Contribution n°22 (Web)
Déposée le 29 septembre 2025 à 11h59
Pourquoi les maires des communes voisines ont-ils été consultés ? Quels sont leurs avis ?
Pourquoi les informations à ce sujet n'ont pas été apposées sur les panneaux d’affichage ?
Le lieu choisi n’est pas un site dégradé (terres de labour, prairies de fauche, pâturages – étude paysagère).
Pourquoi nuire aux paysages de l’Auxois pour enrichir les actionnaires d'une société étrangère (MIROVA ENERGY) sur laquelle nous n'avons que peu d'informations ? (garantie financière de démantèlement, somme provisionnée pour le projet) ?...
Contribution n°21 (Web)
Déposée le 29 septembre 2025 à 10h49
Contribution n°20 (Web)
Déposée le 29 septembre 2025 à 10h16
Je passe beaucoup de temps à Thenissey et je suis fermement opposé à ce projet photovoltaïque. Il est en effet regrettable de voir des surfaces agricoles exploitables être détournées de leur vocation première. Il serait bien plus pertinent et judicieux d’implanter ce type d’installations sur des surfaces déjà artificialisées ou urbanisées, telles que les zones commerciales, les supermarchés ou encore les ZAC.
La pollution visuelle engendrée par ce projet est particulièrement dommageable dans un secteur déjà marqué par de nombreuses infrastructures industrielles (poteaux électriques, voies ferrées, etc.).
Le patrimoine de la Côte-d’Or est extrêmement précieux, tant sur le plan paysager que sur le plan écologique. Il constitue un héritage culturel, agricole et naturel qu’il nous appartient de préserver pour les générations futures. Chaque projet qui fragilise la biodiversité, même de manière ponctuelle ou localisée, représente une attaque insidieuse contre cet équilibre fragile.
Il est donc urgent de prendre conscience que la multiplication de ces « petites atteintes » a un effet cumulatif bien réel : disparition progressive d’espèces, banalisation des paysages, perte de fertilité des sols et dégradation du cadre de vie. À l’heure où la préservation de la biodiversité est une priorité mondiale, il paraît incohérent de sacrifier des espaces agricoles et naturels au profit de projets industriels qui pourraient parfaitement être installés sur des zones déjà artificialisées.
Pourquoi installer ce parc ici alors qu'il est plus judicieux de le faire dans d'autres régions? Le bénéfice / gain est nettement négatif dans ce cas.
Par ailleurs, je m'étonne de voir les gros titres dans le Bien Public pour sauver une petite exploitation. Je comprends bien que c'est l'appât du gain qui motive ce projet et non des aspects environnementaux.
Bien cordialement,
Contribution n°19 (Web)
Déposée le 28 septembre 2025 à 20h23
Contribution n°18 (Web)
Déposée le 28 septembre 2025 à 19h52
Contribution n°17 (Web)
Déposée le 28 septembre 2025 à 13h34
-l’avis du préfet n’est pas daté, ce qui en affaiblit la validité ;
-l’avis de la Chambre d’agriculture est manquant ;
-l’avis de la MRAE, crucial compte tenu du contexte hydrogéologique, est absent ;
- L’article d’information dans la presse aurait dû paraître 15 jours avant le démarrage de l’enquête publique. Or l’article du Bien Public est daté du 1er septembre 2025 soit le jour de l’ouverture de cette enquête
- le dossier RNT mentionne une surface de 24 ha alors que le projet actuel n’en couvre que 20. Le dossier n’a pas été mis à jour
-il manque le dossier AFNOR qui est obligatoire
Ces éléments montrent que le projet comporte des irrégularités administratives et juridiques et ne peut être accepté en l’état.
Par ailleurs, ce projet est nullement nécessaire à la commune de Thenissey d'un point de vue énergétique, et détruira une grande partie de la faune et la flore présente.
Contribution n°16 (Web)
Déposée le 27 septembre 2025 à 20h13
Tout d’abord, en tant que parent, je suis très préoccupée par l’avenir que nous laissons à nos enfants. Nous devons préserver la biodiversité. Ce projet conduira indéniablement à perturber les insectes, les oiseaux, les chiroptères, les reptiles. Les panneaux attireront certains insectes et oiseaux, créant des pièges, et entraineront leur disparition massive. On assistera à une destruction des habitats, un compactage des sols, une réduction de la diversité végétale et une prolifération des espèces envahissantes. Les retombées financières pour l’agriculteur et la région justifient elles réellement toutes ces destructions ? Quel avenir offrirons nous aux générations futures dans ces conditions ?
Ce projet sacrifie la biodiversité locale pour une production d’électricité dont nous n’avons pas réellement besoin.
En effet la France connaît déjà des épisodes de surproduction électrique, notamment en milieu de journée. Implanter une centrale supplémentaire sans évaluation sérieuse des besoins est incohérent.
Par ailleurs, l’empreinte biodiversité d’une centrale photovoltaïque au sol n’est pas neutre lors de sa phase amont. Le silicium utilisé pour les panneaux photovoltaïques provient principalement de carrières de quartz. Actuellement, 80% du polysilicium de qualité solaire provient de Chine, et 97% des plaquettes, ou « wafers » (issues des lingots de silicium), proviennent de Chine. Le traitement en silicium monocristallin ou polycristallin nécessite l’utilisation de nombreux produits chimiques, de beaucoup d’eau et peut engendrer des rejets pollués dans l’environnement.
Or dans l’étude présentée, l’impact hydrogéologique n’est pas abordé.
Par conséquent, je réitère mon opposition à ce projet.
Contribution n°15 (Web)
Déposée le 27 septembre 2025 à 16h27
Bien que la transition énergétique soit une nécessité, elle ne doit pas se faire au détriment de notre souveraineté alimentaire, de la préservation des terres agricoles et de l’équilibre écologique local. Ce projet soulève plusieurs préoccupations majeures :
1. Artificialisation des terres agricoles : L’installation de structures photovoltaïques sur des parcelles cultivables compromet leur vocation nourricière et risque de détourner les agriculteurs de leur mission première. Une réponse inadéquate aux défis agricoles : Face au changement climatique, les agriculteurs sont confrontés à des défis majeurs : sécheresses, aléas extrêmes, épuisement des sols. Plutôt que de recourir à des solutions de facilité comme l’agrivoltaïsme, qui détourne l’agriculture de sa vocation première, il est urgent de soutenir des pratiques agroécologiques, la diversification des cultures, la gestion durable de l’eau et la relocalisation des filières
2. Impact environnemental : La modification du microclimat sous les panneaux, la perturbation des sols et la fragmentation des habitats naturels sont autant de menaces pour la biodiversité locale.
3. Manque de communication / concertation : À ce jour, la communication autour de ce projet a été quasiment inexistante ( pas de respect des délais d’informations : article presse BP du 1er Septembre 2025) , n’est pas en cohérence avec l’article 5 de l’arrêté préfectoral n° 1187 en date du 4 Aout 2025 : "L’avis au public sera également porté à la connaissance du public dans la presse locale, quinze jours avant le début de l'enquête et rappelé dans les huit premiers jours de l'enquête publique".
Dernière date de présence du commissaire enquêteur pour la réunion publique en Mairie, erronée prêtant à confusion : cf « LUNDI 1er octobre 2025 de 16h00 à 18h00 »
Un projet de cette ampleur mérite un débat public approfondi, avec toutes les communes environnantes.
4. Modèle économique discutable : Ce type de projet favorise souvent les intérêts privés au détriment de l’intérêt général. Il serait donc plus judicieux d’explorer des alternatives plus respectueuses des terres agricoles, telles que l’installation de panneaux solaires sur des surfaces déjà artificialisées (toitures, parkings, friches industrielles).
Contribution n°14 (Web)
Déposée le 27 septembre 2025 à 15h01
Contribution n°13 (Web)
Déposée le 26 septembre 2025 à 22h02
En effet, je m’alarme des conséquences de ce projet.
L’installation de panneaux photovoltaïques va créer un ombrage important et réduire fortement la diversité végétale disponible. Les insectes polarotactiques, attirés par la réflexion de la lumière sur les panneaux, risquent par ailleurs d’être piégés et de mourir en grand nombre.
Dans un contexte de déclin massif des pollinisateurs, ces impacts ne peuvent être ignorés. La protection des insectes est directement liée à la survie de l’agriculture et à la production alimentaire.
Je m’oppose donc à ce projet qui menace un équilibre écologique déjà fragile.