Les contributions

Contribution n°104 (Web)

Anonyme
Déposée le 17 novembre 2025 à 15h42
Petit rappel !!!
Article Ouest france du 04/10/2021
Thouaré-sur-Loire. Des inondations après des pluies diluviennes
​Trente sapeurs-pompiers, [...]
Petit rappel !!!
Article Ouest france du 04/10/2021
Thouaré-sur-Loire. Des inondations après des pluies diluviennes
​Trente sapeurs-pompiers, dont des plongeurs du Centre nautique départemental de Nantes-Gouzé, sont intervenus dans la rue du Saule-Blanc, durant plusieurs heures.

Les pompiers plongeurs de la caserne de Nantes-Gouzé ont notamment assuré des reconnaissances pour être sûrs qu’aucune personne n’était restée dans le garage souterrain de l’immeuble, dans la nuit de samedi à dimanche, à Thouaré-sur-Loire.

À Thouaré-sur-Loire, l’écoquartier, dense en habitations, est traversé par le cours d’eau du Pré-Poulain et jouxte la voie ferrée, avec, de l’autre côté, la Loire, à quelques centaines de mètres de là. Au pied des bâtiments A et B des Terrasses du Saule-Blanc, dans la rue du même nom, des espaces de verdure arborés font d’ordinaire le bonheur des riverains, des promeneurs, des chiens aussi, au vu des crottes laissées au sol.

Entre samedi et dimanche, dans la commune de 9 500 habitants, au nord-est de Nantes, le calme des lieux a été bouleversé par les intempéries ayant traversé l’ensemble du département de Loire-Atlantique. Au fil des heures de pluie abondante, l’eau du ruisseau Pré-Poulain est sortie de son lit. Peu à peu, massivement. Jusqu’à créer une vaste mare au pied des immeubles.

« Deux mètres en quatre heures… »
Dans un sous-sol de 300m2, qui abrite le parking, l’eau s’est immiscée partout. Quasiment jusqu’au plafond, à environ 2,50 mètres de hauteur. Quelques appartements du rez-de-chaussée aussi ont fait les frais de cette invitée inopportune…

À Thouaré, ce week-end, l’alerte vigilance rouge de Météo France a pris tout son sens. D’autant plus que les locataires et les propriétaires auraient déjà connu des inondations de leur lieu de vie, en 2015, selon l’un d’eux. Au rez-de-chaussée du bâtiment A qui compte vingt appartements, un jeune homme raconte : « C’est un voisin, à 4 h, qui m’a réveillé. Il partait au travail, il a fait le tour des logements pour alerter tout le monde. »

Ce dernier, voyant poindre de potentiels gros dégâts et l’immersion des véhicules stationnés, est allé sonner ici et là, pour prévenir de la montée des eaux rapide. « Deux mètres en quatre heures… », ajoute le Thouaréen, tout en montrant sur son smartphone la photo des restes d’une canalisation d’eaux pluviales. Sous la pression, celle-ci a cédé dans la nuit, au sous-sol, occasionnant ce déferlement soudain, à l’intérieur comme à l’extérieur. 

Dans le couloir, un autre locataire poursuit le récit de cette nuit très agitée : « Moi, je rentrais d’une soirée, j’ai réveillé tous ceux que je pouvais. Tout le monde a sorti les voitures et les motos du garage souterrain. Il a fallu qu’on en pousse certaines, dont le moteur avait déjà été noyé. » Le véhicule Clio d’une occupante, absente, n’a, lui, pas pu être extrait.
« Un véritable goulot d’étranglement »
Parmi les trente pompiers venus à bord de neuf véhicules des centres de secours de la caserne Nantes-Gouzé, de Carquefou, Rezé et Couëron, les plongeurs du Centre nautique départemental ont pris le temps de mener des reconnaissances, dites de routine, « afin de s’assurer qu’aucune personne n’était restée à l’intérieur », a précisé, sur place, le commandant des opérations de secours, Christophe Leray, venu de Carquefou. Histoire de lever tout doute, il indique qu’il n’y avait pas lieu d’« inquiétude particulière : aucune victime à déplorer, aucun risque d’effondrement ».

En revanche, les conséquences matérielles et les dégâts occasionnés devraient occuper quelques experts et autres assureurs. Des questions demeurent également : comment se fait-il que deux des quatre bancs publics en grande partie en bois, visiblement pas fixés au sol, soient allés boucher la grille où l’eau aurait normalement dû s’écouler ? Au lieu de cela, observe un technicien de Nantes métropole, ça a créé « un véritable goulot d’étrangement ». Et mobilisé des dizaines de pompiers qui ont dû engager des « moyens lourds » pour pomper toute cette eau.

Contribution n°103 (Web)

Anonyme
Déposée le 15 novembre 2025 à 16h09
400 logements supplémentaires pour une ville ou le collège est déjà trop petit, des installations sportives insuffisantes, et des [...]
400 logements supplémentaires pour une ville ou le collège est déjà trop petit, des installations sportives insuffisantes, et des infrastructures routières non adaptées, saturées, des axes de délestage ont été fermées pour les cyclistes du dimanche. En sachant que cela va augmenter le nombre de véhicule suivant la moyenne nationale de 1,30 soit 520 véhicules de plus.
La rue du Jaunais qui sert de délestage à la M37 est déjà saturée, bien des fois ça bouchonne le matin pour prendre la M723 sur 400m. Le plan de circulation de Thouare sur loire est complétement à revoir. L accès aux commerces et au centre ville est de plus en plus difficile.
400 logements en barre d immeuble avec 3 voir 4 et peut être 5 étages pour être rentable d’après la LOD. Thouaré va devenir ville dortoir avec des quartiers cités et on en connait la problématique sécuritaire et socialement difficile. S'agrandir certes mais en pavillonnaire pour le bien vivre.
Regarder toutes les infrastructures, voies, fibre, électricité, transport en commun (les lotissements de la garenne n'en n ont pas) la fibre il a fallu des années et se battre pour l'avoir.
Quand à l'écologie, chère à Mme la maire, on abat tout, on assèche les zones humides? Les écureuils et autres animaux qui passent de terrains en terrains, fini?
Alors NON , revoyez votre copie et soyez sérieux.

Contribution n°102 (Web)

Anonyme
Déposée le 15 novembre 2025 à 13h29
LA ZAC DES DEUX RUISSEAUX PREND L’EAU.

Contribution n°101 (Web)

Anonyme
Déposée le 15 novembre 2025 à 00h07
Lors de la réunion publique du 5 mars 2025, Mme la Maire a présenté publiquement le chiffre de 140 logements maximum pour la ZAC des [...]
Lors de la réunion publique du 5 mars 2025, Mme la Maire a présenté publiquement le chiffre de 140 logements maximum pour la ZAC des Deux-Ruisseaux.
Cette affirmation a été faite oralement, en réunion, devant les habitants, sous forme d’engagement politique clair.

Pourtant, dès cette même réunion, un point a interpellé plusieurs citoyens :
la mention « nombre indicatif» affichée sur son propre support de présentation.
À la question : « Pourquoi *indicatif* et non *maximum* ? », aucune explication n’a été donnée.

Quelques mois plus tard, dans la presse locale (Ouest-France, 11 juin 2025), Mme la Maire déclarait être :

- « opposée aux constructions nouvelles »,
- « attachée aux formes individualisées »,
- « consciente des impacts sur le bien-être et la santé mentale ».

Ces propos ont été reçus comme le signe d’une volonté de modération et de cohérence écologique.

Pourtant, le dossier d’étude du projet, mis à disposition dans la concertation (volume B), affiche désormais un projet de 330 logements, soit plus du double du chiffre présenté en mars.

Il ne s’agit pas d’une simple révision technique :
- L’étude présentée le 5 mars mentionnait déjà un potentiel allant jusqu’à 450 logements (présenté en réunion dans les phases amont du PLUm).
- La municipalité ne pouvait pas ignorer ces données.
- La communication initiale de 140 logements apparaît donc comme inexacte, minimisée, ou à tout le moins très éloignée du projet réellement envisagé.

Pour les habitants, cela pose un problème majeur de confiance :
- Comment faire confiance à un processus de concertation fondé sur des chiffres qui doublent entre deux étapes ?
- Comment accepter un projet de cette ampleur quand les engagements publics ne sont pas respectés ?
- Comment croire à la sincérité des démarches participatives si les données fondamentales ne sont pas stables ni transparentes ?

Une concertation n’a de valeur que si la parole donnée est tenue.
Les habitants demandent simplement que la municipalité respecte ses engagements publics, ou, à défaut, explique clairement pourquoi elle y renonce alors qu'elle sait très bien que ce projet de ZAC est néfaste pour l'écologie de notre ville et pour notre qualité de vie.

Contribution n°100 (Web)

Par Association A.D.I.P.P.
Déposée le 14 novembre 2025 à 21h13
L’A.D.I.P.P., association déclarée le 30 mars 2005 sous le numéro 0442030526, a pour but de défendre, depuis plus de 20 ans, les intérêts [...]
L’A.D.I.P.P., association déclarée le 30 mars 2005 sous le numéro 0442030526, a pour but de défendre, depuis plus de 20 ans, les intérêts des particuliers et professionnels du secteur Nord-Ouest de Thouaré sur Loire.

Après consultation des différentes pièces du dossier :

- Il apparait que l’opportunité de développer des services et d’améliorer les déplacements, dans le cadre de cette vaste opération d’aménagement, a été complètement ignorée.
- Bien au contraire, la densification de l’habitat et les choix opérés ne peuvent que dégrader la qualité de vie et le quotidien de ses habitants et salariés/artisans. Ceci au détriment de l’attractivité de ce secteur, pour y résider ou développer une activité économique.

En conséquence, l’association A.D.I.P.P. formule un AVIS DEFAVORABLE sur le projet soumis à enquête.

Contribution n°99 (Web)

Anonyme
Déposée le 14 novembre 2025 à 18h00
Je suis contre la zac des 2 ruisseaux qui va encore vandaliser notre campagne restante en ayant en plus une route déjà pas adaptée [...]
Je suis contre la zac des 2 ruisseaux qui va encore vandaliser notre campagne restante en ayant en plus une route déjà pas adaptée a la circulation actuelle.

Contribution n°98 (Web)

Anonyme
Déposée le 14 novembre 2025 à 17h15
Je souhaite exprimer mes préoccupations concernant le projet de la ZAC des Deux Ruisseaux, notamment en ce qui concerne les conditions [...]
Je souhaite exprimer mes préoccupations concernant le projet de la ZAC des Deux Ruisseaux, notamment en ce qui concerne les conditions de circulation actuelles et futures.

Aujourd’hui, il m’est impossible d’emmener mon enfant à l’école à pied : il n’y a pas de trottoirs, pas d’éclairage public, et la route est dangereuse car les voitures roulent très vite sur les portions sans alternats. Ces conditions rendent les déplacements piétons impraticables et exposent les habitants, en particulier les enfants, à des risques importants.

Je suis donc obligée de prendre la voiture, mais là encore, les alternats récemment installés compliquent énormément les trajets quotidiens. Les temps d’attente sont déjà.

Dans ce contexte déjà difficile, j’ai beaucoup de mal à imaginer l’impact que provoquerait l’arrivée de nouveaux logements, notamment rue du Jaunais. L’augmentation attendue du trafic risque d’aggraver fortement la situation, allongeant les temps d’attente et rendant les accès aux écoles encore plus contraints et potentiellement plus dangereux.

Je demande que le projet intègre réellement la question des mobilités du quotidien, en tenant compte des conditions actuelles déjà problématiques : sécurisation des cheminements piétons (trottoirs, éclairage), et étude approfondie de l’impact du trafic induit par les nouveaux logements. Il est essentiel que la qualité de vie et la sécurité des habitants, actuels comme futurs, soient considérées comme prioritaires.

Contribution n°97 (Web)

Anonyme
Déposée le 14 novembre 2025 à 15h40
Votre projet de construire 400 logements est irresponsable.
La rue du Jaunais n'est toujours pas aménagée comme il se doit : sans [...]
Votre projet de construire 400 logements est irresponsable.
La rue du Jaunais n'est toujours pas aménagée comme il se doit : sans éclairage, sans trottoirs, rue étroite,des servitudes de visibilité pour les riverains longeant certains tronçons de cette route, c est dire. Bien que limitée à 3,5 T, elle est sans cesse fréquentée par des véhicules dépassant le tonnage autorisé et ce dans les 2 sens. Certes, il y a bien des panneaux aux 2 entrées, et plus récemment un marquage au sol qui ne peut être vu que lorsque le véhicule a déjà emprunté la voix. Aucune pré-signalisation n'a été prévue en amont sur la M723 pour indiquer cet interdit. Ou est la logique ? De même, qu il n y a jamais aucun contrôle de police, pourtant il y a du chiffre à faire. Elle est limitée à 50km/h et bien souvent cette limitation n'est pas respectée. Cette rue qui est en fait une voix de déviation est très fréquentée par tout automobiliste qui veut éviter les bouchons de la rue des étangs (M37) aux heures de pointes. Concernant l'aménagement de la rue, elle est très dangereuse pour les piétons notamment pour les enfants qui se rendent à pieds au collège ou à l’arrêt de bus de la Halleray. Il n'y a aucun éclairage, ce qui rend peu visible les piétons la nuit.
La ZAC des 2 ruisseaux telle que vous l'avez conçue n'est pas raisonnable. Une augmentationn du nombre de riverains engendrerait un trafic de véhicules encore plus dense pour une infrastructure qui n est pas prévue pour cela, détruirait la tranquillité relative des quartiers environnants.

Contribution n°96 (Web)

Anonyme
Déposée le 14 novembre 2025 à 15h15
Je suis contre la zac des 2 ruisseaux,encore plus de béton et supréssion des espaces verts .

Contribution n°95 (Web)

Anonyme
Déposée le 14 novembre 2025 à 14h19
Chaque soir et depuis les aménagements d'octobre 2025, traverser les deux ponts de Thouaré devient un véritable point noir : +10 minutes [...]
Chaque soir et depuis les aménagements d'octobre 2025, traverser les deux ponts de Thouaré devient un véritable point noir : +10 minutes de bouchon systématique en heure de pointe, simplement pour franchir 300 mètres.
Résultat : un trajet de 13 km, qui devrait prendre 15 minutes, en prend aujourd’hui 30.

Ces 10 minutes d’immobilisation représentent environ 300 g de CO₂ émis par voiture.
C’est l’équivalent de 3 grandes bouteilles d’eau de 1,5 L remplies de CO₂, rejetées dans l’air… par chaque véhicule, chaque soir.

Avec quelques centaines de voitures coincées en même temps sur les ponts, les émissions atteignent rapidement des niveaux vertigineux :
➡️ l’heure de pointe du soir équivaut à 30 kg de CO₂, soit autant qu’un bus tournant moteur allumé pendant 7 heures, sans bouger.

Et ce n’est pas tout.

Pour absorber un seul mois de cette pollution générée par les bouchons des ponts, il faudrait environ 1 500 arbres adultes soit un petit bois entier.
C’est évidemment impossible… surtout dans une commune qui supprime déjà des espaces verts existants (comme le Jardin de Marianne) et artificialise plusieurs hectares via la ZAC des Deux-Ruisseaux.

Aucune commune ne peut se prétendre “durable” et soucieuse de l’écologie et de l’environnement au point de vouloir faire une ville « jardin » en augmentant significativement sa population sans régler son principal goulet d’étranglement :

- ponts saturés,

- gare sous-dimensionnée,

- parking insuffisant,

- trains déjà bondés,

impossibilité de sécuriser les vélos (qui dépassent allègrement les voitures en oubliant facilement que la ligne blanche existe pour tout le monde !)

Dans ces conditions, ajouter plus de 1 000 habitants supplémentaires ne fera qu’aggraver :
▪️ la pollution,
▪️ les nuisances,
▪️ les risques,
▪️ le temps perdu,
▪️ et la dégradation générale de la qualité de vie.

C’est un enjeu de santé publique, pas un simple détail d’aménagement.

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