Contribution n°222 (Web)
Déposée le 11 octobre 2025 à 23h49
Je suis toujours partisane de protéger la faune et ses habitats. J'ai donc pris le temps de bien lire tous les documents et la plupart des avis. Il en résulte que:
Les experts (scientifiques et spéléologues) n'ont même pas été invités lors des réunions.
Le danger pour les chauves souris sont principalement les pesticides, fermer les grottes ne contribue donc pas à leur défense.
Les experts affirment que les insectes cavernicoles vivent dans les fissures du calcaire et non seulement dans les grottes donc là encore fermer les grottes n'apportera rien.
Il apparaît que même les agriculteurs et les propriétaires n'ont pas été invités aux réunions, ils sont pourtant hautement concernés.
Comment se fait-il que scientifiques, speleologues, agriculteurs et propriétaires aient été exclus de ces décisions ??
Un dernier point m'interpelle particulièrement: l'aven d'Anglade: la seule grotte en Ariège directement menacée par l'exploitation du tungstène. Madame la préfète autorise la réouverture de la mine malgré le désastre écologique qui s'est déroulé il y a quelques décennies, qu'en est-il alors de la préservation de la faune cavernicole de l'aven d'Anglade?. Elle a étrangement été retirée de la liste des grottes qui devaient être protégées.
Il nous est demandé de faire des économies: ce projet représente un budget de plusieurs millions et ne présente pas d'intérêt quant à la préservation des espèces. Un tel budget pourrait être utilisé pour limiter l'utilisation des pesticides, aider les agriculteurs à trouver d'autres façons de faire. L'impact serait alors considerable pour la préservation des espèces.
C'est pour tous ces motifs que je mets un avis défavorable à ce projet.
Contribution n°221 (Web)
Déposée le 11 octobre 2025 à 23h09
Je refuse qu’un régime d’autorisation préalable soit nécessaire car cela porte atteinte à la libre installation professionnelle. Je rappelle qu'être moniteur professionnel de la spéléologie engendre déjà une autorisation d'exercice auprès de la DRAJES et un diplôme délivré par l'état qui à déjà vérifié au préalable les capacités des professionnels à pratiquer leurs métier dans toutes cavités dans le respect du milieu.
Contribution n°220 (Web)
Déposée le 11 octobre 2025 à 18h03
Ce document est transmis aux porteurs du projet et à l'ANA-CEN.
Document joint
Contribution n°219 (Web)
Déposée le 11 octobre 2025 à 17h26
Contribution n°218 (Web)
Déposée le 11 octobre 2025 à 17h22
Ayant aujourd’hui connaissance de toutes les richesses de patrimoine naturel et du rôle en termes de filtration de l’eau de cette formation géologique, il est primordial de mettre en place des moyens de préserver ces richesses fragiles. L’outil « réserve naturelle » est en ce sens plus qu’adapté.
Contribution n°217 (Web)
Déposée le 11 octobre 2025 à 09h22
Je soutiens la préservation des cavités souterraines et de leur faune et flore. Cependant l'accès au territoire national doit rester libre pour toute personne respectant les lieux. Imaginez que l'accès au Mont-Blanc soit réservé aux habitants de Haute-Savoie ?
Certaines cavités qui servent à faire découvrir la spéléologie ne doivent pas faire l'objet de restrictions qui limiteraient leur accès au plus grand nombre et la prise de conscience de la fragilité de la nature.
Contribution n°216 (Web)
Déposée le 11 octobre 2025 à 09h13
Le retrait de Siech et Vicdessos du périmètre ou garantie d’accès libre,
Et le refus d’un régime d’autorisation préalable portant atteinte à la libre installation professionnelle.
Contribution n°215 (Web)
Déposée le 11 octobre 2025 à 08h45
le President de l' ARSHAL Association de recherche souterraine du haut lez
et son conseil d' administration
designé responsable des explorations dans la Cigalère ( annexe D , article 9 )
ne s' oppose pas au projet de RNNSA pour le volet Cigalère.
Certaines données et travaux en cours dans la Cigalère devront etre mis a jour
avec le futur gestionnaire de la réserve.
Contribution n°214 (Web)
Déposée le 10 octobre 2025 à 20h37
Contribution n°213 (Web)
Déposée le 10 octobre 2025 à 19h12
Limiter la spéléo, faire que c’est compliqué pour les chercheurs n’aidera pas du tout l’écologie. Ça sera mieux pour les comptes en banque de l’ANA-CEN ou du PNR c’est tout. Et puis quand on lit le dossier, où sont les menaces ? Le document ne donne pas d’étude du tout. Aucune preuve. C’est du classement pour du classement et de l’argent. Toute la montagne sera bientôt classée mais ça ne changera pas les vrais problèmes. Défavorable