
Prenons l’exemple de l’OAP 137 La Clusaz Hameau à Saint Alban-Leysse qui réalise 45 logements comprenant un bâtiment de 14 logements collectifs dont 9 destinés à des locatifs sociaux et 5 à de l’accession abordable. Le seuil de 30 % est respecté mais ces 14 logements sociaux s’accompagnent de la construction de 18 villas, dont 11 avec piscine individuelle et d’un autre immeuble de 13 logements. L’emprise au sol des 14 logements pour la mixité sociale (1200 m²) représente moins de 8 % de la surface construite de la parcelle (14 000 m² des 20 000 m² de la parcelle totale) alors que les 18 villas individuelles occupent 80 % de cette surface. Aucun espace de jeux n’est prévu dans les équipements collectifs spécifiés au permis de construire.
Avec un tel seuil de 30 % de logements sociaux ou en accession abordable, il faudra artificialiser des surfaces considérables avant de répondre à la demande cruciale de logements sociaux ou en accession abordable. Cette dérive va à l’encontre des objectifs de protection des surfaces agricoles ou naturelles et des efforts de réduction des surfaces à urbaniser qui sont proposés dans cette modification n°5.
4- Nous soutenons, dans cette perspective, les communes qui s’efforcent de densifier le bâtit existant en requalifiant des zones déjà urbanisées de manière à autoriser des bâtiments de quatre étages.
Certaines communes prennent des options qui dépassent ces seuils minima, montant à plus de 40 % la part de logement social dans les opérations de construction. Cette voie peut être intéressante mais elle peut aussi conduire à étaler les zones bâties, si les logements sociaux sont confinés dans une petite partie de la parcelle. Nous appelons donc à réduire la part des constructions individuelles sans mitoyenneté et à interroger urgemment les autorisations à construire des piscines individuelles qui artificialisent les sols. En conséquence, d’autres pistes doivent être explorées.
Une décision qui produirait le plus rapidement des logements sociaux sans artificialisation induite consiste à inciter les propriétaires et les bailleurs privés à confier leur bien à un bailleur social. Des dispositifs incitatifs existent déjà et devraient être valorisés. Une autre piste, à plus long terme, consiste à repenser les zones dédiées uniquement au commerce et à l’artisanat en les transformant en zones où l’habitat est possible. Par exemple, la zone économique de l’avenue de Chambéry, en direction du carrefour de La Trousse, abrite de nombreux commerces dans des sortes de hangars peu attractifs et vraisemblablement peu vertueux sur le plan énergétique. Les rebâtir en les intégrant à de l’habitat collectif, comme cela existe dans les centres de toutes les grandes villes, permettrait de loger plus sans artificialiser encore. Cela réduirait les transports automobiles des habitant.es du fait des commodités variées que proposent ces commerces, des couloirs de bus rapides déjà existants et de la proximité de la piste cyclable le long de la Leysse.
5- Nous soutenons les communes qui cherchent à promouvoir l’agriculture de proximité et celles qui créent des zones réservées aux jardins individuels, familiaux ou partagés. Ces derniers sont également des vecteurs de mixité sociale et devraient être encore plus encouragés. Ces avancées vers une certaine autonomie alimentaire sont importantes. Les produits cultivés sur place et dans une perspective agroécologique peuvent alimenter la restauration collective (crèches, écoles, etc.) et participer à l’amélioration de la santé des enfants et de la population en général. De plus, ces exploitations de proximité et ces dispositifs de jardins collectifs renforcent l’emploi et l’insertion par l’emploi sur le territoire.
6- Nous sommes absolument favorables au développement des trames vertes, noires, bleues et turquoises qui visent à préserver et à restaurer un réseau de continuités écologiques. Notre territoire étant situé entre les parcs de Chartreuse et des Bauges, nous serons particulièrement attentifs à ce que des continuités soient préservées ou rétablies. Nous porterons la même attention au niveau très local afin que chaque projet de construction soit réalisé de sorte que les espèces animales et végétales puissent circuler, s’alimenter, se reproduire, se reposer, assurant ainsi leur cycle de vie sur chaque zone de notre territoire, même les plus urbanisées.
7- Concernant les mobilités comme indiqué dans le programme d’orientation et d’actions « Déplacements », en matière de planification Grand Chambéry a montré sa compétence pour l’élaboration de schémas directeurs de mobilité. Nous regrettons néanmoins que les choix des tarification et d'une billettique intégrées pour l'ensemble des déplacements ne soient pas assorties d’objectifs de développement des mobilités actives et d’impacts en terme de réduction de la voiture individuelle.
8- Enfin, nous considérons que le développement de l’utilisation du vélo dans les trajets du quotidien doit avant tout être rapide et sécurisée : à titre d’exemple, nous regrettons que l’évolution du Schéma directeur cyclable passe sous silence un point essentiel pour la liaison de Chambéry à La Motte-Servolex.
- L’utilisation de la voie verte le long de la Leysse est agréable mais n’est pas fonctionnelle pour une part importante de la population qui circule entre ces deux villes en utilisant l’avenue de la Motte-Servolex de Chambéry et l’avenue Costa de Beauregard de La Motte-Servolex, trajet le plus direct et le plus rapide. Il est indispensable que l’ Avenue de la Motte-Servolex à partir du rond-point de Bissy vers Chambéry centre soit sécurisée. La bande cyclable non protégée n’est pas suffisante et dangereuse compte tenu de la circulation automobile.
- Le Schéma directeur cyclable indique « Cette avenue est équipée de bandes cyclables. En lien avec son statut de Piste Bleue, il faut rechercher une solution en site propre, qui devra peut-être attendre une future mutation du foncier pour dégager des emprises suffisantes. » Cette attente n’est pas compatible avec l’importance d’une liaison Chambéry La Motte-Servolex, la sécurité des cyclistes qui se rendent quotidiennement à leur travail notamment, l’encouragement que l’on doit faire auprès des enfants pour qu’ils se déplacent en vélo. Nous demandons que la ville de Chambéry affiche clairement une priorité plus forte à l’aménagement de la totalité de l’avenue de La Motte-Servolex afin d’avoir une continuité des aménagements cyclistes entre ces deux communes.
- D’autres circuits utiles aux trajets pour aller au travail sont dans la même situation, tels que les trajets vers Cognin et l’hôpital.

Groupe local Les Ecologistes de Chambéry
Le 02/06/2025

Contribution n°70 (Web)

Par Caroline de Regnauld de Bissy
Déposée le 2 juin 2025 à 21h26
Madame, Monsieur,

En tant que co-gérante de la SCI qui gère le Château de Bissy, en plein cœur du quartier de Bissy, mes parents [...]
Madame, Monsieur,

En tant que co-gérante de la SCI qui gère le Château de Bissy, en plein cœur du quartier de Bissy, mes parents y résidant régulièrement, je tiens à faire part de mon étonnement, incompréhension et de mon opposition au projet STECAL, route de la Labiaz, à Chambéry. L’OAP n°113 qui a été votée en novembre 2024 estime qu’il faut « porter une attention particulière à la proximité avec le château de Bissy qui se situe en continuité ouest du futur projet ». Cette volonté n’est clairement pas respectée avec le projet du STECAL qui se situerait directement de l’autre côté du chemin d’entrée dans le domaine. Le paysage s’en trouverait irrémédiablement altéré. Caravanes, mobil-homes, voitures stationnées en permanence et probablement autres installations qui pourraient déborder sur la voie publique et la piste cyclable en pleine journée, dégraderaient le paysage et la vie dans le quartier. Le secteur étant défini par le PLUi comme « ensemble paysager d’intérêt », il me parait être du devoir des autorités locales de le préserver.

En vous remerciant de prendre en compte les avis des habitants du quartier de Bissy,

Bien cordialement,

Contribution n°69 (Web)

Par Frédéric tabuena
Déposée le 2 juin 2025 à 19h47
Je pense qu'il y'a d'autre lieu qu'à côté d'une école.......et d'un château classe...
On aussi pas été mis au courant.....

Contribution n°68 (Web)

Par Chambon
Déposée le 2 juin 2025 à 15h26
Je suis contre la construction d'une Aire de gens du voyages sédentaire sur la route de la labiaz à Chambéry.
Il sera en jonction [...]
Je suis contre la construction d'une Aire de gens du voyages sédentaire sur la route de la labiaz à Chambéry.
Il sera en jonction de mon domicile. De celui de mon propriétaire M. De bissy ( Château de Beauregard) et de mon voisin. Et de celui de l'école Jacques Prévert..

Document joint


Contribution n°67 (Web)

Par Laurence CLERC-RENAUD
Déposée le 2 juin 2025 à 14h14
Avis dans le cadre de l’enquête publique du quartier Laurier Banque concernant l’OAP 161 concernant l’Ilot Chardonnet-Banque à Chambéry [...]
Avis dans le cadre de l’enquête publique du quartier Laurier Banque concernant l’OAP 161 concernant l’Ilot Chardonnet-Banque à Chambéry Centre : construction de 55 logements (de R+3 à R+5) sur le parking situé derrière notre copropriété située au 5 rue de la banque.


Je souhaite faire part de ma vive opposition au projet de construction de 55 logements prévu sur le parking situé à l’arrière de notre copropriété, pour les raisons suivantes :

1. Atteinte directe à la qualité de vie et au cadre de vie

Le projet entraînerait une perte importante d’ensoleillement et de vue dégagée, aujourd’hui ouverte, au profit d’un ensemble dense d’immeubles. Cette vue constitue un élément majeur du confort des habitants, notamment ceux dont les appartements donnent sur le parking.

De plus, la tranquillité actuelle du quartier serait gravement altérée par :
• L’ouverture au public d’un jardin et d’un passage piéton au sein d’un espace jusqu’ici privé et calme ;
• Une augmentation significative des nuisances sonores et de la fréquentation, notamment en soirée ou en période estivale.


2. Dégradation du patrimoine architectural local

Notre immeuble, de style haussmannien, présente un intérêt architectural et patrimonial réel, tant par son élégance que par son intégration harmonieuse dans le tissu urbain. Le projet de construction, par sa volumétrie, sa densité et sa proximité immédiate, romprait fortement l’équilibre esthétique et historique de l’environnement bâti. Cela nuirait non seulement à l’identité du quartier, mais également à la valeur patrimoniale de notre résidence.


3. Un quartier stable, habité aux 5 rue de la banque par des propriétaires occupants

Tous les résidents de notre immeuble sont propriétaires occupants, profondément attachés à leur cadre de vie. Cette configuration renforce la stabilité et la qualité du voisinage, tout en garantissant un investissement fort dans l’entretien des lieux et la préservation de la vie de quartier. Le projet envisagé, imposé sans concertation, fragilise cet équilibre de proximité durable.

4-Déséquilibre urbain et social du quartier

La construction de 55 logements va générer une densification excessive du quartier, sans que les infrastructures (voirie, stationnement, écoles, commerces) ne soient manifestement adaptées pour l’absorber.

Par ailleurs, ce projet entraîne la suppression d’espaces associatifs essentiels à la vie du quartier :
• La salle de billard, lieu de rencontre intergénérationnel et de lien social ;
• Une association artisanale locale, La Madré qui contribue à la diversité des activités du secteur et au dynamisme économique de proximité.

La disparition de ces structures irait à l’encontre des objectifs affichés en matière de mixité d’usages et de cohésion sociale.


5- Perte directe de nos places de stationnement

Le projet implique également la suppression du parking existant, utilisé quotidiennement par les habitants de la copropriété. Cela signifie une perte concrète et immédiate de nos places de stationnement, dans un quartier déjà soumis à une forte pression en matière de circulation et de stationnement.


6- Défaut de concertation et de transparence

Ce projet a été mené sans concertation préalable avec les copropriétaires voisins ni information claire à l’échelle du quartier. Nous avons appris l’existence du projet à un stade déjà avancé, ce qui a empêché toute discussion constructive en amont, notamment sur des solutions alternatives plus équilibrées. Nous sommes d’autant plus surpris d’avoir été écartés des discussions que nous étions depuis des années en pourparlers avec la mairie qui nous avait fait une offre d’achat totale ou partielle du parking. À cette proposition, nous avions manifesté notre intérêt, sans que cette initiative ne soit suivie d’effet de la part de la municipalité.
Plus récemment, un échange téléphonique approfondi a eu lieu avec Monsieur l’Adjoint au Maire chargé de l’urbanisme, également membre du conseil communautaire. À cette occasion, nous avons exprimé notre souhait d’être associés à toute réflexion concernant un éventuel projet immobilier ayant un impact sur le parking. Nous avons également évoqué la possibilité d’un montage dans lequel la copropriété pourrait être directement impliquée. Ces éléments avaient d’ailleurs été formalisés dans un courrier que nous lui avons adressé le 29 janvier 2024.

Un tel manque de dialogue est regrettable, d’autant plus que ce projet aura des impacts durables et directs sur notre environnement quotidien.



En conclusion :

Nous ne contestons pas le besoin de construire du logement, mais ce projet, tel qu’il est envisagé, porte atteinte à la qualité de vie, à la cohérence du tissu urbain, au patrimoine architectural local, et au fonctionnement des espaces sociaux existants. Il mériterait d’être profondément repensé, en intégrant les avis des riverains, et en respectant un véritable équilibre entre construction, cadre de vie, patrimoine et besoins collectifs.

Pour toutes ces raisons, je demande que ce projet ne soit pas retenu en l’état et fasse l’objet d’une révision en profondeur.

Contribution n°66 (Web)

Par Ungerer Philippe
Déposée le 2 juin 2025 à 12h31
Je tiens à apporter une remarque générale au sujet des parkings en surface dans le périmètre de cette enquête publique :
- les parkings [...]
Je tiens à apporter une remarque générale au sujet des parkings en surface dans le périmètre de cette enquête publique :
- les parkings en surface existants (publics comme privés) et leurs voies de circulation occupent une surface très importante;
- certains de ces parkings sont peu utilisés (ex. le parking de l'INSPE qui se trouve sous mes fenêtres, les parkings à proximité de la rotonde SNCF)
- les parkings en surface et leurs voies de circulation, par leur forte absorption de l'énergie solaire, contribuent grandement aux îlots de chaleur en ville;
- en conséquence il me semble important de réduire leur surface à terme;
- la mutualisation des parkings en surface est à promouvoir pour éviter une réduction trop importante des places de stationnement en surface.

Contribution n°65 (Web)

Par famille Pachoud
Déposée le 2 juin 2025 à 12h09
Nous réitérons notre demande inscrite 09/10/2024 lors de la préenquête

Demande au nom de Simone Pachoud et ses enfants.
Nous demandons [...]
Nous réitérons notre demande inscrite 09/10/2024 lors de la préenquête

Demande au nom de Simone Pachoud et ses enfants.
Nous demandons la suppression de partie de l'emplacement réservé Lat08 à Morion (parcelle F411) nous appartenant et seule possibilité de création de notre place de stationnement en vue de réhabilitation familiale de notre maison (F508)..
Cette modification N° 5 du PLUI prévoit sur la Thuile la suppression des ER Lat 01 et Lat 15 nous demandons donc la même évolution pour partie de Lat 08.
Dans l'attente d'une réponse favorable à notre demande ,
Salutations

Simone Pachoud
Thierry Pachoud
Nathalie Pachoud
Marie ange Pachoud

Contribution n°64 (Web)

Par WILSON, Michael
Déposée le 2 juin 2025 à 11h52
CHALLES LES EAUX

Je tiens à exprimer ma plus vive opposition aux projets de changement de zonage pour construction de logements sociaux [...]
CHALLES LES EAUX

Je tiens à exprimer ma plus vive opposition aux projets de changement de zonage pour construction de logements sociaux à Challes Les Eaux. Avec l'urbanisation et bétonisation effréné de Challes les Eaux depuis 4-5 ans il est non seulement temps de faire une pause, mais surtout il faudrait penser à restructurer les installations existantes et réserver cette espace à un éventuel agrandissement de l'école !!

Il est également surprenant de lire que la ville de Challes Les Eaux va se réserver une partie des anciens thermes au sud du parc. Comment faire ceci sans accord du propriétaire ? Donc qu'est qu'il devient la partie nord du parc ? Le propriétaire des Thermes demande à passer le parc en terrain constructible . Ceci serait-il déjà acté en coulisses (??) et ce changement est-il réservé au prochain PLUi pour encore un peu plus d'immeubles en béton là ou il y avait un joli parc arboré ?

Tout va à l'encontre d'un développement durable, sain et écologique.

Je m'oppose également à l'emplacement prévu pour les gens de voyage sédentarisés au rond-point du RD9, en face de l'arrêt de bus "Foret". Cet emplacement est totalement inadapté car trop proche des résidences et surtout sur une axe très chargé déjà. De plus, il n y a aucune concertation par l’équipe municipale en place avec les citoyens de Challes Les Eaux pour qu'on puisse exprimer nos idées/souhaits.

Contribution n°63 (Email)

Par patrick roges
Déposée le 1 juin 2025 à 15h46
Objet : Demande d'info

Bonjour,J'ai pris connaissance des informations concernant l'enquête publique et j'avoue que c'est très compliqué [...]
Objet : Demande d'info

Bonjour,J'ai pris connaissance des informations concernant l'enquête publique et j'avoue que c'est très compliqué de bien comprendre....J'habite sur Chambéry le Vieux et je possède du terrain agricole à côté de maisons construites. J'aurai aimé faire classer un morceau, soit environ 10000 m2, en zone constructible afin d'en faire bénéficier mes enfants.Est-ce que je peux, lors de cette enquête,  faire ma demande ?Dans l'attente de votre retour, et en vous remerciant par, Cordialement Janine MOLLARD et ses enfants

Apportez votre contribution à cette enquête publique : Déposer une contribution

Apportez votre contribution

Déposer un avis sur le registre dématérialisé de cette enquête publique est simple, sécurisé et si vous le souhaitez anonyme.

Il vous reste encore 1 jour.

Déposer une contribution