Les contributions

Contribution n°36 (Web)

Par Francois Perrin
Déposée le 22 mai 2025 à 11h01
Le PLU actuel classait déjà le secteur « OAP campus 2 » en zone fléchée constructible. Effectivement, il est important de pouvoir [...]
Le PLU actuel classait déjà le secteur « OAP campus 2 » en zone fléchée constructible. Effectivement, il est important de pouvoir accueillir et rajeunir la population afin de ne pas transformer notre cité en maison de retraite réservée aux plus riches ou aux populations les plus fragiles qui bénéficient d’un logement social.

En tant que malouin ayant grandi à Paramé, je me désole de ne pas pouvoir m’installer sur ce secteur compte tenu de l’absence de constructions accessibles, même en possédant un bon revenu, ma compagne et moi. Et indirectement je participe à l’artificialisation des sols puisque j’ai dû m’exiler en pavillon dans un secteur rétro-littoral, alors que les services publics et les zones d’activités sont pour la plupart situées à la ville centre, Saint-Malo.

Le changement fait peur et je comprends la crainte des habitants du quartier de la Banneville de perdre leur tranquillité de quartier, mais que répondez vous à un enfant du coin qui ne peut pas s’installer là où il a grandi ?

L’acquisition (certainement à un très bon prix) des parcelles agricoles, actuellement exploitées par des agriculteurs proches de la retraite prendront plusieurs années. Les modalités environnementales - en lien avec les objectifs de densité prévus par le SCOT- et sociales - pourcentage de BRS et locatif social- devront être ambitieuses et il faudra être vigilant. Inspirons nous par exemple du récent quartier Tohannic à Vannes.

Saint Malo ne doit pas devenir Venise, Dubrovnik ou Barcelone.

Contribution n°35 (Web)

Par Pascal
Déposée le 22 mai 2025 à 09h37
Bonjour
Au nom de ma soeur ( Mme Frin Soizic) et moi même , propriétaires de terres agricoles au lieu dit la Ville Huchet - 35400 [...]
Bonjour
Au nom de ma soeur ( Mme Frin Soizic) et moi même , propriétaires de terres agricoles au lieu dit la Ville Huchet - 35400 Saint Malo , nous ne souhaitons pas que nos terres soient intégrées dans le projet de futures ZAP ( zones agricoles protégées) pour les raisons dont je me suis expliquées au Conseil Municipal du 23/04/2025 .
Cordialement
Pascal Flaux

Contribution n°34 (Web)

Anonyme
Déposée le 21 mai 2025 à 23h31
Bonjour,
Je suis pour la proposition du nouveau PLU 2025.
Saint-Malo a besoin de se renouveler, de modernité, de nouveaux lieux [...]
Bonjour,
Je suis pour la proposition du nouveau PLU 2025.
Saint-Malo a besoin de se renouveler, de modernité, de nouveaux lieux pour attirer la jeunesse, d’espaces importants pour se loger tout en conservant des espaces verts.
J’ai lu hier des notifications sur ce site concernant le campus 2 qui me choquent. Ce projet est prévu, réfléchi et étudié depuis longtemps. Ce qui est programmé ne me paraît pas choquant. Il y a des maisons et des immeubles qui sont à distances des habitations existantes. Les jeunes ménages doivent pouvoir eux aussi se loger à Saint-Malo, surtout quand ils y travaillent, pour faire moins de route pour aller travailler et emmener les enfants à l’école. Ce PLU permettrait une mixité de la population à Saint- Malo et un équilibre plus joyeux. Saint-Malo vieillit. Il y a eu beaucoup de constructions sur les communes environnantes alors pourquoi pas à Saint-Malo, à condition que ce soit de beaux logements, qui vieilliront bien donc de qualité.

Contribution n°33 (Web)

Par Brigitte Bougault Delahaie
Déposée le 21 mai 2025 à 23h29
Objet : Observation sur l’OAP Campus 2 – Révision du PLU de Saint-Malo
À l’attention de Monsieur/Madame le Commissaire enquêteur,

Je [...]
Objet : Observation sur l’OAP Campus 2 – Révision du PLU de Saint-Malo
À l’attention de Monsieur/Madame le Commissaire enquêteur,

Je soussignée Brigitte Bougault Delahaie domiciliée a la Banneville 35400 SaintMalo, souhaite faire part de mes observations concernant l’Orientation d’Aménagement et de Programmation (OAP) Campus 2, incluse dans la révision du Plan Local d’Urbanisme (PLU) actuellement soumise à enquête publique.

1. Sur la densité excessive du projet
L’OAP prévoit une densification importante du secteur Campus 2, dans une zone historiquement peu urbanisée. Cette densité soulève des inquiétudes quant à :

La saturation des infrastructures routières et des équipements publics ;
La qualité de vie future des habitants ;
L’artificialisation des sols et l’impact sur la biodiversité locale.
2. Sur l’insuffisance de concertation
Les habitants et les usagers du quartier ont été peu ou pas associés à la définition des grandes lignes de cette OAP. Une réelle concertation aurait permis d’ajuster les orientations pour mieux répondre aux besoins locaux.

3. Sur l’impact environnemental
Le projet prévoit des constructions en zones sensibles du point de vue paysager et écologique. Les continuités écologiques (haies bocagères, zones humides, corridors faunistiques) sont menacées par les futurs aménagements, sans que des garanties suffisantes aient été apportées dans les documents.

4. Sur le manque de garanties concrètes
L’OAP Campus 2 présente des intentions louables (mobilité douce, développement durable, mixité sociale), mais celles-ci restent à un niveau général, non contraignant juridiquement. Il existe donc un risque que les projets réels s’éloignent des principes affichés, faute de mécanismes d’application précis.

En conséquence, je demande que l’OAP Campus 2 fasse l’objet :

D’une révision en profondeur afin de réduire l’impact environnemental et urbanistique ;
D’une meilleure concertation avec les riverains et acteurs locaux ;
D’un encadrement réglementaire plus précis, intégré au PLU de manière contraignante.
Je vous remercie de prendre en considération la présente observation et reste à disposition pour toute précision.

Contribution n°32 (Web)

Par Bruno Delahaie
Déposée le 21 mai 2025 à 23h21
Objet : Opposition au projet de construction d’immeubles collectifs sur terres agricoles – OAP Campus 2

À l’attention de Monsieur [...]
Objet : Opposition au projet de construction d’immeubles collectifs sur terres agricoles – OAP Campus 2

À l’attention de Monsieur ou Madame le Commissaire enquêteur,

Je soussigné(e), Bruno Delahaie domicilié à la banneville 35400 saint malo souhaite exprimer ma ferme opposition au projet de construction d’immeubles collectifs sur des terres actuellement agricoles, dans le périmètre de l’OAP Campus 2, inscrit dans le projet de révision du Plan Local d’Urbanisme (PLU) de Saint-Malo.

1. Atteinte irréversible au foncier agricole
Les terrains visés sont des terres encore cultivées ou cultivables, représentant un capital nourricier et écologique précieux. Leur urbanisation va à l’encontre des engagements nationaux et locaux pour :

La lutte contre l’artificialisation des sols (ZAN – Zéro Artificialisation Nette),

La préservation du foncier agricole face aux pressions urbaines,

La résilience alimentaire et l’agriculture de proximité.


2. Choix d’urbanisation inadapté et excessif
La construction d’immeubles collectifs sur ce site apparaît déconnectée :

Du caractère rural et du tissu pavillonnaire existant,

Des besoins locaux réels, qui ne justifient pas une telle densité en ce secteur,

Des infrastructures routières et services publics, qui ne sont pas dimensionnés pour absorber une telle charge démographique.


3. Alternatives non étudiées
Aucune étude approfondie ne semble démontrer que l’urbanisation de ces terres est une option de dernier recours. Il serait possible de :

Prioriser la densification de zones déjà urbanisées ou artificialisées (friches, parkings, zones d’activités),

Requalifier du bâti existant,

Ou réorienter les opérations vers des zones moins sensibles.


4. Contradictions avec les objectifs du développement durable
Ce projet contredit les principes d’un urbanisme durable tels que :

La limitation des déplacements et la proximité des services,

La protection de la biodiversité locale et des continuités écologiques,

La réduction des émissions de gaz à effet de serre, rendue plus difficile par l’étalement urbain.


En conséquence, je demande :

Le retrait de ces parcelles agricoles du périmètre constructible de l’OAP Campus 2,

La révision du projet pour protéger ces terres et envisager des alternatives plus soutenables,

Une consultation approfondie des habitants et acteurs agricoles du secteur.


Je vous remercie de prendre en compte cette observation pour garantir un développement équilibré et respectueux du territoire malouin.

Bruno Delahaie

Contribution n°31 (Web)

Par Bruno Delahaie
Déposée le 21 mai 2025 à 23h18
Objet : Opposition au projet de construction d’immeubles collectifs sur terres agricoles – OAP Campus 2

À l’attention de Monsieur [...]
Objet : Opposition au projet de construction d’immeubles collectifs sur terres agricoles – OAP Campus 2

À l’attention de Monsieur ou Madame le Commissaire enquêteur,

Je soussigné(e), Bruno Delahaie domicilié à la banneville 35400 saint malo souhaite exprimer ma ferme opposition au projet de construction d’immeubles collectifs sur des terres actuellement agricoles, dans le périmètre de l’OAP Campus 2, inscrit dans le projet de révision du Plan Local d’Urbanisme (PLU) de Saint-Malo.

1. Atteinte irréversible au foncier agricole
Les terrains visés sont des terres encore cultivées ou cultivables, représentant un capital nourricier et écologique précieux. Leur urbanisation va à l’encontre des engagements nationaux et locaux pour :

La lutte contre l’artificialisation des sols (ZAN – Zéro Artificialisation Nette),

La préservation du foncier agricole face aux pressions urbaines,

La résilience alimentaire et l’agriculture de proximité.


2. Choix d’urbanisation inadapté et excessif
La construction d’immeubles collectifs sur ce site apparaît déconnectée :

Du caractère rural et du tissu pavillonnaire existant,

Des besoins locaux réels, qui ne justifient pas une telle densité en ce secteur,

Des infrastructures routières et services publics, qui ne sont pas dimensionnés pour absorber une telle charge démographique.


3. Alternatives non étudiées
Aucune étude approfondie ne semble démontrer que l’urbanisation de ces terres est une option de dernier recours. Il serait possible de :

Prioriser la densification de zones déjà urbanisées ou artificialisées (friches, parkings, zones d’activités),

Requalifier du bâti existant,

Ou réorienter les opérations vers des zones moins sensibles.


4. Contradictions avec les objectifs du développement durable
Ce projet contredit les principes d’un urbanisme durable tels que :

La limitation des déplacements et la proximité des services,

La protection de la biodiversité locale et des continuités écologiques,

La réduction des émissions de gaz à effet de serre, rendue plus difficile par l’étalement urbain.


En conséquence, je demande :

Le retrait de ces parcelles agricoles du périmètre constructible de l’OAP Campus 2,

La révision du projet pour protéger ces terres et envisager des alternatives plus soutenables,

Une consultation approfondie des habitants et acteurs agricoles du secteur.


Je vous remercie de prendre en compte cette observation pour garantir un développement équilibré et respectueux du territoire malouin.

Bruno Delahaie

Contribution n°30 (Web)

Anonyme
Déposée le 21 mai 2025 à 14h26
Bonjour
Comme de plus en plus de malouins, l’inquiétude et la gronde grandit, et ce dans beaucoup de quartiers.
En effet en 10 ans, [...]
Bonjour
Comme de plus en plus de malouins, l’inquiétude et la gronde grandit, et ce dans beaucoup de quartiers.
En effet en 10 ans, nous ne reconnaissons plus notre cité et le projet PLU proposé ne fera qu’amplifier les dégâts causés à notre ville.
La priorité ne serait elle pas de miser sur une ville balnéaire verte, avec des rues et des boulevards dignes de ce nom, tellement ils sont dégradés.

Que dire de ces constructions prévus sur le boulevard Gambetta sur le futur PLU, qui pour rappel est situé sur une zone historique marécageuse, avec une montée des eaux inéluctable, mais aussi l’arrivée de l’eau en sous sol.
Il y aurait semble t’il des remontées d’eau dans les caveaux du cimetière de rocabey par marée importante, ceci est tout proche de Gambetta.
Comment être sûr de la bonne tenue de toutes ces masses bétonnées et démesurées en hauteur sur un sol qui va évoluer et se fragiliser.
As t’on pris en compte les dernières données prévisionnelles de montées des eaux ?
Cette course effrénée dans la construction d’immeubles va aussi générer de sérieux problèmes dans la gestion de l’eau et des eaux usées, un autre sujet qui doit être pris en compte vu les alertes des scientifiques.

Ce projet PLU doit tenir compte de tous les derniers événements météorologiques catastrophiques, coulées des eaux, affaissements, fentes structurelles….
Je suis CONTRE ce projet PLU, cette concentration d’immeubles sur St malo
et
POUR, une vraie réflexion et des vraies actions afin de redonner une vraie image de ville balnéaire à St malo

Contribution n°29 (Web)

Par Roy Marion
Déposée le 21 mai 2025 à 14h12
Objet : Contribution à l’enquête publique – Opposition à l’inclusion de ma parcelle dans l’OAP Campus II
Madame, Monsieur,
Je vous [...]
Objet : Contribution à l’enquête publique – Opposition à l’inclusion de ma parcelle dans l’OAP Campus II
Madame, Monsieur,
Je vous écris avec une vive inquiétude après avoir pris connaissance du Plan Local d’Urbanisme (PLU) actuellement en révision, et notamment de l’Orientation d’Aménagement et de Programmation dite « Campus II ».
À ma grande surprise, j’ai découvert que ma parcelle, cadastrée section VI, N°42, à la Banneville, figure dans le périmètre du projet, sans que je n’en ait été informée préalablement. Sur le document 3-1 11 Campus II, il est noté qu’un « espace d’un collectif à créer/et à qualifier » se situe sur cette parcelle N°42.

Je déplore profondément l’absence de communication de la part de la municipalité. En tant que propriétaire directement concernée, j’estime essentiel d’être consultée en amont de toute décision d’urbanisation susceptible de transformer radicalement l’usage et l’environnement de mes terres.
Actuellement, ma parcelle est entourée de terres agricoles. Elle participe à un paysage rural encore préservé, aux fonctions écologiques multiples et à une économie locale agricole fragilisée. Or, cette intégration de terres naturelles et agricoles, dans un projet d’urbanisation, va clairement à l’encontre des engagements pris au niveau national et régional en matière de lutte contre l’artificialisation des sols. Il est contraire aux principes de sobriété foncière et aux obligations légales.
Le projet d’extension urbaine porté par l’OAP Campus II est incompatible avec l’objectif de Zéro Artificialisation Nette (ZAN) fixé par la loi Climat et Résilience (n°2021-1104 du 22 août 2021). À compter du 22 août 2026, ces objectifs deviendront juridiquement contraignants (article L.101-2-1 du Code de l’urbanisme). Il est donc incompréhensible que la municipalité continue de défendre ce projet par des projections de besoins en logements exagérés et non justifiés, alors même que l’autorité environnementale (MRAe) souligne, dans son avis du 10 avril 2025, l’absence de démonstration rigoureuse de la nécessité d’une telle extension.
Le chiffre de 530 logements/an avancé par la Ville repose sur des hypothèses maximalistes, fondées sur un scénario démographique peu réaliste, qui prévoit une hausse continue des résidences secondaires et un fort desserrement des ménages. Or, les données de l’INSEE montrent qu’entre 2014 et 2020, la population a crû de 263 habitants/an avec un rythme de construction de 421 logements/an. Cette cadence s’est donc révélée suffisante pour absorber la croissance réelle sans pression excessive sur le marché du logement.
De plus, un gisement de logements vacants, sous-occupés ou susceptibles d’être remis sur le marché d’ici 2050, est identifié. Leur réhabilitation représente une alternative beaucoup plus respectueuse du territoire et des engagements climatiques. Elle permettrait d’éviter une extension injustifiée sur des terres naturelles et agricoles.
Enfin, il existe des outils juridiques mobilisables pour freiner le développement de résidences secondaires et de meublés touristiques afin que Saint Malo reste une ville vivante toute l’année où les générations coexistent.
L’urbanisation prévue menace directement ces terres essentielles à l’alimentation locale, la biodiversité et la régulation climatique. Une fois artificialisées, ces terres sont perdues de manière quasi irréversible. Il est à noter que les zones concernées incluent aussi des éléments de patrimoine naturel comme des haies, des zones humides et un réseau hydraulique superficiel.
La consommation de foncier agricole contribue à fragmenter les écosystèmes, augmente les îlots de chaleur urbains et aggrave la vulnérabilité de notre territoire face aux effets du changement climatique. Ce projet est en rupture avec les recommandations du SRADDET Bretagne, qui promeut une gestion économe du foncier et la préservation des espaces naturels et agricoles.
Aucune étude sérieuse ne démontre que les besoins identifiés ne peuvent être satisfaits autrement que par l’extension. Il est étonnant que la densification raisonnée, la réhabilitation du bâti ancien, et la reconversion des logements vacants n’aient pas été priorisées. Ces solutions sont plus rapides à mettre en œuvre, moins coûteuses et beaucoup plus sobres sur le plan environnemental.
La réhabilitation du parc existant, soutenue par les aides de l’ANAH ou MaPrimeAdapt’, constitue une opportunité insuffisamment exploitée. Elle devrait être le socle de toute stratégie d’aménagement moderne, au lieu de projets d’extension hérités de logiques obsolètes d’urbanisation massive.
Enfin, je tiens à exprimer mon étonnement quant à la méthode employée pour élaborer ce projet. Ni les riverains, ni les propriétaires concernés n’ont été associés à la définition du périmètre de l’OAP Campus II. Cette opacité est en contradiction avec les principes de participation citoyenne pourtant inscrits dans le Code de l’environnement (articles L.121-1 et suivants).
Le projet présente une absence flagrante de concertation, ce que de nombreux habitants de mon quartier de la Banneville déplorent également. Il ne suffit pas d’organiser une enquête publique en fin de parcours pour satisfaire aux obligations démocratiques. Une information précoce, continue et accessible aurait été indispensable.
Pour toutes ces raisons – contradiction avec la loi climat, artificialisation des terres agricoles, besoins non démontrés, impact environnemental lourd, absence de concertation – je m’oppose fermement à l’inclusion de ma parcelle dans le périmètre du projet Campus II et je demande le retrait pur et simple de ma parcelle de l’OAP et la révision du PLU en faveur d’un urbanisme plus sobre, plus respectueux de l’environnement et de ses habitants.
Questions adressées à la municipalité :
1. Pourquoi n’ai-je pas été informée personnellement de l’inclusion de ma parcelle dans le périmètre de l’OAP avant que le PLU ne soit rendu public ?
2. Quels critères ont permis de sélectionner les parcelles agricoles destinées à être urbanisées ?
3. Existe-t-il une étude justifiant que les besoins en logements ne peuvent être satisfaits sans recourir à l’extension ?
Vous remerciant de votre attention et espérant que vous tiendrez compte de mes demandes, je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de mes salutations respectueuses.
Marion ROY, le 21 mai 2025

Document joint


Contribution n°28 (Email)

Par Damien FERRY - GNSA Pays de Rance
Déposée le 20 mai 2025 à 11h34
Objet : Révision du PLU - Conservation des arbres

Bonjour,

Dans le cadre de la révision du PLU que vous menez actuellement, nous [...]
Objet : Révision du PLU - Conservation des arbres

Bonjour,

Dans le cadre de la révision du PLU que vous menez actuellement, nous nous interrogions sur le projet concernant la montagne Saint Joseph. 

En effet, un chêne, un cyprès et deux tilleuls sont situés en bordure de la parcelle cadastrée 1AUR2 (vois photos). Est-il prévu, dans votre révision, que ces arbres soient conservés? 

Je vous remercie,

Bien à vous,

Damien FERRY
GNSA Pays de Rance

Document joint


Contribution n°27 (Web)

Anonyme
Déposée le 20 mai 2025 à 11h12
Je suis favorable au développement de l’OAP sectorielle de Rothéneuf. Ce quartier de mon enfance évolue : il vieillit, se transforme [...]
Je suis favorable au développement de l’OAP sectorielle de Rothéneuf. Ce quartier de mon enfance évolue : il vieillit, se transforme peu à peu en résidence pour seniors, où les petits-enfants viennent passer leurs vacances d’été chez leurs grands-parents.

Aujourd’hui, en tant que jeune ménage, il n’est plus possible de s’y installer. L’absence de foncier disponible, combinée au coût élevé du terrain, rend toute implantation quasi impossible.

Dans un contexte de dérèglement climatique, il est plus que jamais nécessaire de protéger ce secteur, en particulier les zones humides identifiées. Le projet initial de 800 logements relevait d’une véritable aberration.

Cependant, je m’interroge. Sous couvert de préservation de la biodiversité, certains riverains semblent opposés à toute nouvelle construction — alors même qu’ils ont pu, il y a plusieurs décennies, s’y installer eux-mêmes. Peut-on raisonnablement refuser aujourd’hui à d’autres ce qui leur a été permis hier ?

Je suis un Malouin, simplement dans l’attente de pouvoir construire une (petite) maison sur une (petite) parcelle.

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