Contribution n°18 (Web)
Par Maria
Déposée le 2 décembre 2025 à 15h04
Déposée le 2 décembre 2025 à 15h04
Je considère que ce projet représente un exemple concret d’harmonie entre développement économique et respect de l’environnement. Il peut même devenir un élément de valorisation touristique, en montrant comment la Corse investit dans les énergies propres tout en préservant ses paysages. C’est un projet positif et je le soutiens sans réserve.
Contribution n°17 (Web)
Anonyme
Déposée le 2 décembre 2025 à 14h56
Déposée le 2 décembre 2025 à 14h56
Etudient à la faculté de Corse et originaire du canton, Je représente la génération qui devra vivre avec les conséquences du changement climatique. C’est pourquoi je soutiens pleinement la création de cette micro-centrale hydroélectrique. Elle montre que la Corse investit sérieusement dans un modèle énergétique plus propre. Ce projet est un signal positif envoyé aux jeunes : il prouve que l’on peut produire localement, de manière durable, et agir concrètement pour notre avenir.
Contribution n°16 (Web)
Par Dumenicu
Déposée le 2 décembre 2025 à 14h27
Déposée le 2 décembre 2025 à 14h27
La Corse doit accélérer sa transition énergétique et ce projet y participe de manière concrète. La micro-centrale de Cozzano contribuera à la production d’une énergie renouvelable, locale et décarbonée. Réduire notre dépendance aux importations d’énergies fossiles est un enjeu majeur, et ce type d’installation s’inscrit parfaitement dans cette stratégie. Je suis enthousiaste et j’appuie fermement la réalisation de ce projet visionnaire.
Contribution n°15 (Web)
Par Moretti Basiliu
Déposée le 2 décembre 2025 à 12h02
Déposée le 2 décembre 2025 à 12h02
Je souhaite exprimer un avis favorable au projet de centrale hydroélectrique prévu sur le Taravo, convaincu de son intérêt environnemental et de sa contribution à une transition énergétique respectueuse des équilibres naturels de la vallée.
La production hydroélectrique représente une énergie renouvelable, locale et décarbonée, essentielle pour réduire notre dépendance aux énergies fossiles. Le Taravo offre un potentiel hydraulique intéressant, permettant une production continue et prévisible, ce qui en fait une ressource stratégique dans un mix énergétique plus propre. La mise en service de cette centrale contribuera directement à diminuer les émissions de gaz à effet de serre à l’échelle du territoire.
Le projet présenté intègre par ailleurs des mesures environnementales ambitieuses :
Maintien de la continuité écologique grâce à des dispositifs de franchissement piscicole adaptés aux espèces locales, favorisant la préservation de la biodiversité du bassin versant.
Gestion raisonnée des débits, assurant la protection des milieux aquatiques et la garantie d’un écoulement minimal pour la vie du fleuve.
Intégration paysagère soignée, permettant une insertion harmonieuse de l’ouvrage dans l’environnement naturel et limitant l’impact visuel.
Suivi environnemental sur le long terme, témoignant d’un engagement concret en faveur de la protection de la faune, de la flore et des habitats sensibles.
Il est également important de souligner que l’hydroélectricité constitue l’une des formes d’énergies renouvelables les plus fiables et les plus efficaces. Sa flexibilité permet de stabiliser le réseau et d’accompagner le déploiement d’autres sources intermittentes comme le solaire ou l’éolien. Ce projet représente donc un atout majeur pour renforcer l'indépendance énergétique locale tout en préservant l’environnement.
Pour toutes ces raisons, et au regard des bénéfices écologiques attendus, j’émets un avis favorable au projet de centrale hydroélectrique du Taravo, convaincu qu’il s’inscrit pleinement dans une démarche durable, responsable et bénéfique pour le territoire.
La production hydroélectrique représente une énergie renouvelable, locale et décarbonée, essentielle pour réduire notre dépendance aux énergies fossiles. Le Taravo offre un potentiel hydraulique intéressant, permettant une production continue et prévisible, ce qui en fait une ressource stratégique dans un mix énergétique plus propre. La mise en service de cette centrale contribuera directement à diminuer les émissions de gaz à effet de serre à l’échelle du territoire.
Le projet présenté intègre par ailleurs des mesures environnementales ambitieuses :
Maintien de la continuité écologique grâce à des dispositifs de franchissement piscicole adaptés aux espèces locales, favorisant la préservation de la biodiversité du bassin versant.
Gestion raisonnée des débits, assurant la protection des milieux aquatiques et la garantie d’un écoulement minimal pour la vie du fleuve.
Intégration paysagère soignée, permettant une insertion harmonieuse de l’ouvrage dans l’environnement naturel et limitant l’impact visuel.
Suivi environnemental sur le long terme, témoignant d’un engagement concret en faveur de la protection de la faune, de la flore et des habitats sensibles.
Il est également important de souligner que l’hydroélectricité constitue l’une des formes d’énergies renouvelables les plus fiables et les plus efficaces. Sa flexibilité permet de stabiliser le réseau et d’accompagner le déploiement d’autres sources intermittentes comme le solaire ou l’éolien. Ce projet représente donc un atout majeur pour renforcer l'indépendance énergétique locale tout en préservant l’environnement.
Pour toutes ces raisons, et au regard des bénéfices écologiques attendus, j’émets un avis favorable au projet de centrale hydroélectrique du Taravo, convaincu qu’il s’inscrit pleinement dans une démarche durable, responsable et bénéfique pour le territoire.
Contribution n°14 (Web)
Par Gauthier
Déposée le 2 décembre 2025 à 12h00
Déposée le 2 décembre 2025 à 12h00
En tant que passionné de nature, je suis tombé amoureux de cette région depuis mon passage en 2019, je souhaite apporter ma contribution : L’hydroélectricité est une solution respectueuse qui utilise la force naturelle de l’eau pour produire une énergie propre. Ce projet me semble parfaitement adapté au caractère montagnard et aux cours d’eau de l’île. Il permet de tirer le meilleur du patrimoine naturel tout en le valorisant durablement. C’est une belle initiative que je soutiens pleinement et avec enthousiasme. Cozzano est un exemple en termes de développement des énergies renouvelables et dans bien d’autres domaines.
Contribution n°13 (Web)
Par PANTALACCI Stéphanie
Déposée le 2 décembre 2025 à 11h43
Déposée le 2 décembre 2025 à 11h43
Je soutiens pleinement le projet de micro-centrale hydroélectrique de Cozzano et la prise d’eau sur le Taravo. En tant qu’habitante attachée au développement durable de notre région, je considère qu’il est essentiel de valoriser nos ressources naturelles de manière intelligente. Ce projet permet d’allier modernité, autonomie énergétique et respect de notre environnement. Il représente une chance réelle pour l’avenir de notre territoire. Avis très favorable.
Contribution n°12 (Web)
Par Simeoni jean marc
Déposée le 2 décembre 2025 à 11h05
Déposée le 2 décembre 2025 à 11h05
Avis très positif : un projet qui aura de nombreuses retombées économiques pour les communes de Palneca et de Cozzano.
Contribution n°11 (Web)
Par ANTOINE LEANDRI Antoinette
Déposée le 2 décembre 2025 à 10h37
Déposée le 2 décembre 2025 à 10h37
Projet extrêmement vertueux puisqu'il évite l'importation de combustible fossile pour faire fonctionner la centrale du Vazzio (Dans le dossier: 500 tonnes équivalent pétrole évitées)
Contribution n°10 (Web)
Par Jean-Noel Renucci
Déposée le 2 décembre 2025 à 10h30
Déposée le 2 décembre 2025 à 10h30
Avis favorable au projet d'autant que ca évitera en corse l'émission de CO2 dans l'atmosphère et l'importation de fuel et de gaz pour faire fonctionner les centrales thermiques de corse, et de plus entrainera des recettes financières pour les communes de Palneca et Cozzano.
Contribution n°9 (Web)
Anonyme
Déposée le 29 novembre 2025 à 11h23
Déposée le 29 novembre 2025 à 11h23
Contribution à l’enquête publique – Opposition au projet de microcentrale hydroélectrique sur le fleuve Taravo
Madame la Commissaire Enquêtrice,
En tant que Corse qui fréquente très régulièrement la vallée du Taravu pour la pêche, la baignade, les activités de pleine nature (sentiers randonnée, Tanchiccia, Forêt enchantée …), mais également pour les produits locaux des ambassadeurs (dont je suis l’évolution sur le site internet « de la marque Taravu-Una vaddi in làscita), je souhaite exprimer mon opposition motivé au projet de microcentrale hydroélectrique sur ce fleuve emblématique de la Corse.
1. Un fleuve reconnu pour son état écologique exceptionnel
Le Taravo bénéficie du label “Sites Rivières Sauvages”. Ce label atteste de la qualité écologique exceptionnelle du fleuve, de son bon état de conservation et de sa faible artificialisation.
La présence d’espèces emblématiques et endémiques, de frayères préservées, ainsi que la continuité de la trame bleue font du Taravo un modèle de gestion équilibrée et intégrée de la ressource en eau.
Pour avoir assisté à une présentation du label « rivière sauvage du Taravu », il y a quelques années lors des journées du patrimoine à Argiusta, j’ai pu mesurer, à travers les actions du label, tout le travail effectué sur cette vallée en direction de l’environnement mais également pour ses habitants, ses artisans, ses producteurs, ses professionnels du tourisme, pour l’ensemble de la population Corse et pour les visiteurs d’où qu’ils viennent. J’ai également bien compris qu’un projet de microcentrale sur le fleuve entrainerait la perte du label.
Aussi, je vous saurais gré, Madame la commissaire enquêtrice, de prendre contact avec la structure qui attribue ce label, seule légitime pour dire si le label sera maintenu ou non.
2. Une incompatibilité totale avec la philosophie du territoire
Le Taravo est au cœur d’une démarche collective incarnée par le label “Site Rivières Sauvages” et la marque “Taravu – Una vaddi in làscita / Une vallée en héritage”, portée par les acteurs de la vallée du Taravo et qui relève de l’intérêt général.
Cette marque valorise un modèle de développement durable, fondé sur la qualité du patrimoine naturel et sur la transmission d’un héritage identitaire, culturel et paysager.
L’installation d’une microcentrale :
- contredirait les valeurs fondatrices de cette démarche,
- annihilerait la cohérence du projet de territoire,
- et fragiliserait les activités économiques liées à l’écotourisme, à la pêche, aux activités de pleine nature et à la valorisation locale.
3. Des impacts écologiques et hydrologiques significatifs
Les microcentrales, bien que présentées ici comme “douces”, génèrent des perturbations importantes :
- fragmentation de la continuité écologique,
- modification des débits et des régimes sédimentaires,
- atteinte aux habitats piscicoles,
- risque de perte du bon état écologique, en contradiction avec la Directive Cadre sur l’Eau (2000/60/CE) qui à pour objectif le maintien du bon état écologique.
Le bénéfice énergétique attendu est marginal, tandis que les dommages écologiques seraient durables et irréversibles.
4. Droit de propriété
Avant tout, je souhaite rappeler qu’aux termes de l'article 17 de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen : "la propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé si ce n'est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l'exige évidemment et sous la condition d'une juste et préalable indemnité".
En tant que Corse, je sais que le régime de l’indivision est très répandu chez nous. Faute de documents dans le dossier de consultation qui atteste de la propriété des parcelles et des accords écrit des propriétaires, je m’étonne que pour ce type de terrain, il y ait si peu d’indivisaires (surtout au regard des prénoms).
Fut un temps où les morts votaient en Corse, peut-être qu’aujourd’hui ils parlent …
Aussi, je vous saurais gré, Madame la commissaire enquêtrice, d’attester sur pièces, que ce projet bénéficie d’une réelle maîtrise foncière sur l’ensemble des terrains concernés et que chaque indivisaire a donné son accord. Ceci aurait dû être un préalable obligatoire au dépôt du dossier.
5. Conclusion
Le Taravo, fleuve labellisé et porteur d’identité, ne saurait devenir le support d’un projet industriel contraire à son essence même et contraire à l’intérêt général.
Comment un projet qui relève de l’intérêt particulier peut-il remettre en cause un label qui répond à l’intérêt général ?
Je demande que Madame la commissaire enquêtrice émette un avis défavorable et que les autorités compétentes rejettent le projet, au nom de la protection du patrimoine naturel, culturel et économique de la vallée du Taravo.
Veuillez agréer, Madame, la Commissaire Enquêtrice, l’expression de ma considération distinguée.
Madame la Commissaire Enquêtrice,
En tant que Corse qui fréquente très régulièrement la vallée du Taravu pour la pêche, la baignade, les activités de pleine nature (sentiers randonnée, Tanchiccia, Forêt enchantée …), mais également pour les produits locaux des ambassadeurs (dont je suis l’évolution sur le site internet « de la marque Taravu-Una vaddi in làscita), je souhaite exprimer mon opposition motivé au projet de microcentrale hydroélectrique sur ce fleuve emblématique de la Corse.
1. Un fleuve reconnu pour son état écologique exceptionnel
Le Taravo bénéficie du label “Sites Rivières Sauvages”. Ce label atteste de la qualité écologique exceptionnelle du fleuve, de son bon état de conservation et de sa faible artificialisation.
La présence d’espèces emblématiques et endémiques, de frayères préservées, ainsi que la continuité de la trame bleue font du Taravo un modèle de gestion équilibrée et intégrée de la ressource en eau.
Pour avoir assisté à une présentation du label « rivière sauvage du Taravu », il y a quelques années lors des journées du patrimoine à Argiusta, j’ai pu mesurer, à travers les actions du label, tout le travail effectué sur cette vallée en direction de l’environnement mais également pour ses habitants, ses artisans, ses producteurs, ses professionnels du tourisme, pour l’ensemble de la population Corse et pour les visiteurs d’où qu’ils viennent. J’ai également bien compris qu’un projet de microcentrale sur le fleuve entrainerait la perte du label.
Aussi, je vous saurais gré, Madame la commissaire enquêtrice, de prendre contact avec la structure qui attribue ce label, seule légitime pour dire si le label sera maintenu ou non.
2. Une incompatibilité totale avec la philosophie du territoire
Le Taravo est au cœur d’une démarche collective incarnée par le label “Site Rivières Sauvages” et la marque “Taravu – Una vaddi in làscita / Une vallée en héritage”, portée par les acteurs de la vallée du Taravo et qui relève de l’intérêt général.
Cette marque valorise un modèle de développement durable, fondé sur la qualité du patrimoine naturel et sur la transmission d’un héritage identitaire, culturel et paysager.
L’installation d’une microcentrale :
- contredirait les valeurs fondatrices de cette démarche,
- annihilerait la cohérence du projet de territoire,
- et fragiliserait les activités économiques liées à l’écotourisme, à la pêche, aux activités de pleine nature et à la valorisation locale.
3. Des impacts écologiques et hydrologiques significatifs
Les microcentrales, bien que présentées ici comme “douces”, génèrent des perturbations importantes :
- fragmentation de la continuité écologique,
- modification des débits et des régimes sédimentaires,
- atteinte aux habitats piscicoles,
- risque de perte du bon état écologique, en contradiction avec la Directive Cadre sur l’Eau (2000/60/CE) qui à pour objectif le maintien du bon état écologique.
Le bénéfice énergétique attendu est marginal, tandis que les dommages écologiques seraient durables et irréversibles.
4. Droit de propriété
Avant tout, je souhaite rappeler qu’aux termes de l'article 17 de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen : "la propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé si ce n'est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l'exige évidemment et sous la condition d'une juste et préalable indemnité".
En tant que Corse, je sais que le régime de l’indivision est très répandu chez nous. Faute de documents dans le dossier de consultation qui atteste de la propriété des parcelles et des accords écrit des propriétaires, je m’étonne que pour ce type de terrain, il y ait si peu d’indivisaires (surtout au regard des prénoms).
Fut un temps où les morts votaient en Corse, peut-être qu’aujourd’hui ils parlent …
Aussi, je vous saurais gré, Madame la commissaire enquêtrice, d’attester sur pièces, que ce projet bénéficie d’une réelle maîtrise foncière sur l’ensemble des terrains concernés et que chaque indivisaire a donné son accord. Ceci aurait dû être un préalable obligatoire au dépôt du dossier.
5. Conclusion
Le Taravo, fleuve labellisé et porteur d’identité, ne saurait devenir le support d’un projet industriel contraire à son essence même et contraire à l’intérêt général.
Comment un projet qui relève de l’intérêt particulier peut-il remettre en cause un label qui répond à l’intérêt général ?
Je demande que Madame la commissaire enquêtrice émette un avis défavorable et que les autorités compétentes rejettent le projet, au nom de la protection du patrimoine naturel, culturel et économique de la vallée du Taravo.
Veuillez agréer, Madame, la Commissaire Enquêtrice, l’expression de ma considération distinguée.
Apportez votre contribution à cette consultation :
Déposer une contribution