Contribution n°56 (Web)
Déposée le 31 octobre 2025 à 16h40
Les surfaces déjà artificialisées sont largement suffisantes pour l'installation de production photovoltaique. Il est inadmissible d'artificialiser des surfaces supplémentaires.
Contribution n°55 (Web)
Déposée le 31 octobre 2025 à 13h44
L’idée de la contribution numéro 28 est sage et pertinente : planter des saules et en faire des têtards, c’est exactement la meilleure solution pour avoir de l’ombre agréable pour les animaux, pour avoir un espace favorable à la biodiversité.
Les arbres procurent de l’ombre fraiche l’été, contrairement aux modules des panneaux solaires qui chauffent à plus de 60 ° en plein régime comme l’écrit le promoteur. Les animaux préfèrent les arbres. Les plantes dessous aussi. Pas besoin de sortir de Saint-Cyr pour s’en douter.
C’est ce genre de proposition qui colle juste parfaitement avec les besoins du territoire, car une prairie avec des saules têtard contribuerait à agrandir les réservoirs de biodiversité que sont la natura 2000 et les ZNIEFF juste à côté. Elle n’a pas besoin d’être protégée des intrusions par un grillage de 2 mètres. Une petite clôture champêtre suffit. C’est parce que les panneaux solaires valent et rapportent beaucoup plus que les vaches. Y’a pas besoin de commander une étude agricole pour le savoir.
Les vaches pourraient venir paître dans de bonnes conditions dans une prairie naturelle, alors que c’est impossible dans le champ solaire.
A l’inverse des panneaux solaires qui constituent un piège pour les oiseaux et les chauves-souris et les insectes, les arbres leur apportent une ressource vitale, ils absorbent l’eau en excès dans le sol et la restituent dans leur branchage pour créer un micro-climat favorable à un écosystème très riche, ce n’est évidemment pas le cas des trackers qui surchauffent et peuvent même provoquer des incendies surtout dans le cas du fourrage sec à leurs pieds, les arbres protègent réellement des inondations et des coulées de boue, les panneaux trackers ne pompent pas l’eau mais favorisent le ruissellement surtout après le tassement du sol secondaire à leur installation.
Pas besoin d’étude d’impact sur l’environnement quand on plante des arbres.
On évite aussi les levers de boucliers des naturalistes, pas d’association d’opposants avec des arbres.
https://france3-regions.franceinfo.fr/grand-est/alsace/alsace-ces-communes-et-particuliers-qui-tentent-de-preserver-les-arbres-tetards-sentinelles-de-la-nature-2723542.html
Les pouvoirs publics n’ont fait aucun plan d’aménagement pour l’implantation des centrales solaires, les entreprises peuvent donc tenter leur chance n’importe où, à Chéry-Chartreuve European Energy veut implanter ses trackers sur les champs les plus problématiques du point de vue de la biodiversité, en proposant un loyer conséquent aux municipalités, aux propriétaires privés, aux fermiers. Là encore c’est la loi du marché. Elles doivent ensuite faire en sorte (avec l’aide des municipalités et de la préfecture parfois) de rentrer dans le cadre de la loi. De dérogations en dérogations, après les modifications des documents d’urbanisme, et grâce au fait que le législateur ait décrété que l’implantation de ces projets ne constituent pas une artificialisation des sols, ils s’affranchissent de la loi ZAN.
Faire un abri de jardin, c’est artificialiser.
Faire 400 hectares de panneaux solaires, avec pistes carrossables, baraques de maintenance, onduleurs, clôtures de 2 mètres, faire des chantiers qui durent des mois avec va et vient des camions, creuser des tranchées sur des kilomètres pour passer les câbles, ce n’est pas artificialier.
Deux poids, deux mesures.
Merci au témoignage sur ce sujet de l’association des Amis du Patrimoine de Chassiecq et de ses Environs dans sa contribution numéro 38 : on sait ce qui nous attend.
On aurait imaginé qu’au lieu d’aider les agriculteurs à mettre des panneaux dans leurs champs, les pouvoirs publics les auraient accompagnés pour les mettre sur les hangars. Ce serait de l’argent et du temps bien dépensés au profit du bien commun et de l’environnement. C’était l’occasion de procéder enfin au désamiantage des toits des hangars, témoignage dans toute la France d’une précipitation et d’un engouement pour un produit industriel qui s’avère poser des problèmes majeurs à l’environnement dans les suites, et qu’est-ce se passe dans un tel cas : on laisse tout ça sur les toits à la charge des générations à venir. Imaginons que les cellules PV des panneaux s’avèrent poser le même type de problème que l’amiante sur les toits : les agriculteurs et les communes vont-ils traiter le problème comme dans le cas de l’amiante : tout laisser en place et advienne que pourra ?
A la place de regarder en face sérieusement toutes les externalités négatives pour le territoire et ses habitants, on préfère s’arranger avec le promoteur et lui faciliter la tâche.
Pourquoi ? de toute évidence, le montant délirant des sommes d’argent des subsides a fait tourner la tête à tout le monde, mais où European Energy trouve-t-il tout cet argent ?
48 239 Euros par an pour la commune ; je propose de redistribuer l’entièreté de la somme par foyers sur Chéry car cette somme qui va tomber du ciel de manière providentielle du jour au lendemain ne correspond pas à un besoin alors que les factures des habitants n’arrêtent pas d’augmenter pour les poubelles par exemple.
Sans doute environ entre 1500 et 5000 euros par hectare et par an pour le propriétaire du terrain.
586 000 euros pour le bâtiment pour les vaches, dessiné par la fermière elle-même, beau cadeau de bienvenue chez European Energy....
(si on comprend bien c'est ce que European Energy va payer pour "compenser" les pertes agricoles générées par l’installation de ses panneaux sur les champs).
Avec des sommes pareilles, on aurait pu choisir de concevoir un plan pour protéger effectivement l’eau potable particulièrement polluée sur le secteur par les activités agricoles d’ailleurs. Par exemple on peut favoriser l’installation d’agriculteur en biologique dans les périmètres des captages ou le pâturage extensif, et pas les champs solaires susceptibles de générer une pollution accidentelle.
Cherchez l’erreur.
https://www.youtube.com/watch?v=wdssa7gQaxI
https://www.confederationpaysanne.fr/mc_nos_positions.php?mc=985
Contribution n°54 (Web)
Déposée le 31 octobre 2025 à 10h10
Contribution n°53 (Web)
Déposée le 31 octobre 2025 à 08h19
Il serait bon de se poser les bonnes questions pour produire une énergie plus écologique.
Et ne pas oublier que la meilleure énergie est celle que l'on ne consomme pas.
Salutations
Contribution n°52 (Web)
Déposée le 30 octobre 2025 à 21h21
Cordialement.
D.MILLET
Contribution n°51 (Web)
Déposée le 30 octobre 2025 à 21h17
Enfin ces terres sont définitivement impropres à la culture.
Les lobbies qui sont derrière ces projets sont extrêmement puissants, restons lucides !
Contribution n°50 (Web)
Déposée le 30 octobre 2025 à 19h22
Contribution n°49 (Web)
Déposée le 30 octobre 2025 à 18h43
Occuper des hectares de terres agricoles par des panneaux solaires est une ineptie sans nom. La nourriture ou l’électricité, pour moi le choix est vite fait.,
Avec ce projet' qui ne bénéficiera qu'a son créateur, on produira à peine de quoi suffire à une centaine de foyers, mais on perdra un bon nombre d'hectares cultivables, dont on aura bien besoin à l'avenir. Et en parlant d'avenir (proche) d'ici 15 ou 20 ans ces panneaux seront obsolètes, et alors qu'en ferons-nous, puisque nous ne savons pas les recycler ? En bons égoïstes laisserons-nous à nos enfants le soin de s'en débrouiller ?
Je suis désolé, mais dans l'état actuel des choses, panneaux solaires et éoliennes ne bénéficient, qu'à leurs fabricants constructeurs et propriétaires. Ne vous laissez pas attirer par le chant des sirènes, réfléchissez avant qu'il ne soit trop tard.
Contribution n°48 (Web)
Déposée le 30 octobre 2025 à 16h54
Contribution n°47 (Web)
Déposée le 30 octobre 2025 à 15h17
Facilite le travail à la ferme.
Permet de nourrir les animaux sans apports de produits de l'extérieur avec une nourriture de qualité.