Contribution n°53 (Web)
Déposée le 23 mai 2025 à 20h46
1/ Le site dont il est question se situe dans une zone naturelle et de bois protégé, ce projet va donc à l’encontre même du PLUI-HMB (Plan local d’urbanisme intercommunal-Habitat Mobilité, Biodiversité) dont un des objectifs principaux est de préserver les zones naturelles et la biodiversité.
2/ 4ha d’un total déboisement paraissent disproportionnés et risquent de favoriser davantage les glissements de terrain, ce pourquoi nous attirons votre attention sur le fait qu’il y a quelques années, dans le même lieu un affaissement de terrain s’est produit lors de fortes précipitations pluvieuses. Il est incontestable que la rivière le Fier accroit progressivement la dégradation des berges. En raison du changement climatique, des pluies torrentielles et des orages violents de plus en plus fréquents, les risques sont considérables, la prudence est une exigence.
3/ Situé en aval du confluent Fier/Fillière, l’implantation est indéniablement exposée aux dangers de ruissellement, de débordement, d'inondation. D’ailleurs, le terrain supposé est localisé en face de la rive d’Argonay classée en zone PPR (plan de prévention des risques naturels)
4/ Risque de pollution du Fier et des sols sachant que 150 caravanes représentent une population plutôt conséquente avec toutes les diverses nuisances qui en découlent.
5/ Endroit isolé, donc difficultés pour contrôler les allées / venues et la gestion, pour garantir la tranquillité et la sécurité.
6/ Propriétés privées : La zone concernée par le projet inclut des propriétés privées. Il est légitime de se demander pourquoi l'État envisagerait d'exproprier ces propriétaires plutôt que d'utiliser des terrains publics pour aménager une zone d'accueil destinée au public.
Disons STOP à ce projet destructeur qui nous inquiète fortement !
Ensemble, sauvegardons les milieux naturels et la biodiversité qui existent encore.
Contribution n°52 (Web)
Déposée le 23 mai 2025 à 15h13
Contribution n°51 (Web)
Déposée le 23 mai 2025 à 14h07
Contribution n°50 (Web)
Déposée le 23 mai 2025 à 10h44
J'ai un terrain sur la commune de Poisy parcelle AA 26
J'aimerais savoir s'il était possible de le rendre constructible afin dy établir ma résidence principale.
Tout est bâti aux alentours
Merci
Document joint
Contribution n°49 (Web)
Déposée le 23 mai 2025 à 10h41
Je m'interroge sur le plan de Zonage d'Epagny.
Pourquoi rendre agricole la zone 2AU (sur PLU actuel) "Chez Levet" alors que le secteur limitrophe est déjà urbanisé ??
Et pourquoi mettre une OAP N°7 dans le PLUi (sur une zone 2AU sur PLU en vigueur) alors que cette zone est à vocation d'exploitation agricole et que ce secteur n'est pas urbanisé à ce jour ?
Nous pouvons nous interroger !
Documents joints
Contribution n°48 (Web)
Déposée le 23 mai 2025 à 08h15
Je ne comprends pas ce projet : installer 150 caravanes en bordure du Fier ? Cela ne peut qu’entraîner des incivilités – ne soyons pas naïfs. C’est une décision qui risque d’augmenter les problèmes plutôt que de les résoudre.
Nous sommes à une époque où l’on déplace des villages trop proches des cours d’eau, où l’on prend enfin conscience de la raréfaction des habitats naturels indispensables à la faune sauvage, et où la préservation de la qualité des eaux du Fier est cruciale. Ce projet semble aller à contre-courant de ces efforts.
A-t-on évalué le risque de glissement de terrain ? Il suffit de regarder du côté de Thorens-Glières, sur les rives de la Fillière : certaines habitations y sont déjà menacées (fissures, instabilité…).
Nous attendons de nos élus qu’ils fassent preuve de bon sens et de courage pour protéger notre environnement. Il en va de l’intérêt commun et des générations futures.
Contribution n°47 (Web)
Déposée le 23 mai 2025 à 08h04
Comment peut on déclassé un bois ? Car j’en ai un et impossible d’en faire quoi que ce soit car il est classe et aucune possibilité de le déclasser ? À moins que vous m’expliquez comment faire maintenant :)
Contribution n°46 (Web)
Déposée le 23 mai 2025 à 07h25
Il y a des zones ou l'emprise au sol n'est vraiment pas raisonnables et cohérente. Je vais parler essentiellement de cette zone qui impose 10% d'emprise au sol, habitation, annexe,piscine, carport,terrasse compris. Si vous avez un terrain de 500m2 en gros votre maison ne peux pas dépasser 50m2 au sol et du coup vous n'avez pas de garage pas de terrasse et pas d'annexe...et ça c'est sous condition d'avoir 5m d'espace avec la limite de propriété...
Vous ne faite pas non plus de distinction avec les terrains qui ont déjà des constructions. Pour moi il devrait être possible de reconstruire une surface à minima équivalente à celle présente sur les terrains et non pas repartir sur la base d'une emprise au sol de 10%. Ce coefficient doit être revu à la hausse et passer à 20% pour envisager d'être correct car aujourd'hui il est complètement aberrant.
De plus vous imposez la pose de panneaux solaire sur les nouvelles constructions alors qu'il est déjà très coûteux aujourd'hui de construire une maison.
Vous mettez en difficulté financière un peu plus les familles qui souhaiteraient accéder à la propriété par le biais de la construction.
Il y a également une incohérence entre les pourcentages que vous annoncez.
60% de partie "verte" ou perméable, 10% d'emprise au sol, où sont les 30% restant...
Vous limitez également le nombre de place de parking à 2 places. Mais aujourd'hui vous savez tous que ce n'est pas jouable surtout quand vous n'avez pas de possibilité de garer des voitures en extérieur... Si vous avez 2 voitures dans ce cas personnes ne peux venir vous rendre visite chez vous car vous ne pourrez pas les accueillir ou si vous avez une famille nombreuse avec plus de 2 voitures vous devez revendre celle que vous ne pouvez pas garer...
Contribution n°45 (Web)
Déposée le 22 mai 2025 à 18h59
Je souhaite attirer l’attention sur une modification notable apportée dans le règlement du PLUi concernant le calcul du coefficient d’emprise au sol (CES). Contrairement à plusieurs précédents PLU (de différentes communes), les piscines sont désormais intégrées dans le calcul du CES.
Cette évolution, qui réduit les possibilités de construction ou d’aménagement sur les parcelles, n’est pas suffisamment expliquée ni justifiée dans le rapport de présentation. Elle impacte directement les projets résidentiels, notamment dans les secteurs pavillonnaires où les piscines représentent un usage courant et légitime du sol.
Par ailleurs, ce changement affecte négativement la constructibilité des terrains sans qu’aucune étude d’impact ou concertation spécifique ne semble l’avoir anticipé, ce qui peut créer une inégalité de traitement entre les propriétaires selon la date de leur projet.
Je demande donc :
• soit le retrait des piscines du calcul du CES, comme c’était le cas dans plusieurs PLU précédents ;
• soit, à minima, une justification claire et motivée de ce changement dans les documents du PLUi, accompagnée d’une évaluation de ses effets concrets sur les droits à construire.
Contribution n°44 (Web)
Déposée le 22 mai 2025 à 18h28
Au lieu de continuer à artificialiser les sols, il faudrait commencer par utiliser les surfaces sous-exploitées :
Les anciens sites industriels.
L'aéroport d'Annecy Léman qui occupe une surface importante facile à urbaniser, et qui ne présente plus aucun intérêt commercial (plus desservi par une ligne régulière depuis de nombreuses années).