Les contributions

Contribution n°10 (Web)

Déposée le 2 décembre 2025 à 05h06
Cette contribution est prise en compte mais n'est pas visible car elle comprend des propos considérés comme non publiables.

Contribution n°9 (Web)

Par Le Mercier, Gregory
Déposée le 2 décembre 2025 à 02h29
Je vous prie de prendre connaissance de ce document, annoté par mes soins.

Document joint


Contribution n°8 (Web)

Par Sauvageot Solène
Déposée le 2 décembre 2025 à 00h32
Je me déclare fermement opposée à la création de ce centre. Un CRA n'est pas une infrastructure neutre : c'est un outil d'enfermement, [...]
Je me déclare fermement opposée à la création de ce centre. Un CRA n'est pas une infrastructure neutre : c'est un outil d'enfermement, un symbole d'une politique répressive qui maltraite des personnes déjà vulnérables.

Contribution n°7 (Web)

Anonyme
Déposée le 1 décembre 2025 à 22h27
Je me déclare fermement opposée à la création de ce centre. Un CRA n'est pas une infrastructure neutre : c'est un outil d'enfermement, [...]
Je me déclare fermement opposée à la création de ce centre. Un CRA n'est pas une infrastructure neutre : c'est un outil d'enfermement, un symbole d'une politique répressive qui maltraite des personnes déjà vulnérables.

Contribution n°6 (Web)

Par Lebreton Juliette
Déposée le 1 décembre 2025 à 22h15
Je suis fermement contre la création de ce centre. Un CRA n’est pas une infrastructure neutre, c’est un outil d’enfermement symbole [...]
Je suis fermement contre la création de ce centre. Un CRA n’est pas une infrastructure neutre, c’est un outil d’enfermement symbole d’une politique répressive qui maltraite déjà les plus vulnérables. On ne peut pas accepter que des personnes soient enfermées pour une simple question administrative alors qu’elles n’ont commis aucun crime.

Contribution n°5 (Web)

Anonyme
Déposée le 1 décembre 2025 à 22h11
Sérieusement ??! Une enquête publique sur un projet de construction d'un centre de rétention ?

Si c'est une plaisanterie, elle n'est [...]
Sérieusement ??! Une enquête publique sur un projet de construction d'un centre de rétention ?

Si c'est une plaisanterie, elle n'est pas amusante.

Document joint


Contribution n°4 (Web)

Par Tiphanie HAMON
Déposée le 1 décembre 2025 à 21h48
Je participe à cette consultation en tant que citoyen.ne concerné.e par les politiques publiques locales et nationales, ainsi que [...]
Je participe à cette consultation en tant que citoyen.ne concerné.e par les politiques publiques locales et nationales, ainsi que par les impacts sociaux, humains et territoriaux des infrastructures de rétention. La construction d’un centre de rétention administrative (CRA) à Nantes m’interpelle particulièrement en raison de ses conséquences sur les personnes concernées, sur le territoire et sur la cohésion sociale.
J’émets un avis clairement défavorable à la création d’un CRA à Nantes. Cette infrastructure ne constitue ni une réponse adaptée aux enjeux migratoires, ni une solution respectueuse des droits fondamentaux.
Les CRA enferment des personnes n’ayant commis aucun délit, mais uniquement en raison de leur situation administrative. Plusieurs rapports d’associations et d’autorités indépendantes soulignent des conditions de vie souvent indignes dans ces centres. La création d’un nouvel établissement risque d’amplifier un système déjà critiqué pour son manque de respect des droits humains.
La construction puis la gestion d’un CRA mobilisent des ressources financières importantes, dans un contexte où les besoins prioritaires concernent l’accès au logement, la santé, l’éducation, la justice ou l’accompagnement social. Allouer des fonds à une structure de rétention apparaît comme un choix inefficace et peu responsable.
La rétention entraîne souffrance psychologique, ruptures familiales, interruption de soins et fragilisation accrue de personnes souvent déjà vulnérables. Renforcer un dispositif coercitif accentuerait ces dommages sans apporter de solution durable.

Contribution n°3 (Web)

Anonyme
Déposée le 1 décembre 2025 à 21h24
Je suis opposé à ce projet qui consiste en enfermer des êtres humains en détruisant une zone naturelle.

Contribution n°2 (Web)

Anonyme
Déposée le 1 décembre 2025 à 20h16
Je suis contre le projet de création du Centre de Rétention Administrative Nantes et ailleurs car un CRA est un lieu de privation [...]
Je suis contre le projet de création du Centre de Rétention Administrative Nantes et ailleurs car un CRA est un lieu de privation de liberté. Le placement en rétention est une décision administrative, prise par le Préfet, permettant d’enfermer une personne de nationalité étrangère sans titre de séjour dans l’attente de son éloignement forcé du territoire.
En réalité, c’est une prison qui ne dit pas son nom. On y enferme des hommes et des femmes, qu’elles.ils soient « sans papiers » ou bien sortant d’une autre prison en attendant d’être expulsé.e.s. Les sortant.e.s de prison qui y sont enfermé.e.s exécutent une double peine pour le seul fait d’être étranger.e.s.
Jusqu’en janvier 2024, la loi permettait d’y enfermer des enfants. Cette situation est toujours d’actualité à Mayotte.
Ce sont des prisons pour étrangers aux conditions indignes. À onze reprises déjà, la France a été condamnée par la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH) pour l’enfermement d’enfants dans les CRA, dont des nourrissons. De plus, les conditions d’enfermement sont largement décriées par tou.te.s : nourriture insuffisante, locaux insalubres et mal entretenus, impossibilité de mettre en place des mesures de distanciation lors de la pandémie de Covid. Ce projet s’inscrit dans une stratégie politique qui surfe sur un climat sécuritaire et xénophobe croissant, déjà affirmé par la promulgation de la loi immigration.

Contribution n°1 (Web)

Par Prochasson François
Déposée le 1 décembre 2025 à 18h29
Je suis totalement opposé à ce projet, ici à Nantes ou ailleurs. Parce qu'on ne met pas en prison sur décision administrative. Mais [...]
Je suis totalement opposé à ce projet, ici à Nantes ou ailleurs. Parce qu'on ne met pas en prison sur décision administrative. Mais aussi parce que cet outil a montré sa très faible efficacité face à volonté de renvoyer les migrants en situation irrégulière. Ces migrants participent souvent à l'activité économique ou cherchent tout simplement à se sortir de la misère et des persécutions dans leur pays d'origine. J’émets le vœu d'une politique migratoire moins idéologique et plus ouverte à ces situations de misère et à nos intérêts économiques. En fragilisant ces personnes (non renouvellement de leur titre de séjour, interdiction de travailler...) on crée plus encore de misère, des risques d'exploitation de cette misère dans des réseaux mafieux ou encore de fragilités mentales.
Bien cordialement
F P

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