Contribution n°127 (Web)
Par Bernard CHAVAZ
Déposée le 16 décembre 2025 à 07h38
Déposée le 16 décembre 2025 à 07h38
Objet : Projet d’ouverture d’une carrière de pouzzolane sur les communes de La-Chapelle-Marcousse et Rentières
Monsieur le Commissaire Enquêteur,
En tant que dirigeant de la société Carrières De France (CDF), entreprise implantée en Auvergne et acteur dans le secteur de l’extraction et de la valorisation de la pouzzolane, je souhaite vous présenter, en tant qu’associé au projet, les motivations qui nous conduisent à engager cette demande d’ouverture d’une carrière au lieu-dit « Le Sarran » sur les communes de La-Chapelle-Marcousse et Rentières.
L’autorisation d’exploiter notre site historique actuel arrivera à échéance en 2030. Pour assurer la pérennité de l’entreprise, la continuité de la production et la sécurisation des emplois locaux, il nous est indispensable d’anticiper le renouvellement de nos gisements. CDF emploie aujourd’hui du personnel dont l’activité dépend directement de la poursuite d’une exploitation maîtrisée et durable. Sans ressource future identifiée, c’est l’ensemble de notre filière, nos salariés et les entreprises partenaires qui seraient fragilisés. En effet, la disparition d’un acteur économique n’est jamais saine pour la bonne concurrence, et donc, pour l’équilibre du marché. Par ailleurs, les besoins en pouzzolane sont en constante progression : disposer de nouveaux approvisionnements est indispensable pour sécuriser les entreprises consommatrices et éviter les ruptures d’approvisionnement.
La pouzzolane que nous produisons est un matériau d’intérêt national voire international, rare et provenant de gisements très localisés. Ce produit naturel et bas carbone répond à des besoins essentiels, dans des usages à forte valeur environnementale, agricole ou industrielle. Parmi ses principales applications, on peut citer par exemples les usages suivants :
• Amendements et substrats de cultures horticoles et agricoles ;
• Supports pour élevage aquatique et filtration piscicole ;
• Filtres pour stations d’épuration et dispositifs d’assainissement ;
• Bétons allégés ou techniques, notamment pour la construction durable ;
• Drainage des sols ;
• Applications thermiques ou ignifuges dans l’industrie ;
• Matériaux de paillage longue durée pour l’aménagement paysager.
Ces usages montrent que la pouzzolane ne se substitue pas aux autres matériaux des travaux publics : elle occupe au contraire une place technique spécifique que ne peuvent remplir ni les granulats traditionnels, ni les sables, ni les pouzzolanes d’importation dont l’empreinte carbone serait alors significativement plus élevée.
Conscients de l’importance du territoire dans lequel nous sollicitons cette autorisation, nous portons une grande attention aux préoccupations exprimées. Nous souhaitons rappeler que les oppositions et interrogations sont entendues avec bienveillance, et que notre démarche s’inscrit dans un dialogue continu avec les élus, les habitants et l’ensemble des acteurs locaux. Notre objectif est de proposer un projet exemplaire, respectueux de l’environnement comme cela est le cas dans le cadre de nos activités existantes. Nous rappelons qu’un site de 100 000 tonnes, reste un site de petite envergure, permettant un cadencement des transports raisonnable et raisonné.
Ainsi, parce que la pouzzolane est une ressource localisée et limitée, parce que notre entreprise doit anticiper les besoins futurs, et parce que ce territoire volcanique est l’un des rares en France à offrir un gisement de qualité, nous souhaitons obtenir l’autorisation d’exploiter la carrière de Sarran.
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Commissaire Enquêteur, l’expression de mes salutations distinguées.
Bernard CHAVAZ
Dirigeant – Société SAS CARRIERES DE FRANCE
Monsieur le Commissaire Enquêteur,
En tant que dirigeant de la société Carrières De France (CDF), entreprise implantée en Auvergne et acteur dans le secteur de l’extraction et de la valorisation de la pouzzolane, je souhaite vous présenter, en tant qu’associé au projet, les motivations qui nous conduisent à engager cette demande d’ouverture d’une carrière au lieu-dit « Le Sarran » sur les communes de La-Chapelle-Marcousse et Rentières.
L’autorisation d’exploiter notre site historique actuel arrivera à échéance en 2030. Pour assurer la pérennité de l’entreprise, la continuité de la production et la sécurisation des emplois locaux, il nous est indispensable d’anticiper le renouvellement de nos gisements. CDF emploie aujourd’hui du personnel dont l’activité dépend directement de la poursuite d’une exploitation maîtrisée et durable. Sans ressource future identifiée, c’est l’ensemble de notre filière, nos salariés et les entreprises partenaires qui seraient fragilisés. En effet, la disparition d’un acteur économique n’est jamais saine pour la bonne concurrence, et donc, pour l’équilibre du marché. Par ailleurs, les besoins en pouzzolane sont en constante progression : disposer de nouveaux approvisionnements est indispensable pour sécuriser les entreprises consommatrices et éviter les ruptures d’approvisionnement.
La pouzzolane que nous produisons est un matériau d’intérêt national voire international, rare et provenant de gisements très localisés. Ce produit naturel et bas carbone répond à des besoins essentiels, dans des usages à forte valeur environnementale, agricole ou industrielle. Parmi ses principales applications, on peut citer par exemples les usages suivants :
• Amendements et substrats de cultures horticoles et agricoles ;
• Supports pour élevage aquatique et filtration piscicole ;
• Filtres pour stations d’épuration et dispositifs d’assainissement ;
• Bétons allégés ou techniques, notamment pour la construction durable ;
• Drainage des sols ;
• Applications thermiques ou ignifuges dans l’industrie ;
• Matériaux de paillage longue durée pour l’aménagement paysager.
Ces usages montrent que la pouzzolane ne se substitue pas aux autres matériaux des travaux publics : elle occupe au contraire une place technique spécifique que ne peuvent remplir ni les granulats traditionnels, ni les sables, ni les pouzzolanes d’importation dont l’empreinte carbone serait alors significativement plus élevée.
Conscients de l’importance du territoire dans lequel nous sollicitons cette autorisation, nous portons une grande attention aux préoccupations exprimées. Nous souhaitons rappeler que les oppositions et interrogations sont entendues avec bienveillance, et que notre démarche s’inscrit dans un dialogue continu avec les élus, les habitants et l’ensemble des acteurs locaux. Notre objectif est de proposer un projet exemplaire, respectueux de l’environnement comme cela est le cas dans le cadre de nos activités existantes. Nous rappelons qu’un site de 100 000 tonnes, reste un site de petite envergure, permettant un cadencement des transports raisonnable et raisonné.
Ainsi, parce que la pouzzolane est une ressource localisée et limitée, parce que notre entreprise doit anticiper les besoins futurs, et parce que ce territoire volcanique est l’un des rares en France à offrir un gisement de qualité, nous souhaitons obtenir l’autorisation d’exploiter la carrière de Sarran.
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Commissaire Enquêteur, l’expression de mes salutations distinguées.
Bernard CHAVAZ
Dirigeant – Société SAS CARRIERES DE FRANCE
Contribution n°126 (Web)
Par Jacquet
Déposée le 16 décembre 2025 à 07h30
Déposée le 16 décembre 2025 à 07h30
Comment peut-on installer une carrière dans un coin reculé sans accès routier suffisant pour les dizaines de camions qui passeront par jour. Comment peut-on dénaturer ce site si beau , si calme et si propice a la randonnée avec sa flore si intéressante et sa faune si orecieuse.
Non a la carrière pour des intérêts personnels . Non a la carrière pour saccager la nature. Non a la carrière pour pourrir la vie (poussière, bruit, camions, ....) des habitants.
Non a la carrière pour des intérêts personnels . Non a la carrière pour saccager la nature. Non a la carrière pour pourrir la vie (poussière, bruit, camions, ....) des habitants.
Contribution n°125 (Web)
Par Pierre Rosnet commissaire enquêteur
Déposée le 16 décembre 2025 à 05h05
Déposée le 16 décembre 2025 à 05h05
Pour des raisons liées à la capacité d’accueil des locaux de la mairie de Rentières, la réunion publique de clôture de la consultation du 15 janvier 2026, initialement prévue à la salle communale de Rentières, aura lieu à la salle des fêtes d’Ardes-sur-Couze, 4 place Jean Garnier, de 18h à 20h.
Toutes les autres dispositions de cette consultation publique qui se déroulera jusqu’au 27 janvier 2026 sont inchangées.
Le présent avis sera publié sur le site internet spécialement dédié à la consultation du public et sera également affiché par les soins des maires en mairies de Rentières, la Chapelle-Marcousse, Ardes-sur-Couze, Dauzat-sur-Vodable, Mazoires, et Saint-Hérent.
Toutes les autres dispositions de cette consultation publique qui se déroulera jusqu’au 27 janvier 2026 sont inchangées.
Le présent avis sera publié sur le site internet spécialement dédié à la consultation du public et sera également affiché par les soins des maires en mairies de Rentières, la Chapelle-Marcousse, Ardes-sur-Couze, Dauzat-sur-Vodable, Mazoires, et Saint-Hérent.
Document joint
Contribution n°124 (Web)
Par Fery Elisabeth
Déposée le 15 décembre 2025 à 15h18
Déposée le 15 décembre 2025 à 15h18
Stop!!!
Contribution n°123 (Web)
Par novert jean-paul et joëlle
Déposée le 15 décembre 2025 à 10h28
Déposée le 15 décembre 2025 à 10h28
Nous sommes contre ce projet car habitant à saint germain lembron, route d'ardes, nous serons directement impactés par le passage de ces camions.
Ceux-ci vont entraîner des nuisances sonores, de la pollution, des dégradations de la chaussée. Du fait qu'ils vont traverser le centre ville de saint germain lembron, il y aura également une grande dangerosité au niveau des passages piétons, ce qui va concerner les enfants, les personnes âgées, etc...
Ceux-ci vont entraîner des nuisances sonores, de la pollution, des dégradations de la chaussée. Du fait qu'ils vont traverser le centre ville de saint germain lembron, il y aura également une grande dangerosité au niveau des passages piétons, ce qui va concerner les enfants, les personnes âgées, etc...
Contribution n°122 (Web)
Par Claude BRUGIERE
Déposée le 14 décembre 2025 à 21h15
Déposée le 14 décembre 2025 à 21h15
Monsieur Le ,Commissaire Enquêteur
Projet ouverture carrière sur le Sarran, commune Rentières et Chapelle-Marcousse
Avec mon épouse nous passons tous nos week-ends et vacances dans notre maison de famille au Chausse-Haut, vue direct sur le Sarran.
Vous comprendrez aisément ma plus totale désapprobation concernant le projet.
Suite à la demande d’autorisation d’ouverture de carrière, La Direction Départementale des Territoires précise en page 2, je cite :
« l’analyse du choix de site par le porteur de projet n’est pas présentée à la demande ».
« cela fragilise la justification des choix ».
Je m’étonne que nous n’ayons pas accès à cette étude, il serait intéressant de connaître leurs critères d’évaluations. A priori l’écologie et le transport n’en font pas parti. C’est regrettable.
Dans cette même page, je lis « dans le même sens, la possibilité d’une extraction en dent creuse n’a pas été examinée, alors qu’elle permettrait de réduire notablement les incidences paysagères de ce projet. »
Je suis totalement opposé à l’ouverture de cette carrière. Néanmoins, si elle doit nous être imposée, il est impératif que soit étudiée l’extraction en dent creuse pour réduire l’impact destructeur sur l’ensemble de la biodiversité du Sarran.
Toutefois cela ne réglera pas le problème majeur du transport avec des routes étroites, sinueuses et des traversées de villages extrêmement dangereuses.
Dans son rapport du 17/11/2025, la MRAE, en page 9/15 (paragraphe « alternatives examinées et justification des choix retenus au regard des objectifs de protection de l’environnement »), je cite :
« le choix d’un périmètre administratif départemental ne paraît pas cohérent, à tout le moins, une échelle interdépartementale aurait dû être étudiée »
« la demande d’autorisation porte sur une durée de 30 ans qui n’est pas justifiée »
La Société Carrières de France est une holding, pas seulement une entreprise de carrières.
Elle codirige l’entreprise « Pouzzolane de Saint-Arcons » située en Haute Loire qui a obtenu une autorisation d’exploitation le 23/06/2023.
Cette carrière prévoit d’extraire 2,355 millions de pouzzolane, à raison de 78.500 tonnes par an, jusqu’à 100.000 tonnes.
Aussi avant de venir défigurer le Mont Sarran, qu’ils se concentrent sur le site de St Arcons pour lequel elle a obtenu une autorisation.
Projet ouverture carrière sur le Sarran, commune Rentières et Chapelle-Marcousse
Avec mon épouse nous passons tous nos week-ends et vacances dans notre maison de famille au Chausse-Haut, vue direct sur le Sarran.
Vous comprendrez aisément ma plus totale désapprobation concernant le projet.
Suite à la demande d’autorisation d’ouverture de carrière, La Direction Départementale des Territoires précise en page 2, je cite :
« l’analyse du choix de site par le porteur de projet n’est pas présentée à la demande ».
« cela fragilise la justification des choix ».
Je m’étonne que nous n’ayons pas accès à cette étude, il serait intéressant de connaître leurs critères d’évaluations. A priori l’écologie et le transport n’en font pas parti. C’est regrettable.
Dans cette même page, je lis « dans le même sens, la possibilité d’une extraction en dent creuse n’a pas été examinée, alors qu’elle permettrait de réduire notablement les incidences paysagères de ce projet. »
Je suis totalement opposé à l’ouverture de cette carrière. Néanmoins, si elle doit nous être imposée, il est impératif que soit étudiée l’extraction en dent creuse pour réduire l’impact destructeur sur l’ensemble de la biodiversité du Sarran.
Toutefois cela ne réglera pas le problème majeur du transport avec des routes étroites, sinueuses et des traversées de villages extrêmement dangereuses.
Dans son rapport du 17/11/2025, la MRAE, en page 9/15 (paragraphe « alternatives examinées et justification des choix retenus au regard des objectifs de protection de l’environnement »), je cite :
« le choix d’un périmètre administratif départemental ne paraît pas cohérent, à tout le moins, une échelle interdépartementale aurait dû être étudiée »
« la demande d’autorisation porte sur une durée de 30 ans qui n’est pas justifiée »
La Société Carrières de France est une holding, pas seulement une entreprise de carrières.
Elle codirige l’entreprise « Pouzzolane de Saint-Arcons » située en Haute Loire qui a obtenu une autorisation d’exploitation le 23/06/2023.
Cette carrière prévoit d’extraire 2,355 millions de pouzzolane, à raison de 78.500 tonnes par an, jusqu’à 100.000 tonnes.
Aussi avant de venir défigurer le Mont Sarran, qu’ils se concentrent sur le site de St Arcons pour lequel elle a obtenu une autorisation.
Contribution n°121 (Web)
Par Golliard Françoise
Déposée le 14 décembre 2025 à 17h32
Déposée le 14 décembre 2025 à 17h32
Madame, Monsieur,
Je suis chauffeur de minibus scolaire et j’emprunte la route entre La Chapelle-Marcousse et Ardes-sur-Couze huit fois par jour, quatre jours par semaine — tout comme ma collègue.
Même avec l’habitude des routes de montagne étroites, la descente vers Ardes est particulièrement accidentogène en raison de son étroitesse à plusieurs endroits.
Dans ce contexte, l'augmentation de camions de tonnage important représente un risque majeur. Ces véhicules occupent une largeur importante de chaussée, disposent de marges de manœuvre limitées et nécessitent des distances de freinage plus élevées, surtout par temps de pluie, neige ou verglas, ce qui est fréquent dans notre région. Leur présence compliquerait considérablement les croisements, en particulier sur les secteurs où la route ne permet déjà pas à deux véhicules standards de se croiser en toute sécurité.
Cela pourrait mettre en danger les enfants que je transporte quotidiennement ainsi que l’ensemble des habitants qui utilisent cette route.
Autoriser un tel trafic entraînerait, selon moi, une lourde responsabilité compte tenu des risques évidents pour la sécurité.
Je vous remercie de l’attention que vous porterez à cette situation, dans un souci partagé de protection des usagers, en particulier des enfants transportés chaque jour.
Je suis chauffeur de minibus scolaire et j’emprunte la route entre La Chapelle-Marcousse et Ardes-sur-Couze huit fois par jour, quatre jours par semaine — tout comme ma collègue.
Même avec l’habitude des routes de montagne étroites, la descente vers Ardes est particulièrement accidentogène en raison de son étroitesse à plusieurs endroits.
Dans ce contexte, l'augmentation de camions de tonnage important représente un risque majeur. Ces véhicules occupent une largeur importante de chaussée, disposent de marges de manœuvre limitées et nécessitent des distances de freinage plus élevées, surtout par temps de pluie, neige ou verglas, ce qui est fréquent dans notre région. Leur présence compliquerait considérablement les croisements, en particulier sur les secteurs où la route ne permet déjà pas à deux véhicules standards de se croiser en toute sécurité.
Cela pourrait mettre en danger les enfants que je transporte quotidiennement ainsi que l’ensemble des habitants qui utilisent cette route.
Autoriser un tel trafic entraînerait, selon moi, une lourde responsabilité compte tenu des risques évidents pour la sécurité.
Je vous remercie de l’attention que vous porterez à cette situation, dans un souci partagé de protection des usagers, en particulier des enfants transportés chaque jour.
Contribution n°120 (Web)
Par BERGER Gisèle
Déposée le 14 décembre 2025 à 12h34
Déposée le 14 décembre 2025 à 12h34
Monsieur Le Commissaire Enquêteur,
Je vis à Rentières depuis toujours, ma famille depuis les années 1890. Je suis propriétaire d’un gîte, baptisé « le Sarran » qui accueille toute l’année de nombreux touristes, souvent randonneurs, et amoureux de nature sauvage.
Le site que propose de détruire Mr Lenègre, Maire de Rentières et actionnaire principal de l’entreprise Pouzzolane du Sarran, a été suffisamment exploité jusqu’à nos jours, parfois sans autorisation pendant les années 70/80.
Propriétaire d’une carrière sur le Volcan dans lesquels certains se sont bien servi, je ne veux plus voir ce volcan saccagé.
Ce projet va détruire nos paysages, le Sarran fait partie du Cézallier, nos paysages sont superbes et sauvages.
Faisant partie du Parc Régional des Volcans d’Auvergne, j’aime à penser que le PRNVA saura protéger notre cadre de vie paisible, sa faune et sa flore exceptionnelle. Peut être pouvons nous espérer que le fait d’être classé Zone Natura 2000 saura nous venir en aide.
Nos routes de campagne sinueuses et étroites, pas plus que nos ponts ne sont adaptés à l’important trafic de poids lourds (40 tonnes) qu’entrainera cette carrière. Ce trafic sera inévitablement accidentogène.
La semaine dernière, j’ai du rentrer dans un chemin pour laisser passer un poids lourd qui me « poussait » par un poids lourd qui me klaxonnait.
Une exploitation sera fatalement à l’origine de pollution, poussière et bruit.
Le captage d’eau qui alimente les villages de Rentières, Chausse Haut et Chausse Bas se trouve sous le Sarran, comment une telle extraction ne peut avoir de conséquences sur la ressource en eau. Sachant qu’il est prévu des tirs de mine, même occasionnels, c’est juste PAS POSSIBLE.
La menace du réchauffement climatique est déjà bien suffisante, inutile d’en rajouter pour des intérêts privés.
Aussi je suis totalement opposée à ce projet.
Merci de l’attention que vous porterez à ma contribution, je vous prie d’agréer, Monsieur le Commissaire Enquêteur, l’expression de mes salutations distinguées.
Je vis à Rentières depuis toujours, ma famille depuis les années 1890. Je suis propriétaire d’un gîte, baptisé « le Sarran » qui accueille toute l’année de nombreux touristes, souvent randonneurs, et amoureux de nature sauvage.
Le site que propose de détruire Mr Lenègre, Maire de Rentières et actionnaire principal de l’entreprise Pouzzolane du Sarran, a été suffisamment exploité jusqu’à nos jours, parfois sans autorisation pendant les années 70/80.
Propriétaire d’une carrière sur le Volcan dans lesquels certains se sont bien servi, je ne veux plus voir ce volcan saccagé.
Ce projet va détruire nos paysages, le Sarran fait partie du Cézallier, nos paysages sont superbes et sauvages.
Faisant partie du Parc Régional des Volcans d’Auvergne, j’aime à penser que le PRNVA saura protéger notre cadre de vie paisible, sa faune et sa flore exceptionnelle. Peut être pouvons nous espérer que le fait d’être classé Zone Natura 2000 saura nous venir en aide.
Nos routes de campagne sinueuses et étroites, pas plus que nos ponts ne sont adaptés à l’important trafic de poids lourds (40 tonnes) qu’entrainera cette carrière. Ce trafic sera inévitablement accidentogène.
La semaine dernière, j’ai du rentrer dans un chemin pour laisser passer un poids lourd qui me « poussait » par un poids lourd qui me klaxonnait.
Une exploitation sera fatalement à l’origine de pollution, poussière et bruit.
Le captage d’eau qui alimente les villages de Rentières, Chausse Haut et Chausse Bas se trouve sous le Sarran, comment une telle extraction ne peut avoir de conséquences sur la ressource en eau. Sachant qu’il est prévu des tirs de mine, même occasionnels, c’est juste PAS POSSIBLE.
La menace du réchauffement climatique est déjà bien suffisante, inutile d’en rajouter pour des intérêts privés.
Aussi je suis totalement opposée à ce projet.
Merci de l’attention que vous porterez à ma contribution, je vous prie d’agréer, Monsieur le Commissaire Enquêteur, l’expression de mes salutations distinguées.
Contribution n°119 (Web)
Anonyme
Déposée le 14 décembre 2025 à 11h10
Déposée le 14 décembre 2025 à 11h10
Contre ce projet.
Le projet montre clairement un conflit d'intérêt puisque le Maire de la Commune est actionnaire de cette société d'exploitation.
Par ailleurs, il existe déjà une carrière de scories à quelques kilomètres de là, carrière de Mazoires, dont le projet d'extension est déposée (absence d'avis par la MRAe sept.2020).
Par ailleurs, ce secteur abrite des espèces protégées animales (Pic Noir, Grand-duc d'Europe) et végétales : une évaluation fine de l'impact sur la Biodiversité n'a pas été présentée.
Le projet montre clairement un conflit d'intérêt puisque le Maire de la Commune est actionnaire de cette société d'exploitation.
Par ailleurs, il existe déjà une carrière de scories à quelques kilomètres de là, carrière de Mazoires, dont le projet d'extension est déposée (absence d'avis par la MRAe sept.2020).
Par ailleurs, ce secteur abrite des espèces protégées animales (Pic Noir, Grand-duc d'Europe) et végétales : une évaluation fine de l'impact sur la Biodiversité n'a pas été présentée.
Contribution n°118 (Web)
Anonyme
Déposée le 13 décembre 2025 à 18h58
Déposée le 13 décembre 2025 à 18h58
Avis défavorable, l'un des plus beaux coins du puy de dôme, une richesse naturelle et paysagère incomparable. La préservation de nos espaces doit être une priorité de nos élus.
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