Contribution n°140 (Web)
Anonyme
Déposée le 11 novembre 2025 à 00h39
Déposée le 11 novembre 2025 à 00h39
Je donne un avis favorable car la Guinguette d’Echevis est un exemple d’équilibre entre tradition, tourisme, protection et préservation du milieu naturel.
Contribution n°139 (Web)
Anonyme
Déposée le 10 novembre 2025 à 21h25
Déposée le 10 novembre 2025 à 21h25
Je vote pour. Les guerres de village ça suffit.
Contribution n°138 (Web)
Par Sibeud Jean Christophe
Déposée le 10 novembre 2025 à 21h19
Déposée le 10 novembre 2025 à 21h19
Bonjour à tous :
Pour ma part et connaissant la famille Murgat depuis mon enfance et ayant réalisé mon premier travail justement à la pisciculture de Jean François : je suis totalement pour le renouvellement afin que la guinguette du pêcheur puisse continuer à fonctionner comme d’habitude et sans contraintes supplémentaires car à la vue du travail qui a été accompli pour créer ce lieu qui permet à tous et à toutes de pouvoir passer un moment convivial dans un lieu qui respecte la nature et qui permet quelques emplois au passage.
Donc je soutiens à 2000% la reconduite et l’amélioration de ce projet de vie et j’invite tout le monde à faire de même.
J’invite aussi les autorités à faire de même, autant au niveau du département qu’au niveau communal car qui?? pourrait aujourd'hui essayer de détruire une si belle activitée que celle de Marie murgat ???????????
Soutenons vivement les dernières personnes de cette commune qui font de leurs projets une vie une réalité qui rayonne de manière positive et qui respecte son environnement ❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️
Pour ma part et connaissant la famille Murgat depuis mon enfance et ayant réalisé mon premier travail justement à la pisciculture de Jean François : je suis totalement pour le renouvellement afin que la guinguette du pêcheur puisse continuer à fonctionner comme d’habitude et sans contraintes supplémentaires car à la vue du travail qui a été accompli pour créer ce lieu qui permet à tous et à toutes de pouvoir passer un moment convivial dans un lieu qui respecte la nature et qui permet quelques emplois au passage.
Donc je soutiens à 2000% la reconduite et l’amélioration de ce projet de vie et j’invite tout le monde à faire de même.
J’invite aussi les autorités à faire de même, autant au niveau du département qu’au niveau communal car qui?? pourrait aujourd'hui essayer de détruire une si belle activitée que celle de Marie murgat ???????????
Soutenons vivement les dernières personnes de cette commune qui font de leurs projets une vie une réalité qui rayonne de manière positive et qui respecte son environnement ❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️
Contribution n°137 (Web)
Anonyme
Déposée le 10 novembre 2025 à 21h02
Déposée le 10 novembre 2025 à 21h02
Avis favorable : le dossier présenté est clair et témoigne d’une réelle volonté de limiter les impacts sur le milieu aquatique. Ce projet mérite d’être renouvelé.
Contribution n°136 (Web)
Déposée
le 10 novembre 2025 à 20h58
Cette contribution est prise en compte mais n'est pas visible car elle comprend des propos considérés comme non publiables.
Contribution n°135 (Web)
Anonyme
Déposée le 10 novembre 2025 à 20h47
Déposée le 10 novembre 2025 à 20h47
Je soutiens pleinement la demande de La Guinguette du Pêcheur, dont la gestion rigoureuse démontre un engagement concret en faveur d’une pisciculture durable et respectueuse de l’écosystème local.
Contribution n°134 (Web)
Anonyme
Déposée le 10 novembre 2025 à 20h45
Déposée le 10 novembre 2025 à 20h45
Je formule un avis favorable au renouvellement de l’autorisation environnementale unique pour La Guinguette du Pêcheur. L’exploitation est conduite avec sérieux et respecte les équilibres naturels du site d’Échevis.
Contribution n°133 (Web)
Par Inard Philippe
Déposée le 10 novembre 2025 à 19h52
Déposée le 10 novembre 2025 à 19h52
Il y a plus de trente ans lorsque Francisco P. (dessinateur du projet) nous avait présenté le projet de « La Guingette » j’avais totalement adhéré.
J’avais totalement adhéré pour les raisons suivantes :
- Les ressources en eau étaient abondantes.
- L’Arrêté Préfectoral du 16 octobre 1995 autorisait un prélèvement de 10l/s, un débit réservé de 200l/s et un nombre limité de 0, 5T de truite par an.
Aujourd’hui, il en est tout autre :
1/Les ressources en eau ont fortement diminué, et selon « l’Étude prospective des ressources en eau et changement climatique en Isère» incluant La Vernaison, les débits d’étiage pourraient baisser de 34 % d’ici 2041.
2/ Le dérèglement climatique engendre de fortes chaleurs, et la température de l’eau augmente.
3/ Le bassin d’1/4 d’hectare (2500 m²) entraîne une élévation de la température de la Vernaison : durant l’été, on constate près de 2°C d’écart entre les relevés réalisés par des sondes à 2 500 mètres en amont et celles installées à 500 mètres en aval.
Le 12 août 2024, la température mesurée a atteint 19,57°C...
4/ Avec la diminution du débit et la hausse anticipée de la température de l’air (+2,8°C d’ici 2050), la température de l’eau continuera de grimper. Or, au-delà de 20°C, les grosses truites commencent à périr !
5/ En outre, la diminution des débits combinée à la hausse des températures favorise l’apparition d’efflorescences algales, ce qui a de graves répercussions sur l’écosystème.
6/ selon l’étude citée plus haut, l’écart de débit entre les périodes estivales et hivernales devrait continuer à s’accentuer.
7/ Le prélèvement d'eau dans la rivière doit être stoppé lorsque le débit réservé descend en dessous de 200 l/s, conformément à l’Arrêté Préfectoral du 16/10/1995 toujours en vigueur. Cette année, le seuil du débit réservé a été atteint à 63 reprises.
Lors de la réunion publique, la gérante a clairement indiqué qu’elle attendait une directive pour cesser les prélèvements et qu’elle ne prenait pas cette décision de manière autonome.
Il semblerait que l’OFB et la DDT aient d’autres choses à faire que de jouer au chat et à la souris.
8/ L’autorisation de 0.5 T a été largement dépassée et là, on veut régulariser le tonnage actuel qui est de 3 T, soit 6 fois plus. De plus, j’ai un doute sur les 3 T.
en effet, sans vouloir paraître prétentieux, je me rappelle qu’en CM1, on nous enseignait que s’il y a entre 200 et 400 kg de truites dans un bassin, la moyenne est de 300 kg.
Ici, les truites ne restent pas longtemps car elles ne sont pas nourries et il est indiqué dans le projet qu’elles restent environ deux semaines en moyenne.
La guinguette fonctionne pendant 7 mois, soit 14 semaines, donc la quantité totale de truites devrait être de 14 semaines x 300 kg = 4,2 tonnes, ce qui représente presque une fois et demie la quantité annoncée.
Les coulisses de ce projet :
=> La demande de prélèvement passerait de 10 à 30 l/s. Selon le Bureau d’Etudes, le débit réservé serait de 81 l/s, très inférieur aux 200 précédents. Le calcul indique un prélèvement de 2 % du débit moyen annuel, alors qu’il serait plus pertinent de se baser sur les 7 mois d’ouverture, période où le débit moyen de la Vernaison est d’environ 250 l/s en moins que la base de calcul du BE.
Pour moi, ce mode de calcul est inapproprié : en période d’étiage, avec un débit réservé de 81 l/s, le prélèvement atteint 27 %.
=> Il est affirmé que toute l’eau prélevée est restituée à la rivière. Toutefois, l’évaporation sur le réseau d’alimentation et de rétention, ainsi que les fuites, ne sont pas prises en compte dans le calcul.
On peut faire dire aux chiffres ce que l’on veut !
=> Une contribution se base sur l’avis conforme de la Mission Régionale d’Autorité Environnementale du 16/09/2025. Toutefois, cet avis porte uniquement sur la carte communale et ne concerne en rien ce projet.
=> Le même contributeur s’inquiète de l’installation d’une station d’épuration, alors que ce projet n’est absolument pas lié à l’enquête publique. Par ailleurs, si un tel projet est envisagé à l’avenir, ce sera uniquement dans le but d’améliorer la qualité des rejets issus des systèmes autonomes vers la nature. Il semble improbable d’investir entre 200 000 et 300 000 euros sans bénéfice concret pour l’environnement !
=> ce contributeur avance également que le bassin sert de réservoir pour la protection incendie. Bien qu’il soit vrai que les services d’incendie aient déjà puisé de l’eau, une fois, la DECI (Défense Extérieure Contre l’Incendie) communale ne peut compter sur cette réserve, car elle reste vide pendant cinq mois de l’année et n’est accessible que durant les horaires d’ouverture.
Enfin, tous les prélèvements d’eau par hélicoptère ont été effectués sur la réserve des Saffrières à Châtelus, et non sur celle de la Guinguette à Échevis.
=> L’activité constitue effectivement un acteur économique pour la commune. Cependant, selon les données actualisées de l’INSEE au 08/11/2025, cette SARL emploie 1 ou 2 salariés, contrairement aux 4 annoncés par la gérante lors de la réunion publique. Cela demeure significatif pour Echevis, mais il convient de noter que cette activité, bénéficiant d’un cadre bucolique, peut être exercée sans nécessiter un prélèvement de 30 l/s dans la rivière.
=> Il est regrettable que l’Arrêté Préfectoral du16 octobre 1995 n’ait jamais été appliqué et qu’au lieu de veiller à son respect, on cherche à adapter le nouvel arrêté aux « débordements. »
=> Accorder une autorisation de 30 ans et tripler les prélèvements au regard du dérèglement climatique me semble disproportionné et inadapté aux enjeux actuels liés à la gestion de l’eau.
En conclusion, je ne suis pas opposé à la poursuite d’une activité de pêche touristique, mais elle devrait :
- Rester dans le cadre de l’autorisation initiale (10l/s, débit réservé de 200l/s,500Kg/an)
-Être conditionnée à un suivi strict des débits et de la qualité de l’eau.
- Respecter le prélèvement de l’eau dans la rivière, sans détournement de son lit, ni barrage.
- faire l’objet d’une réévaluation régulière tous les 5 ans, compte tenu du contexte climatique.
INARD Philippe
Maire de la commune d’Echevis
J’avais totalement adhéré pour les raisons suivantes :
- Les ressources en eau étaient abondantes.
- L’Arrêté Préfectoral du 16 octobre 1995 autorisait un prélèvement de 10l/s, un débit réservé de 200l/s et un nombre limité de 0, 5T de truite par an.
Aujourd’hui, il en est tout autre :
1/Les ressources en eau ont fortement diminué, et selon « l’Étude prospective des ressources en eau et changement climatique en Isère» incluant La Vernaison, les débits d’étiage pourraient baisser de 34 % d’ici 2041.
2/ Le dérèglement climatique engendre de fortes chaleurs, et la température de l’eau augmente.
3/ Le bassin d’1/4 d’hectare (2500 m²) entraîne une élévation de la température de la Vernaison : durant l’été, on constate près de 2°C d’écart entre les relevés réalisés par des sondes à 2 500 mètres en amont et celles installées à 500 mètres en aval.
Le 12 août 2024, la température mesurée a atteint 19,57°C...
4/ Avec la diminution du débit et la hausse anticipée de la température de l’air (+2,8°C d’ici 2050), la température de l’eau continuera de grimper. Or, au-delà de 20°C, les grosses truites commencent à périr !
5/ En outre, la diminution des débits combinée à la hausse des températures favorise l’apparition d’efflorescences algales, ce qui a de graves répercussions sur l’écosystème.
6/ selon l’étude citée plus haut, l’écart de débit entre les périodes estivales et hivernales devrait continuer à s’accentuer.
7/ Le prélèvement d'eau dans la rivière doit être stoppé lorsque le débit réservé descend en dessous de 200 l/s, conformément à l’Arrêté Préfectoral du 16/10/1995 toujours en vigueur. Cette année, le seuil du débit réservé a été atteint à 63 reprises.
Lors de la réunion publique, la gérante a clairement indiqué qu’elle attendait une directive pour cesser les prélèvements et qu’elle ne prenait pas cette décision de manière autonome.
Il semblerait que l’OFB et la DDT aient d’autres choses à faire que de jouer au chat et à la souris.
8/ L’autorisation de 0.5 T a été largement dépassée et là, on veut régulariser le tonnage actuel qui est de 3 T, soit 6 fois plus. De plus, j’ai un doute sur les 3 T.
en effet, sans vouloir paraître prétentieux, je me rappelle qu’en CM1, on nous enseignait que s’il y a entre 200 et 400 kg de truites dans un bassin, la moyenne est de 300 kg.
Ici, les truites ne restent pas longtemps car elles ne sont pas nourries et il est indiqué dans le projet qu’elles restent environ deux semaines en moyenne.
La guinguette fonctionne pendant 7 mois, soit 14 semaines, donc la quantité totale de truites devrait être de 14 semaines x 300 kg = 4,2 tonnes, ce qui représente presque une fois et demie la quantité annoncée.
Les coulisses de ce projet :
=> La demande de prélèvement passerait de 10 à 30 l/s. Selon le Bureau d’Etudes, le débit réservé serait de 81 l/s, très inférieur aux 200 précédents. Le calcul indique un prélèvement de 2 % du débit moyen annuel, alors qu’il serait plus pertinent de se baser sur les 7 mois d’ouverture, période où le débit moyen de la Vernaison est d’environ 250 l/s en moins que la base de calcul du BE.
Pour moi, ce mode de calcul est inapproprié : en période d’étiage, avec un débit réservé de 81 l/s, le prélèvement atteint 27 %.
=> Il est affirmé que toute l’eau prélevée est restituée à la rivière. Toutefois, l’évaporation sur le réseau d’alimentation et de rétention, ainsi que les fuites, ne sont pas prises en compte dans le calcul.
On peut faire dire aux chiffres ce que l’on veut !
=> Une contribution se base sur l’avis conforme de la Mission Régionale d’Autorité Environnementale du 16/09/2025. Toutefois, cet avis porte uniquement sur la carte communale et ne concerne en rien ce projet.
=> Le même contributeur s’inquiète de l’installation d’une station d’épuration, alors que ce projet n’est absolument pas lié à l’enquête publique. Par ailleurs, si un tel projet est envisagé à l’avenir, ce sera uniquement dans le but d’améliorer la qualité des rejets issus des systèmes autonomes vers la nature. Il semble improbable d’investir entre 200 000 et 300 000 euros sans bénéfice concret pour l’environnement !
=> ce contributeur avance également que le bassin sert de réservoir pour la protection incendie. Bien qu’il soit vrai que les services d’incendie aient déjà puisé de l’eau, une fois, la DECI (Défense Extérieure Contre l’Incendie) communale ne peut compter sur cette réserve, car elle reste vide pendant cinq mois de l’année et n’est accessible que durant les horaires d’ouverture.
Enfin, tous les prélèvements d’eau par hélicoptère ont été effectués sur la réserve des Saffrières à Châtelus, et non sur celle de la Guinguette à Échevis.
=> L’activité constitue effectivement un acteur économique pour la commune. Cependant, selon les données actualisées de l’INSEE au 08/11/2025, cette SARL emploie 1 ou 2 salariés, contrairement aux 4 annoncés par la gérante lors de la réunion publique. Cela demeure significatif pour Echevis, mais il convient de noter que cette activité, bénéficiant d’un cadre bucolique, peut être exercée sans nécessiter un prélèvement de 30 l/s dans la rivière.
=> Il est regrettable que l’Arrêté Préfectoral du16 octobre 1995 n’ait jamais été appliqué et qu’au lieu de veiller à son respect, on cherche à adapter le nouvel arrêté aux « débordements. »
=> Accorder une autorisation de 30 ans et tripler les prélèvements au regard du dérèglement climatique me semble disproportionné et inadapté aux enjeux actuels liés à la gestion de l’eau.
En conclusion, je ne suis pas opposé à la poursuite d’une activité de pêche touristique, mais elle devrait :
- Rester dans le cadre de l’autorisation initiale (10l/s, débit réservé de 200l/s,500Kg/an)
-Être conditionnée à un suivi strict des débits et de la qualité de l’eau.
- Respecter le prélèvement de l’eau dans la rivière, sans détournement de son lit, ni barrage.
- faire l’objet d’une réévaluation régulière tous les 5 ans, compte tenu du contexte climatique.
INARD Philippe
Maire de la commune d’Echevis
Contribution n°132 (Web)
Anonyme
Déposée le 10 novembre 2025 à 19h12
Déposée le 10 novembre 2025 à 19h12
Je soutiens le projet !
Contribution n°131 (Web)
Anonyme
Déposée le 10 novembre 2025 à 17h24
Déposée le 10 novembre 2025 à 17h24
Je soutiens cette demande sans hésiter, convaincu que La Guinguette du Pêcheur œuvre dans une logique de développement local durable et équilibré.
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