Contribution n°61 (Web)
Anonyme
Déposée le 18 novembre 2025 à 20h04
Déposée le 18 novembre 2025 à 20h04
Ma famille et moi sommes habitants de Villers-le-Lac depuis de nombreuses années, et nous tenons profondément à ce que la Combe Fève reste intacte. Cet endroit est bien plus qu’un simple chemin de promenade : c’est un véritable espace de respiration, un coin de nature préservée qui accueille des activités culturelles, ainsi que des sorties sportives et pédagogiques pour les élèves des écoles du centre, qui s’y rendent régulièrement avec leurs enseignants. C’est aussi, et surtout, un espace de vie essentiel pour la faune et la flore.
Il ne s’agit pas de bloquer toute construction, mais de veiller à ce qu’elle se fasse au bon endroit. Je ne remets pas en cause la nécessité de construire, mais je crois qu’il faut choisir des sites adaptés. Ce terrain, par sa valeur écologique et son importance pour les habitants, ne devrait pas être urbanisé. D’autres espaces sont bien plus appropriés pour accompagner le développement de la commune sans sacrifier un lieu naturel précieux.
Merci à vous.
Il ne s’agit pas de bloquer toute construction, mais de veiller à ce qu’elle se fasse au bon endroit. Je ne remets pas en cause la nécessité de construire, mais je crois qu’il faut choisir des sites adaptés. Ce terrain, par sa valeur écologique et son importance pour les habitants, ne devrait pas être urbanisé. D’autres espaces sont bien plus appropriés pour accompagner le développement de la commune sans sacrifier un lieu naturel précieux.
Merci à vous.
Contribution n°60 (Web)
Anonyme
Déposée le 18 novembre 2025 à 10h37
Déposée le 18 novembre 2025 à 10h37
Ma famille et moi-même sommes habitants de Villers-le-Lac depuis de nombreuses années, et nous tenons profondément à ce que la Combe Fève reste intacte. Cet endroit est bien plus qu’un simple chemin de promenade : c’est un véritable espace de respiration, un coin de nature préservée qui accueille des activités culturelles, des sorties sportives et pédagogiques pour les élèves des écoles du centre et de nombreux habitants de Villers qui s’y rendent régulièrement pour se ressourcer. C’est aussi, et avant tout, un espace de vie essentiel pour la faune et la flore.
Malheureusement, l’artificialisation des sols progresse inexorablement, remplaçant des espaces naturels irremplaçables par du béton et de l’asphalte. À chaque surface imperméabilisée, ce sont des fonctions essentielles qui disparaissent : infiltration de l’eau, stockage du carbone, régulation thermique, préservation de la biodiversité. Les sols, pourtant vivants et précieux, sont condamnés dès qu’on les recouvre. Les conséquences sont déjà visibles : inondations plus fréquentes, chaleur accrue, perte d’espèces et appauvrissement des paysages.
Cette transformation n’a rien d’inévitable : réhabiliter, renaturer et limiter l’étalement urbain sont autant de solutions possibles. Protéger nos sols, c’est préserver notre cadre de vie, nos paysages et notre avenir collectif.
Il ne s’agit pas de bloquer toute construction bien-sûr, mais de veiller à ce qu’elle se fasse au bon endroit. Je ne remets pas en cause la nécessité de construire, mais je crois qu’il faut choisir des sites adaptés. Ce terrain, par sa valeur écologique et son importance précieuse pour les habitants, ne devrait pas être urbanisé. D'autres espaces sont certainement plus appropriés pour accompagner le développement de la commune sans sacrifier un lieu naturel précieux.
Merci à vous.
Malheureusement, l’artificialisation des sols progresse inexorablement, remplaçant des espaces naturels irremplaçables par du béton et de l’asphalte. À chaque surface imperméabilisée, ce sont des fonctions essentielles qui disparaissent : infiltration de l’eau, stockage du carbone, régulation thermique, préservation de la biodiversité. Les sols, pourtant vivants et précieux, sont condamnés dès qu’on les recouvre. Les conséquences sont déjà visibles : inondations plus fréquentes, chaleur accrue, perte d’espèces et appauvrissement des paysages.
Cette transformation n’a rien d’inévitable : réhabiliter, renaturer et limiter l’étalement urbain sont autant de solutions possibles. Protéger nos sols, c’est préserver notre cadre de vie, nos paysages et notre avenir collectif.
Il ne s’agit pas de bloquer toute construction bien-sûr, mais de veiller à ce qu’elle se fasse au bon endroit. Je ne remets pas en cause la nécessité de construire, mais je crois qu’il faut choisir des sites adaptés. Ce terrain, par sa valeur écologique et son importance précieuse pour les habitants, ne devrait pas être urbanisé. D'autres espaces sont certainement plus appropriés pour accompagner le développement de la commune sans sacrifier un lieu naturel précieux.
Merci à vous.
Contribution n°59 (Web)
Par GUTKNECHT enguerrand
Déposée le 17 novembre 2025 à 13h47
Déposée le 17 novembre 2025 à 13h47
Bonjour j'habite à Villers le lac depuis maintenant 12 ans, et j'aimerais que la Combe Fève (parcelles F 154, F153, BK131, BK55, BK56) reste comme elle est. Je considère ce lieu important pour que l'on puisse se balader (comme on a pu le voir durant le COVID), on peut y faire des expositions, et l'école y va régulièrement pour observer la nature.
Contribution n°58 (Web)
Par Laperdrix Mathilde
Déposée le 17 novembre 2025 à 08h32
Déposée le 17 novembre 2025 à 08h32
En tant qu'habitant de Villers-le-Lac, je tiens à ce qu'on préserve la Combe Fève tel qu'elle est aujourd'hui : une belle balade, un lieu où l'on peut se ressourcer, refuge à la nature et même à la culture puisque des expositions photos ils ont organisés. C'est aussi une bulle d'oxygène pour les enfants des écoles du centre du village qui vont régulièrement à pied avec leur professeur pour le plus grand bonheur des petits et des grands. Ce qui permet au passage aux maternelles jouer dans l'herbe ce qui est actuellement impossible dans leur cour d'école bétonnée à l'excès...
Cette combe est un vrai petit paradis à préserver !
Cette combe est un vrai petit paradis à préserver !
Documents joints
Contribution n°57 (Web)
Par Grenouillet, Corinne
Déposée le 16 novembre 2025 à 07h33
Déposée le 16 novembre 2025 à 07h33
Préservation de l’entrée de Combe-la-Fève à Villers-le-Lac
Dans le projet de PLUI-H, j’ai constaté que les parcelles, situées à côté de la ferme Querry (F 154, F153, BK131, BK55, BK56), figurent dans une zone à urbaniser en priorité. Sans qu’aucun intérêt personnel n’entre en jeu (je ne suis pas propriétaire de ces parcelles), je trouve qu’urbaniser ce secteur est une mauvaise idée. Non seulement un agriculteur y fait paître ses troupeaux (vaches et chevaux comtois) depuis des années. Mais c’est un lieu de promenade très appréciée des Villériers. Jouxtant les immeubles de Combe-la fève, le nouveau quartier des côtes et les bâtiments collectifs des Jonquilles, Primevères et Perce-Neige, ce secteur est d’un accès facile et permet aux promeneurs de sortir très rapidement d’un cadre urbain pour s’adonner au plaisir de la contemplation, du footing ou de la balade de chiens. Cette combe est en effet particulièrement jolie, présentant un cadre campagnard typique du haut Doubs. Depuis plusieurs années, le club Patrimoine installe une exposition de photos le long du chemin agricole qui s’y enfonce. Un millier de visiteurs ont admiré ces photos l’an dernier. C’est par ailleurs un des rares endroits de balade champêtre (le seul, me semble-t-il) situé à proximité des habitations. Il me semble donc préférable que les parcelles indiquées soient maintenues en zone agricole.
En documents joints, deux photos présentent ce secteur.
Dans le projet de PLUI-H, j’ai constaté que les parcelles, situées à côté de la ferme Querry (F 154, F153, BK131, BK55, BK56), figurent dans une zone à urbaniser en priorité. Sans qu’aucun intérêt personnel n’entre en jeu (je ne suis pas propriétaire de ces parcelles), je trouve qu’urbaniser ce secteur est une mauvaise idée. Non seulement un agriculteur y fait paître ses troupeaux (vaches et chevaux comtois) depuis des années. Mais c’est un lieu de promenade très appréciée des Villériers. Jouxtant les immeubles de Combe-la fève, le nouveau quartier des côtes et les bâtiments collectifs des Jonquilles, Primevères et Perce-Neige, ce secteur est d’un accès facile et permet aux promeneurs de sortir très rapidement d’un cadre urbain pour s’adonner au plaisir de la contemplation, du footing ou de la balade de chiens. Cette combe est en effet particulièrement jolie, présentant un cadre campagnard typique du haut Doubs. Depuis plusieurs années, le club Patrimoine installe une exposition de photos le long du chemin agricole qui s’y enfonce. Un millier de visiteurs ont admiré ces photos l’an dernier. C’est par ailleurs un des rares endroits de balade champêtre (le seul, me semble-t-il) situé à proximité des habitations. Il me semble donc préférable que les parcelles indiquées soient maintenues en zone agricole.
En documents joints, deux photos présentent ce secteur.
Documents joints
Contribution n°56 (Web)
Par BOUHÉRET Alexandre
Déposée le 15 novembre 2025 à 17h49
Déposée le 15 novembre 2025 à 17h49
Bonjour,
Habitant chez le roy au fins. Nous trouvons anormal que le futur tracé de la route des microtechniques coupe le village des fins en 2 parties distinctes.
De plus nous entendons déjà les usagers de la route qui est dans le bois juste derrière chez nous.
Je trouve que ce tracé serait très dommageable aux charmes des hameaux qui sont juste sous ce tracé à cause du bruits , et de la vue de cette future route...
Dans le cas où cette route se construit, elle devrait être plus dans le dessus du bois pour arriver de l autre côté de la montagne, sur la route entre villers et morteau et aussi y construire des murs antibruits.
Habitant chez le roy au fins. Nous trouvons anormal que le futur tracé de la route des microtechniques coupe le village des fins en 2 parties distinctes.
De plus nous entendons déjà les usagers de la route qui est dans le bois juste derrière chez nous.
Je trouve que ce tracé serait très dommageable aux charmes des hameaux qui sont juste sous ce tracé à cause du bruits , et de la vue de cette future route...
Dans le cas où cette route se construit, elle devrait être plus dans le dessus du bois pour arriver de l autre côté de la montagne, sur la route entre villers et morteau et aussi y construire des murs antibruits.
Contribution n°55 (Web)
Par FEUVRIER Laurent
Déposée le 14 novembre 2025 à 17h58
Déposée le 14 novembre 2025 à 17h58
Bonjour,
Pour faire suite à la dernière réunion d'information sur le futur PLUi-H concernant la commune des Gras, à laquelle j'ai assisté, je me permets de vous faire part des remarques suivantes :
La seule zone constructible désignée (parcelle communale AB234) présente à mes yeux, plusieurs interrogations, à savoir :
- Situation en zone humide.
- Terrain en pente.
- Parcelle située dans un écart du village (hameau des Epaisses).
Propriétaire d'une parcelle située juste en face de celle désignée, il m'a été donné comme arguments afin de motivé le classement de ma parcelle en zone agricole, (anciennement classée en zone à bâtir) le fait que celle-ci soit justement dans un écart alors qu'elle se trouve entre le cœur du village et les Epaisses, donc à mes yeux mieux située que celle validée dans le futur PLUi-H...
Dans ces conditions, je me permets de vous demander de réévaluer la situation de mes parcelles cadastrées ZE3 et AB73, et ce dans un soucis de cohérence et d'équité.
Cordialement
Pour faire suite à la dernière réunion d'information sur le futur PLUi-H concernant la commune des Gras, à laquelle j'ai assisté, je me permets de vous faire part des remarques suivantes :
La seule zone constructible désignée (parcelle communale AB234) présente à mes yeux, plusieurs interrogations, à savoir :
- Situation en zone humide.
- Terrain en pente.
- Parcelle située dans un écart du village (hameau des Epaisses).
Propriétaire d'une parcelle située juste en face de celle désignée, il m'a été donné comme arguments afin de motivé le classement de ma parcelle en zone agricole, (anciennement classée en zone à bâtir) le fait que celle-ci soit justement dans un écart alors qu'elle se trouve entre le cœur du village et les Epaisses, donc à mes yeux mieux située que celle validée dans le futur PLUi-H...
Dans ces conditions, je me permets de vous demander de réévaluer la situation de mes parcelles cadastrées ZE3 et AB73, et ce dans un soucis de cohérence et d'équité.
Cordialement
Contribution n°54 (Web)
Par Munier Thierry
Déposée le 10 novembre 2025 à 10h52
Déposée le 10 novembre 2025 à 10h52
Concernant l'inventaire de ce qui est appelé "petit patrimoine", pourrait-on y faire figurer les orgues des églises. Celui de l'église de Villers mériterait d'ailleurs une rénovation.
Contribution n°53 (Web)
Par Victoria
Déposée le 9 novembre 2025 à 22h38
Déposée le 9 novembre 2025 à 22h38
Bonjour,
Serait-il possible de passer les parcelles numéro 297 et 298 de la section AE, situées au 1 rue fontaine l’épine à Morteau, en zone Ub ?!
En effet, l’industrie horlogère va bien pour le moment mais on ne sait jamais … de plus les parcelles sont limitrophes à la zone Ub et cela permettrait de créer de nombreux logements et stationnements couverts sans grignoter plus de foncier …
Merci,
Serait-il possible de passer les parcelles numéro 297 et 298 de la section AE, situées au 1 rue fontaine l’épine à Morteau, en zone Ub ?!
En effet, l’industrie horlogère va bien pour le moment mais on ne sait jamais … de plus les parcelles sont limitrophes à la zone Ub et cela permettrait de créer de nombreux logements et stationnements couverts sans grignoter plus de foncier …
Merci,
Documents joints
Contribution n°52 (Web)
Par Nusbaum Philippe
Déposée le 8 novembre 2025 à 07h23
Déposée le 8 novembre 2025 à 07h23
Bonjour
C'est un bâtiment emblématique qui nous rappelle l'époque où l'horlogerie faisait 'tourner notre Villers'. Une rénovation s'impose comme cela à été fait à l'ancienne douane. Le conserver et le destiner à une autre vie c'est conserver notre patrimoine et notre histoire.
C'est un bâtiment emblématique qui nous rappelle l'époque où l'horlogerie faisait 'tourner notre Villers'. Une rénovation s'impose comme cela à été fait à l'ancienne douane. Le conserver et le destiner à une autre vie c'est conserver notre patrimoine et notre histoire.
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