Contribution n°119 (Web)
Anonyme
Déposée le 30 octobre 2025 à 11h51
Déposée le 30 octobre 2025 à 11h51
Je m'oppose au projet d'agrandissement de la carrière située sur la côte du Pin au niveau du quartier Combette
Contribution n°118 (Web)
Par Isa-Bellou
Déposée le 30 octobre 2025 à 11h51
Déposée le 30 octobre 2025 à 11h51
Je suis contre d'agrandissement de la carrière Bonnardel située Côte du Pin à St Peray.
Stop aux nuisances et risques pour les riverains et leur maison, bien être !
Stop aux nuisances et risques pour les riverains et leur maison, bien être !
Contribution n°117 (Web)
Anonyme
Déposée le 30 octobre 2025 à 11h44
Déposée le 30 octobre 2025 à 11h44
C'est inadmissible vous ne pensez pas aux habitants qui vivent de leur maison d'hôtes depuis plusieurs années et contribuent à l'économie de saint peray. Laissez un peu la nature et ses habitants tranquilles.
Contribution n°116 (Web)
Par DENISOT Jean
Déposée le 29 octobre 2025 à 20h54
Déposée le 29 octobre 2025 à 20h54
Je suis fermement opposée à ce projet destructeur de terres agricoles qui ne va pas dans le sens de la nécessaire transition écologique. Nous avons une responsabilité vis à vis des générations à venir qui nous engage à construire un monde qui les protège. Je demande donc officiellement à la Communauté de Communes de Rhône Crussol (CCRC) de zoner la plaine de Saint-Péray en Zone Agricole Protégée (ZAP), afin de préserver les terres agricoles et de permettre les indispensables installations agricoles dont nous avons besoin pour assurer le renouvellement des générations pour le futur de l’agriculture ardéchoise. Je demande également à la CCRC de mettre à disposition les terres qu'elle a actuellement en propriété (et qui partent en friche) pour de nouveaux projets d'installations agricoles.
Il paraît plus que jamais indispensable de travailler à soutenir les collectivités et les élus pour aider à réaliser le fort potentiel nourricier de la plaine de Saint-Péray.
Il paraît plus que jamais indispensable de travailler à soutenir les collectivités et les élus pour aider à réaliser le fort potentiel nourricier de la plaine de Saint-Péray.
Contribution n°115 (Web)
Par AUGUSTE
Déposée le 29 octobre 2025 à 20h40
Déposée le 29 octobre 2025 à 20h40
On continue a artificialiser les terres agricoles alors que les enjeux de demain seront de nourrir en seinement la population Française, sans compter la destruction du viavant qui en découle.
L’Ardèche est un département qui artificialise plus d’hectares chaque année.
Aujourd’hui l’urgence est à la sauvegarde des meilleures terres agricoles: il est impensable pour l'intérêt public de tous de les perdre irrémédiablement à cause de l’artificialisation.
L’Ardèche est un département qui artificialise plus d’hectares chaque année.
Aujourd’hui l’urgence est à la sauvegarde des meilleures terres agricoles: il est impensable pour l'intérêt public de tous de les perdre irrémédiablement à cause de l’artificialisation.
Contribution n°114 (Web)
Par CHARENTUS Georges
Déposée le 29 octobre 2025 à 19h53
Déposée le 29 octobre 2025 à 19h53
CHARENTUS Jacqueline et Georges
35 allée de la crozette
07130 Saint Péray
le 26 octobre 2025,
A l’attention du Président de la commission d’enquête, Bernard GIAZZI
Objet : Contribution à l’enquête publique pour l’OAP SAINT PERAY / Avenue Louis Frédéric Ducros
Monsieur le Président,
L’OAP avenue Louis Frédéric Ducros prévoit la construction de quatre bâtiments d’habitat collectif qui composera à termes 30 logements sur les parcelles 1256 et 1254 propriétés de Madame Merle avec un accès par la RD279.
Ces parcelles jouxtent la copropriété La Crozette où nous résidons depuis 1985. Notre habitation est directement limitrophe au projet et nous émettons des réserves dans le cadre de l’enquête publique.
Pour commencer, le projet se trouve dans un environnement composé uniquement d’habitats individuels, aussi il est surprenant de prévoir la constructions d’habitats collectifs dans une zone pavillonnaire. Conscient de la pression foncière sur la commune, il serait plus admis de construire à un étage dans une logique d’harmonie avec les habitats existant. De plus, les 30 logements vont entraîner une augmentation des circulations routières, les infrastructures étant déjà saturées.
Également, la copropriété la Crozette dispose d’un réseau d’assainissement vétuste et saturé depuis longtemps, faisant régulièrement l’objet d’une maintenance curative par l’organisme le gérant. Il serait préférable que celui-ci ne soit pas utilisé ou raccordé à un réseau neuf pour les nouveaux logements construits.
De plus, le projet prévoit un bassin de recueil des eaux pluviales. Il serait souhaitable que ce bassin soit couvert pour limiter les nuisances liées à la prolifération des moustiques, notre commune étant déjà bien impactée. Nous attirons aussi votre attention sur le fait que ce bassin pourrait être aussi un habitat pour les batraciens, responsables de nuisances sonores nocturnes non négligeables.
Pour finir, notre habitation sera longée par une voie de circulation permettant d’accéder au parking des logements. Notre mur d’enceinte situé au nord de notre parcelle et soutenant cette dernière n’est pas adapté aux travaux de terrassement qui accompagneront la construction des nouveaux logements et de la voie de circulation. Il sera donc nécessaire le cas échéant de prévoir une adaptation de celui-ci par le promoteur gérant cette future opération.
Conscients et compréhensifs des besoins en logement de la commune, nous contribuons à l’enquête afin de limiter les nuisances induites par un tel projet et dans le but de préserver notre qualité de vie.
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de mes sentiments distingués.
Jacqueline & Georges CHARENTUS
35 allée de la crozette
07130 Saint Péray
le 26 octobre 2025,
A l’attention du Président de la commission d’enquête, Bernard GIAZZI
Objet : Contribution à l’enquête publique pour l’OAP SAINT PERAY / Avenue Louis Frédéric Ducros
Monsieur le Président,
L’OAP avenue Louis Frédéric Ducros prévoit la construction de quatre bâtiments d’habitat collectif qui composera à termes 30 logements sur les parcelles 1256 et 1254 propriétés de Madame Merle avec un accès par la RD279.
Ces parcelles jouxtent la copropriété La Crozette où nous résidons depuis 1985. Notre habitation est directement limitrophe au projet et nous émettons des réserves dans le cadre de l’enquête publique.
Pour commencer, le projet se trouve dans un environnement composé uniquement d’habitats individuels, aussi il est surprenant de prévoir la constructions d’habitats collectifs dans une zone pavillonnaire. Conscient de la pression foncière sur la commune, il serait plus admis de construire à un étage dans une logique d’harmonie avec les habitats existant. De plus, les 30 logements vont entraîner une augmentation des circulations routières, les infrastructures étant déjà saturées.
Également, la copropriété la Crozette dispose d’un réseau d’assainissement vétuste et saturé depuis longtemps, faisant régulièrement l’objet d’une maintenance curative par l’organisme le gérant. Il serait préférable que celui-ci ne soit pas utilisé ou raccordé à un réseau neuf pour les nouveaux logements construits.
De plus, le projet prévoit un bassin de recueil des eaux pluviales. Il serait souhaitable que ce bassin soit couvert pour limiter les nuisances liées à la prolifération des moustiques, notre commune étant déjà bien impactée. Nous attirons aussi votre attention sur le fait que ce bassin pourrait être aussi un habitat pour les batraciens, responsables de nuisances sonores nocturnes non négligeables.
Pour finir, notre habitation sera longée par une voie de circulation permettant d’accéder au parking des logements. Notre mur d’enceinte situé au nord de notre parcelle et soutenant cette dernière n’est pas adapté aux travaux de terrassement qui accompagneront la construction des nouveaux logements et de la voie de circulation. Il sera donc nécessaire le cas échéant de prévoir une adaptation de celui-ci par le promoteur gérant cette future opération.
Conscients et compréhensifs des besoins en logement de la commune, nous contribuons à l’enquête afin de limiter les nuisances induites par un tel projet et dans le but de préserver notre qualité de vie.
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de mes sentiments distingués.
Jacqueline & Georges CHARENTUS
Document joint
Contribution n°113 (Web)
Par Marie Raitberger
Déposée le 29 octobre 2025 à 19h07
Déposée le 29 octobre 2025 à 19h07
On artificialise de plus en plus de surfaces agricoles alors qu'elles sont indispensables dans l'équilibre de la planète et nécessaires à notre souveraineté alimentaire. Pour fluidifier la circulation il existe des solutions moins archaïques que d'artificialiser à tout va. Comme par exemple développer les transports en commun qui nous font gravement défaut en Ardèche.
Contribution n°112 (Web)
Par Nadège Teyssier
Déposée le 29 octobre 2025 à 18h31
Déposée le 29 octobre 2025 à 18h31
Bonjour,
Usagère des routes de votre communauté de communes, je ne trouve pas que quelques ralentissements nécessitent une artificialisation des terres . Au 21e siècle, nous avons conscience qu'il est nécessaire d' arrêter cette artificialisation et que ces terres riches doivent être laissées à l'agriculture .
Cordialement .
Usagère des routes de votre communauté de communes, je ne trouve pas que quelques ralentissements nécessitent une artificialisation des terres . Au 21e siècle, nous avons conscience qu'il est nécessaire d' arrêter cette artificialisation et que ces terres riches doivent être laissées à l'agriculture .
Cordialement .
Contribution n°111 (Web)
Par ANDRE Véronique
Déposée le 29 octobre 2025 à 17h02
Déposée le 29 octobre 2025 à 17h02
L’Ardèche est un département qui artificialise plus d’hectares chaque année que la moyenne nationale : 269 ha en 2020, 1 842ha sur la période 2011-2020, soit l’équivalent de 5,5 fermes chaque année et une moyenne de 1 306m2 par nouvel habitant. Pourtant nous savons qu’il y a très peu de terres agricoles en comparaison à d’autres départements ! La SAU (Surface Agricole Utile) est de 23% et seules 4% sont des terres dites «arables» (sachant que la moyenne nationale est de 30% de terres arables), d’après les chiffres de la préfecture de l'Ardèche1.
La plaine de Saint-Péray présente un profil agronomique particulier. Il s’agit de terres fertiles, plates, irrigables facilement, proches d’un grand bassin de population. Elles présentent un gros potentiel nourricier. Ces terres sont comprises dans les 4% de terres arables du département, et elles revêtent une importance hautement stratégique pour la souveraineté alimentaire de notre territoire, notamment dans la perspective du dérèglement climatique impactant déjà fortement la production agricole.
Je rappelle l’importance de travailler avec les collectivités locales pour mettre en place une réflexion sur la démocratie alimentaire avec comme objectif de garantir une alimentation de qualité à l’ensemble de la population tout en rémunérant les producteurs et les productrices. Seul, un changement du modèle agricole pourra répondre aux enjeux du dérèglement climatique et à la chute de la biodiversité.
Aujourd’hui l’urgence est à la sauvegarde des meilleures terres agricoles: il est impensable pour l'intérêt public de tous de les perdre irrémédiablement à cause de l’artificialisation.
Il est évident que le projet de déviation routière ne peut justifier à poursuivre la destruction du peu de terres arables qu’il reste en Ardèche.
La Confédération Paysanne de l’Ardèche est d’ailleurs fermement opposée à ce projet destructeur de terres agricoles qui ne va pas dans le sens de la nécessaire transition écologique.
Nous avons une responsabilité vis à vis des générations à venir qui nous engage à construire un monde qui les protège.
Je demande donc officiellement à la Communauté de Communes de Rhône Crussol (CCRC) de zoner la plaine de Saint-Péray en Zone Agricole Protégée (ZAP), afin de préserver les terres agricoles et de permettre les indispensables installations agricoles dont nous avons besoin pour assurer le renouvellement des générations pour le futur de l’agriculture ardéchoise.
Je demande également à la CCRC de mettre à disposition les terres qu'elle a actuellement en propriété (et qui partent en friche) pour de nouveaux projets d'installations agricoles.
Il paraît plus que jamais indispensable de travailler à soutenir les collectivités et les élus pour aider à réaliser le fort potentiel nourricier de la plaine de Saint-Péray.
La plaine de Saint-Péray présente un profil agronomique particulier. Il s’agit de terres fertiles, plates, irrigables facilement, proches d’un grand bassin de population. Elles présentent un gros potentiel nourricier. Ces terres sont comprises dans les 4% de terres arables du département, et elles revêtent une importance hautement stratégique pour la souveraineté alimentaire de notre territoire, notamment dans la perspective du dérèglement climatique impactant déjà fortement la production agricole.
Je rappelle l’importance de travailler avec les collectivités locales pour mettre en place une réflexion sur la démocratie alimentaire avec comme objectif de garantir une alimentation de qualité à l’ensemble de la population tout en rémunérant les producteurs et les productrices. Seul, un changement du modèle agricole pourra répondre aux enjeux du dérèglement climatique et à la chute de la biodiversité.
Aujourd’hui l’urgence est à la sauvegarde des meilleures terres agricoles: il est impensable pour l'intérêt public de tous de les perdre irrémédiablement à cause de l’artificialisation.
Il est évident que le projet de déviation routière ne peut justifier à poursuivre la destruction du peu de terres arables qu’il reste en Ardèche.
La Confédération Paysanne de l’Ardèche est d’ailleurs fermement opposée à ce projet destructeur de terres agricoles qui ne va pas dans le sens de la nécessaire transition écologique.
Nous avons une responsabilité vis à vis des générations à venir qui nous engage à construire un monde qui les protège.
Je demande donc officiellement à la Communauté de Communes de Rhône Crussol (CCRC) de zoner la plaine de Saint-Péray en Zone Agricole Protégée (ZAP), afin de préserver les terres agricoles et de permettre les indispensables installations agricoles dont nous avons besoin pour assurer le renouvellement des générations pour le futur de l’agriculture ardéchoise.
Je demande également à la CCRC de mettre à disposition les terres qu'elle a actuellement en propriété (et qui partent en friche) pour de nouveaux projets d'installations agricoles.
Il paraît plus que jamais indispensable de travailler à soutenir les collectivités et les élus pour aider à réaliser le fort potentiel nourricier de la plaine de Saint-Péray.
Contribution n°110 (Courrier)
Déposée
le 28 octobre 2025 à 11h00
Cette contribution est prise en compte mais n'est pas visible car elle comprend des propos considérés comme non publiables.
Document joint
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