Contribution n°193 (Web)
Déposée le 9 octobre 2025 à 13h29
Contribution n°192 (Web)
Déposée le 9 octobre 2025 à 13h02
Casques lourds, au combat,..., vous ne cherchez qu'à protéger vos emplois !
On balaie du revers de la main les spéléos qui œuvrent depuis des décennies pour l'étude et la protection du milieu souterrain...Vous vous foutez du monde avec vos discours poncifs dont certains ne savent même pas faire un copier-coller...Ecoeurant !
Mais on viendra quand même vous chercher quand vous aurez des problèmes sous-terre !
Contribution n°191 (Web)
Déposée le 9 octobre 2025 à 11h11
Contribution n°190 (Web)
Déposée le 9 octobre 2025 à 10h50
Je connais très bien le projet, dont un certain nombre de personnes sont les détracteurs, car elles craignent des restrictions sur leur "terrain de jeu" : ne plus pouvoir prélever, ne plus pouvoir encadrer, etc.
La nature n’est pas un jeu. Les pressions environnementales sont multifactorielles et grandissantes de jour en jour.
La mise en place de cette RNN apportera beaucoup de connaissances — quoi qu’en disent certaines personnes —, une grande sensibilisation au monde souterrain encore méconnu, et enfin une véritable protection des chiroptères, dont la plupart des sites majeurs d’Ariège sont inclus dans le projet.
Ceux qui pensent le contraire méconnaissent le statut de protection d’une réserve naturelle.
Pour rappel, la plupart des chiroptères cavernicoles voient leurs populations diminuer lentement. Agir en leur faveur localement, c’est aussi permettre de "sécuriser" une partie des populations, l’Ariège abritant une part non négligeable des effectifs nationaux pour certaines espèces (Minioptère de Schreibers et Rhinolophe euryale, notamment).
Il faudra désormais bien définir la gestion (ou co-gestion) de la réserve, afin que les structures compétentes en soient les gestionnaires.
Penser que le PNR sera à lui seul capable de gérer correctement la réserve est illusoire, lorsque l’on connaît son fonctionnement et la manière dont il a mené le projet.
L’ANA-CEN Ariège est, localement, de très loin la structure la plus pertinente pour participer, a minima, à la co-gestion : apporter son expertise technique dans la gestion d’une réserve naturelle, ses connaissances fines sur les chiroptères, mais aussi sur toute la faune cavernicole (dont elle est, par ailleurs, déjà gestionnaire d’un grand nombre de sites inclus dans le projet).
Pour toutes ces raisons de bon sens, je suis TRÈS FAVORABLE à la création de la Réserve Naturelle Nationale Souterraine d’Ariège.
Contribution n°189 (Web)
Déposée le 9 octobre 2025 à 09h13
Contribution n°188 (Web)
Déposée le 9 octobre 2025 à 09h12
Contribution n°187 (Web)
Déposée le 9 octobre 2025 à 08h55
Je pratique la spéléologie depuis une quarantaine d´année et encadre bénévolement les personnes attirées par la découverte de ce milieu.
J´encadre des scientifiques pour l´étude de la seule cavité verticale du PUY de Dôme soumise à une surveillance écologique et volcanique dans un ENS coordonné par le Comité Départemental DE Spéléologie 63.
Et je pratique la spéléologie sur toutes les zones où il y a des découvertes à révéler.
Le projet de la création de cette réserve en Ariège est-il prioritaire ? Si oui, il doit se construire avec la communauté spéléologique très impliquée dans la protection des cavernes.
De nombreuses actions de préventions et de depollutions sont organisées dans tous les départements pour garder notre espace de pratique propre pour nos successeurs.
En espérant que les premiers concernés par des restrictions puissent être associés et entendus dans ce projet.
Meilleures salutations spéléologiques.
Contribution n°186 (Web)
Déposée le 9 octobre 2025 à 08h35
Je parle des acteurs locaux qui œuvrent déjà dans le sens de l'éducation au respect de la nature, qu'ils soient bénévoles, passionnés et ou professionnels, ils sont systématiquement pointés du doigt comme des détracteurs du milieu alors qu'au contraire ils œuvrent pour la sensibilisation et expliquent en permanence la fragilité du milieu. Souvent des réglementations visent à leur interdire, réduire ou énormément complexifier la tâche. Souvent dans le processus de gestion de parcs des ''extremistes'' pensent qu'il n'y a qu'une façon de réduire l'impact humain, c'est tout simplement de réduire à néant la fréquentation. Pour moi, bien au contraire, interdire dé-éduque et retire la possibilité de comprendre. il faut permettre de façon pertinente et encadrée, en petit comité, la possibilité à TOUS ceux qui le souhaitent de se confronter aux réalités de la préservation en étant éduqué et en rediffusant par la suite la bonne parole. Pour ça, un réseau associatif, professionnel et surtout passionné existe sur tous les territoires. S'appuyer sur leur expertise ne peut que multiplier le nombre de personnes ''impliquées ''et responsables qui feront à leur tour de la protection du milieu un enjeu majeur. Trop souvent les professionnels de la nature, les passionnés de clubs se retrouvent mis sur la touche dans les créations de Parc ou de réserve alors qu'ils sont à mon sens les maillons les plus importants pour que les générations futures soient sensibilisées et non ignorantes des règles de bon sens allant dans le sens concernant préservation du milieu.
J'ai bien peur qu'une fois de plus cette réserve empêche les quelques acteurs locaux de faire ce qu'il y a d'essentiel à l'avenir de la biodiversité, de l'éducation sur le terrain, encadrée et en petit groupe, elle ne peuvent être aussi gérées par des entités extérieures à l'organisation même de la réserve. Les moniteurs et bénévoles passionnés des nombreuses structures locales peuvent très bien à leur échelle former un spectre large de la population à apprendre les bonnes attitudes de respect du milieu. Je trouve alors logique que sans chercher à contrôler leurs allées et venues, ces acteurs puissent continuer de vivre leur passion et même dans certains cas vivre de leur passion à savoir transmettre et partager les connaissances qui font que le milieu souterrain et son environnement sont des exemples du génie de la nature et que de s'y confronter ne laisse jamais indifférent ! Face à cette prise de conscience forte que le milieu souterrain provoque, un animateur qui apprend à respecter le milieu aura beaucoup plus d'impact à mon sens qu'une interdiction/restriction ou qu'un simple document d'explication montrant pourquoi c'est fermé. Je prône l'expérimentation responsable comme la seule issue pour préparer les générations future à long terme à respecter un milieu fragile.
Je vous invite donc à réfléchir à ce que les sociaux-pro, les passionnés associatifs et toutes les structures locales continuent de pouvoir jouer leur rôle dans cette mission collective qui est de permettre sur le long terme la préservation du milieu. Évidemment, du coup, il ne sera pas possible de contrôler totalement ce qu'il se passe avec l'ensemble de ces acteurs mais je suis persuadé que ne pas contrôler ce qui est bénéfique n'est pas un problème.
Contribution n°185 (Web)
Déposée le 9 octobre 2025 à 06h19
Je suis très favorable à l'installation de ce projet.
Cdlt
Contribution n°184 (Web)
Déposée le 9 octobre 2025 à 01h59