Contribution n°46 (Web)
Par Macrez axelle
Déposée le 30 juin 2025 à 21h07
Déposée le 30 juin 2025 à 21h07
Bonjour,
Seulement 10 personnes se sont exprimées (non favorablement) contre la construction de 4 gros fours à chaux aux Huttes.
Comme le dossier est très long, j'en résume les points effrayants :
• cette usine est à 400m des habitations les plus proches, pour la plupart neuves ou en construction
• le déchargement et stockage des matières première se fait en extérieur sur 12 540m², représentant 30 000M3 (poussière)
• les 4 cheminées culminent à 75.5m de hauteur, dans notre paysage. C’est la hauteur d’un immeuble de 20 étages.
• l’usine comporte plusieurs broyeurs (poussière et bruit)
• L’autorité environnementale explique que “usuellement et en moyenne, une tonne de chaux produite émet une tonne de CO2”. Cette usine produira 960 000 tonnes de chaux par an.
• Le projet spécifie qu’il faudra assécher 26 646m² de zone humique pour construire l’usine.
• La capacité de co-incinération des déchets sera d’environ 700 t/j au maximum. Bilan carbone énorme.
Je reconnais avoir bien peur qu'il soit trop tard pour convaincre de faire marche arrière, le Maire de Gravelines et de nombreux autres ayant déjà donné un avis favorable.
Mais si comme moi, cela vous révolte, écrivez une contribution (anonyme ou non) sur le site mis en place par la ville :
https://www.registre-dematerialise.fr/6308/contribuez
Encore mieux, rendez-vous en mairie rencontrer le comissaire d'enquête le samedi 5 juillet entre 9 et 12h ou bien le 11 juillet entre 14h et 17h.
En espérant que l'avis des Gravelinois puisse compter, merci de votre intérêt pour mon post.
Seulement 10 personnes se sont exprimées (non favorablement) contre la construction de 4 gros fours à chaux aux Huttes.
Comme le dossier est très long, j'en résume les points effrayants :
• cette usine est à 400m des habitations les plus proches, pour la plupart neuves ou en construction
• le déchargement et stockage des matières première se fait en extérieur sur 12 540m², représentant 30 000M3 (poussière)
• les 4 cheminées culminent à 75.5m de hauteur, dans notre paysage. C’est la hauteur d’un immeuble de 20 étages.
• l’usine comporte plusieurs broyeurs (poussière et bruit)
• L’autorité environnementale explique que “usuellement et en moyenne, une tonne de chaux produite émet une tonne de CO2”. Cette usine produira 960 000 tonnes de chaux par an.
• Le projet spécifie qu’il faudra assécher 26 646m² de zone humique pour construire l’usine.
• La capacité de co-incinération des déchets sera d’environ 700 t/j au maximum. Bilan carbone énorme.
Je reconnais avoir bien peur qu'il soit trop tard pour convaincre de faire marche arrière, le Maire de Gravelines et de nombreux autres ayant déjà donné un avis favorable.
Mais si comme moi, cela vous révolte, écrivez une contribution (anonyme ou non) sur le site mis en place par la ville :
https://www.registre-dematerialise.fr/6308/contribuez
Encore mieux, rendez-vous en mairie rencontrer le comissaire d'enquête le samedi 5 juillet entre 9 et 12h ou bien le 11 juillet entre 14h et 17h.
En espérant que l'avis des Gravelinois puisse compter, merci de votre intérêt pour mon post.
Contribution n°45 (Web)
Anonyme
Déposée le 30 juin 2025 à 20h28
Déposée le 30 juin 2025 à 20h28
Habitante des Huttes ,je ne suis pas d'accord pour avoir encore une usine à proximité de mon habitation !!
Contribution n°44 (Web)
Par Huyghe Valérie
Déposée le 30 juin 2025 à 20h10
Déposée le 30 juin 2025 à 20h10
Je souhaite exprimer ma vive opposition au projet d’implantation de fours à chaux à seulement 400 mètres des habitations, tel qu’il est actuellement envisagé. Ce projet soulève de nombreuses préoccupations environnementales, sanitaires et sociales.
Installer une telle installation industrielle lourde à moins de 500 mètres des zones habitées représente un risque majeur pour la qualité de vie et la santé des riverains. La norme européenne recommande une distance bien plus importante pour limiter les nuisances. Le bruit constant généré par les broyeurs, les vibrations, et les allées et venues de poids lourds auront un impact direct et négatif sur le quotidien des habitants et sur la valeur immobilière de nos maisons.
Outre l’impact visuel massif sur le paysage, ces cheminées favoriseront la dispersion de polluants à longue distance. À cette hauteur, les émissions ne sont pas simplement "diluées", elles se répartissent sur une zone encore plus vaste, exposant un plus grand nombre de personnes aux particules fines, aux oxydes d’azote et autres composés nocifs.
Le processus de production de la chaux est extrêmement énergivore et produit d’importantes quantités de dioxyde de carbone (CO₂). Couplé à l’incinération de déchets, ce projet constitue une véritable bombe climatique locale, à rebours des engagements nationaux et européens en matière de réduction des gaz à effet de serre. Un tel projet va à l’encontre de toutes les politiques de transition écologique.
Le stockage en plein air de matières premières présente des risques évidents de pollution de l’air par envol de poussières, et de pollution des sols et des eaux par ruissellement. Ce type de pratique est incompatible avec une bonne gestion environnementale et avec la sécurité sanitaire des populations proches comme c'était le cas au quai de Loon Plage.
L’implantation de ces fours entraînera un assèchement progressif de la zone humide voisine, qui joue un rôle crucial dans la régulation de l’eau, la préservation de la biodiversité et la lutte contre les canicules et les inondations. Ce milieu fragile et vital doit être strictement protégé, non exploité ni détérioré.
À l’heure où la préservation du climat, de la biodiversité et de la qualité de vie devient une priorité absolue, autoriser un tel projet revient à nier l'urgence écologique. Les nuisances cumulées (pollution de l’air, sonore, visuelle, destruction des milieux naturels) dépassent largement les prétendus bénéfices économiques à court terme.
Pour toutes ces raisons, je suis absolument contre ce projet.
Installer une telle installation industrielle lourde à moins de 500 mètres des zones habitées représente un risque majeur pour la qualité de vie et la santé des riverains. La norme européenne recommande une distance bien plus importante pour limiter les nuisances. Le bruit constant généré par les broyeurs, les vibrations, et les allées et venues de poids lourds auront un impact direct et négatif sur le quotidien des habitants et sur la valeur immobilière de nos maisons.
Outre l’impact visuel massif sur le paysage, ces cheminées favoriseront la dispersion de polluants à longue distance. À cette hauteur, les émissions ne sont pas simplement "diluées", elles se répartissent sur une zone encore plus vaste, exposant un plus grand nombre de personnes aux particules fines, aux oxydes d’azote et autres composés nocifs.
Le processus de production de la chaux est extrêmement énergivore et produit d’importantes quantités de dioxyde de carbone (CO₂). Couplé à l’incinération de déchets, ce projet constitue une véritable bombe climatique locale, à rebours des engagements nationaux et européens en matière de réduction des gaz à effet de serre. Un tel projet va à l’encontre de toutes les politiques de transition écologique.
Le stockage en plein air de matières premières présente des risques évidents de pollution de l’air par envol de poussières, et de pollution des sols et des eaux par ruissellement. Ce type de pratique est incompatible avec une bonne gestion environnementale et avec la sécurité sanitaire des populations proches comme c'était le cas au quai de Loon Plage.
L’implantation de ces fours entraînera un assèchement progressif de la zone humide voisine, qui joue un rôle crucial dans la régulation de l’eau, la préservation de la biodiversité et la lutte contre les canicules et les inondations. Ce milieu fragile et vital doit être strictement protégé, non exploité ni détérioré.
À l’heure où la préservation du climat, de la biodiversité et de la qualité de vie devient une priorité absolue, autoriser un tel projet revient à nier l'urgence écologique. Les nuisances cumulées (pollution de l’air, sonore, visuelle, destruction des milieux naturels) dépassent largement les prétendus bénéfices économiques à court terme.
Pour toutes ces raisons, je suis absolument contre ce projet.
Contribution n°43 (Web)
Par PEYRACHE Anne-Claire
Déposée le 30 juin 2025 à 18h15
Déposée le 30 juin 2025 à 18h15
Bonjour,
Je suis étonnée que le mairie ait donné son accord pour un tel projet sans avoir, au préalable, solliciter les habitants. Au vu de son implantation sur le territoire et des nuisances associées, je ne peut être que défavorable à un tel projet.
Cdt.
Je suis étonnée que le mairie ait donné son accord pour un tel projet sans avoir, au préalable, solliciter les habitants. Au vu de son implantation sur le territoire et des nuisances associées, je ne peut être que défavorable à un tel projet.
Cdt.
Contribution n°42 (Web)
Par PACOT Xavier
Déposée le 30 juin 2025 à 17h43
Déposée le 30 juin 2025 à 17h43
Madame, Monsieur,
En tant que riverain et citoyen concerné, je souhaite exprimer par la présente mon opposition au projet tel qu’il est actuellement envisagé.
Je découvre avec inquiétude l’existence de ce projet, dont les implications environnementales et sanitaires me semblent préoccupantes. L’avis défavorable émis par le CSRPN, en raison notamment de la non-prise en compte d’une espèce protégée, témoigne de lacunes importantes dans l’étude d’impact.
De plus, dans un contexte où nos entreprises doivent s’inscrire dans une dynamique de décarbonation, je regrette que la captation carbone soit reléguée au volet 3 du projet, sans garantie concrète de mise en œuvre.
Par ailleurs, les nuisances visuelles extrêmes et les émissions de poussières liées au stockage de minerais à l’air libre sont autant de facteurs de dégradation de notre qualité de vie et de notre environnement immédiat.
Au regard de ces éléments, je m’oppose fermement à ce projet, et je demande qu’il soit revu de manière à respecter les engagements écologiques de notre territoire, protéger la biodiversité locale et garantir la santé et le bien-être des habitants.
Je vous remercie de prendre en compte cette contribution dans le cadre de l’enquête publique, et reste à disposition pour toute précision complémentaire.
Veuillez agréer, Madame, Monsieur, l’expression de mes salutations distinguées
En tant que riverain et citoyen concerné, je souhaite exprimer par la présente mon opposition au projet tel qu’il est actuellement envisagé.
Je découvre avec inquiétude l’existence de ce projet, dont les implications environnementales et sanitaires me semblent préoccupantes. L’avis défavorable émis par le CSRPN, en raison notamment de la non-prise en compte d’une espèce protégée, témoigne de lacunes importantes dans l’étude d’impact.
De plus, dans un contexte où nos entreprises doivent s’inscrire dans une dynamique de décarbonation, je regrette que la captation carbone soit reléguée au volet 3 du projet, sans garantie concrète de mise en œuvre.
Par ailleurs, les nuisances visuelles extrêmes et les émissions de poussières liées au stockage de minerais à l’air libre sont autant de facteurs de dégradation de notre qualité de vie et de notre environnement immédiat.
Au regard de ces éléments, je m’oppose fermement à ce projet, et je demande qu’il soit revu de manière à respecter les engagements écologiques de notre territoire, protéger la biodiversité locale et garantir la santé et le bien-être des habitants.
Je vous remercie de prendre en compte cette contribution dans le cadre de l’enquête publique, et reste à disposition pour toute précision complémentaire.
Veuillez agréer, Madame, Monsieur, l’expression de mes salutations distinguées
Contribution n°41 (Web)
Par Montay Constance
Déposée le 30 juin 2025 à 16h07
Déposée le 30 juin 2025 à 16h07
Bonjour,
Gravelinoise depuis mon enfance, je me positionne aujourd'hui sur le projet de la construction d'usine de chaux sur la zone extrême est du grand port méthanier de Dunkerque.
Si le développement économique et social du territoire doit passer par le développement des industries, ce projet semble en effet positif pour la population. Cependant, il est du devoir des politiques et organes décisionnaires et administratifs de veiller au respect et au bon développement de ces activités. Il est de leur devoir de maintenir un lieu de vie sécuritaire, sain et agréable aux habitants. Il est de leur devoir d'anticiper les conséquences afin de faire des choix de raison pour l'avenir et non opportunistes pour le présent.
Ils ont été élus en ce sens, et si la tâche est ardue elle est cependant leur mission première afin d'éviter les dérives et la condamnation de notre jolie ville, en cité industrielle.
Il semble qu'autoriser la construction de fours à chaux au plus près des habitations sur les terrains du ports autonomes est un non sens complet.
En effet, ces usines représentent des nuisances aussi bien visuelles (fours culminants à plus de 70m de haut....cela les rendra visibles depuis la plage, belle publicité pour notre station balnéaire...), que sonores (convoyeurs de pierres, broyage et cuisson des matériaux...sans compter le transport qui s'il est effectué par voir ferroviaire représentera certainement une intensification du trafic et donc du bruit inhérent), ou encore environnementales ( poussières fines, émissions de centaines de milliers de tonnes de co2 par an...)
Quand on regarde le plan d'insertion de l'usine on se rend compte qu'elle a été comme pensée pour être au plus prêt des habitations...où est la logique? quel est le but?
Je ne suis pas par principe opposée à la transformation du territoire, à l'industrialisation ou au développement des activités, mais il est malheureux que la population gravelinoise ne soit pas plus prise en compte et qu'elle soit sacrifiée pour des considérations économiques.
Gravelinoise depuis mon enfance, je me positionne aujourd'hui sur le projet de la construction d'usine de chaux sur la zone extrême est du grand port méthanier de Dunkerque.
Si le développement économique et social du territoire doit passer par le développement des industries, ce projet semble en effet positif pour la population. Cependant, il est du devoir des politiques et organes décisionnaires et administratifs de veiller au respect et au bon développement de ces activités. Il est de leur devoir de maintenir un lieu de vie sécuritaire, sain et agréable aux habitants. Il est de leur devoir d'anticiper les conséquences afin de faire des choix de raison pour l'avenir et non opportunistes pour le présent.
Ils ont été élus en ce sens, et si la tâche est ardue elle est cependant leur mission première afin d'éviter les dérives et la condamnation de notre jolie ville, en cité industrielle.
Il semble qu'autoriser la construction de fours à chaux au plus près des habitations sur les terrains du ports autonomes est un non sens complet.
En effet, ces usines représentent des nuisances aussi bien visuelles (fours culminants à plus de 70m de haut....cela les rendra visibles depuis la plage, belle publicité pour notre station balnéaire...), que sonores (convoyeurs de pierres, broyage et cuisson des matériaux...sans compter le transport qui s'il est effectué par voir ferroviaire représentera certainement une intensification du trafic et donc du bruit inhérent), ou encore environnementales ( poussières fines, émissions de centaines de milliers de tonnes de co2 par an...)
Quand on regarde le plan d'insertion de l'usine on se rend compte qu'elle a été comme pensée pour être au plus prêt des habitations...où est la logique? quel est le but?
Je ne suis pas par principe opposée à la transformation du territoire, à l'industrialisation ou au développement des activités, mais il est malheureux que la population gravelinoise ne soit pas plus prise en compte et qu'elle soit sacrifiée pour des considérations économiques.
Contribution n°40 (Web)
Par Luc Martins
Déposée le 30 juin 2025 à 15h16
Déposée le 30 juin 2025 à 15h16
Je suis surpris de voir que le projet nommé du beau prénom AMELI pour en adoucir les traits, complété d'un "Green Lime" pour le volet greenwashing comme s'il s'agissait de produire des jus de citrons verts et bio ne suscite pas plus de débats, articles et réactions politiques.
Le projet d'Arcelor Mittal fait l'objet d'une très discrète enquête publique alors qu'il vient polluer le territoire avec 1 million de tonnes de CO2, en plus des 12 millions déjà émises par Arcelor Mittal sur Dunkerque et aucune garantie pour l'avenir. Comment les croire alors qu'ils ont annoncé l'arrêt de la décarbonnation annoncé avec présence de tout le gouvernement à l'époque. Ils émettent 12, devaient diviser par 2 pour ne plus émettre que 6 millions de tonnes de CO2.
En cette fin d'année scolaire, les comptes ne sont pas bons car non seulement la soit-disante décarbonnation n'a pas commencé, mais 12+1 = 13 millions de tonnes de CO2.
Monsieur le commissaire enquêteur, alors que notre pays est frappé par un épisode caniculaire extrême, il ne faut pas rajouter de la pollution qui viendra aggraver la santé de nos ainés et mettre en danger l'avenir de nos enfants alors que nous ne tenons pas les trajectoires du GIEC.
Au nom du principe de précaution il est urgent de suspendre ce funeste projet et trouver des alternatives.
Le projet d'Arcelor Mittal fait l'objet d'une très discrète enquête publique alors qu'il vient polluer le territoire avec 1 million de tonnes de CO2, en plus des 12 millions déjà émises par Arcelor Mittal sur Dunkerque et aucune garantie pour l'avenir. Comment les croire alors qu'ils ont annoncé l'arrêt de la décarbonnation annoncé avec présence de tout le gouvernement à l'époque. Ils émettent 12, devaient diviser par 2 pour ne plus émettre que 6 millions de tonnes de CO2.
En cette fin d'année scolaire, les comptes ne sont pas bons car non seulement la soit-disante décarbonnation n'a pas commencé, mais 12+1 = 13 millions de tonnes de CO2.
Monsieur le commissaire enquêteur, alors que notre pays est frappé par un épisode caniculaire extrême, il ne faut pas rajouter de la pollution qui viendra aggraver la santé de nos ainés et mettre en danger l'avenir de nos enfants alors que nous ne tenons pas les trajectoires du GIEC.
Au nom du principe de précaution il est urgent de suspendre ce funeste projet et trouver des alternatives.
Contribution n°39 (Web)
Anonyme
Déposée le 30 juin 2025 à 15h05
Déposée le 30 juin 2025 à 15h05
Madame, Monsieur,
Je me permets de vous écrire concernant l'enquête publique en cours relative au projet de construction et d’exploitation de 4 fours à chaux à Gravelines qui se déroule actuellement. Je souhaite exprimer ma préoccupation quant à la période choisie pour cette enquête, qui coïncide avec le début des vacances scolaires.
Cette période est souvent synonyme de départs en vacances et de distractions, ce qui fait que de nombreux habitants, en particulier les familles, ne sont pas en mesure de se concentrer sur des questions aussi importantes que celles soulevées par ce projet. Il est fort probable que beaucoup de citoyens ne soient pas au courant de l'enquête ou n'aient pas la possibilité de s'y engager pleinement, ce qui pourrait nuire à la transparence et à la participation démocratique.
Je m'interroge également sur le choix de cette période, qui pourrait donner l'impression que l'enquête est organisée dans un souci de discrétion, afin de minimiser les réactions et les contributions de la population. Il est essentiel que tous les membres de la communauté aient l'opportunité de s'exprimer et de faire entendre leur voix sur un projet qui pourrait avoir des conséquences significatives sur notre environnement et notre qualité de vie.
Ainsi, je demande respectueusement que la durée de l'enquête publique soit prolongée afin de permettre à un plus grand nombre de citoyens de prendre connaissance du projet et de formuler leurs avis et préoccupations.
Je vous remercie de l'attention que vous porterez à cette demande et espère que vous prendrez en compte l'importance d'une participation citoyenne active et éclairée.
Merci ,
Je me permets de vous écrire concernant l'enquête publique en cours relative au projet de construction et d’exploitation de 4 fours à chaux à Gravelines qui se déroule actuellement. Je souhaite exprimer ma préoccupation quant à la période choisie pour cette enquête, qui coïncide avec le début des vacances scolaires.
Cette période est souvent synonyme de départs en vacances et de distractions, ce qui fait que de nombreux habitants, en particulier les familles, ne sont pas en mesure de se concentrer sur des questions aussi importantes que celles soulevées par ce projet. Il est fort probable que beaucoup de citoyens ne soient pas au courant de l'enquête ou n'aient pas la possibilité de s'y engager pleinement, ce qui pourrait nuire à la transparence et à la participation démocratique.
Je m'interroge également sur le choix de cette période, qui pourrait donner l'impression que l'enquête est organisée dans un souci de discrétion, afin de minimiser les réactions et les contributions de la population. Il est essentiel que tous les membres de la communauté aient l'opportunité de s'exprimer et de faire entendre leur voix sur un projet qui pourrait avoir des conséquences significatives sur notre environnement et notre qualité de vie.
Ainsi, je demande respectueusement que la durée de l'enquête publique soit prolongée afin de permettre à un plus grand nombre de citoyens de prendre connaissance du projet et de formuler leurs avis et préoccupations.
Je vous remercie de l'attention que vous porterez à cette demande et espère que vous prendrez en compte l'importance d'une participation citoyenne active et éclairée.
Merci ,
Contribution n°38 (Web)
Anonyme
Déposée le 30 juin 2025 à 14h47
Déposée le 30 juin 2025 à 14h47
Madame, Monsieur,
Je souhaite exprimer mes vives préoccupations concernant le projet de construction d'un four à chaux, tel que décrit dans l'étude d'impact. Deux problèmes majeurs se dégagent clairement et méritent une attention particulière.
Tout d'abord, les rejets liés au stockage et à la manipulation des matières premières, ainsi qu'au traitement de l'air des filtres à manche et des cyclones, sont alarmants. Le procédé de cuisson et le traitement de l'air du crible des sciures de bois, notamment lors de la phase 2, sont également sources de nuisances. Ces éléments, signalés en rouge dans l'étude, laissent présager que nous pourrions revivre les mêmes désagréments qu'à l'époque de Sea-Bulk, avec des poussières omniprésentes. Les vents du Nord-Est, de plus en plus fréquents, ne feront qu'aggraver la situation. Nous avons déjà souffert des conséquences de cette pollution, et même l'arrosage n'a jamais suffi à atténuer le problème. Les souvenirs des façades, fenêtres, terrasses, meubles de jardin, jeux d'enfants et pelouses recouverts de poussières noires grasses sont encore très présents dans nos esprits.
Ensuite, le bruit résiduel généré par cette installation est une autre source d'inquiétude. Ce bruit viendra s'ajouter à celui d'Aluminium Dunkerque, déjà très nuisible, surtout lors des vents du Nord-Est. Il est important de souligner que, durant les périodes chaudes, il devient impossible de dormir la fenêtre ouverte à cause de ce bruit incessant. La qualité de vie des riverains est en jeu, et il est essentiel que ces préoccupations soient prises en compte.
Je vous demande donc de reconsidérer ce projet à la lumière de ces éléments et de veiller à ce que la santé et le bien-être des habitants soient prioritaires dans votre décision.
Je vous remercie de l'attention portée à ma contribution et espère que vous agirez dans l'intérêt de notre communauté.
Cordialement,
Je souhaite exprimer mes vives préoccupations concernant le projet de construction d'un four à chaux, tel que décrit dans l'étude d'impact. Deux problèmes majeurs se dégagent clairement et méritent une attention particulière.
Tout d'abord, les rejets liés au stockage et à la manipulation des matières premières, ainsi qu'au traitement de l'air des filtres à manche et des cyclones, sont alarmants. Le procédé de cuisson et le traitement de l'air du crible des sciures de bois, notamment lors de la phase 2, sont également sources de nuisances. Ces éléments, signalés en rouge dans l'étude, laissent présager que nous pourrions revivre les mêmes désagréments qu'à l'époque de Sea-Bulk, avec des poussières omniprésentes. Les vents du Nord-Est, de plus en plus fréquents, ne feront qu'aggraver la situation. Nous avons déjà souffert des conséquences de cette pollution, et même l'arrosage n'a jamais suffi à atténuer le problème. Les souvenirs des façades, fenêtres, terrasses, meubles de jardin, jeux d'enfants et pelouses recouverts de poussières noires grasses sont encore très présents dans nos esprits.
Ensuite, le bruit résiduel généré par cette installation est une autre source d'inquiétude. Ce bruit viendra s'ajouter à celui d'Aluminium Dunkerque, déjà très nuisible, surtout lors des vents du Nord-Est. Il est important de souligner que, durant les périodes chaudes, il devient impossible de dormir la fenêtre ouverte à cause de ce bruit incessant. La qualité de vie des riverains est en jeu, et il est essentiel que ces préoccupations soient prises en compte.
Je vous demande donc de reconsidérer ce projet à la lumière de ces éléments et de veiller à ce que la santé et le bien-être des habitants soient prioritaires dans votre décision.
Je vous remercie de l'attention portée à ma contribution et espère que vous agirez dans l'intérêt de notre communauté.
Cordialement,
Contribution n°37 (Web)
Par Réseau Homme&Nature 59/62 du MNLE
Déposée le 30 juin 2025 à 14h38
Déposée le 30 juin 2025 à 14h38
ci-joint notre avis défavorable à ce projet, car il ne correspond pas aux enjeux de société et à la réduction ou la compensation de la réduction des émissions de CO² et la lutte contre le changement et dérèglement climatique
Document joint
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