Contribution n°24 (Web)
Déposée le 29 octobre 2025 à 18h31
Nous vous sollicitons pour vous demander de bien vouloir modifier le zonage de notre terrain sur la commune de Steenbecque afin que celui-ci devienne constructible et non plus agricole.
Nous avons déjà déposé 9 demandes de construction : en 1978 1988,1995,1998,2000,2009,2016,2017 et 2019 pour notre parcelle cadastrée N°29 de la section C70 située au lieu dit « Groenland Veld « ( Cf .piece jointe : photo extrait cadastral )
Cette parcelle de 2902 m2 est classée en zone non inondable et se situe à environ 700m à vol d’oiseaux du centre du village.( voir photo vue aérienne)
Merci pour votre réponse.
Documents joints
Contribution n°23 (Web)
Déposée le 22 octobre 2025 à 15h31
2148 rue d'Eecke, parcelle ZH 144
En habitation: logement (y compris chambres d'hôtes limitées à 5 chambres) et hébergement
Commerce : artisanat
Document joint
Contribution n°22 (Web)
Déposée le 22 octobre 2025 à 02h39
Lors de l'enquête publique du 5 septembre au 7 octobre 2019, destiné à participer à l’élaboration du futur PLUI, ma compagne et moi avions demandé de maintenir ce que l'ancien PLU mentionnait : Conservation des haies, des arbres remarquables et de la physionomie générale des lieux et prairies. Nous ajoutions le classement de quelques arbres supplémentaires.
Nous mentionnons également qu’au début de l'automne 2019, nos voisins, nouveaux propriétaire de la parcelle voisine (parcelle n°ZC404 ou 414 sur géoportail.fr) avaient déjà partiellement entrepris, sans autorisation, la destruction d’arbres et haies classés pourtant déjà protégé par le PLU comme élément remarquable du patrimoine. Une destruction qui permettait a leurs fils gérant d’une EURL exploitant agricole, d’ augmenter sa surface de cultivation des champs voisins.
Évidemment, lors de cette consultation, de leur côté, il/elle avaient fait une demande de suppression de ces mêmes haies et arbres.
Après intervention de Mme le Maire Visticot, ainsi que la DDTM, ordre leur a été donné de stopper leurs travaux et remettre en état ce qu'ils avaient détruit.
Le rapport de cette commission d’enquête valide : Sur les plans présentés, que les éléments de l’ancien PLU doivent être repris dans le nouveau PLUI. Toutes nos remarques avaient été accordés. En revanche, les demandes de destructions de haies avaient été refusées.
Le jeudi 17 décembre les travaux reprirent. Malgré ses dires sans aucune autorisation. Le voisin en question passe outre ces interdictions et détruit l’intégralité des haies (soit l'équivalent de + 300M linéaires).
La PLU étant encore en vigueur et le futur PLUIH allaient dans ce sens.
Le 27 janvier 2020, les élus de la CCFI, validaient majoritairement le nouveau PLUI intercommunal.
En plus de cette destruction, ces messieurs (père et fils) ont utilisé des tonnes de terres pour combler les noues, modifiant ainsi l’hydrologie et la physionomie générale d’une zone humide et de la prairie. Sans autorisation et en le faisant devant des élus venus constater.
Fait troublant, les plans signés par les élus le 27 janvier 2020, pour officialiser le passage en PLUIH, étaient différents de ceux présentés suite à l’enquête publique et valdié en conseil municipal. Sur le document signé le 27 janvier, les arbres remarquables et les haies considérées comme éléments remarquables du patrimoine local avaient disparu. L’administration à considérer avoir fait une erreur. Ce qui est déroutant, c’est que cette haie faisant partie d’un ensemble étant la continuité de la mienne, et qu’étrangement seule la partie qui avait demandé une autorisation de destruction (et refusé) a été supprimée des plans signés par les élus.
Étonnant ? Pour une erreur… elle est sacrément ciblé, une seule suppression, sur l’ensemble de la planche, pile poil à cet endroit.
Aujourd’hui, même si le cout écologique mettra des années avant qu'il ne redevienne ce qu’il était avant la destruction, je demande que soit replantée, en lieu et place, les haies qui n'auraient jamais dû être détruites. Qu’elle soit composée, comme à l'origine, d'arbres de haut-jet et d'essences plus basses. Que cette haie soit classée, comme à l’origine, comme élément du patrimoine remarquable local. Que la prairie redevienne une prairie et non l’extension de la surface agricole. Et que les noues soient réouvertes pour retrouver le cycle hydrologique d’une prairie humide.
Également, je souhaiterais pouvoir construire une petite chaumière. Cet habitat traditionnel sera construit avec des matériaux locaux comme on pouvait les construire au siècle dernier. L’habitat aura pour vocation d’être un petit gite, écologique, totalement incorporé dans la nature et sera hors réseau, disposant d’un assainissement autonome.
Pour ce projet, je demande que la parcelle n°ZC403 (ou 403 sur géoportail.fr) soit classé en zone constructible. (Même partiellement, pas nécessairement sur l’ensemble de la parcelle).
Contribution n°21 (Web)
Déposée le 24 août 2025 à 20h53
Mesdames et Messieurs les Commissaires de l'Enquête Publique du PLUI-H Coeur de Flandres,
Je souhaite déposer une contribution. Il s'agit de la 5ème depuis 2019.
Lors de l'enquête publique de l'élaboration du PLUI-i-H en 2019, j'avais déposé une contribution (E516). J'avais fait une demande de révision de zonage pour la parcelle ZB45 afin que cette parcelle soit classée en zone urbaine (constructible).
Le rapport de la commission d'enquête avait émis la recommandation suivante : "l'argument de préservation des terres agricoles ne peut être retenu dans ce cas car la culture de cette parcelle semble peu envisageable avec les outils agricoles actuels. La CCFI devra donc trouver une solution avec le propriétaire pour que ce terrain soit valorisé". Un rendez-vous a donc été pris le 17 février 2020 avec Madame Agneray chargée de mission planification pôle aménagement et perspectives à la CCFI. Cette entrevue n'a malheureusement abouti sur aucune solution de valorisation.
Je rappelle les arguments cités en 2019 : le terrain ne permet pas d'exploitation agricole, car séparé matériellement de la zone agricole par un petit cours d'eau ("becque") ainsi qu'une haie, qui ne font pas partie de la parcelle. J'ajoute que l'élevage d'animaux interdit à moins de 25 mètres des habitations et la limitation des épandages par rapport aux habitations (règlementation des ZNT de 2020) appuient davantage ma requête concernant le reclassement de cette parcelle. En effet, en l'état, cette parcelle est perdue car inexploitable d'une quelconque manière.
Lors de la permanence de Cassel le 15 septembre 2022, je vous ai soumis mon projet de construction de résidence principale sur ce terrain de 30 ares 55 acheté il y a quelques années, à une valeur largement supérieure à celle d'un terrain agricole (le vendeur avait affirmé que le terrain serait classé constructible par la suite). Je précise que la consultation du dossier d'élaboration du PLUi-H indique que cette parcelle n'est pas concernée par des risques particuliers (inondation, lignes haute tension, etc). Les conclusions et avis de l'enquête publique E21000107/59 du 7 septembre 2022 au 7 octobre 2022 portant sur la modification de droit commun n°1 du PLUI-H étaient les suivants : section 2-3-4 les modifications de zonage (p.16 et 17) : "la commission attire l’attention de la CCFI sur quelques demandes qui devront être étudiées pour pouvoir envisager l’évolution du zonage des parcelles concernées soit dans une prochaine modification du PLUI-H soit lors de sa révision. Il s’agit, sur les communes de :[...] Ebblinghem : de A en U pour une partie de la parcelle ZB45"
Vous trouverez ci-après les arguments en faveur de cette requête :
1) En effet, ce terrain est immédiatement contigu à la zone UC "zone urbaine à vocation mixte" qu'il vient prolonger puisqu'il présente les mêmes caractéristiques que les terrains voisins, tandis qu'il est matériellement séparé du reste de la zone agricole par un cours d'eau. Il est desservi par la voirie et les réseaux ( eau, électricité, fibre optique), n'est exposé à aucun risque (la zone n'est pas inondable) et présente donc toutes les caractéristiques d'un terrain constructible.
=>annexe 1 issue de la planche de zonage ZONAGE_MDC_num2_janv24_EBBLINGHEM.pdf
=>annexe 1 bis issue de la planche de zonage RISQUES_MDC_num2_janv24_EBBLINGHEM.pdf
2) Par ailleurs, la parcelle classée agricole n'est pas utilisée à des fins agricoles et ne permet pas d'exploitation agricole, ce terrain étant séparé matériellement de la zone agricole par un petit cours d'eau ("becque") ainsi qu'une haie. Ce terrain ne sera donc jamais exploitable pour l'agriculture.On remarque d'ailleurs un triangle blanc (la parcelle ZB45) entre la zone de prairie (en vert) et la zone UA contigüe.
=>annexe 2 issue issue de la planche patrimoine PATRIMOINE_MDC_num2_janv24_EBBLINGHEM.pdf
=> annexe 3, vues de la parcelle Google Maps - matérialisation de la séparation par une haie de la zone "prairie" et cours d'eau
3) Je précise que l'emplacement de la parcelle permet des déplacements vers le centre du village, les écoles, les équipements de loisirs et vers la gare à pied, aisément, via des aménagements piétons existants - la nationale sans trottoir peut donc être évitée à pied (entre 5 et 10 minutes à pied maxi des lieux stratégiques précédemment cités).J'ajoute que la parcelle se situe dans le périmètre de l'OAP secteur gare (moins de 500 mètres).
=> annexe 4 : simulation des trajets piétons entre la gare, l'école, et la zone ZB45 par le sentier de l'Eglise aménagé qui évite la départementale 55 sans trottoir. => annexe 4 bis : OAP_Entite_Canal.pdf
Dans l'espoir que vous accorderez de l'intérêt à ma demande, je vous prie d'agréer, Mesdames et Messieurs les Commissaires, mes cordiales salutations.
- annexe 1 ZONAGE.pdf
- annexe 1bis RISQUES.pdf
- annexe 2 PATRIMOINE.pdf
- annexe 3 parcelle ZB 45 Ebblinghem Google Map.pdf
- annexe 4 simulations de trajets piéton.pdf
- annexe 4 bis OAP_Entité_Canal
Pièce(s) jointe(s) : 6
Documents joints
Contribution n°20 (Web)
Déposée le 24 août 2025 à 11h02
Nous nous sommes aperçus que notre parcelle, située au 478 route d’Hazebrouck 59173 Blaringhem, de référence cadastrale ZM353, est désormais classée en zone agricole et n’est donc plus constructible. Elle l’était pourtant lorsque nous l’avons achetée. Seule notre parcelle et celle de notre voisin semblent concernées. En effet, nous sommes les deux dernières maisons du centre ville. Est-il possible de remédier à cette situation, afin de repasser en zone UC?
Bien cordialement
Perrine et Alexis DENNEULIN
Contribution n°19 (Web)
Déposée le 22 juillet 2025 à 18h54
Le terrain est en zone NI je gère cette parcelle qui demande énormément d'entretien, je gère également les deux étangs, un destiné à la pêche et l'autre à l'élevage de poissons.
Nous sommes situé en bordure de route en face de l'entreprise deknudt et à 46 mètres à vol d'oiseau de l'air d'accueil des gens du voyage ( voir pièce jointe ) qui a été rénové et surélevé il y a peu de temps.
On nous a parlé d'un sous zonage juste pour une habitation ( petite partie constructible en bordure de route )
Merci à vous d'étudier notre demande.
Cordialement
Documents joints
Contribution n°18 (Web)
Déposée le 15 juillet 2025 à 12h58
Propriétaire d'une longère et de ses dépendances, nous habitons sur un bien communément appelé "une fermette". Cette dernière avait un usage agricole jusque dans les années 80. Trop petite, cela fait 30 à 40 ans que les dépendances n'ont plus d'affectation agricole. Nous sommes propriétaire de ce bien depuis avril 2021. Afin de pouvoir conserver le bâti, nous souhaitons que la grange et son petit hangar changent désormais d'affectation, pour devenir des m2 habitables.
Bien Cordialement
Contribution n°17 (Web)
Déposée le 9 juillet 2025 à 09h49
En retour de la réponse à la concertation numéro 1, il s'agit de la zone au niveau de la route de Locre, en face de l'EPSM.
Bien cordialement
Contribution n°16 (Web)
Déposée le 2 juillet 2025 à 16h22
En ces temps caniculaires, comme en période de fortes pluies, l'on se rend compte plus qu'à tout autre moment de l'importance de la végétation. Les ilôts de fraicheur manquent, les corridors naturels sont réduits à leur plus stricte minimum.
L'automobile est sur le déclin, il ne s'est jamais vendu aussi peu de voiture que ces derniers temps. Les modes de déplacement doux sont encore très limités, du fait de l'importance de la voiture et de l'importante circulation sur notre territoire.
Il semble plus que jamais essentiel de promouvoir les espaces verts et les espaces naturels, qu'ils soient collectifs ou agricoles, renforcer le paysagement des nouvelles constructions, limiter autant que faire se peut la bétonisation, dans l'esprit de la loi ZAN, même si la loi TRACE vient par la suite remettre en cause certains principes.
Notre territoire a connu une forte expansion, accentuée par une activité économique importante, et une urbanisation laissant de nombreuses dents creuses qui se sont comblées au fur et à mesure. Aujourd'hui, à l'heure où le nombre de famille monoparentale n'a jamais été aussi élevé, le pavillon individuel doit être repensé. L'extension des zones U et Au sur les zones agricoles doit être exceptionnelle. Les friches, industrielles ou urbaines, doivent être mises à profit pour refaire la ville sur la ville.
Contribution n°15 (Web)
Déposée le 28 juin 2025 à 08h18
C'est le département le plus peuplé de France.
Sur la communauté d'agglo, aucun plan d'eau significatif (le plus "grand" est l'étang des 4 fils Aymon...). Les haies se font rares, et l'habitat est fragmenté.
Autant dire qu'ici, les causes anthropiques de la chute de biodiversité sont évidentes.
Si l'on veut conserver le peu de biodiversité qui reste, et mettre en valeur le patrimoine naturel, il faut aller au-delà des objectifs de la loi ZAN sur la période précédent 2050.
Il serait bon également de penser à recréer de véritables zones humides permanentes (énormément de mares ont été comblées, et nous n'avons aucun grand plan d'eau...).
Prendre en compte aussi la plantation de haies : ce sont des réservoirs de biodiversité, elles permettent une partie de lutte contre les inondations, et surtout elles mettent en valeur nos paysages (le remembrement a fait tellement de dégâts...).
Ces quelques actions paysagères et en faveur de la biodiversité permettront également un réel attrait touristique (notamment populations urbaines venant de la MEL et souhaitant "voir de la campagne").
Merci !