Contribution n°77 (Web)
Par Golliard Jean-Pierre
Déposée le 30 novembre 2025 à 18h29
Déposée le 30 novembre 2025 à 18h29
Je m’oppose à la création d’une carrière surdimensionnée
Document joint
Contribution n°76 (Web)
Par AUGIER Emmanuel
Déposée le 30 novembre 2025 à 16h31
Déposée le 30 novembre 2025 à 16h31
Madame, Monsieur,
Je souhaite exprimer mon opposition au projet de carrière de pouzzolane dans le Cézallier.
Ce territoire, qui a bercé mon enfance, est un paysage unique : un espace de nature préservée, de silence, d’estives et de biodiversité remarquable. Y ouvrir une carrière reviendrait à dénaturer un patrimoine qui fait l’identité du plateau.
Le projet présente également un risque sérieux pour le cyclotourisme, notamment sur l’itinéraire du Tour du Cézallier ( que je pratique chaque été ) , ainsi que pour les randonneurs ( Le circuit des Vaches Rouges ) . L’augmentation du trafic de camions compromettrait la sécurité, la tranquillité et l’attractivité de ces pratiques douces, pourtant essentielles à l’économie ( gites , chambre d hôte ) et au caractère du territoire.
Enfin, l’exploitation entraînerait la dégradation d’habitats naturels sensibles, déjà rares, et porterait atteinte à une biodiversité précieuse et fragile.
Pour toutes ces raisons — paysages, sécurité, tourisme doux, biodiversité — je vous demande de refuser ce projet et de préserver l’intégrité du Cézallier.
Veuillez agréer, Madame, Monsieur, l’expression de mes salutations distinguées
AUGIER Emmanuel
Je souhaite exprimer mon opposition au projet de carrière de pouzzolane dans le Cézallier.
Ce territoire, qui a bercé mon enfance, est un paysage unique : un espace de nature préservée, de silence, d’estives et de biodiversité remarquable. Y ouvrir une carrière reviendrait à dénaturer un patrimoine qui fait l’identité du plateau.
Le projet présente également un risque sérieux pour le cyclotourisme, notamment sur l’itinéraire du Tour du Cézallier ( que je pratique chaque été ) , ainsi que pour les randonneurs ( Le circuit des Vaches Rouges ) . L’augmentation du trafic de camions compromettrait la sécurité, la tranquillité et l’attractivité de ces pratiques douces, pourtant essentielles à l’économie ( gites , chambre d hôte ) et au caractère du territoire.
Enfin, l’exploitation entraînerait la dégradation d’habitats naturels sensibles, déjà rares, et porterait atteinte à une biodiversité précieuse et fragile.
Pour toutes ces raisons — paysages, sécurité, tourisme doux, biodiversité — je vous demande de refuser ce projet et de préserver l’intégrité du Cézallier.
Veuillez agréer, Madame, Monsieur, l’expression de mes salutations distinguées
AUGIER Emmanuel
Contribution n°75 (Web)
Par MOMPLOT G
Déposée le 30 novembre 2025 à 11h21
Déposée le 30 novembre 2025 à 11h21
J'habite dans un village de la commune de Rentières et suis très attachée à mon patrimoine d'enfance ainsi qu'à cette magnifique région.
Je suis très inquiète à l'idée que le projet de carrière de pouzzolane du Sarran puisse se concrétiser. Ce projet n'apporterait que des nuisances :
- passage de 2 ou 3 camions de 43 tonnes par heure sur des routes étroites et non conçues pour un trafic aussi intense, tel la descente du Trion particulièrement instable et dangereuse.
- traversée des rues étroites de la ville Basse à Ardes, avec d'énormes nuisances pour les riverains (bruit, pollution, vibrations, danger pour les enfants, etc)
- risques importants pour les monuments historiques tel que l'église Saint Dizains d'Ardes, inscrite au patrimoine et déjà fortement dégradée,
- un autre point très important ; je redoute que l'alimentation en eau de notre village soit mise à mal, polluée, voir la source tarie car elle se situe dans le Sarran et il semble qu'aucune étude approfondie n'assure la pérennité de cette source suite à des tirs de mine répétés qui font partie du projet.
- les conséquences écologiques sont également loin d'être négligeables dans cette zone sensible classée Natura 2000.
Le tourisme fait vivre bon nombre de personnes, notre région étant d'un intérêt capital du point de vue géographique, historique, botanique. Ce tourisme va être totalement mis à mal à cause du passage répété des camions, de la dégradation des routes et du site du Sarran sur lequel des chemins de randonnée sont très prisés.
Beaucoup de zones d'ombre et d'inquiétude dans ce projet qui n'apporte que des nuisances, c'est très inquiétant, sans parler du risque de conflit d'intérêt car le maire de Rentières est initiateur et majoritaire dans ce projet.
Je suis contre l'ouverture de carrière de pouzzolane dans le Sarran
Je suis très inquiète à l'idée que le projet de carrière de pouzzolane du Sarran puisse se concrétiser. Ce projet n'apporterait que des nuisances :
- passage de 2 ou 3 camions de 43 tonnes par heure sur des routes étroites et non conçues pour un trafic aussi intense, tel la descente du Trion particulièrement instable et dangereuse.
- traversée des rues étroites de la ville Basse à Ardes, avec d'énormes nuisances pour les riverains (bruit, pollution, vibrations, danger pour les enfants, etc)
- risques importants pour les monuments historiques tel que l'église Saint Dizains d'Ardes, inscrite au patrimoine et déjà fortement dégradée,
- un autre point très important ; je redoute que l'alimentation en eau de notre village soit mise à mal, polluée, voir la source tarie car elle se situe dans le Sarran et il semble qu'aucune étude approfondie n'assure la pérennité de cette source suite à des tirs de mine répétés qui font partie du projet.
- les conséquences écologiques sont également loin d'être négligeables dans cette zone sensible classée Natura 2000.
Le tourisme fait vivre bon nombre de personnes, notre région étant d'un intérêt capital du point de vue géographique, historique, botanique. Ce tourisme va être totalement mis à mal à cause du passage répété des camions, de la dégradation des routes et du site du Sarran sur lequel des chemins de randonnée sont très prisés.
Beaucoup de zones d'ombre et d'inquiétude dans ce projet qui n'apporte que des nuisances, c'est très inquiétant, sans parler du risque de conflit d'intérêt car le maire de Rentières est initiateur et majoritaire dans ce projet.
Je suis contre l'ouverture de carrière de pouzzolane dans le Sarran
Contribution n°74 (Web)
Par Falempin Richard
Déposée le 29 novembre 2025 à 17h42
Déposée le 29 novembre 2025 à 17h42
Je suis retraité Michelin depuis 3 ans , âgé de 63 ans, j’habite Saint-Germain-Lembron au 6 route d’Issoire, en face de la pharmacie depuis 20 ans.
Je suis donc au premier plan pour constater les nuisances de la circulation sur la D214 (ex RN9).
Autant le week-end, la circulation est modérée, alors qu’en semaine nous subissons un flux continu en journée de poids-lourds, engins agricoles, type très gros tracteurs toujours équipés de remorque ou autres engins pour l’agriculture, des moissonneuses batteuse très souvent équipées de leurs griffes ect … La largeur de ces engins ne les autorise pas à croiser d’autres véhicules.
Lorsqu’ils croisent des poids lourds, l’un d’eux voire les deux sont obligés de monter sur le trottoir, et souvent des deux cotés de la route, ce qui est particulièrement dangereux pour les piétons.
Les plots de protection dans les virages ne résistent pas à ces impacts et sont régulièrement arrachés du trottoir.
Je constate également des marches arrière hasardeuses place du Lembron ; la route formant ici un S difficile à franchir pour eux.
En automne, alors que le soleil se fait bas à l’horizon, la visibilité se trouve fortement dégradée. Je crains que les piétons, poussettes, et les petits cyclistes se rendant à l’école ne soient les victimes de cette circulation accrues que représenterait la circulation de ces camions venant de la carrière, car il ne fait aucun doute pour moi que la totalité du flux qu’elle engendrera passera devant chez moi !
Ensuite lors des départs et des retours de vacances, la A75 sature, et un flux continu de véhicules dévie à Saint Germain ! Comment se fera la circulation à ces moments-là ?
Quant-à la pollution engendrée, je la constate sur mes menuiseries en PVC blanc, donc un flux supplémentaire ne ferait qu’aggraver ce problème.
En tant que contribuable, je constate aussi la dégradation de la chaussée, des trottoirs lorsque ces véhicules les empruntent.
Il est indispensable que le flux de ces camions ne passe pas dans Saint germain,
Au vu de ces éléments, je suis contre la création de cette carrière.
Je suis donc au premier plan pour constater les nuisances de la circulation sur la D214 (ex RN9).
Autant le week-end, la circulation est modérée, alors qu’en semaine nous subissons un flux continu en journée de poids-lourds, engins agricoles, type très gros tracteurs toujours équipés de remorque ou autres engins pour l’agriculture, des moissonneuses batteuse très souvent équipées de leurs griffes ect … La largeur de ces engins ne les autorise pas à croiser d’autres véhicules.
Lorsqu’ils croisent des poids lourds, l’un d’eux voire les deux sont obligés de monter sur le trottoir, et souvent des deux cotés de la route, ce qui est particulièrement dangereux pour les piétons.
Les plots de protection dans les virages ne résistent pas à ces impacts et sont régulièrement arrachés du trottoir.
Je constate également des marches arrière hasardeuses place du Lembron ; la route formant ici un S difficile à franchir pour eux.
En automne, alors que le soleil se fait bas à l’horizon, la visibilité se trouve fortement dégradée. Je crains que les piétons, poussettes, et les petits cyclistes se rendant à l’école ne soient les victimes de cette circulation accrues que représenterait la circulation de ces camions venant de la carrière, car il ne fait aucun doute pour moi que la totalité du flux qu’elle engendrera passera devant chez moi !
Ensuite lors des départs et des retours de vacances, la A75 sature, et un flux continu de véhicules dévie à Saint Germain ! Comment se fera la circulation à ces moments-là ?
Quant-à la pollution engendrée, je la constate sur mes menuiseries en PVC blanc, donc un flux supplémentaire ne ferait qu’aggraver ce problème.
En tant que contribuable, je constate aussi la dégradation de la chaussée, des trottoirs lorsque ces véhicules les empruntent.
Il est indispensable que le flux de ces camions ne passe pas dans Saint germain,
Au vu de ces éléments, je suis contre la création de cette carrière.
Document joint
Contribution n°73 (Web)
Par Nizet Bernadette
Déposée le 29 novembre 2025 à 13h25
Déposée le 29 novembre 2025 à 13h25
Je suis totalement opposé à ce projet , les routes étroites et tous ces jolis villages seraient impactés très fortement par ce fort trafic de camions .
RESPECTONS notre Cézallier
RESPECTONS notre Cézallier
Contribution n°72 (Web)
Par Liboz Laurent
Déposée le 28 novembre 2025 à 18h58
Déposée le 28 novembre 2025 à 18h58
Je me permets de vous écrire afin d’exprimer mon opposition ferme au projet d’ouverture d’une carrière au sein du Parc naturel régional des Volcans d’Auvergne.
Ce territoire bénéficie d’une valeur environnementale, patrimoniale et paysagère exceptionnelle. L’implantation d’une carrière en ce lieu fragiliserait profondément un équilibre déjà menacé.
Tout d’abord, le projet se situerait à proximité immédiate d’une église classée aux Monuments historiques, un édifice dont l’état actuel nécessite déjà des soins urgents. L’augmentation des vibrations, le passage de poids lourds et les activités d’extraction risqueraient d’aggraver considérablement sa dégradation, compromettant un patrimoine commun que nous avons la responsabilité de préserver.
Par ailleurs, la zone concernée se situe au cœur d’un espace Natura 2000, reconnu pour l’importance de ses habitats et de ses espèces protégées. La destruction partielle de ces milieux naturels, l’impact sonore, la poussière et les perturbations du cycle de la faune seraient incompatibles avec les objectifs de conservation imposés par ce statut européen.
Il convient également de souligner l’augmentation inévitable du trafic routier, notamment de poids lourds, engendrée par l’exploitation d’une carrière. Les axes desservant la zone sont déjà étroits et accidentogènes. L’intensification de la circulation ferait peser un risque supplémentaire sur les habitants comme sur les visiteurs, en particulier dans un secteur touristique où piétons et cyclistes sont nombreux.
Enfin, autoriser un tel projet dans un parc naturel régional enverrait un signal contradictoire face aux enjeux actuels de protection des paysages, de réduction des nuisances et de transition écologique.
Pour toutes ces raisons, je vous demande de reconsidérer ce projet et de privilégier des solutions respectueuses du patrimoine, de la biodiversité et de la sécurité de la population.
Ce territoire bénéficie d’une valeur environnementale, patrimoniale et paysagère exceptionnelle. L’implantation d’une carrière en ce lieu fragiliserait profondément un équilibre déjà menacé.
Tout d’abord, le projet se situerait à proximité immédiate d’une église classée aux Monuments historiques, un édifice dont l’état actuel nécessite déjà des soins urgents. L’augmentation des vibrations, le passage de poids lourds et les activités d’extraction risqueraient d’aggraver considérablement sa dégradation, compromettant un patrimoine commun que nous avons la responsabilité de préserver.
Par ailleurs, la zone concernée se situe au cœur d’un espace Natura 2000, reconnu pour l’importance de ses habitats et de ses espèces protégées. La destruction partielle de ces milieux naturels, l’impact sonore, la poussière et les perturbations du cycle de la faune seraient incompatibles avec les objectifs de conservation imposés par ce statut européen.
Il convient également de souligner l’augmentation inévitable du trafic routier, notamment de poids lourds, engendrée par l’exploitation d’une carrière. Les axes desservant la zone sont déjà étroits et accidentogènes. L’intensification de la circulation ferait peser un risque supplémentaire sur les habitants comme sur les visiteurs, en particulier dans un secteur touristique où piétons et cyclistes sont nombreux.
Enfin, autoriser un tel projet dans un parc naturel régional enverrait un signal contradictoire face aux enjeux actuels de protection des paysages, de réduction des nuisances et de transition écologique.
Pour toutes ces raisons, je vous demande de reconsidérer ce projet et de privilégier des solutions respectueuses du patrimoine, de la biodiversité et de la sécurité de la population.
Contribution n°71 (Web)
Par Léa Zane
Déposée le 28 novembre 2025 à 18h42
Déposée le 28 novembre 2025 à 18h42
Tout d’abord, notre commune abrite une église classée, élément majeur de notre patrimoine architectural et culturel. La mise en exploitation d’une carrière, avec les vibrations, les nuisances sonores et l’impact paysager qu’elle engendrerait, présenterait un risque avéré pour la conservation de cet édifice protégé. La protection d’un tel monument impose une vigilance accrue et une attention particulière quant aux projets susceptibles de l’affecter.
Par ailleurs, le territoire concerné se situe en zone Natura 2000, espace reconnu pour la richesse de sa biodiversité et pour la nécessité de maintenir un équilibre écologique fragile. L’ouverture d’une carrière dans un tel périmètre serait en contradiction directe avec les objectifs de préservation des habitats naturels et des espèces d’intérêt communautaire.
Il convient également de rappeler que notre village se trouve au sein du Parc naturel régional des Volcans d’Auvergne. Ce classement implique des exigences strictes en matière de protection des paysages, de quiétude des lieux et de développement durable. Une activité industrielle telle qu’une carrière, génératrice de nuisances sonores, de poussières et de dégradation visuelle, serait manifestement incompatible avec les orientations du parc.
Nous attirons également l’attention sur le fait que les infrastructures routières locales ne sont absolument pas adaptées au trafic induit par l’exploitation d’une carrière de pouzzolane. Les voies actuelles, étroites et sinueuses, ne permettent pas la circulation sécurisée de poids lourds en nombre. Un tel trafic augmenterait de manière significative les risques d’accidents, détériorerait le réseau routier et mettrait en danger les usagers, qu’ils soient automobilistes, cyclistes ou piétons.
Enfin, ce projet porterait une atteinte notable à la tranquillité et au cadre de vie des habitants, éléments essentiels à l’identité et à l’attractivité de notre village. Les nuisances répétées – poussières, bruits, circulation lourde – seraient incompatibles avec la vie quotidienne au sein de notre commune.
Pour l’ensemble de ces raisons – protection du patrimoine, respect des engagements environnementaux, préservation du cadre de vie et sécurité publique – nous demandons que ce projet de carrière soit abandonné.
Par ailleurs, le territoire concerné se situe en zone Natura 2000, espace reconnu pour la richesse de sa biodiversité et pour la nécessité de maintenir un équilibre écologique fragile. L’ouverture d’une carrière dans un tel périmètre serait en contradiction directe avec les objectifs de préservation des habitats naturels et des espèces d’intérêt communautaire.
Il convient également de rappeler que notre village se trouve au sein du Parc naturel régional des Volcans d’Auvergne. Ce classement implique des exigences strictes en matière de protection des paysages, de quiétude des lieux et de développement durable. Une activité industrielle telle qu’une carrière, génératrice de nuisances sonores, de poussières et de dégradation visuelle, serait manifestement incompatible avec les orientations du parc.
Nous attirons également l’attention sur le fait que les infrastructures routières locales ne sont absolument pas adaptées au trafic induit par l’exploitation d’une carrière de pouzzolane. Les voies actuelles, étroites et sinueuses, ne permettent pas la circulation sécurisée de poids lourds en nombre. Un tel trafic augmenterait de manière significative les risques d’accidents, détériorerait le réseau routier et mettrait en danger les usagers, qu’ils soient automobilistes, cyclistes ou piétons.
Enfin, ce projet porterait une atteinte notable à la tranquillité et au cadre de vie des habitants, éléments essentiels à l’identité et à l’attractivité de notre village. Les nuisances répétées – poussières, bruits, circulation lourde – seraient incompatibles avec la vie quotidienne au sein de notre commune.
Pour l’ensemble de ces raisons – protection du patrimoine, respect des engagements environnementaux, préservation du cadre de vie et sécurité publique – nous demandons que ce projet de carrière soit abandonné.
Contribution n°70 (Web)
Par Léa Zane
Déposée le 28 novembre 2025 à 18h42
Déposée le 28 novembre 2025 à 18h42
Tout d’abord, notre commune abrite une église classée, élément majeur de notre patrimoine architectural et culturel. La mise en exploitation d’une carrière, avec les vibrations, les nuisances sonores et l’impact paysager qu’elle engendrerait, présenterait un risque avéré pour la conservation de cet édifice protégé. La protection d’un tel monument impose une vigilance accrue et une attention particulière quant aux projets susceptibles de l’affecter.
Par ailleurs, le territoire concerné se situe en zone Natura 2000, espace reconnu pour la richesse de sa biodiversité et pour la nécessité de maintenir un équilibre écologique fragile. L’ouverture d’une carrière dans un tel périmètre serait en contradiction directe avec les objectifs de préservation des habitats naturels et des espèces d’intérêt communautaire.
Il convient également de rappeler que notre village se trouve au sein du Parc naturel régional des Volcans d’Auvergne. Ce classement implique des exigences strictes en matière de protection des paysages, de quiétude des lieux et de développement durable. Une activité industrielle telle qu’une carrière, génératrice de nuisances sonores, de poussières et de dégradation visuelle, serait manifestement incompatible avec les orientations du parc.
Nous attirons également l’attention sur le fait que les infrastructures routières locales ne sont absolument pas adaptées au trafic induit par l’exploitation d’une carrière de pouzzolane. Les voies actuelles, étroites et sinueuses, ne permettent pas la circulation sécurisée de poids lourds en nombre. Un tel trafic augmenterait de manière significative les risques d’accidents, détériorerait le réseau routier et mettrait en danger les usagers, qu’ils soient automobilistes, cyclistes ou piétons.
Enfin, ce projet porterait une atteinte notable à la tranquillité et au cadre de vie des habitants, éléments essentiels à l’identité et à l’attractivité de notre village. Les nuisances répétées – poussières, bruits, circulation lourde – seraient incompatibles avec la vie quotidienne au sein de notre commune.
Pour l’ensemble de ces raisons – protection du patrimoine, respect des engagements environnementaux, préservation du cadre de vie et sécurité publique – nous demandons que ce projet de carrière soit abandonné.
Par ailleurs, le territoire concerné se situe en zone Natura 2000, espace reconnu pour la richesse de sa biodiversité et pour la nécessité de maintenir un équilibre écologique fragile. L’ouverture d’une carrière dans un tel périmètre serait en contradiction directe avec les objectifs de préservation des habitats naturels et des espèces d’intérêt communautaire.
Il convient également de rappeler que notre village se trouve au sein du Parc naturel régional des Volcans d’Auvergne. Ce classement implique des exigences strictes en matière de protection des paysages, de quiétude des lieux et de développement durable. Une activité industrielle telle qu’une carrière, génératrice de nuisances sonores, de poussières et de dégradation visuelle, serait manifestement incompatible avec les orientations du parc.
Nous attirons également l’attention sur le fait que les infrastructures routières locales ne sont absolument pas adaptées au trafic induit par l’exploitation d’une carrière de pouzzolane. Les voies actuelles, étroites et sinueuses, ne permettent pas la circulation sécurisée de poids lourds en nombre. Un tel trafic augmenterait de manière significative les risques d’accidents, détériorerait le réseau routier et mettrait en danger les usagers, qu’ils soient automobilistes, cyclistes ou piétons.
Enfin, ce projet porterait une atteinte notable à la tranquillité et au cadre de vie des habitants, éléments essentiels à l’identité et à l’attractivité de notre village. Les nuisances répétées – poussières, bruits, circulation lourde – seraient incompatibles avec la vie quotidienne au sein de notre commune.
Pour l’ensemble de ces raisons – protection du patrimoine, respect des engagements environnementaux, préservation du cadre de vie et sécurité publique – nous demandons que ce projet de carrière soit abandonné.
Contribution n°69 (Web)
Par BARRAUD BERTRAND
Déposée le 28 novembre 2025 à 15h36
Déposée le 28 novembre 2025 à 15h36
Contribution portée pour le projet de carrière de pouzzolane sur les communes de Rentières et de la Chapelle-Marcousse par Bertrand BARRAUD, en tant que Maire d'Issoire et Président de l'Agglomération du Pays d'Issoire :
1. CONTEXTE
La société Pouzzolanes du Sarran a déposé une demande d’autorisation environnementale relative à la demande d’autorisation d’exploiter une carrière de pouzzolane au lieu-dit « Le Sarran », sur les communes de la Chapelle-Marcousse et Rentières.
Il est prévu d’extraire un tonnage moyen de 100 000 t/an, pendant 30 ans, soit un volume total de 3 millions de m3.
Ce projet s’étend sur 14,35 ha, sur deux parcelles appartenant aux communes concernées. Il est situé sur le versant sud boisé du Sarran, grand cône volcanique de type strombolien à cratère égueulé, qui culmine à 1 137 mètres d’altitude.
Les deux communes ont signé des contrats de fortage et remise en état de site en 2022 avec la société des Travaux Publics Ardoisiens (suivis de signatures de clauses de substitution entre cette société et la société Pouzzolanes du Sarran).
Le dossier comprend également une demande d’autorisation de défrichement sur une surface de 10,85 ha, qui sera compensé par un versement au Fonds stratégique de la forêt et du bois.
Le projet est justifié par son porteur par la demande régulière en pouzzolane à l’échelle régionale et nationale, le classement du site en gisement d’intérêt national dans le Schéma régional des carrières en Auvergne Rhône-Alpes approuvé en 2021, ainsi que l’arrêt programmé à l’horizon 2030 des exploitations de la Chaîne des Puys situées dans l’emprise du bien Unesco « Chaine des Puys-Faille de Limagne ».
2. ANALYSE DES IMPACTS DU PROJET
Le projet présente différents types d’impacts :
Impacts sur l’environnement :
Projet situé dans le PNR des Volcans d’Auvergne et la ZNIEFF Pays Coupés.
Destruction d’habitats (environ 10 ha de boisements) et espèces protégées, dont le Lis martagon, dont 2 ou 3 stations risquent d’être détruites.
Risque de dérangement de la faune (oiseaux, chiroptères, mammifères, reptiles) : bruit, poussières, vibrations.
Impacts paysagers : Modification visuelle forte du site, co-visibilité depuis 2 hameaux (Chausse-Haut et Chausse-Bas)
Impacts sur le réseau routier :
Jusqu’à 40 camions aller/retour par jour (28 en moyenne), engendrant une augmentation du bruit routier, des émissions de polluants atmosphériques (particules et oxydes d’azote notamment) et un accroissement des risques d’accidents.
Réseau routier non adapté (classe T4 ou T5 / non adapté au trafic poids lourds important). Nécessité de rectifier des carrefours, d’élargir des zones de croisement, de renforcer des accotements et chaussées. Cela implique des investissements importants et des coûts de maintenance accus (usure accélérée des chaussées), à la charge des collectivités.
3. FOCUS SUR LE SECTEUR D’ISSOIRE
Le dossier indique un itinéraire secondaire pour le retour des camions passant par Issoire, puis Solignat et Vodable (RD 32), permettant d’accéder au site par le nord.
Issoire et les communes situées le long de ce parcours subiraient donc une augmentation potentielle du trafic de poids lourds, avec les conséquences exposées ci-avant (bruit, pollution, risques d’accidents, …).
L’itinéraire secondaire serait utilisé « en fonction des conditions météorologiques favorables ». Cela ne permet pas de connaitre le nombre de camions qui passeraient effectivement par Issoire.
Le projet n’apporte aucun bénéfice pour le territoire issoirien (pas de retombée économique) et ne prévoit aucune mesure compensatoire pour les communes impactées par les flux routiers.
En revanche, il implique une usure accélérée des chaussées, des nuisances quotidiennes pour les habitants, une perte d’attractivité potentielle pour les zones résidentielles traversées.
Sur l’axe Issoire/Ardes-sur-Couze, les effets cumulatifs avec les flux existants (trafic pendulaire, touristes, agriculteurs) ne sont pas évalués dans le dossier.
4. SYNTHÈSE
Le projet de carrière de pouzzolane a des impacts non seulement sur le site lui-même, mais également sur les communes concernées par le trafic de poids-lourd généré.
Il n’apporte aucun bénéfice pour le territoire d’Issoire, mais des nuisances importantes pour les habitants (bruit, pollution, risques) et la dégradation de leur cadre de vie.
Le projet est incompatible avec la capacité du réseau routier local, ce qui implique des investissements importants pour les collectivités gestionnaires des voiries concernées, ainsi que des coûts d’entretien accrus.
1. CONTEXTE
La société Pouzzolanes du Sarran a déposé une demande d’autorisation environnementale relative à la demande d’autorisation d’exploiter une carrière de pouzzolane au lieu-dit « Le Sarran », sur les communes de la Chapelle-Marcousse et Rentières.
Il est prévu d’extraire un tonnage moyen de 100 000 t/an, pendant 30 ans, soit un volume total de 3 millions de m3.
Ce projet s’étend sur 14,35 ha, sur deux parcelles appartenant aux communes concernées. Il est situé sur le versant sud boisé du Sarran, grand cône volcanique de type strombolien à cratère égueulé, qui culmine à 1 137 mètres d’altitude.
Les deux communes ont signé des contrats de fortage et remise en état de site en 2022 avec la société des Travaux Publics Ardoisiens (suivis de signatures de clauses de substitution entre cette société et la société Pouzzolanes du Sarran).
Le dossier comprend également une demande d’autorisation de défrichement sur une surface de 10,85 ha, qui sera compensé par un versement au Fonds stratégique de la forêt et du bois.
Le projet est justifié par son porteur par la demande régulière en pouzzolane à l’échelle régionale et nationale, le classement du site en gisement d’intérêt national dans le Schéma régional des carrières en Auvergne Rhône-Alpes approuvé en 2021, ainsi que l’arrêt programmé à l’horizon 2030 des exploitations de la Chaîne des Puys situées dans l’emprise du bien Unesco « Chaine des Puys-Faille de Limagne ».
2. ANALYSE DES IMPACTS DU PROJET
Le projet présente différents types d’impacts :
Impacts sur l’environnement :
Projet situé dans le PNR des Volcans d’Auvergne et la ZNIEFF Pays Coupés.
Destruction d’habitats (environ 10 ha de boisements) et espèces protégées, dont le Lis martagon, dont 2 ou 3 stations risquent d’être détruites.
Risque de dérangement de la faune (oiseaux, chiroptères, mammifères, reptiles) : bruit, poussières, vibrations.
Impacts paysagers : Modification visuelle forte du site, co-visibilité depuis 2 hameaux (Chausse-Haut et Chausse-Bas)
Impacts sur le réseau routier :
Jusqu’à 40 camions aller/retour par jour (28 en moyenne), engendrant une augmentation du bruit routier, des émissions de polluants atmosphériques (particules et oxydes d’azote notamment) et un accroissement des risques d’accidents.
Réseau routier non adapté (classe T4 ou T5 / non adapté au trafic poids lourds important). Nécessité de rectifier des carrefours, d’élargir des zones de croisement, de renforcer des accotements et chaussées. Cela implique des investissements importants et des coûts de maintenance accus (usure accélérée des chaussées), à la charge des collectivités.
3. FOCUS SUR LE SECTEUR D’ISSOIRE
Le dossier indique un itinéraire secondaire pour le retour des camions passant par Issoire, puis Solignat et Vodable (RD 32), permettant d’accéder au site par le nord.
Issoire et les communes situées le long de ce parcours subiraient donc une augmentation potentielle du trafic de poids lourds, avec les conséquences exposées ci-avant (bruit, pollution, risques d’accidents, …).
L’itinéraire secondaire serait utilisé « en fonction des conditions météorologiques favorables ». Cela ne permet pas de connaitre le nombre de camions qui passeraient effectivement par Issoire.
Le projet n’apporte aucun bénéfice pour le territoire issoirien (pas de retombée économique) et ne prévoit aucune mesure compensatoire pour les communes impactées par les flux routiers.
En revanche, il implique une usure accélérée des chaussées, des nuisances quotidiennes pour les habitants, une perte d’attractivité potentielle pour les zones résidentielles traversées.
Sur l’axe Issoire/Ardes-sur-Couze, les effets cumulatifs avec les flux existants (trafic pendulaire, touristes, agriculteurs) ne sont pas évalués dans le dossier.
4. SYNTHÈSE
Le projet de carrière de pouzzolane a des impacts non seulement sur le site lui-même, mais également sur les communes concernées par le trafic de poids-lourd généré.
Il n’apporte aucun bénéfice pour le territoire d’Issoire, mais des nuisances importantes pour les habitants (bruit, pollution, risques) et la dégradation de leur cadre de vie.
Le projet est incompatible avec la capacité du réseau routier local, ce qui implique des investissements importants pour les collectivités gestionnaires des voiries concernées, ainsi que des coûts d’entretien accrus.
Contribution n°68 (Web)
Par VALLON-LARDERET
Déposée le 28 novembre 2025 à 13h37
Déposée le 28 novembre 2025 à 13h37
SGI avec des trottoirs et routes très étroites (surtout pour tracteurs pick-up, et autres véhicules imposants surtout entre les n°s 20, 24,26,28...
Où l'on risque de se faire arracher une épaule par un rétroviseur et souvent des véhicules passent en force sur les trottoirs malgré la présence de piétons pris en étau et au risque de leur vie. Aucun civisme ni respect pour l'intégrité physique des piétons. Ce n'est pas faute d'avoir informé Mme le Maire le 29/08/2024 avec sa réponse le 19/09/2024 dont la mise en place d'une limitation à 30 km/h et le non respect des passages protégés ne sont pas respectés alors le passage de 40 camions par jour ce sera au minimun 5 morts voire plus par jour.
Où l'on risque de se faire arracher une épaule par un rétroviseur et souvent des véhicules passent en force sur les trottoirs malgré la présence de piétons pris en étau et au risque de leur vie. Aucun civisme ni respect pour l'intégrité physique des piétons. Ce n'est pas faute d'avoir informé Mme le Maire le 29/08/2024 avec sa réponse le 19/09/2024 dont la mise en place d'une limitation à 30 km/h et le non respect des passages protégés ne sont pas respectés alors le passage de 40 camions par jour ce sera au minimun 5 morts voire plus par jour.
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