Contribution n°67 (Web)
Déposée le 28 novembre 2025 à 12h53
Contribution n°66 (Web)
Déposée le 26 novembre 2025 à 21h06
Cette commune de Rentiéres qui était si naturelle, un cadre de vie exceptionnel à été saccagée depuis 2 mandats.
Des bâtiments avec panneaux photovoltaïques qui poussent partout, une casse, un garage qui ne respecte rien, et pourrait planter une haie pour cacher tout son bazar.
Une commune défigurée alors que la faune, la flore, le petit patrimoine, les points de vue, les hameaux sont vraiment très beaux.
Et quand en plus on sait que c est le maire lui même (qui a déjà créé une 1ere carrière lors de son 1er mandat)
Qui est la principal actionnaire de l entreprise qui devra défiguré le Sarran, c est vraiment révoltant.
C est lui qui s autorise à extraire la pouzzolane sur des terrains communaux. Honteux.
A plus de 65 ans ce Monsieur pourrait enfin nous laisser vivre tranquillement ici plutôt que nous imposer plus de 3.400 poids lourds par an.
Vous l avez compris je suis totalement opposé à ce projet.
Merci de nous entendre.
Contribution n°65 (Web)
Déposée le 26 novembre 2025 à 15h55
Contribution n°64 (Web)
Déposée le 26 novembre 2025 à 14h32
Contribution n°63 (Web)
Déposée le 25 novembre 2025 à 13h52
Déjà parce quee c est une atteinte majeure au paysage du Cézallier
Notre montagne constitue l’un des paysages les plus emblématiques du Massif central : vastes plateaux ouverts, caractère pastoral exceptionnel, biodiversité remarquable et identité visuelle unique.
Cette carrière c'est une dégradation irréversible de ces paysages d’altitude, pourtant reconnus pour leur valeur patrimoniale.
Ce serait aussi une artificialisation accrue d’un espace jusqu’ici préservé.
Il est évident que l'intégration paysagère annoncée par le porteur de projet ne permet en aucun cas de compenser l’impact réel et durable d’une telle exploitation.
Concernant l'important trafic de poids lourds qu elle engendra, ca me semble extrêmement préoccupant.
Le Maire de Rentières, à l initiative du projet ne peut y être sensible puisqu'il il possédait une entreprise de TP.
Le fonctionnement de la carrière générerait un trafic quotidien important de camions de fort tonnage, sur nos routes rurales totalement inadaptées à ce niveau de circulation,
dangereuses pour les riverains, les usagers et les activités touristiques.
Ce sera aussi une source de nuisances (bruit, poussières, vibrations),
contribuant à l’usure accélérée des infrastructures absolument pas adaptées, de l église d Ardes classée MH, des maisons de la ville basse d Ardes.
Regarder le Trion entre Le Chausse Bas et Rentières.
Montée mythique du Tour de France.
Ce trafic supplémentaire serait en contradiction totale avec les efforts engagés pour développer un tourisme de nature et préserver la tranquillité du Cézallier.
Ce projet est en total décalage avec
la vocation paysagère et écologique du territoire,
les politiques locales de transition écologique,
la nécessaire préservation des espaces naturels de moyenne montagne.
Ma cousinr vit entre autre de l'activité touristique du Cézallier, elle partira sur Besse si ce projet se réalise.
En plus c est le Maire de Rentières , principal actionnaire de Pouzzolane du Sarran qui s autorise lui même à exploiter des terrains qui appartiennent à la commune.
C est pas un peu bizarre...
Pour toutes ces raisons, je sollicite la non-autorisation du projet de carrière de pouzzolane dans le Cézallier.
Merci de l attention que vous portera à ma contribution.
Bien cdlt
Contribution n°62 (Web)
Déposée le 25 novembre 2025 à 10h07
Cependant, ce paradis est menacé par un projet d'extraction de pouzzolane qui détruira notre environnement. Chaque année, plus de 3.500 camions déferleront sur nos routes, causant dégâts et nuisances sonores qui non seulement perturberont nos vies quotidiennes, mais chambouleront l'écosystème fragile de cette région.
Il y a déjà une carrière à Mazoires, toute proche. Ajouter une autre carrière n'apportera que des perturbations environnementales et augmentera le trafic, posant un risque pour la sécurité de nos habitants, des touristes et de notre faune.
Il est de notre et de votre devoir de protéger et de préserver la beauté naturelle et la tranquillité de Rentières et de ses environs pour les générations futures. Ensemble, nous pouvons faire une différence en arrêtant ce projet destructeur.
Contribution n°61 (Web)
Déposée le 24 novembre 2025 à 22h38
Ce projet menace la ressource en eau. Les tirs de mines prévus pour l’extraction risquent de fragiliser la nappe phréatique, mettant en péril la source qui alimente plusieurs hameaux. Une fissure ou un déviement pourrait priver des dizaines de foyers d’eau potable. Peut-on apporter la garantie absolue que cette ressource vitale ne sera pas affectée ? Le principe de précaution doit s’imposer.
Le dossier de consultation publique présente des lacunes administratives et manque de transparence. Le Directeur départemental des territoires a relevé l’absence de validation par les autorités compétentes, notamment concernant la compatibilité avec le SCOT de l’Agglomération Pays d’Issoire. Aucune justification claire n’a été apportée sur le choix de ce site, ni sur l’absence d’étude d’alternatives moins impactantes. L’ARS, quant à elle, exige une expertise hydrologique indépendante pour évaluer les risques liés aux explosifs et à la protection du captage d’eau.
L’énorme trafic généré par la carrière (28 camions par jour, pesant de 14 à 44 tonnes) est incompatible avec les infrastructures locales et présente des risques pour la sécurité et le patrimoine. Les routes étroites et sinueuses, comme le Trion, deviendraient des couloirs de danger permanent, avec des croisements impossibles et des murs de soutènement instables. Le pont sur la Couze, incapable d’accueillir deux véhicules simultanément, et les traversées d’Ardes-sur-Couze et de Saint-Germain-Lembron, bordées d’habitations et de monuments historiques comme l’église gothique Saint-Dizaint (datant du XIVe siècle et classée aux Monuments Historiques), subiraient des vibrations et des nuisances insupportables. Ces infrastructures fragiles ne peuvent supporter un tel trafic sans mettre en péril la sécurité des bâtiments, des habitants et des visiteurs.
Par ailleurs, le projet constitue une atteinte à la biodiversité et au cadre de vie. Notre région, classée en Parc naturel et en zone Natura 2000, est un joyau de biodiversité. L’exploitation de la carrière porterait une atteinte irréversible à cet équilibre, avec des nuisances sonores, de la poussière et une dégradation des sols, affectant la faune, la flore et la qualité de vie des habitants.
Il est également à noter l’impact économique et touristique. Le paysage préservé et la tranquillité de notre territoire sont des atouts majeurs pour l’attractivité touristique. Le Parc Animalier d’Auvergne et le Centre de vacances de l’Agglomération Pays d’Issoire attirent chaque année des milliers de visiteurs. La dégradation du cadre de vie et le ballet incessant de camions lourds risquent de dissuader les touristes, mettant en péril une économie locale qui dépend de cette fréquentation.
Enfin, last but not least, il faut souligner un élément troublant : l’actuel maire de Rentières est actionnaire majoritaire (à 90%) de la société Pouzzolane du Sarran, SAS créée en 2022, dont l’activité est « La création d'une carrière de pouzzolane sur les communes de la Chapelle Marcousse (63420) et Rentières (63420), lieudit Sarran et son exploitation l'extraction, la transformation, le traitement, le conditionnement, le stockage, le commerce et le négoce, le transfert et le transport de matériaux issus de ladite carrière la location de véhicules ou de matériels liés à ces activités locations d'outillages prestations de services : conseils, études, prestations administratives, mise à disposition de moyens humains et/ou matériels brevets: prise, acquisition, exploitation ou cession de procédés de brevets liés aux activités ci-dessus ». Une telle situation pose une question fondamentale : n’y a-t-il pas là un conflit d’intérêts caractérisé ou une prise illégale d'intérêts ? Celle-ci (article 432-13 du CGCT) vise les élus qui utilisent leur fonction pour obtenir un avantage personnel ou pour une société dans laquelle ils ont un intérêt direct. A tout le moins, n’y aurait-il pas lieu de saisir la préfecture pour demander un contrôle de légalité sur les actes signés par le maire ?
Pour toutes ces raisons, je demande aux autorités compétentes de rejeter ce projet.
Contribution n°60 (Web)
Déposée le 24 novembre 2025 à 18h07
Et aujourd’hui, ce projet de carrière menace tout cela.
Imaginer des camions traverser la rue du village, cette rue trop étroite, trop fragile, fait naître une profonde inquiétude. Nous pensons à nos enfants, à nos anciens, à ceux qui circulent à pied ou à vélo. Nous imaginons le vacarme, les vibrations, la poussière qui s’élève et flotte dans l’air que nous respirons. Nous imaginons nos maisons trembler, nos jardins s’enlaidir, notre quotidien se fissurer un peu plus chaque jour.
Nous avons choisi de vivre ici pour la nature, pour le calme, pour cette harmonie discrète entre les habitants et leur environnement. Comment accepter que ces équilibres soient sacrifiés au profit d’un projet qui n’apporte rien à notre village, si ce n’est du bruit, de la pollution et des risques supplémentaires ?
Notre environnement n’est pas une ressource à exploiter, c’est un héritage à transmettre.
Notre village n’est pas une zone industrielle, c’est un foyer, un refuge, un lieu de mémoire et de liens.
Nous refusons que notre qualité de vie, la beauté de nos paysages et la sécurité de notre rue soient mises en péril. Nous ne voulons pas que le bruit remplace le chant des oiseaux, que la poussière recouvre nos fenêtres, que le passage incessant des camions efface la sérénité qui fait l’âme de notre village.
Pour toutes ces raisons, pour notre avenir et celui des générations qui suivront, nous nous opposons avec conviction et émotion à ce projet de carrière. Nous demandons qu’il soit abandonné, pour que notre village puisse rester ce qu’il a toujours été : un lieu où il fait bon vivre, en harmonie avec la nature.
Contribution n°59 (Web)
Déposée le 24 novembre 2025 à 14h30
Cela est un peu antinomique !
J'alerte donc l'État sur cette incohérence et demande que l'on puisse renoncer à ce projet d'extraction de la carrière du Sarran afin de continuer à protéger durablement notre territoire comme nous nous sommes engagés dans le cadre des différents dispositifs demandés par l'État.
Pascale BRUN
Vice Présidente à la responsabilité environnementale à l'Agglo Pays d'Issoire.
Contribution n°58 (Web)
Déposée le 24 novembre 2025 à 12h15