Contribution n°236 (Web)
Par Rémi
Déposée le 13 octobre 2025 à 10h25
Déposée le 13 octobre 2025 à 10h25
Madame, Monsieur,
Dans le cadre de l’enquête publique environnemental pour le projet éolien sur les communes de CRESSONSACQ et LA NEUVILLE ROY, je souhaite vous faire part de mes observations et de ma position.
Je suis, à ce jour, contre la construction de tous projets éoliens y compris celui-ci.
Je précise « à ce jour » car c’est important. Je ne suis pas favorable aux projets éoliens de la manière dont ils sont aujourd’hui, présentés, organisé et exploité.
Madame, monsieur, l’une des interventions des plus troublante de M. JANCOVICI à la commission d’enquête de l’assemblée nationale sur l’indépendance énergétique de la France dresse un bilan sur l’ensemble des sujets énergétiques et l’efficacité des différentes solutions envisagées à ce jour dont l’éolien fait partie.
M. JANCOVICI explique et argumente sur plusieurs axes que l’éolien n’est, et ne pourra être une solution efficace pour produire l’électricité, lutter contre le réchauffement climatique, et maintenir un coût raisonnable pour le consommateur.
Pour autant, bien que convaincu que l’énergie nucléaire reste notre meilleure option, je ne souhaite ignorer les problématiques importantes qui l’accompagnent. Ce pourquoi, si certaines choses évoluent, je pourrai être amené à changer d’avis sur l’éolien.
Je souhaite donc partager, avec vous, 3 principaux sujets qui me préoccupent à propos de l’éolien en espérant que cela pourra faire évoluer les choses, et nous convaincre que ce / ces projets deviennent cohérents et acceptables.
Le premier sujet qui me préoccupe est l’impact négative que l’éolien semblent avoir sur l’économie du pays. En effet, si l’Etat favorise l’éolien en permettant des prix de rachat de l’électricité très favorable, en contrepartie, les industriels de l’éolien majoritairement investisseurs étrangers rapatrient leurs bénéfices hors de France. Cela me semble être une double peine pour nous consommateurs et Français, qui finançons les éoliennes et le rachat d’électricité onéreux via les TICPE et TURPE dans nos factures, et qui assistons à l’appauvrissement du pays lorsque la majorité des revenus des éoliennes sont encaissé à l’étranger, et donc ne recircule pas en France.
Je ne mentionne ici que la partie qui concerne la production des éoliennes. Mais M. JANCOVICI explique également que les machines étant aujourd’hui toutes produites / construites hors de France, participe à cet appauvrissement de la France.
Concernant le projet éolien sur les communes de CRESSONSACQ et LA NEUVILLE ROY, comme pour tous les autres projets similaires, je pense que les retombées financières sur la collectivité et ses habitants sont insuffisantes comparé aux bénéfices engrangés par les industriels de l’éolien. Et surtout, ces rétributions ne font que masquer le problème de fond à l’échelle nationale évoqué précédemment.
Il y a bien la solution du financement participatif, une piste à éventuellement creuser, mais je suppose que les communes concernées devraient rassembler à peu-prêt tout le canton pour presque financer une éolienne. Pourquoi cette solution est-elle si rarement choisie ? Ne pourrait-elle pas être soutenue par l’Etat et accompagnée financièrement ? Pourquoi un financement par une solution d’épargne comme le livret A ne pourrait-elle pas être envisagé ?
Le second sujet est l’impact négative de l’éolien sur le bilan carbone. Une éolienne est un moyen de production non pilotable et non constant. Il est effectivement possible avec les prévisions météo d’avoir une estimation de la production moyenne des machines, mais la production n’en reste pas moins variable / non linéaire. Les théories du foisonnement et de compensation par le photovoltaïque ont été étudié et ne se révèlent pas viables. La production des centrales hydrauliques est déjà pleinement utilisée en complément des moyens de production conventionnels. C’est pourquoi si l’on souhaite donner à l’éolien une part du mixte énergétique, il est nécessaire de le coupler aux centrales à gaz, solution la plus adaptée pour compenser les variations de production des éoliennes.
En conséquence, les experts expliquent que depuis l’augmentation de la part de l’éolien dans le mixte énergétique, la production d’électricité par les centrales à gaz a également augmenté et a grandement dégradé le bilan carbone de la France, qui jusque-là était très bon puisque l’électricité était majoritairement produite par le nucléaire.
Je poursuis avec le troisième sujet puisque directement liée. Il s’agit de l’absence de conduite du changement.
Comme l’explique M. JANCOVICI, l’énergie éolienne n’est pas nouvelle, en témoigne les quelques moulins restant ici et là. Ce qui a changé en revanche depuis cette époque sont nos habitudes d’utilisation de l’énergie. Aujourd’hui nous considérons normal d’avoir du courant disponible à tout instant. Par conséquent, produire l’électricité avec un parc éolien seul n’est pas possible. Deux solutions existent pour rendre cela possible. La première est la combinaison d’autres moyens de production compatibles : les centrales à gaz. Mais ceci nous ramène au problème évoqué précédemment. La deuxième solution qui me semble malheureusement encore complétement absente, est la conduite du changement du consommateur. Pour que ce nouveau mixe énergétique soient efficace et puisse fonctionner, nous devons apprendre à consommer le courant différemment. Il est donc urgent de débuter la conduite du changement et l’éducation des consommateurs. Ceci est possible, la crise énergétique de l’hiver 2023 nous l’a prouvée.
Nous devons apprendre à utiliser du courant quand il est disponible, quand il y a du vent, ou bien quand il y a du soleil (pour le photovoltaïques).
Aujourd’hui rien n’est fait dans ce sens. Demain, s’il y a une éolienne dans le paysage de mon village, je ne serai pas en mesure de savoir quand utiliser du courant produit par celle-ci.
Afin de réduire l’utilisation des centrales à gaz en compensation des parcs éoliens, nous avons besoin de moyens techniques permettant, à nous consommateur, de choisir de reporter notre besoin de courant en l’absence de vent, ou bien de dégrader le bilan carbone en obligeant EDF et RTE à mettre en marche les centrales à gaz.
Bien évidemment, comme nous l’a également montré la crise énergétique de l’hiver 2023, pour que ce principe fonctionne, il faudra intéresser le portefeuille des consommateurs ! Et cela est possible. Durant toute ma jeunesse, mes parents était équipé d’un compteur électrique spécifique dit « Tempo », qui nous facturait le courant à un tarif préférentiel les jours de consommation normale, puis plus cher les jours de forte consommation. Eh bien les habitudes de la maison furent prises suivant les jours dit « verts », « oranges » et « rouges ».
Madame, Monsieur, concernant ces deux sujets, pouvez-vous relayer ces observations et faire évoluer les choses afin que ces projets éoliens ne contribuent pas à la dégradation du bilan carbone de la France ? Pouvez-vous encourager les industrielles à développer les solutions qui nous permettrons à nous, habitants et consommateurs, d’utiliser le courant produit par les parcs éoliens uniquement lorsqu’il est disponible, et ainsi participer à la réduction de l’impact environnemental des moyens de production d’électricité ?
Madame, Monsieur, je me limite ici à ces 3 sujets sur lesquels je me suis documenté. Pour autant je partage les nombreux autres arguments tout aussi recevables qui s’opposent aux projets éoliens, notamment les impacts sur la faune sauvage, les animaux d’élevages et sur les habitants les plus proches des parcs éoliens.
Je remarque aussi que les parcs éoliens construit ou en cours de construction sont de plus en plus proche des axes routiers et habitations avec mes machines de plus en plus grandes. Je m’interroge et m’inquiète pour notre sécurité en cas de chute d’une éolienne.
Madame, Monsieur, je vous remercie de votre lecture et ainsi que pour les travaux d’enquêtes publique. J’espère sincèrement que les personnes en responsabilités prendront les meilleures décisions.
Cordialement,
Rémi DRAY
Dans le cadre de l’enquête publique environnemental pour le projet éolien sur les communes de CRESSONSACQ et LA NEUVILLE ROY, je souhaite vous faire part de mes observations et de ma position.
Je suis, à ce jour, contre la construction de tous projets éoliens y compris celui-ci.
Je précise « à ce jour » car c’est important. Je ne suis pas favorable aux projets éoliens de la manière dont ils sont aujourd’hui, présentés, organisé et exploité.
Madame, monsieur, l’une des interventions des plus troublante de M. JANCOVICI à la commission d’enquête de l’assemblée nationale sur l’indépendance énergétique de la France dresse un bilan sur l’ensemble des sujets énergétiques et l’efficacité des différentes solutions envisagées à ce jour dont l’éolien fait partie.
M. JANCOVICI explique et argumente sur plusieurs axes que l’éolien n’est, et ne pourra être une solution efficace pour produire l’électricité, lutter contre le réchauffement climatique, et maintenir un coût raisonnable pour le consommateur.
Pour autant, bien que convaincu que l’énergie nucléaire reste notre meilleure option, je ne souhaite ignorer les problématiques importantes qui l’accompagnent. Ce pourquoi, si certaines choses évoluent, je pourrai être amené à changer d’avis sur l’éolien.
Je souhaite donc partager, avec vous, 3 principaux sujets qui me préoccupent à propos de l’éolien en espérant que cela pourra faire évoluer les choses, et nous convaincre que ce / ces projets deviennent cohérents et acceptables.
Le premier sujet qui me préoccupe est l’impact négative que l’éolien semblent avoir sur l’économie du pays. En effet, si l’Etat favorise l’éolien en permettant des prix de rachat de l’électricité très favorable, en contrepartie, les industriels de l’éolien majoritairement investisseurs étrangers rapatrient leurs bénéfices hors de France. Cela me semble être une double peine pour nous consommateurs et Français, qui finançons les éoliennes et le rachat d’électricité onéreux via les TICPE et TURPE dans nos factures, et qui assistons à l’appauvrissement du pays lorsque la majorité des revenus des éoliennes sont encaissé à l’étranger, et donc ne recircule pas en France.
Je ne mentionne ici que la partie qui concerne la production des éoliennes. Mais M. JANCOVICI explique également que les machines étant aujourd’hui toutes produites / construites hors de France, participe à cet appauvrissement de la France.
Concernant le projet éolien sur les communes de CRESSONSACQ et LA NEUVILLE ROY, comme pour tous les autres projets similaires, je pense que les retombées financières sur la collectivité et ses habitants sont insuffisantes comparé aux bénéfices engrangés par les industriels de l’éolien. Et surtout, ces rétributions ne font que masquer le problème de fond à l’échelle nationale évoqué précédemment.
Il y a bien la solution du financement participatif, une piste à éventuellement creuser, mais je suppose que les communes concernées devraient rassembler à peu-prêt tout le canton pour presque financer une éolienne. Pourquoi cette solution est-elle si rarement choisie ? Ne pourrait-elle pas être soutenue par l’Etat et accompagnée financièrement ? Pourquoi un financement par une solution d’épargne comme le livret A ne pourrait-elle pas être envisagé ?
Le second sujet est l’impact négative de l’éolien sur le bilan carbone. Une éolienne est un moyen de production non pilotable et non constant. Il est effectivement possible avec les prévisions météo d’avoir une estimation de la production moyenne des machines, mais la production n’en reste pas moins variable / non linéaire. Les théories du foisonnement et de compensation par le photovoltaïque ont été étudié et ne se révèlent pas viables. La production des centrales hydrauliques est déjà pleinement utilisée en complément des moyens de production conventionnels. C’est pourquoi si l’on souhaite donner à l’éolien une part du mixte énergétique, il est nécessaire de le coupler aux centrales à gaz, solution la plus adaptée pour compenser les variations de production des éoliennes.
En conséquence, les experts expliquent que depuis l’augmentation de la part de l’éolien dans le mixte énergétique, la production d’électricité par les centrales à gaz a également augmenté et a grandement dégradé le bilan carbone de la France, qui jusque-là était très bon puisque l’électricité était majoritairement produite par le nucléaire.
Je poursuis avec le troisième sujet puisque directement liée. Il s’agit de l’absence de conduite du changement.
Comme l’explique M. JANCOVICI, l’énergie éolienne n’est pas nouvelle, en témoigne les quelques moulins restant ici et là. Ce qui a changé en revanche depuis cette époque sont nos habitudes d’utilisation de l’énergie. Aujourd’hui nous considérons normal d’avoir du courant disponible à tout instant. Par conséquent, produire l’électricité avec un parc éolien seul n’est pas possible. Deux solutions existent pour rendre cela possible. La première est la combinaison d’autres moyens de production compatibles : les centrales à gaz. Mais ceci nous ramène au problème évoqué précédemment. La deuxième solution qui me semble malheureusement encore complétement absente, est la conduite du changement du consommateur. Pour que ce nouveau mixe énergétique soient efficace et puisse fonctionner, nous devons apprendre à consommer le courant différemment. Il est donc urgent de débuter la conduite du changement et l’éducation des consommateurs. Ceci est possible, la crise énergétique de l’hiver 2023 nous l’a prouvée.
Nous devons apprendre à utiliser du courant quand il est disponible, quand il y a du vent, ou bien quand il y a du soleil (pour le photovoltaïques).
Aujourd’hui rien n’est fait dans ce sens. Demain, s’il y a une éolienne dans le paysage de mon village, je ne serai pas en mesure de savoir quand utiliser du courant produit par celle-ci.
Afin de réduire l’utilisation des centrales à gaz en compensation des parcs éoliens, nous avons besoin de moyens techniques permettant, à nous consommateur, de choisir de reporter notre besoin de courant en l’absence de vent, ou bien de dégrader le bilan carbone en obligeant EDF et RTE à mettre en marche les centrales à gaz.
Bien évidemment, comme nous l’a également montré la crise énergétique de l’hiver 2023, pour que ce principe fonctionne, il faudra intéresser le portefeuille des consommateurs ! Et cela est possible. Durant toute ma jeunesse, mes parents était équipé d’un compteur électrique spécifique dit « Tempo », qui nous facturait le courant à un tarif préférentiel les jours de consommation normale, puis plus cher les jours de forte consommation. Eh bien les habitudes de la maison furent prises suivant les jours dit « verts », « oranges » et « rouges ».
Madame, Monsieur, concernant ces deux sujets, pouvez-vous relayer ces observations et faire évoluer les choses afin que ces projets éoliens ne contribuent pas à la dégradation du bilan carbone de la France ? Pouvez-vous encourager les industrielles à développer les solutions qui nous permettrons à nous, habitants et consommateurs, d’utiliser le courant produit par les parcs éoliens uniquement lorsqu’il est disponible, et ainsi participer à la réduction de l’impact environnemental des moyens de production d’électricité ?
Madame, Monsieur, je me limite ici à ces 3 sujets sur lesquels je me suis documenté. Pour autant je partage les nombreux autres arguments tout aussi recevables qui s’opposent aux projets éoliens, notamment les impacts sur la faune sauvage, les animaux d’élevages et sur les habitants les plus proches des parcs éoliens.
Je remarque aussi que les parcs éoliens construit ou en cours de construction sont de plus en plus proche des axes routiers et habitations avec mes machines de plus en plus grandes. Je m’interroge et m’inquiète pour notre sécurité en cas de chute d’une éolienne.
Madame, Monsieur, je vous remercie de votre lecture et ainsi que pour les travaux d’enquêtes publique. J’espère sincèrement que les personnes en responsabilités prendront les meilleures décisions.
Cordialement,
Rémi DRAY
Contribution n°235 (Web)
Anonyme
Déposée le 13 octobre 2025 à 10h17
Déposée le 13 octobre 2025 à 10h17
Je tiens à apporter ma contribution favorable pour ce projet. Résident dans la commune proche de la Neuville-Roy.
L’énergie éolien est une ressource d’avenir et, j’en suis convaincu, amènera que du positif sur notre territoire.
L’énergie éolien est une ressource d’avenir et, j’en suis convaincu, amènera que du positif sur notre territoire.
Contribution n°234 (Web)
Par Trincal denis
Déposée le 13 octobre 2025 à 09h42
Déposée le 13 octobre 2025 à 09h42
Bonjour Mesdames , Messieurs les commissaires enquêteurs.
Je suis contre ce projet pour les raisons suivantes :
La France n a plus besoin d électricité supplémentaire, car nous produisons 18% de plus que notre consommation.
Cet excédent est exporté par EDF a un prix très inferieur par rapport au prix d achat auprès des promoteurs. Ces derniers sont rémunérés avec un tarif protégé et garanti pendant 20 ans. Et donc c est le consommateur français qui paye la différence (cf taxe d accise de la facture Edf).
Enfin la Picardie est déjà saturée d'éoliennes.
Je suis contre ce projet pour les raisons suivantes :
La France n a plus besoin d électricité supplémentaire, car nous produisons 18% de plus que notre consommation.
Cet excédent est exporté par EDF a un prix très inferieur par rapport au prix d achat auprès des promoteurs. Ces derniers sont rémunérés avec un tarif protégé et garanti pendant 20 ans. Et donc c est le consommateur français qui paye la différence (cf taxe d accise de la facture Edf).
Enfin la Picardie est déjà saturée d'éoliennes.
Contribution n°233 (Web)
Par Trincal denis
Déposée le 13 octobre 2025 à 09h41
Déposée le 13 octobre 2025 à 09h41
Bonjour Mesdames , Messieurs les commissaires enquêteurs.
Je suis contre ce projet pour les raisons suivantes :
La France n a plus besoin d électricité supplémentaire, car nous produisons 18% de plus que notre consommation.
Cet excédent est exporté par EDF a un prix très inferieur par rapport au prix d achat auprès des promoteurs. Ces derniers sont rémunérés avec un tarif protégé et garanti pendant 20 ans. Et donc c est le consommateur français qui paye la différence (cf taxe d accise de la facture Edf).
Enfin la Picardie est déjà saturée d'éoliennes.
Je suis contre ce projet pour les raisons suivantes :
La France n a plus besoin d électricité supplémentaire, car nous produisons 18% de plus que notre consommation.
Cet excédent est exporté par EDF a un prix très inferieur par rapport au prix d achat auprès des promoteurs. Ces derniers sont rémunérés avec un tarif protégé et garanti pendant 20 ans. Et donc c est le consommateur français qui paye la différence (cf taxe d accise de la facture Edf).
Enfin la Picardie est déjà saturée d'éoliennes.
Contribution n°232 (Web)
Par Deleglise Thierry
Déposée le 12 octobre 2025 à 21h14
Déposée le 12 octobre 2025 à 21h14
Ça ne sert à rien, à part engraisser les constructeurs et votre société
Contribution n°231 (Web)
Anonyme
Déposée le 12 octobre 2025 à 18h12
Déposée le 12 octobre 2025 à 18h12
Non aux Éoliennes. Il y en a beaucoup trop dans la région .
Contribution n°230 (Web)
Par Jacques Tondeur
Déposée le 12 octobre 2025 à 18h10
Déposée le 12 octobre 2025 à 18h10
Imposer à une population qui n'en veut pas une forêt d'éoliennes de cette taille relève de la cruauté et de inconscience. Destruction totale de l'environnement au seul bénéfice de quelques uns....JT
Contribution n°229 (Web)
Par JULIE DENEUFBOURG
Déposée le 12 octobre 2025 à 18h03
Déposée le 12 octobre 2025 à 18h03
Encore une dégradation importante des sols, de la vue, du bruit et de nombreux dégâts sur la faune présente sur place.
De plus il y a l abbaye de St Martin ! C est une honte !!!!
De plus il y a l abbaye de St Martin ! C est une honte !!!!
Contribution n°228 (Web)
Par Dubos Aurélie
Déposée le 12 octobre 2025 à 16h32
Déposée le 12 octobre 2025 à 16h32
Bonjour,
Je m'oppose vivement au projet éolien sur les communes de Cressonsacq et de La Neuville Roy. En effet, les projets éoliens qui prolifèrent dans nos campagnes des Hauts de France depuis plusieurs années :
- dégradent nos paysages et nos bâtisses
- nuisent à la biodiversité locale
- altèrent notre qualité de vie
- sont gérés par des sociétés plus intéressées par l'argent que par l'écologie
De plus, il a été reconnu que nos communes se trouvent dans une zone à faible densité de production, comme le prouvent quotidiennement les éoliennes de Bailleul le Soc qui tournent très rarement.
Je ne veux pas vivre entourée d'une forêt d'éoliennes. Je veux profiter des bienfaits de la campagne sans être constamment gênée par la vue et le bruit d'éoliennes de 200 m de haut.
J'espère que mon avis sera réellement pris en compte.
Aurélie Dubos, habitante de la Neuville Roy depuis 2010
Je m'oppose vivement au projet éolien sur les communes de Cressonsacq et de La Neuville Roy. En effet, les projets éoliens qui prolifèrent dans nos campagnes des Hauts de France depuis plusieurs années :
- dégradent nos paysages et nos bâtisses
- nuisent à la biodiversité locale
- altèrent notre qualité de vie
- sont gérés par des sociétés plus intéressées par l'argent que par l'écologie
De plus, il a été reconnu que nos communes se trouvent dans une zone à faible densité de production, comme le prouvent quotidiennement les éoliennes de Bailleul le Soc qui tournent très rarement.
Je ne veux pas vivre entourée d'une forêt d'éoliennes. Je veux profiter des bienfaits de la campagne sans être constamment gênée par la vue et le bruit d'éoliennes de 200 m de haut.
J'espère que mon avis sera réellement pris en compte.
Aurélie Dubos, habitante de la Neuville Roy depuis 2010
Contribution n°227 (Web)
Par Bonnard Fabrice
Déposée le 12 octobre 2025 à 16h10
Déposée le 12 octobre 2025 à 16h10
Bonjour, je rejette le projet éolien. Je suis conseillier municipal dans ma commune et je me suis déjà exprimé en ce sens lors d'un vote en réunion de conseil.
Les hauts de France sont déjà très fortement pourvues en parcs éoliens. A ce rythme aucun paysage ne sera sans éolienne.
Ces projets sont loin d'être vertueux.
De plus la zone d'exploitation, n'est pas dans un couloir optimal concernant le vent. Le rendement risque donc d'être en dessous des prévisions.
Pour toutes ces raisons je m'oppose à ce projet. Mr Bonnard.
Les hauts de France sont déjà très fortement pourvues en parcs éoliens. A ce rythme aucun paysage ne sera sans éolienne.
Ces projets sont loin d'être vertueux.
De plus la zone d'exploitation, n'est pas dans un couloir optimal concernant le vent. Le rendement risque donc d'être en dessous des prévisions.
Pour toutes ces raisons je m'oppose à ce projet. Mr Bonnard.
Apportez votre contribution à cette enquête publique :
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