Contribution n°18 (Web)
Déposée le 23 octobre 2025 à 09h16
Je souhaite apporter mon soutien total à ce projet. L'agrivoltaïsme est la solution d'avenir pour la production d'énergie renouvelable locale et NON subventionnée. L'état ne peut malheureusement plus subventionner les ENR à fonds perdus... L' agriPV est viable, ne touche aucune subvention ou aide de l'état que ce soit à la construction du site comme au raccordement. Il peut vivre sans tarif aidé car peut produire moins cher que le prix du marché et surtout moins cher que les futurs EPR (selon les chiffres de la cour de comptes).
De plus, l'arrivée des batteries performantes permet maintenant de gommer les effets d'intermittence de la production.
Le site de Chéry-Chartreuve est positionné sur des terres peu productives, les panneaux permettront d'améliorer leur productivité. Les avantages induits sont nombreux :
- Baisse de la facture électrique pour les habitants du village via l’autoconsommation collective
- Aucun coût pour le contribuable (raccordement 100% à la charge de l’opérateur)
- Pas de covisibilité directe
- Revenu substantiel pour la commune, la com d’agglo et le département via l’IFER
- Amélioration de l'indépendance en fourrage de cette ferme d'élevage.
- Diminution de l'effet d'érosion grâce à la remise en herbe de façon pérenne.
Pour toutes ces raisons, il est important de soutenir ces projets qui sont bons pour le territoire et le maintien de nos activités agricoles.
Contribution n°17 (Web)
Déposée le 22 octobre 2025 à 20h33
Oui aux panneaux photovoltaiques sur les toitures et les surfaces déjà artificialisées, mais pas dans des zones naturelles ou sur des terres agricoles !
Le photovoltaïque doit se développer sur les zones artificialisées telles que les toitures, les friches industrielles, les parkings, les bords d’autoroute…. C’est un investissement à long terme, qui ne doit pas affecter notre souveraineté alimentaire.
Par ailleurs, les surfaces concernées par les projets - les prairies permanentes et les pâtures - sont pourtant celles qui offrent le plus d’intérêt pour la biodiversité et le piégeage du carbone.
Je pense que pour assurer le renouvellement des générations et un accès au foncier, aucun projet d’APV ne doit voir le jour sur des terres destinées à l’agriculture.
Couvrir des surfaces agricoles de panneaux favorisent surtout un panel d’acteurs industriels qui spéculent sur les terres agricoles et font monter les prix, rendant toujours plus difficile l’accès à la terre pour les paysan·ne·s, particulièrement pour les jeunes et les femmes dont le travail permettra pourtant de nous nourrir demain. La difficulté d’accès à la terre est devenu un obstacle majeur à l’installation de nouvelles fermes et à la transmission des fermes existantes, alors que le renouvellement des générations en agriculture est crucial.
Ces nouveaux espaces industriels détruisent nos paysages et diminuent la production nourricière si nécessaire à notre souveraineté alimentaire. Rien de très durable là-dedans.
De plus, l’installation de panneaux photovoltaïques sur les terres agricoles entraîne une artificialisation durable du sol, compromettant ainsi sa fertilité et sa capacité à soutenir une agriculture productive à long terme. Les impacts sur la biodiversité et les écosystèmes locaux sont également inacceptables.
La durabilité économique de nos fermes doit passer avant tout par des prix rémunérateurs et non par le développement d’activités non agricoles. Les paysannes et les paysans veulent vivre de leur métier, non pas de la location de leur outil de travail à d’autres fins que nourricières, même s’il s’agit d’énergies renouvelables.
La transition énergétique de l’Union européenne a un impact dramatique sur les populations des pays d’extraction des matières premières, comme la RD Congo : accaparements de terres, pollutions, conflits armés, violations des droits humains. De plus, il est illusoire d’espérer extraire suffisamment de matières premières nécessaires aux énergies renouvelables pour maintenir notre niveau de consommation énergétique.
La France produit suffisamment d'énergie déjà décarbonée à 95 %, et n'a pas besoin de produire plus qu'elle ne consomme. La transition énergétique doit passer par la modération, et une utilisation raisonnée de l'énergie.
Je suis consciente des défis énergétiques auxquels notre société est confrontée, mais je croie fermement qu’il existe des alternatives viables qui n’impliquent pas la conversion des terres agricoles en sites de production d’énergie.
L’optimisation des espaces urbains, le développement de technologies solaires sur des terrains non agricoles ou déjà artificialisés et la promotion de la sobriété et de l’efficacité énergétique sont autant de solutions à explorer.
Je m'oppose donc à la construction de ce parc agrivoltaique, tout comme celui qui se construit sur ma commune (56 hect. de panneaux) .
Contribution n°16 (Web)
Déposée le 22 octobre 2025 à 19h44
Nous avons déjà assez de production énergétique.
Les économies commencent par réduire cela...
Contribution n°15 (Web)
Déposée le 22 octobre 2025 à 19h27
Chers amis,
Je ne peux m’empêcher d’exprimer ma tristesse et ma colère face à ce qui arrive à notre précieuse terre agricole. En tant que citoyen concerné et responsable, je tiens à partager avec vous mon ressenti.
On m'a épuisée avec l'agriculture intensive, on m'a pourrie avec des pesticides, et on a pollué mon eau en sous-sol. Loin de prendre soin de moi, on a détruit ma micro-faune : insectes, pollinisateurs et petits oiseaux se sont volatilisés. Mon petit gibier, perdrix, cailles, lapins et lièvres, subit le même sort tragique. Et maintenant, comme une pierre tombale, on veut me recouvrir de panneaux photovoltaïques !
Certains agriculteurs, en quête de profit, prétendent cultivent du blé sans labours ni contraintes. Bravo aux nouveaux écologistes que voilà ! Dans 10, 20, 30 ou 40 ans, la société qui aura installé ces panneaux – au mépris des riverains – aura disparu, laissant derrière elle des ruines à entretenir. Qui s’occupera de ces vestiges ? Je plains d'ores et déjà nos générations futures qui, j'en suis certain, nous remercieront pour un héritage si bien dégagé.
Les véritables gagnants ? Les Chinois, qui continuent d'engranger des bénéfices tout en mettant en danger notre environnement et en négligeant les riverains victimes des nuisances créées.
Je ne me considère ni comme un écologiste radical ni comme un extrémiste de gauche. Je suis simplement un citoyen qui aspire à la logique, à la cohérence et à la responsabilité envers la nature.
Alors, levons la voix pour notre terre. Elle mérite bien mieux !
bien a vous
ArtieShaw
Contribution n°14 (Web)
Déposée le 22 octobre 2025 à 19h02
Contribution n°13 (Web)
Déposée le 22 octobre 2025 à 18h14
Cordialement
Contribution n°12 (Web)
Déposée le 22 octobre 2025 à 00h46
L’ampleur du projet de CHÉRY-CHARTREUVE : ne peut être qu’un désastre pour le patrimoine naturel et paysager.
Ce type de projet est totalement inutile dans le contexte actuel d’une consommation électrique qui est stable, mais qui voit en parallèle l’augmentation d’une production électrique provenant de ces Énergies Renouvelables Intermittentes non pilotables que sont le solaire et l’éolien. Production inutile et couteuse.
Revenons à la raison:
OUI à la transition écologique mais pas à n’importe quel prix!
OUI aux panneaux photovoltaïques sur des surfaces déjà artificialisées.
NON aux panneaux sur les terres agricoles qui doivent garder leur caractère de terres cultivables et de prairies!
Pourquoi produire encore plus d'électricité, avec ce type d' Energies Renouvelables Intermittentes (EnRI), dans le contexte de surproduction électrique actuel?
Choisir des solutions de production locale avec faibles taxes et coûts de transport (autoconsommation collective).
Eviter la surproduction qui conduit à arrêter les installations de production existantes pilotables et économiques
Revoir les subventions sur les énergie électriques intermittentes (EEI) inutiles (car déjà en surproduction).
Voila quelques arguments à prendre en considération
Cordialement
Association Saint-Loup Nature 81
Contribution n°11 (Web)
Déposée le 21 octobre 2025 à 18h29
Depuis quelques temps, la réalité des conséquences d’une politique irrationnelle de développement des énergies intermittentes commence à diffuser dans le public, malgré les campagnes médiatiques, y compris dans des services étatiques.
Les pressions des lobbies de l’éolien et du photovoltaïques ne suffisent plus à convaincre certains élus.
Des lanceurs d’alerte et des dirigeants dénoncent publiquement l’ineptie de ces énergies sous influence idéologique venue d’outre Rhin pour.
Ainsi, par exemples :
• EDF vient d'annoncer l'arrêt de l'éolien et du solaire à ses 1000 cadres.
• Le projet de loi de finance de 2026 a doublé la taxe sur les futurs projets pour financer les CSPE.
• Dans une tribune de janvier, 80 sénateurs et députés demandent une pause dans la politique d'énergies intermittentes :
" Aussi, dans un but de préservation du potentiel industriel de notre pays et soucieux du bon emploi des deniers publics et de l'intérêt des Français dont nous sommes dépositaires, nous demandons solennellement au gouvernement, dans le contexte de pénurie budgétaire qui est le nôtre, de ne plus continuer les subventions publiques aux énergies renouvelables qui minent notre système électrique…"
• Dix anciens prestigieux dirigeant de l'histoire énergétique de notre pays interpellent le 1er Ministre : « Nous dénonçons le développement à marche forcée des énergies renouvelables ».
• En janvier 2025, un membre du Haut Conseil pour le climat auprès du 1er Ministre condamne la Programmation Pluriannuelle de l’Énergie du gouvernement qui veut tripler l’éolien et le solaire avant 2035 « Essayer de singer les Allemands c’est une énorme bêtise ».
En tant que président de Vents Contraires 24, depuis plus de10 ans au lors de nombreux entretiens avec des élus municipaux, départementaux ou des administratifs, j’ai du constater que les informations dont ils disposaient étaient pour le moins partielles, biaisées voire mensongères.
C’est pourquoi je rappelle dans le document joint à ce courriel, quelques unes des principales raisons qui rationnellement et factuellement ne peuvent que conduire à stopper tout projet photovoltaïque.
En quelques points, le champs de panneaux photovoltaïques de CHÉRY-CHARTREUVE est :
• inutile puisque la France est en excédent de production, le premier exportateur net d’électricité en Europe ;
• 9 fois plus polluant en CO2 que les filières nucléaire et historiques nationales ;
• Nuisible pour la biodiversité du massif forestier environnant, et les risques d’incendie pour les habitations proches ;
• 3 fois plus dispendieux du fait des subventions, des prix de rachat des MWh et des surproductions provoquant l’écroulement du marché européen de l’électricité ;
• néfastes pour la sécurité des réseaux électriques déstabilisé par l’intermittence du photovoltaïque, par ailleurs non pilotable.
Pour toutes ses raisons, le champs de panneaux photovoltaïques de CHÉRY-CHARTREUVE ne doit pas pouvoir être réalisé.
Cordialement.
Jean-Claude Bréan
Contribution n°10 (Web)
Déposée le 21 octobre 2025 à 18h23
Monsieur Le Commissaire-enquêteur,
Je vous adresse ce courrier pour exprimer mon opposition ferme et déterminée au projet agrivoltaïque du Tardenois, qui menace gravement les communes de Goussancourt, Chéry-Chartreuve et Coulonges-Cohan.
Porté par European Energy France, ce projet envisage d’installer d’immenses parcs photovoltaïques sur des terres agricoles précieuses, transformant des espaces vivants et fertiles en véritables zones industrielles. Cette artificialisation massive des sols compromettra à jamais la qualité de nos terres, indispensables à la production et à la qualité alimentaire locale et à la préservation de la biodiversité.
Au-delà des impacts environnementaux directs, ce projet constitue un précédent inquiétant : il ouvre, avec la ligne électrique raccordée à Vézilly, la porte à l’implantation ultérieure d’éoliennes, qui viendraient accentuer la dégradation irréversible de nos paysages et défigurer l’identité rurale de notre région, soigneusement préservée depuis des générations.
Nous avons choisi de vivre à la campagne pour sa quiétude, sa beauté naturelle, et non pour être les témoins impuissants d’une bétonisation invasive qui anéantira l’âme de nos territoires.
Enfin, cet aménagement menace directement notre patrimoine immobilier. Après des années d’efforts et d’investissements, nos habitations risquent de perdre toute valeur marchande, devenant invendables à cause de la proximité de ces infrastructures industrielles. Cette situation engendrera des conséquences économiques et sociales lourdes, affectant durablement nos familles et nos communes.
Au regard de ces enjeux majeurs, je vous conjure de rejeter ce projet et de protéger avec la plus grande vigilance notre patrimoine naturel, agricole et humain. L’avenir du Tardenois et l’intérêt collectif ne doivent pas être sacrifiés au profit d’intérêts industriels privés aux conséquences irréversibles.
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Commissaire-enquêteur, l’expression de mes respectueuses salutations.
Aurélia MERCIER
Document joint
Contribution n°9 (Web)
Déposée le 21 octobre 2025 à 18h21
Monsieur Le Commissaire-enquêteur,
Je vous adresse ce courrier pour exprimer mon opposition ferme et déterminée au projet agrivoltaïque du Tardenois, qui menace gravement les communes de Goussancourt, Chéry-Chartreuve et Coulonges-Cohan.
Porté par European Energy France, ce projet envisage d’installer d’immenses parcs photovoltaïques sur des terres agricoles précieuses, transformant des espaces vivants et fertiles en véritables zones industrielles. Cette artificialisation massive des sols compromettra à jamais la qualité de nos terres, indispensables à la production et à la qualité alimentaire locale et à la préservation de la biodiversité.
Au-delà des impacts environnementaux directs, ce projet constitue un précédent inquiétant : il ouvre, avec la ligne électrique raccordée à Vézilly, la porte à l’implantation ultérieure d’éoliennes, qui viendraient accentuer la dégradation irréversible de nos paysages et défigurer l’identité rurale de notre région, soigneusement préservée depuis des générations.
Nous avons choisi de vivre à la campagne pour sa quiétude, sa beauté naturelle, et non pour être les témoins impuissants d’une bétonisation invasive qui anéantira l’âme de nos territoires.
Enfin, cet aménagement menace directement notre patrimoine immobilier. Après des années d’efforts et d’investissements, nos habitations risquent de perdre toute valeur marchande, devenant invendables à cause de la proximité de ces infrastructures industrielles. Cette situation engendrera des conséquences économiques et sociales lourdes, affectant durablement nos familles et nos communes.
Au regard de ces enjeux majeurs, je vous conjure de rejeter ce projet et de protéger avec la plus grande vigilance notre patrimoine naturel, agricole et humain. L’avenir du Tardenois et l’intérêt collectif ne doivent pas être sacrifiés au profit d’intérêts industriels privés aux conséquences irréversibles.
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Commissaire-enquêteur, l’expression de mes respectueuses salutations.
Aurélia MERCIER