Contribution n°227 (Web)
Déposée le 6 octobre 2025 à 08h49
- couper des arbres
- raser des bâtiments récemment restaurés
- détruire des murs historiques (rue Damozane par exple)
et surtout surtout dédier ce budget travaux à d'autres sujets bien plus importants que sont : la sécurité, l'éducation, la santé, je m'oppose à ce projet qui n'est pas maitrisé et pas justifié par la fréquentation attendue beaucoup trop faible.
Les tarifs vont être élevés, et le développement des transports en Bus ou la gratuité des transports existants pour les résidents Caennais me semble bien plus pertinente si vous souhaitez faciliter l'accès au centre ville.
Sans compter les nuisances des travaux pendant des années et par la suite les nuisances sonores pour les riverains dont je fais parti.
C'est un beau projet, de belles vidéos, de beaux visuels paysagers, une énorme communication sur le sujet mais à quel coût ? Sécuriser notre ville, dynamiser l'économie local et les entreprises présentes sur le territoire avant qu'il ne soit trop tard !
Contribution n°226 (Web)
Déposée le 6 octobre 2025 à 08h22
En raison de l'étroitesse des rues dans le quartier caponière (ce qui en fait son charme) la circulation est déjà difficile, pourquoi rajouter une ligne de tram ici ?
Il aurait été plus logique de traverser des rues commerçantes, pourquoi pas la rue Guillaume le Conquérant ?
Contribution n°225 (Web)
Contribution n°224 (Web)
Déposée le 5 octobre 2025 à 20h20
1. Un surdimensionnement manifeste au regard des besoins réels
Les prévisions de fréquentation présentées dans le dossier d’enquête sont largement surestimées (36 000) et ont, d’ailleurs, été rectifiées à la baisse, 22000 pour les 2 branches donc 11000 par branches)
Dès lors, le choix d’une infrastructure lourde, coûteuse et rigide, comme un tramway chemin de fer, apparaît injustifié, surtout dans un contexte où :
• Les bus à haut niveau de service (BHNS) et les bus électriques utilisé dans des villes importantes répondent parfaitement à la demande de transport ;
• Des solutions alternatives, plus flexibles, évolutives et économiquement soutenables, n’ont pas été étudiées avec la rigueur nécessaire.
• Le bus est modulable en fonction de la fréquentation, un petit bus peut être remplacé par un grand, les horaires peuvent être modulés en fonction des horaires de fréquentation alors que le tram ne se module pas.
2. Un tracé peu cohérent et d’efficacité discutable
Le tracé proposé comporte plusieurs détours peu pertinents, traversant des zones à faible densité, sans réels générateurs de trafic. Par exemple, la desserte du Zénith, équipement à usage ponctuel, ne saurait justifier une fréquence de 20 minutes en journée. Son tracé traverse l’établissement public de santé mentale mettant en danger les personnes soignées et les soignants.
Par ailleurs, l’absence de liaison directe avec la gare SNCF constitue une rupture d’intermodalité majeure, allant à l’encontre des objectifs élémentaires d’un réseau de transport structurant. La liane 1 actuelle dépose les passagers au pied de la gare alors que le tramway les déposera aux Rives de l’Orne après un changement de tramway (ce qui prend un certain temps) il restera une marche à faire pour rejoindre la gare ce qui n’est pas évident lorsque l’on a des bagages et encore plus difficile pour les personnes âgées ou les parents avec enfant(s), la réduction soit disant du temps de transport pour se rendre à la gare s’en trouve annulée le temps de trajet est augmenté, le tramway en occurrence ne présente aucun intérêt.
Le nombre d’arrêts pour le tram est très réduit alors que les arrêts pour les bus sont nettement plus nombreux, Pense-t-on aux personnes âgées et aux mamans ou papas avec leurs bébés et enfants ?
3. Un choix technologique daté et inadapté aux enjeux contemporains
Le recours au tramway ferré traduit une vision dépassée de la mobilité urbaine. Aujourd’hui, des technologies plus sobres et innovantes (bus à hydrogène, trolleybus autonomes, navettes intelligentes…) permettent une intégration fine dans le tissu urbain, avec une emprise réduite, moins de contraintes d’infrastructure, et des coûts de maintenance allégés.
Ce projet, rigide et énergivore, ne répond pas aux impératifs actuels de modularité, résilience et sobriété budgétaire.
Les travaux de fondation pour installer le tramway sont très invasifs, le creusement important et profond fragilise les maisons et édifices se situant aux abords des travaux. Si les trajets de ligne de bus peuvent être modifiés facilement il n’en sera pas de même avec le tramway qui fixe pour une longue durée les lignes.
Le bilan carbone compte tenu de la quantité de béton et fer nécessaire pour faire la voie de tram est effrayant.
4. Un coût disproportionné et non soutenable
Le coût prévisionnel initial (290 M€) a été établi dans un contexte économique aujourd’hui dépassé (taux bas, avant inflation). Une actualisation réaliste porterait ce coût à plus de 320 millions d’euros, ce qui interroge sérieusement sa soutenabilité pour les finances locales et nationales.
Compte tenu de l’évolution de l’inflation, du coût des matériaux, de l’électricité et de son éventuelle pénurie, (l’état demande à tous les français de réduire leur consommation d’énergie, on entend et on voit tous les jours les spots nous intimant de réduire notre consommation et même les voitures électriques ne sont pas sûres de pouvoir se recharger l’hiver), il n’est pas raisonnable de financer le projet tram.
En outre :
• La participation de l’État (40 M€) soulève des questions de priorité budgétaire, dans un contexte où des secteurs essentiels (éducation, santé, transition énergétique) manquent cruellement de moyens ;
• Le retour sur investissement est incertain compte tenu de la fréquentation projetée, jugée optimiste.
• Alors qu’on manque d’argent pour financer les pompiers, acheter des canadairs notamment dans l’Aude cet été 2025, pour faire face aux incendies qui risquent de s’intensifier avec le réchauffement climatique, l’argent serait certainement mieux utilisé pour lutter contre les incendies. L’état ferait mieux d’utiliser ses fonds à bon escient plutôt que donner 40M€ pour un projet inapproprié, il préfère taxer les citoyens
• L’augmentation des taux d’intérêt font grimper le coût, l’état s’endette de plus en plus, est-il bien raisonnable de financer un tram qui sera peu fréquenté, la liane 1 fonctionne souvent déjà avec peu de voyageurs.
• A Caen, avec le tram, on va dépenser une somme astronomique pour une technologie dépassée du XIX ème siècle car il s’agit bien d’un chemin de fer et qui engage au moins pour trente ans, Est-ce bien raisonnable ?
5. Des impacts fonciers, urbains et environnementaux sous-évalués
Le projet minimise les conséquences sur les quartiers traversés, notamment :
• Le risque de dévalorisation immobilière dans les zones résidentielles proches du tracé (ex. rue du Chemin Vert, rue Damozanne, rue Boualam) ;
• Les nuisances associées (bruit, vibrations, perte de stationnements, travaux prolongés, difficultés pour sortir de leur garage, se faire livrer fuel par exemple)
• L’atteinte au patrimoine végétal, avec abattage d’arbres majeurs, suscitant une opposition locale légitime. Caen ville verte alors pourquoi abattre des arbres et des haies pour faire passer un tram qui voyagera souvent presque à vide ?
• Le tram engendre une dénaturation de notre confort visuel notamment arbres et haies remplacés par les caténaires et nombreux câbles inesthétiques
Aucune étude d’impact foncier sérieuse ne permet d’anticiper précisément ces effets sur la qualité de vie et le cadre bâti existant.
Conclusion
Ce projet de deuxième ligne de tramway présente :
• Un décalage manifeste entre les objectifs affichés et les réalités territoriales ;
• Un coût élevé injustifié par les bénéfices attendus ;
• Des choix technologiques inadaptés à la transition écologique et à la sobriété budgétaire ;
• Des impacts urbains et sociaux sous-estimés.
Il serait préférable de réorienter les efforts publics vers des solutions de mobilité plus souples, moins carbonées et mieux ajustées aux besoins locaux.
J’émets un avis défavorable au projet tram dans le cadre de la présente enquête publique.
Contribution n°223 (Web)
Déposée le 5 octobre 2025 à 20h04
Contribution n°222 (Web)
Déposée le 5 octobre 2025 à 19h59
Contribution n°221 (Web)
Déposée le 5 octobre 2025 à 17h04
La réunion Accessibilité de 2023 avec seulement 2 personnes représentant le handicap visuel, ce n'est pas suffisant.
Contribution n°220 (Web)
Déposée le 5 octobre 2025 à 15h36
ce qui rend impossible le financement du projet de 288M€( en 2021) non actualisé, d’autant que l’Etat est en déficit (aides ??) De plus la démolition d’un bâtiment neuf dans l’EPSM est une aberration sans parler de l’abattage des arbres en grand nombre alors que nous devons préserver notre végétation pour respirer. Nous ne soutiendrons pas ce projet décalé des futurs moyens de transport.
Contribution n°219 (Web)
Déposée le 5 octobre 2025 à 11h40
Je demande l'arrêt de ce projet.
Contribution n°218 (Web)
Déposée le 4 octobre 2025 à 22h47
Parcontre le dimanche, il faut des trams plus tôt (vers 7h!) et plus souvent!
Pour les arrêts il faut renommer celui devant malherbe en Lycée Malherbe pour une meilleure lisibilité.
A la place des voies entrelacées pourquoi pas 2 aiguillages en bout en bout pour permettre des retournements au cas où.
Pareil, il faut un aiguillage entre zénith et le stade au cas où d’événements très perturbateurs au stade. Sans celui là, le terminus provisoire serait a l’hôtel de ville!!!
On peut espérer un jour le tram à Mondeville 2 et à l’Aeroport ?
Pareil si pendant les travaux pour pouvez mettre une aiguillage à la gare côté T1/T3 car Poincaré en cas de souci c’est trop loin.
Pareil à Université car Copernic c’est loin….
Au cas où que dans quelques années il y ait besoin de tramways de 43m, pourquoi ne pas faire cette extension en quai de 43m plutôt que refaire des travaux dans quelques années ?
Merci à tous et vive le tramway!