Contribution n°1 (Web)
Par Alexandre BOURGEOIS
Déposée le 26 août 2025 à 20h33
Déposée le 26 août 2025 à 20h33
Bonjour !
Connaisseur du milieu des granulats, je ne peut que soutenir ce projet.
Il serait en effet regrettable que 3 gravières soient fermées dans un court laps de temps sur ce territoire situé entre Sélestat et Strasbourg, cela déséquilibrerait l'économie du BTP avec des problématiques d'approvisionnement en granulats aisément imaginables...
Le renouvellement pour 30 ans est donc stratégique en attendant l'ouverture d'autres gravières probablement « en sec » comme cela se fait depuis longtemps en Haute-Saône et dans les Vosges, et même dans le Haut-Rhin, à Réguisheim.
La restitution à l'agriculture est peut-être l’avenir car on ne peut pas créer indéfiniment des plans d'eau, même si ce sont les plus profonds de France (40 à 80 mètres) et que leur durée de vie est considérable par rapport aux autres gravières de France, qui avoisinent les 5 à 20 mètres sous eau en règle générale.
J'imagine que les porteurs de projets ont bien conscience qu'aucune autre extension supplémentaire ne saurait être demandée à l’avenir sur cette zone au vu des problématiques environnementales qu'ils ont eux-mêmes relevées et de l'évolution des exigences concernant la protection de l'eau et des nappes phréatiques.
En attendant le projet de réaménagement est enthousiasmant et équilibré, il y a de bonne idées.
Cordialement
Connaisseur du milieu des granulats, je ne peut que soutenir ce projet.
Il serait en effet regrettable que 3 gravières soient fermées dans un court laps de temps sur ce territoire situé entre Sélestat et Strasbourg, cela déséquilibrerait l'économie du BTP avec des problématiques d'approvisionnement en granulats aisément imaginables...
Le renouvellement pour 30 ans est donc stratégique en attendant l'ouverture d'autres gravières probablement « en sec » comme cela se fait depuis longtemps en Haute-Saône et dans les Vosges, et même dans le Haut-Rhin, à Réguisheim.
La restitution à l'agriculture est peut-être l’avenir car on ne peut pas créer indéfiniment des plans d'eau, même si ce sont les plus profonds de France (40 à 80 mètres) et que leur durée de vie est considérable par rapport aux autres gravières de France, qui avoisinent les 5 à 20 mètres sous eau en règle générale.
J'imagine que les porteurs de projets ont bien conscience qu'aucune autre extension supplémentaire ne saurait être demandée à l’avenir sur cette zone au vu des problématiques environnementales qu'ils ont eux-mêmes relevées et de l'évolution des exigences concernant la protection de l'eau et des nappes phréatiques.
En attendant le projet de réaménagement est enthousiasmant et équilibré, il y a de bonne idées.
Cordialement
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