Contribution n°47 (Web)
Par yann Haute
Déposée le 6 novembre 2025 à 19h47
Déposée le 6 novembre 2025 à 19h47
Je souhaite attirer l’attention sur les enjeux écologiques liés au projet de construction de trois immeubles prévus dans le champ situé au centre du secteur « Jaunais nord 2 »
Les documents du volet G – annexes environnementales indiquent la présence d’espèces protégées au titre de l’article L411-1 du Code de l’environnement, notamment plusieurs espèces de couleuvres (couleuvre d’Esculape, couleuvre helvétique) et de lézards (lézard à deux raies, lézard des murailles).
Ces espèces ont été observées dans et aux abords immédiats des haies délimitant la parcelle concernée.
Même si le projet prévoit la conservation des haies existantes, la construction d’immeubles au sein du champ représente un risque réel pour la conservation de ces populations :
Destruction ou fragmentation d’habitats : les zones herbacées et ouvertes utilisées pour leur chasse, la thermorégulation et la reproduction seraient en grande partie supprimées
Rupture de corridors écologiques: les déplacements des reptiles entre les haies et les zones voisines pourraient être interrompus
Perturbations indirectes: bruit, vibration, éclairage nocturne et fréquentation humaine accrue risquent de compromettre la présence durable de ces espèces
Afin de garantir la compatibilité du projet avec les obligations réglementaires de préservation de la faune protégée, il serait souhaitable :
- de réaliser une expertise écologique complémentaire, en période favorable à l’observation des reptiles
- de relocaliser ou réduire l’emprise bâtie afin de préserver une zone herbacée fonctionnelle en continuité avec les haies et, le cas échéant, de prévoir des mesures d’atténuation et de compensation (création de murets, tas de pierres, bandes enherbées connectées aux haies, corridors de déplacement).
En l’état, la mise en œuvre du projet dans ce champ pourrait conduire à la dégradation d’un habitat d’espèces protégées, ce qui serait contraire au principe de non-destruction défini par la réglementation sur la biodiversité
Les documents du volet G – annexes environnementales indiquent la présence d’espèces protégées au titre de l’article L411-1 du Code de l’environnement, notamment plusieurs espèces de couleuvres (couleuvre d’Esculape, couleuvre helvétique) et de lézards (lézard à deux raies, lézard des murailles).
Ces espèces ont été observées dans et aux abords immédiats des haies délimitant la parcelle concernée.
Même si le projet prévoit la conservation des haies existantes, la construction d’immeubles au sein du champ représente un risque réel pour la conservation de ces populations :
Destruction ou fragmentation d’habitats : les zones herbacées et ouvertes utilisées pour leur chasse, la thermorégulation et la reproduction seraient en grande partie supprimées
Rupture de corridors écologiques: les déplacements des reptiles entre les haies et les zones voisines pourraient être interrompus
Perturbations indirectes: bruit, vibration, éclairage nocturne et fréquentation humaine accrue risquent de compromettre la présence durable de ces espèces
Afin de garantir la compatibilité du projet avec les obligations réglementaires de préservation de la faune protégée, il serait souhaitable :
- de réaliser une expertise écologique complémentaire, en période favorable à l’observation des reptiles
- de relocaliser ou réduire l’emprise bâtie afin de préserver une zone herbacée fonctionnelle en continuité avec les haies et, le cas échéant, de prévoir des mesures d’atténuation et de compensation (création de murets, tas de pierres, bandes enherbées connectées aux haies, corridors de déplacement).
En l’état, la mise en œuvre du projet dans ce champ pourrait conduire à la dégradation d’un habitat d’espèces protégées, ce qui serait contraire au principe de non-destruction défini par la réglementation sur la biodiversité
Contribution n°46 (Web)
Anonyme
Déposée le 6 novembre 2025 à 19h46
Déposée le 6 novembre 2025 à 19h46
Nantes Métropole met en avant une étude sur les mobilités visant à établir “une vision partagée et apaisée des déplacements”.
Un objectif louable sur le papier, mais qui peine à se concrétiser sur le terrain, où les aménagements récents témoignent d’une tout autre réalité.
L’expérimentation menée actuellement sur les ponts de Thouaré en est l’illustration parfaite. Le principe : un espace de circulation partagé entre automobiles et vélos, limité à 30 km/h, avec un marquage au sol privilégiant les cyclistes.
Le problème : ces infrastructures accueillent quotidiennement près de 9 500 véhicules contre seulement 300 vélos, selon les données officielles de Nantes Métropole et du Département.
La conséquence : des files de véhicules contraints de circuler au rythme des cyclistes, une circulation ralentie et des congestions prévisibles aux heures de forte affluence.
Donc, cher LOD : Difficile, dans ces conditions, de parler sincèrement “d’apaisement” ou de “fluidification”. Votre discours et la pratique semblent déconnectés ! Comment peut-on simultanément mettre en place des dispositifs qui freinent volontairement le trafic automobile et affirmer qu’une ZAC générant plusieurs centaines de logements n’aura qu’un “impact limité” sur la circulation locale ? Comment le pouvez-vous en toute honnêteté ? …
Le calcul est pourtant simple :
- environ 700 véhicules supplémentaires par jour liés au projet de ZAC,
- des ponts déjà en situation de saturation,
- des itinéraires alternatifs inexistants ou insuffisants pour absorber le surplus.
Face à ce constat, on ne peut plus parler de simples ajustements. C’est une détérioration programmée de la fluidité routière qui se profile pour Thouaré. Un enfer.
La voiture reste, qu’on le veuille ou non, le mode de transport dominant pour la majorité des habitants, notamment pour les trajets domicile-travail. Plutôt que de la stigmatiser systématiquement, il conviendrait d’adopter une approche pragmatique de la mobilité en cessant de brandir le vélo comme unique réponse. C’est trop facile et ça exclut les automobilistes.
Partager l’espace, oui. Mais pas au prix d’une circulation paralysée pour tous.
La copie est à revoir et avec cette fois, de l’honnêteté.
Un objectif louable sur le papier, mais qui peine à se concrétiser sur le terrain, où les aménagements récents témoignent d’une tout autre réalité.
L’expérimentation menée actuellement sur les ponts de Thouaré en est l’illustration parfaite. Le principe : un espace de circulation partagé entre automobiles et vélos, limité à 30 km/h, avec un marquage au sol privilégiant les cyclistes.
Le problème : ces infrastructures accueillent quotidiennement près de 9 500 véhicules contre seulement 300 vélos, selon les données officielles de Nantes Métropole et du Département.
La conséquence : des files de véhicules contraints de circuler au rythme des cyclistes, une circulation ralentie et des congestions prévisibles aux heures de forte affluence.
Donc, cher LOD : Difficile, dans ces conditions, de parler sincèrement “d’apaisement” ou de “fluidification”. Votre discours et la pratique semblent déconnectés ! Comment peut-on simultanément mettre en place des dispositifs qui freinent volontairement le trafic automobile et affirmer qu’une ZAC générant plusieurs centaines de logements n’aura qu’un “impact limité” sur la circulation locale ? Comment le pouvez-vous en toute honnêteté ? …
Le calcul est pourtant simple :
- environ 700 véhicules supplémentaires par jour liés au projet de ZAC,
- des ponts déjà en situation de saturation,
- des itinéraires alternatifs inexistants ou insuffisants pour absorber le surplus.
Face à ce constat, on ne peut plus parler de simples ajustements. C’est une détérioration programmée de la fluidité routière qui se profile pour Thouaré. Un enfer.
La voiture reste, qu’on le veuille ou non, le mode de transport dominant pour la majorité des habitants, notamment pour les trajets domicile-travail. Plutôt que de la stigmatiser systématiquement, il conviendrait d’adopter une approche pragmatique de la mobilité en cessant de brandir le vélo comme unique réponse. C’est trop facile et ça exclut les automobilistes.
Partager l’espace, oui. Mais pas au prix d’une circulation paralysée pour tous.
La copie est à revoir et avec cette fois, de l’honnêteté.
Contribution n°45 (Web)
Par bobet alexandr
Déposée le 6 novembre 2025 à 19h46
Déposée le 6 novembre 2025 à 19h46
La création de la Zac des Deux ruisseaux m'interroge au regard de ses effets sur l'environnement. Au regard des problèmes réguliers d'écoulement d'eau, de stagnation des eaux de pluie sur les terrains autour de la ZAC, ajouter une fois de plus une "bétonisation du sol" ne va qu'engendrer ces problématiques pouvant occasionner de réels effets néfastes sur la santé des voisins et des nouveaux habitants de la ZAC. En effet, c'est une zone où de nombreux nuisibles tels que les moustiques et les frelons asiatiques se développent déjà avec un accès à l'eau facile de part le ruisseau et le bassin déjà présent. Celui qui est envisagé dans cette nouvelle ZAC rue de Beaulieu ne va qu'amplifier ces phénomènes, en le collant notamment aux clôtures des habitants de l'avenue du Vallon. Cet enjeu de santé publique et d'effets environnementaux ne semblent donc pas une priorité au regard de la construction de cette ZAC.
Il est urgent de mettre en place un véritable travail en concertation avec les habitants afin de rendre cette construction plus saine en matière de santé et de préservation de l'environnement pour les habitants actuels et les futures familles.
De plus, jusqu'ici des animaux sauvages ainsi que de nombreux insectes venaient dans les champs qui vont être bétonniser. (Biches, lapins, renards, Sangliers...). Une fois de plus l'équilibre de l'écosystème local au profit du goudron est incompréhensible au regard des enjeux actuels à l'échelle locale, nationale et mondiale (COP 30). Dommage que le capitalisme prenne le dessus plutôt que de mettre en avant un projet réfléchi et respectueux de l'environnement avec des représentants des habitants du quartier. Nous ne sommes pas fermés à la discussion, nous exigeons une REELLE concertation afin de respecter réellement l'environnement, la santé des habitants actuels et futurs et ainsi proposer un meilleur lieu de vie pour les générations à venir!
Il est urgent de mettre en place un véritable travail en concertation avec les habitants afin de rendre cette construction plus saine en matière de santé et de préservation de l'environnement pour les habitants actuels et les futures familles.
De plus, jusqu'ici des animaux sauvages ainsi que de nombreux insectes venaient dans les champs qui vont être bétonniser. (Biches, lapins, renards, Sangliers...). Une fois de plus l'équilibre de l'écosystème local au profit du goudron est incompréhensible au regard des enjeux actuels à l'échelle locale, nationale et mondiale (COP 30). Dommage que le capitalisme prenne le dessus plutôt que de mettre en avant un projet réfléchi et respectueux de l'environnement avec des représentants des habitants du quartier. Nous ne sommes pas fermés à la discussion, nous exigeons une REELLE concertation afin de respecter réellement l'environnement, la santé des habitants actuels et futurs et ainsi proposer un meilleur lieu de vie pour les générations à venir!
Contribution n°44 (Web)
Anonyme
Déposée le 6 novembre 2025 à 19h02
Déposée le 6 novembre 2025 à 19h02
La réponse du LOD (à une participation faisait état du traffic à venir dans la rue du Jaunais) indiquait que « seulement une dizaine de véhicules par jour » emprunteraient la rue du Jaunais ! Cela relève d’une contradiction manifeste avec les chiffres issus de leur propre étude ! C’est assez fort …
Dans le dossier d’impact, il est pourtant précisé une augmentation moyenne de 600 à 700 véhicules par jour, soit +26 % de trafic sur cette voie.
Comment le LOD peut-il sérieusement réduire cette estimation de plusieurs centaines de véhicules à une simple « dizaine » ?
Cette dichotomie totale entre les données officielles et la réponse fournie ne peut être interprétée autrement que comme une volonté d’amenuiser délibérément la perception des nuisances futures.
Une telle déformation du réel n’est pas anodine. Elle vide la consultation publique de son sens et remet en cause la sincérité du processus participatif. Les habitants ne sont pas là pour écouter des euphémismes : ils vivent au quotidien les limites d’une voirie étroite, sans trottoir continu, déjà difficilement praticable, et savent pertinemment qu’elle deviendra un axe de contournement logique du futur quartier. Réduire ces projections à “une dizaine de véhicules” revient à nier les faits, à disqualifier la parole citoyenne et à affaiblir la crédibilité de tout le dossier.
La concertation ne doit pas être un exercice de communication, mais un espace d’honnêteté. En l’état, la réponse du LOD illustre l’exact contraire surtout que :
- Le LOD prétend que l’augmentation de 26 % du trafic ne concernera pas la rue du Jaunais, car le flux serait “réparti sur d’autres axes”.
→ Or, aucun axe alternatif crédible n’est identifié ni décrit dans le dossier.
Les plans d’aménagement montrent au contraire que la rue du Jaunais constitue un point de liaison naturel entre la ZAC et les voies principales de Thouaré.
- Les autres voies possibles sont :
• la rue de la Fontaine Saint-Simon, déjà saturée et peu adaptée au transit ;
• la rue de Mauves, qui dessert surtout le centre, et ne peut absorber un report de circulation sans générer de nouveaux points de congestion (elle est déjà bien congestionnée aux heures de pointe !) ;
• et la rue des Deux Ruisseaux, prévue comme voie interne à la ZAC, donc non destinée à dévier la circulation extérieure.
Autrement dit, aucun de ces axes n’a la capacité ni la vocation de supporter le surplus annoncé.
- En réalité, la topographie du secteur et le maillage viaire font que la rue du Jaunais restera l’itinéraire le plus direct pour contourner la ZAC ou rejoindre Mauves, Ste Luce et Carquefou.
C’est un effet de logique de flux : les automobilistes prendront toujours la route la plus courte et la plus fluide, et ici, c’est précisément celle-là.
En conclusion, la justification du LOD repose sur une fiction de report de trafic, non étayée par des données de simulation, ni par une description d’aménagements concrets destinés à détourner les véhicules.
Dans le dossier d’impact, il est pourtant précisé une augmentation moyenne de 600 à 700 véhicules par jour, soit +26 % de trafic sur cette voie.
Comment le LOD peut-il sérieusement réduire cette estimation de plusieurs centaines de véhicules à une simple « dizaine » ?
Cette dichotomie totale entre les données officielles et la réponse fournie ne peut être interprétée autrement que comme une volonté d’amenuiser délibérément la perception des nuisances futures.
Une telle déformation du réel n’est pas anodine. Elle vide la consultation publique de son sens et remet en cause la sincérité du processus participatif. Les habitants ne sont pas là pour écouter des euphémismes : ils vivent au quotidien les limites d’une voirie étroite, sans trottoir continu, déjà difficilement praticable, et savent pertinemment qu’elle deviendra un axe de contournement logique du futur quartier. Réduire ces projections à “une dizaine de véhicules” revient à nier les faits, à disqualifier la parole citoyenne et à affaiblir la crédibilité de tout le dossier.
La concertation ne doit pas être un exercice de communication, mais un espace d’honnêteté. En l’état, la réponse du LOD illustre l’exact contraire surtout que :
- Le LOD prétend que l’augmentation de 26 % du trafic ne concernera pas la rue du Jaunais, car le flux serait “réparti sur d’autres axes”.
→ Or, aucun axe alternatif crédible n’est identifié ni décrit dans le dossier.
Les plans d’aménagement montrent au contraire que la rue du Jaunais constitue un point de liaison naturel entre la ZAC et les voies principales de Thouaré.
- Les autres voies possibles sont :
• la rue de la Fontaine Saint-Simon, déjà saturée et peu adaptée au transit ;
• la rue de Mauves, qui dessert surtout le centre, et ne peut absorber un report de circulation sans générer de nouveaux points de congestion (elle est déjà bien congestionnée aux heures de pointe !) ;
• et la rue des Deux Ruisseaux, prévue comme voie interne à la ZAC, donc non destinée à dévier la circulation extérieure.
Autrement dit, aucun de ces axes n’a la capacité ni la vocation de supporter le surplus annoncé.
- En réalité, la topographie du secteur et le maillage viaire font que la rue du Jaunais restera l’itinéraire le plus direct pour contourner la ZAC ou rejoindre Mauves, Ste Luce et Carquefou.
C’est un effet de logique de flux : les automobilistes prendront toujours la route la plus courte et la plus fluide, et ici, c’est précisément celle-là.
En conclusion, la justification du LOD repose sur une fiction de report de trafic, non étayée par des données de simulation, ni par une description d’aménagements concrets destinés à détourner les véhicules.
Contribution n°43 (Web)
Par Ferry Jeanine
Déposée le 6 novembre 2025 à 15h30
Déposée le 6 novembre 2025 à 15h30
1/ Problème de desserte et d'accès à la parcelle A 368
Lors de la cession des terrains par LOD certaines parcelles ont été cédées dans le cadre d'un plan d'aménagement global. Dans ce cadre la parcelle AD 368 constructible (zone 1AUMb du PLUM) devait être desservie en passant par la parcelle a17 faisant l'objet d'un aménagement global intégrant les parcelles AD 241, AD243 et AD18 pour permettre une desserte de la parcelle A368 qui est enclavée et n'offre aucune autre sortie que ce passage initialement prévu. L'aménageur indique 10 ans plus tard , qu'il n'a pas fait l'acquisition des dites parcelles (AD241,AD243 et AD18) et indique qu'il est difficile d'imaginer pêrmettre une desserte dans le projet d'amanagement de la parcelle AD17 qui va être mise en appel d'offres promoteurs en début d'année 2026. Il est donc demandé instamment de prévoir une desserte de la parcelle AD368 dans le futur plan d'aménagement de la parcelle AD17 présenté par l'opérateur retenu.
Les propriétaires des parcelles AD241, AD 243 et AD 18 ne sont pas à ce jour vendeurs ce qui ne permet pas d'imaginer une desserte via ces parcelles pour rejoindre le chemin de la Matière.
2/ accès d'engins agricoles pour l'entretien des espaces naturels
L'accès à la parcelle A368 doit s'envisager non seulement pour les véhicules particuliers mais également pour les engins agricoles qui devront intervenir sur l'ensemble des fonciers non construits (fauchage, élagage) Ce problème ne concerne pas simplement la parcelle AD368 mais l'ensemble de la zone acquise par LOD et qui sera rétrocédée à Nantes Métropole. 0 prévoir un accès aux parcelles enclavées et/ou agricoles et/ou naturelles de l'ensemble de la ZAC des deux ruisseaux largement couverte par des zones humides et naturelles avec une importante biodiversité et qui nécessite un entretien spécifique mobilisant des engins de nature agricole.
3/ La cession de la parcelle AD17 englobe le premier tiers du chemin de la Matière. Ce chemin ne desservant que le hameau de la matière et actuellement classé en voie privée n'apporte aucun intérêt pour l'aménagement de la zone par LOD. Les discussions engagées laissent à penser que l'aménageur (ou la collectivité) pourrait rétrocéder à titre gratuit cette partie du chemin de la matière pour éviter une porosité avec la zone à aménager qui comprendra 27 logements dont 6 maisons groupées, 12 logements sociaux et neufs collectifs (dont BRS et BRS+ et habitat inclusif) Il est souhaité que cette demande de rétrocession soit formulée dans l'avis que doit rendre le commissaire enquêteur
Lors de la cession des terrains par LOD certaines parcelles ont été cédées dans le cadre d'un plan d'aménagement global. Dans ce cadre la parcelle AD 368 constructible (zone 1AUMb du PLUM) devait être desservie en passant par la parcelle a17 faisant l'objet d'un aménagement global intégrant les parcelles AD 241, AD243 et AD18 pour permettre une desserte de la parcelle A368 qui est enclavée et n'offre aucune autre sortie que ce passage initialement prévu. L'aménageur indique 10 ans plus tard , qu'il n'a pas fait l'acquisition des dites parcelles (AD241,AD243 et AD18) et indique qu'il est difficile d'imaginer pêrmettre une desserte dans le projet d'amanagement de la parcelle AD17 qui va être mise en appel d'offres promoteurs en début d'année 2026. Il est donc demandé instamment de prévoir une desserte de la parcelle AD368 dans le futur plan d'aménagement de la parcelle AD17 présenté par l'opérateur retenu.
Les propriétaires des parcelles AD241, AD 243 et AD 18 ne sont pas à ce jour vendeurs ce qui ne permet pas d'imaginer une desserte via ces parcelles pour rejoindre le chemin de la Matière.
2/ accès d'engins agricoles pour l'entretien des espaces naturels
L'accès à la parcelle A368 doit s'envisager non seulement pour les véhicules particuliers mais également pour les engins agricoles qui devront intervenir sur l'ensemble des fonciers non construits (fauchage, élagage) Ce problème ne concerne pas simplement la parcelle AD368 mais l'ensemble de la zone acquise par LOD et qui sera rétrocédée à Nantes Métropole. 0 prévoir un accès aux parcelles enclavées et/ou agricoles et/ou naturelles de l'ensemble de la ZAC des deux ruisseaux largement couverte par des zones humides et naturelles avec une importante biodiversité et qui nécessite un entretien spécifique mobilisant des engins de nature agricole.
3/ La cession de la parcelle AD17 englobe le premier tiers du chemin de la Matière. Ce chemin ne desservant que le hameau de la matière et actuellement classé en voie privée n'apporte aucun intérêt pour l'aménagement de la zone par LOD. Les discussions engagées laissent à penser que l'aménageur (ou la collectivité) pourrait rétrocéder à titre gratuit cette partie du chemin de la matière pour éviter une porosité avec la zone à aménager qui comprendra 27 logements dont 6 maisons groupées, 12 logements sociaux et neufs collectifs (dont BRS et BRS+ et habitat inclusif) Il est souhaité que cette demande de rétrocession soit formulée dans l'avis que doit rendre le commissaire enquêteur
Document joint
Contribution n°42 (Web)
Anonyme
Déposée le 6 novembre 2025 à 15h09
Déposée le 6 novembre 2025 à 15h09
Avez-vous prévu :
- des trottoirs et des éclairages durant toute la phase de travaux, puis après les travaux
- des installations de miroirs afin de faciliter les sorties de voies privées de beaucoup de maisons qui n'ont aucune visibilité sur la rue du jaunais
- la possibilité de faire passer un bus dans la rue avec zone de retournement sur le nouveau rond point de la garenne
- des zones de ralentissement afin de faire baisser la vitesse de beaucoup de voitures rue du jaunais
- installer des petits commerces de proximité au rez de chaussée des logements collectif
- estimé le nombre de nouveaux élèves dans tous les établissements de la ville
- des trottoirs et des éclairages durant toute la phase de travaux, puis après les travaux
- des installations de miroirs afin de faciliter les sorties de voies privées de beaucoup de maisons qui n'ont aucune visibilité sur la rue du jaunais
- la possibilité de faire passer un bus dans la rue avec zone de retournement sur le nouveau rond point de la garenne
- des zones de ralentissement afin de faire baisser la vitesse de beaucoup de voitures rue du jaunais
- installer des petits commerces de proximité au rez de chaussée des logements collectif
- estimé le nombre de nouveaux élèves dans tous les établissements de la ville
Contribution n°41 (Web)
Anonyme
Déposée le 28 octobre 2025 à 09h48
Déposée le 28 octobre 2025 à 09h48
Bonjour,
Vous prévoyez des bâtiments, mais serait-il possible de prévoir aussi des zones de "petits commerces de proximité" par exemple au rez-de-chaussé des immeubles ?
Thouaré aurait grand besoin d'autres lieu comme boulangerie, épicerie, même d'autres maisons médicales ou des pharmacies pour pouvoirs répondre aux besoins des habitants insuffisant à l'heure actuel et qui sera encore plus grand demain avec les constructions de la zone.
Qu'en pensez-vous ?
Vous prévoyez des bâtiments, mais serait-il possible de prévoir aussi des zones de "petits commerces de proximité" par exemple au rez-de-chaussé des immeubles ?
Thouaré aurait grand besoin d'autres lieu comme boulangerie, épicerie, même d'autres maisons médicales ou des pharmacies pour pouvoirs répondre aux besoins des habitants insuffisant à l'heure actuel et qui sera encore plus grand demain avec les constructions de la zone.
Qu'en pensez-vous ?
Contribution n°40 (Web)
Anonyme
Déposée le 28 octobre 2025 à 09h45
Déposée le 28 octobre 2025 à 09h45
Bonjour,
La route de la rue du Jaunais est déjà aujourd'hui trop étroite pour le croisement de certains véhicule, sans oublier les difficultés liées aux passage des bus et des éboueurs.
Vous prévoyez aujourd'hui de la modifier en ajoutant un trottoir et utilisant les marquages de chaussidou.
Vous savez aussi que que tout conducteur et utilisateur de cycle, que les chaussidoux n'ont pas la même efficacité que des voies réservées aux vélos : pourquoi alors ne pas utiliser la place du fossé pour créer une vrai piste cyclable ? Nous vous rappelons qu'il y a régulièrement des voitures accidentées qui finissent dans ces fossés.
Lors de la création du trottoir (qui reste une très bonne chose), avez-vous prévu l’enterrement des lignes électriques et téléphoniques, ainsi que la mise en place d'un éclairage public ?
Enfin, une dernière question sur les routes ; il avait été prévu il y a quelques temps entre Thouaré et Sainte Luce la réalisation d'une route de liaison des deux communes pour libérer la circulation. La route du côté de Sainte Luce est prête, mais Thouaré n'a jamais effectué les travaux de liaison. Ne serait-il pas judicieux de profiter de l'aménagement de cette zone pour réaliser la jonction, libérant ainsi la sortie de Cupa Stone ?
Nous attendons vos réponses et solutions à ces problématiques au plus tôt.
La route de la rue du Jaunais est déjà aujourd'hui trop étroite pour le croisement de certains véhicule, sans oublier les difficultés liées aux passage des bus et des éboueurs.
Vous prévoyez aujourd'hui de la modifier en ajoutant un trottoir et utilisant les marquages de chaussidou.
Vous savez aussi que que tout conducteur et utilisateur de cycle, que les chaussidoux n'ont pas la même efficacité que des voies réservées aux vélos : pourquoi alors ne pas utiliser la place du fossé pour créer une vrai piste cyclable ? Nous vous rappelons qu'il y a régulièrement des voitures accidentées qui finissent dans ces fossés.
Lors de la création du trottoir (qui reste une très bonne chose), avez-vous prévu l’enterrement des lignes électriques et téléphoniques, ainsi que la mise en place d'un éclairage public ?
Enfin, une dernière question sur les routes ; il avait été prévu il y a quelques temps entre Thouaré et Sainte Luce la réalisation d'une route de liaison des deux communes pour libérer la circulation. La route du côté de Sainte Luce est prête, mais Thouaré n'a jamais effectué les travaux de liaison. Ne serait-il pas judicieux de profiter de l'aménagement de cette zone pour réaliser la jonction, libérant ainsi la sortie de Cupa Stone ?
Nous attendons vos réponses et solutions à ces problématiques au plus tôt.
Contribution n°39 (Web)
Anonyme
Déposée le 28 octobre 2025 à 09h31
Déposée le 28 octobre 2025 à 09h31
Bonjour,
Actuellement dans la zone de la rue du Jaunais, il n'y a que des maisons d'un seul étage (R+1).
Dans votre proposition, vous souhaiter garder le côté champêtre et la qualité de vie de cette zone. Ors vous avez prévu des bâtiments de deux étage (R+2) augmentant considérablement la hauteur et dénaturant indéniablement l'ambiance existante.
Ne pourriez-vous pas concevoir des bâtiments un peu moins haut pour conserver cette qualité ?
Merci d'avance pour votre réponse.
Actuellement dans la zone de la rue du Jaunais, il n'y a que des maisons d'un seul étage (R+1).
Dans votre proposition, vous souhaiter garder le côté champêtre et la qualité de vie de cette zone. Ors vous avez prévu des bâtiments de deux étage (R+2) augmentant considérablement la hauteur et dénaturant indéniablement l'ambiance existante.
Ne pourriez-vous pas concevoir des bâtiments un peu moins haut pour conserver cette qualité ?
Merci d'avance pour votre réponse.
Contribution n°38 (Web)
Anonyme
Déposée le 28 octobre 2025 à 09h26
Déposée le 28 octobre 2025 à 09h26
Bonjour,
Nous sommes dans un groupe de maisons individuelles existant sur la rue du Jaunais.
Lors de la construction, il nous a été imposé l'installation de micro-station pour le traitement des eaux usées.
Lors de l'aménagement de cette zone par vos soins, nous supposons que vous allez prévoir le raccordement des nouveaux logements au réseau des eaux usées.
Etant situé en plein milieu de cette aménagement, allons-nous pouvoir bénéficier de ce raccordement ? Ou serons-nous encore isolés de ce dispositif ?
Merci d'avance pour votre réponse.
Nous sommes dans un groupe de maisons individuelles existant sur la rue du Jaunais.
Lors de la construction, il nous a été imposé l'installation de micro-station pour le traitement des eaux usées.
Lors de l'aménagement de cette zone par vos soins, nous supposons que vous allez prévoir le raccordement des nouveaux logements au réseau des eaux usées.
Etant situé en plein milieu de cette aménagement, allons-nous pouvoir bénéficier de ce raccordement ? Ou serons-nous encore isolés de ce dispositif ?
Merci d'avance pour votre réponse.
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