Les contributions

Contribution n°306 (Web)

Par Marion Fernandez
Déposée le 26 novembre 2025 à 20h58
Aucune étude n'a été effectuée concernant l'effet stroboscopique que les pales pouvaient avoir sur les animaux sauvages et domestiques [...]
Aucune étude n'a été effectuée concernant l'effet stroboscopique que les pales pouvaient avoir sur les animaux sauvages et domestiques à proximité.

Contribution n°305 (Web)

Par Marion Fernandez
Déposée le 26 novembre 2025 à 20h57
A noter aussi que l'étude d'impact se concentre sur des périodes de l'année très spécifique pour effectuer son diagnostic. En l'occurrence, [...]
A noter aussi que l'étude d'impact se concentre sur des périodes de l'année très spécifique pour effectuer son diagnostic. En l'occurrence, pour connaître en moyenne la présence de chaque espèce, une période de l'année d'observation (et même l'année entière) est loin d'être suffisant. Chaque année, les comportements des animaux et occupations d'un territoires varient en fonction de différents critères : la météo, la densité de ressource, les pressions humaines. L'étude d'impact ne compare absolument pas les données récoltées avant l'implantation de nouvelles éoliennes sur le territoire VS après. Alors que ces indications sont cruciales pour comprendre à quel point la densité d'éoliennes sur la commune impacte les habitude des animaux et provoque leur disparition. Ce que nous perdons, nous le retrouverons plus. Le préjudice écologique est immense !

Contribution n°304 (Web)

Par Marion Fernandez
Déposée le 26 novembre 2025 à 20h57
De nombreuses cigognes blanches ont été observées également pendant la migration (139 données ont été renseignées au total). Des grues [...]
De nombreuses cigognes blanches ont été observées également pendant la migration (139 données ont été renseignées au total). Des grues cendrées sont repérées régulièrement pendant la migration aussi. Des oedicnèmes criards sont nicheurs ainsi que des courlis cendrés et des pies grièches écorcheurs. Des outardes canetières suspectées de nicher. Et des vautours ont été aperçus, en quête de nourriture il y a quelques années. Cela fait deux ans que l'on constate aussi, au printemps, la présence d'un pygargue à queue blanche. Tous ces animaux sont soit absents de l'étude soit évoqués comme une présence anecdotiques. Alors que tous ces oiseaux sont protégés et que les éoliennes provoquent leur mortalité par impact mais aussi par fragmentation de l'habitat.

http://vienne.lpo.fr/index.php?m_id=620&frmSpecies=160&sp_tg=1&tframe=0&maptype=max&action=sp&y=2023
Je vous laisse taper les autres données dans le moteur de recherche de la LPO.

Contribution n°303 (Web)

Par Marion Fernandez
Déposée le 26 novembre 2025 à 20h56
Pour compléter la contribution de la LPO, notez les observations de cigogne noire qui prouvent qu'un couple s'est établi à proximité [...]
Pour compléter la contribution de la LPO, notez les observations de cigogne noire qui prouvent qu'un couple s'est établi à proximité du site où les éoliennes seront construites. Cet oiseau est particulièrement vulnérable (75 couples seulement en France). Très difficile à observer, il souffre d'un gros manque de protection. Il niche et se nourrit essentiellement à proximité des zones humides (le Ragouillis n'est pas loin, rappelons-le)

http://vienne.lpo.fr/index.php?m_id=509&frmSpecies=41&action=species&y=2025

Dans tous les cas, elle est présente comme nicheuse et reproductrice proche du site d'implantation et en Vienne comme le montre l'article ci-après. Contrairement à ce qui a été dit pendant la réunion publique par le porteur de projet : à savoir, qu'elle n'était que migratrice.

https://www.lpo.fr/lpo-locales/la-lpo-en-nouvelle-aquitaine/lpo-poitou-charentes/actualites/2023/trois-nouvelles-especes-nicheuses-en-poitou-charentes

Contribution n°302 (Web)

Par Marion Fernandez
Déposée le 26 novembre 2025 à 20h55
A noter la proximité des marais du Ragouillis qui abrite la plupart des espèces concernées par l'implantation des éoliennes (oiseaux, [...]
A noter la proximité des marais du Ragouillis qui abrite la plupart des espèces concernées par l'implantation des éoliennes (oiseaux, chiroptères, insectes). Comme toute zone humide, ce milieu extrêmement fragile, se raréfie et abrite de nombreuses espèces qui viennent pour nicher, se reproduire ou se nourrir. Le marais abrite notamment la loutre d’Europe et le castor d’Europe qui ne sont pas cités par l'étude du tout mais peuvent être impactés indirectement par la fragmentation de leurs habitats lorsque plusieurs parcs éoliens et leurs infrastructures se multiplient à proximité d’un marais ou d’une zone humide comme le marais du Ragouillis. Pourquoi l’éolien peut poser problème à la Loutre et au Castor
D'abord, il entraîne la fragmentation physique de l’habitat qui est déjà largement fragmenté à cause des précédents projets autour.
Les parcs éoliens ne sont pas le problème principal : les pistes d’accès, plateformes, terrassements, réseaux enterrés, drainage sont les vrais facteurs de fragmentation.

Ces aménagements peuvent couper ou dégrader les zones humides, les ripisylves et les corridors écologiques utilisés par la loutre et le castor pour se déplacer.

Ensuite, l'implantation d'éoliennes implique des perturbations hydrologiques.
Les travaux peuvent modifier les écoulements, nappes superficielles, zones d’inondation essentielles au castor et à la loutre.

La loutre est extrêmement sensible aux changements hydrologiques.
L'implantation d'éolienne augmente le dérangement.
Plus de pistes = plus de passages de véhicules, lumière, bruit → dérangement chronique, surtout pour la loutre (espèce nocturne et discrète).
Le castor est moins sensible mais reste vulnérable lors des déplacements terrestres entre points d’eau.

Un parc éolien isolé a un impact limité.

Mais la multiplication des parcs génère un effet cumulatif de fragmentation, reconnu comme un risque pour les mammifères semi-aquatiques dépendant de continuités écologiques.

Le fait que le promoteur déclare viser “des parcelles agricoles, relief plat” est un indice qu’ils évitent vraisemblablement les zones humides — mais ce n’est pas une garantie formelle : des prairies humides ou des zones ripariennes peuvent coexister avec l’agriculture.

L’absence de mention dans l'étude d’un milieu aquatique ne signifie pas qu’il n’en existe pas cela peut venir d’un inventaire incomplet, d’un choix de planification, ou d’un souci de discrétion.

Eolise ne propose aucun inventaires et études d’impact complets

Aucun inventaire de la faune protégée : loutre, castor, chauves-souris, oiseaux, insectes protégés ou menacés.
Aucun inventaire des habitats sensibles : zones humides, milieux ripariens, ripisylves, corridors écologiques.
Aucune étude sur l'impact de la fragmentation des habitats et des impacts cumulatifs avec les autres parcs sont présents ou prévus à proximité.

Quelle mitigations concrètes ?

Rien n'est indiqué quant aux plans précis pour préserver continuité des berges et zones humides.
Aucune proposition de mesures pour limiter dérangement des loutres et des castors (horaires, travaux hors période sensible, clôtures adaptées).
Aucune analyse de l'impact des parcs éoliens existants et futurs sur la faune et les habitats.
Aucune étude de l’effet cumulatif sur la biodiversité.

4. Données hydrologiques et agricoles
Rien n'est indiqué dans l'étude quant au risque de modification des écoulements et de l’hydrologie et son impact sur les corridors utilisés par les castors et les loutres
Garantie que les travaux ne touchent pas les prairies humides ou terres sensibles (et j'insiste sur terre sensible).

Tout ceci manque à la proposition d'Eolise.

Contribution n°301 (Web)

Par Marion Fernandez
Déposée le 26 novembre 2025 à 20h39
Concernant les études acoustiques qui ont été menées par le bureau d'étude : n'ont été effectués des tests que pour montrer l'impact sonore que pouvaient avoir les éoliennes sur l'oreille humaine. Il est intéressant de noter que cette étude a été menée pendant une période d'activité humaine plus intense (et donc plus bruyante). Le choix s'est porté sur les départs en vacances d'été : de Juin à Août. Le paysage sonore de cette période est donc majoritairement plus bruyant que le reste du temps et n'est pas représentatif du reste de l'année. Pendant les vacances scolaires, l'autoroute à proximité est massivement plus empruntée et il s'agit également de la période des moissons où moissonneuses batteuses et tracteurs circulent dans les champs à proximité immédiates des éoliennes. Permettant ainsi aux éoliennes de s'implanter dans un paysage sonore plus bruyant que le reste de l'année et de minimiser leurs impacts acoustiques sur les habitants. Nous souhaiterions connaître les résultats tout au long de l'année puisque, a priori, les éoliennes ne seront pas seulement présentes et en activité du mois de Juin au mois d'Août mais bien tout le reste de l'année.
Par ailleurs, les tests acoustiques n'ont été effectués que sur 50hz et à hauteur d'habitation. L'oreille humaine est sensible aux sons allant de 20hz à 20.000hz. L'étude invisibilise les sons aiguës, considérant qu'ils n'ont a priori aucun impact sur les vies humaines. Pourquoi?
Ils occultent également l'impact acoustique que les éoliennes peuvent avoir sur les animaux volants puisque l'étude est faite exclusivement depuis le sol (oiseaux, chiroptères et insectes) qui, d'une part, ne se situent pas à la même altitude. Et d'autre part, sont sensibles à des fréquences différentes de celles de l'oreille humaine. Aucun test n'a été effectué à ce sujet. Le porteur de projet ayant même signalé, pendant la réunion publique, que c'était inutile puisqu'à ce jour, on "aurait prouvé" que c'était inutile d'étudier en-dessous et au-delà de 50hz. Or, les articles suivants prouvent le contraire.
Les chiroptères, par exemple, communiquent en utilisant des fréquences comprises entre 15.000 et 150.000Hz. Elles captent donc des fréquences émises au-delà de ces données et peuvent donc être impactées par les sons émis par les éoliennes. D'autant plus que leurs vocalisent ne leur permettent pas seulement de communiquer mais aussi de se localiser, de se déplacer et de chasser.
La pollution sonore impacte également d'autres espèces telles que la plupart des oiseaux. L'article en gras l'explique bien. Et l'étude du porteur de projet est entièrement vierge à ce sujet.

https://www.samudelenvironnement.org/2019/12/13/les-impacts-de-la-pollution-sonore-anthropique-sur-la-faune/

https://cpepesc.org/10-les-chauves-souris-franc-comtoises/4-actu-chauves-souris/bruits-et-chauves-souris-comment-les-chiropteres-evoluent-elles-dans-un-environnement-sonore-anthropique-de-plus-en-plus-bruyant/

https://www.maisondulacdegrandlieu.org/pollution-sonore-biodiversite/

https://www.ouest-france.fr/mer/des-chercheurs-ont-prouve-le-stress-des-sons-eoliens-sur-les-coquillages-59e75050-0385-11ee-bfa0-5e45e3198685

Dans l'article juste ci-dessus, on peut s'interroger. Si les coquillages dont le système nerveux est celui d'un crustacé, sont victimes de stress à cause des sons émis par les éoliennes, peut-on sérieusement affirmer (comme l'a fait le porteur de projet lors de la réunion publique) que les fréquences sonores émises par les éoliennes n'ont pas d'impact significatif sur la faune et la flore ? L'étude n'évoque pas du tout les impacts sonores d'une éolienne sur les mammifères, les crustacés terrestres, les oiseaux, les chiroptères,... Et pour faire une telle étude, il faudrait des scientifiques experts et indépendants. Le bureau d'étude n'a absolument pas sollicité leur aide.

Il existe de nombreux articles à ce sujet. Si besoin d'une liste plus complète, je me tiens à votre disposition.

Réponse apportée

Jean-Yves BELLIER le 27 novembre 2025 à 19h33
Bonjour,
Je vous remercie pour la richesse de vos contributions. Je ne manquerai pas de vous solliciter si cela s'avère utile.

Bien à vous
Jean-Yves BELLIER - Commissaire enquêteur

Contribution n°300 (Web)

Par Marion Fernandez
Déposée le 26 novembre 2025 à 20h38
Erratum insectes : j'attire votre attention sur le fait que la ZNIEFF de l'épine est à 900m du projet éolien, ainsi que la nouvelle [...]
Erratum insectes : j'attire votre attention sur le fait que la ZNIEFF de l'épine est à 900m du projet éolien, ainsi que la nouvelle ENS de la verrerie (900m également)

Contribution n°299 (Web)

Par Marion Fernandez
Déposée le 26 novembre 2025 à 20h30
5. Ci-joint vous trouverez un documentaire réalisé en 2022 concernant la pollution lumineuse.

https://youtu.be/isMW1f1fx7k

Je vous [...]
5. Ci-joint vous trouverez un documentaire réalisé en 2022 concernant la pollution lumineuse.

https://youtu.be/isMW1f1fx7k

Je vous invite à prêter particulièrement attention aux passages qui s'étalent de 5'50 à 12'30. La séquence avec Samuel Ducept (chargé d'études entomologiques chez Vienne Nature) a été tournée sur la commune où le projet d'implantation des deux éoliennes d'éolise est prévu.
Lui et Colin Fontaine, chercheur en écologie au centre d'écologie et de la conservation du muséum d'histoires naturelles, apportent des chiffres importants concernant l'impact de toute forme de pollution lumineuse sur la biodiversité entomologique.
Aucune étude n'a été menée par le bureau d'étude pour mesurer les perturbations que les éoliennes pourraient avoir sur le déplacement et le cortège d'insectes nocturnes présents alentours.
Que ce soit à cause des impacts avec les pales ou des nuisances lumineuses provoquées par les flashs blancs ou les clignotants rouges.

Contribution n°298 (Web)

Par Marion Fernandez
Déposée le 26 novembre 2025 à 20h28
4. Grands oubliés de ces études : les insectes en général. Ils sont nombreux à terminer leur vie dans les pales des éoliennes comme [...]
4. Grands oubliés de ces études : les insectes en général. Ils sont nombreux à terminer leur vie dans les pales des éoliennes comme le montre ces études :

https://viapl.fr/des-milliards-dinsectes-secrasent-contre-les-eoliennes/

https://environnementdurable.org/les-ravages-de-lindustrie-eolienne-sur-les-animaux/

https://france3-regions.franceinfo.fr/centre-val-de-loire/cher/biodiversite-on-vous-explique-pourquoi-les-eoliennes-sont-accusees-de-tuer-les-chauve-souris-2863742.html

Une éolienne tue en moyenne 40kg d'insecte par an. Sur notre territoire largement saturé en éoliennes (déjà 15 sur la commune de Boivre-la-Vallée), on peut déjà déplorer la perte de 600kg d'insectes par ans sur la commune. Faut-il rappeler que les insectes sont essentiels à la pollinisation ? Elle-même essentielle aux maraîchers présents dans un rayon de 5km autour des éoliennes ? L'étude ne mesure absolument pas l'impact de cette perte à la fois sur la biodiversité, sur l'économie des maraîchers autour ou des habitants ayant un potager ni sur la fertilité de nos fruits et légumes. Et on ne parle ici que de la mortalité. Pas de la fragmentation de l'habitat que provoquent ces éoliennes.
Car pour les insectes nocturnes lucifuges, il en va de même que pour les chiroptères.

Sur la commune de Boivre la Vallée, les insectes suivants ont été recensés et sont strictement protégés. Ils n'apparaissent nullement dans l'étude menée par le porteur de projet qui ne propose aucun inventaire à leur sujet alors que leur présence est avérée sur le territoire de la commune.
Je parle de la rosalie des Alpes, du lucane cerf-volant et du grand capricorne.
Le territoire de la vallée de la Boivre est classé comme une zone naturelle d’intérêt écologique (ZNIEFF Vallée de la Boivre), ce qui atteste d’un intérêt écologique reconnu. L’association Vienne Nature recense parmi les insectes du département des centaines d’espèces (papillons diurnes et de nuit, libellules, orthoptères, et une “centaine d’espèces de longicornes (coléoptères).
Ces insectes volants seront impactés par les pales des éoliennes en plus de voir une partie de leur habitat détruit (lorsque les haies seront rasées à la construction).
Des Libellules (odonates) : plusieurs espèces de libellules de la Vienne sont inscrites sur des listes rouges régionales, ce qui en fait des “espèces patrimoniales” à protéger.

Des Papillons diurnes : dans la région Poitou-Charentes, les papillons diurnes font l’objet d’un suivi, et de nombreuses espèces sont désormais “localisées, rares ou menacées”.

Plus généralement, l’inventaire naturaliste mené par Vienne Nature recense des “espèces patrimoniales” dans le département, ce qui témoigne d’une biodiversité d’insectes (et d’autres invertébrés) potentiellement sensible.

Pour cette raison, nous souhaiterions qu'une étude et un inventaire plus complet concernant les insectes soient effectués, de préférence par un bureau d'étude indépendant ou Vienne Nature, prenant en compte ces 3 espèces protégées mais également l'ensemble des insectes volants pouvant être impactés par les éoliennes.

Contribution n°297 (Web)

Par Marion Fernandez
Déposée le 26 novembre 2025 à 20h08
A ma connaissance, l'étude est loin d'être exhaustive concernant les espèces les plus sensibles. Commençons par les chiroptères. Aucune [...]
A ma connaissance, l'étude est loin d'être exhaustive concernant les espèces les plus sensibles. Commençons par les chiroptères. Aucune étude n'a été faite concernant l'impact de la lumière des éoliennes sur les chauves-souris. Lors de la réunion publique, le porteur de projet nous a assuré que les chauve-souris n'étaient pas sensibles à la lumière. Or de nombreuses espèces sont parfaitement lucifuges. Ce qui veut dire qu'elles abandonnent des sites de reproductions et de chasses qu'elles occupent naturellement lorsqu'il y a une perturbation lumineuse. Rappelons que les éoliennes émettent à la fois de petits flashs rouges et de longs flashs blancs durant la nuit. Si certaines espèces peuvent utiliser l'éclairage pour chasser, elles sont impactées par les flashs lumineux dont l'éclairage est irrégulier. D'autres espèces telles que les rhinolophes et les murins (présents sur la commune) sont strictement lucifuges. Ce qui veut dire qu'ils disparaîtront des zones où se trouvent les éoliennes.
Les études manquent sur la commune pour recenser les sites de nidification des murins et des rhinolophes mais leur présence est avérée.
Sur cette étude datant de 2016 et se concentrant essentiellement sur les départements limitrophes, vous pouvez constater que les éoliennes se trouvent exactement sur la trajectoire des rhinolophes pour rejoindre leur site d'hivernage.
https://www.poitou-charentes-nature.asso.fr/wp-content/uploads/2017/09/2017.03.16-Projet-Grand-rhino_Note-de-synthèse_année-2016_PCN-NE17.pdf
Voici une autre étude menée en Vienne qui montre les sites d'occupation des chauves-souris.
https://www.vienne-nature.fr/chauve-souris/
En bref, il nous semble indispensable qu'une étude menée sur l'année complète soit effectuée pour mesurer l'impact des flashs lumineux sur les populations de chauve-souris.
Et il en va de même pour les insectes nocturnes.

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