Les contributions

Contribution n°55 (Web)

Par Lardenet Philippe
Déposée le 31 mai 2025 à 15h34
Madame, Monsieur,

Propriétaire d’un appartement situé au 5 rue de la Banque, je souhaite vous faire part de ma forte opposition au [...]
Madame, Monsieur,

Propriétaire d’un appartement situé au 5 rue de la Banque, je souhaite vous faire part de ma forte opposition au projet de construction de 55 nouveaux logements présenté dans l’OAP 161, qui suscite de vives inquiétudes chez l’ensemble des habitants du quartier Chardonnet / Banque.

- Sur l’absence de volonté réelle d’associer les habitants au projet
Au vu des nombreuses contributions émises, il semble patent et regrettable qu’il n’y ait eu aucune volonté d’informer et associer les premiers concernés, les habitants, à la conception du projet de refonte de leur quartier, qui aura pourtant un impact lourd et durable sur les conditions de vie dans ce quartier. Ce, en contradiction avec la délibération du Conseil Communautaire du Grand Chambéry du 19 décembre 2024, qui indiquait précisément « La concertation se déroule en début de procédure et permet d’associer la population aux propositions d’évolutions souhaitées. ».
Le Grand Chambéry dispose pourtant de moyens de communication efficients, pour preuve les campagnes d’affichage récentes dans chaque immeuble et réunions organisées sur le fonctionnement des syndics de copropriété et sur la gestion des déchets, dernier sujet sur lequel nous avons également eu des visites à domicile.

La sensation d’un projet monté non en association avec, mais à l’insu des habitants, est renforcé dans le cas de notre copropriété.
En effet la mairie nous avait sollicité dans le passé pour acquérir tout ou partie du parking, à la suite de quoi nous avions confirmé notre intérêt, sans que la mairie concrétise sa démarche initiale.
Plus récemment, nous nous sommes entretenus longuement par téléphone avec Monsieur l’adjoint au Maire en charge de l’urbanisme, également conseiller communautaire, pour faire part de notre volonté d’être associé à la réflexion sur tout projet immobilier impactant le parking et examiner un montage dans laquelle la copropriété serait partie prenante, qui avait fait l’objet par la suite d’un courrier de notre part du 29 janvier 2024.
C’est donc avec stupéfaction que nous avons découvert la présente enquête publique, faisant suite à une phase de concertation « passée sous les radars », grâce à l’affichage efficace mené par le collectif Chardonnet / Banque, sans que les services foncier / urbanisme aient jugé approprié de nous contacter au regard de nos échanges antérieurs.

- Sur l’inadéquation du projet de construction de 55 logements en terme de collecte des déchets et de circulation routière
Le projet de construction de 55 logements (soit environ 120 nouveaux habitants) est totalement inadapté à la réalité du quartier, notamment en terme de collecte des déchets et de circulation routière.
Le système des collectes des déchets est déjà largement sous-dimensionné pour le volume de logements existants, tant impasse du Chardonnet que rue de la Banque, où des détritus jonchent le sol en face de chez nous toutes les semaines par manque de bac de collecte et/ou de fréquence des collectes. Il semblerait pourtant qu’il n’y ait pas d’alternative réaliste possible en raison de la voirie inaccessible aux camions de collecte impasse du Chardonnet.
S’agissant de la circulation routière, il n’est là encore pas réaliste d’imaginer absorber le surcroît de véhicules stationnées et de circulation non seulement dans l’impasse, mais aussi à la sortie de la rue Chardonnet, où la situation est déjà fortement accidentogène avec le volume de circulation existant, du fait d’un circulation à double sens sur la rue Pasteur, pourtant à une seule voie…

- Sur les préjudices directs dans la jouissance de nos appartements causés par les constructions envisagées – ensoleillement / luminosité et vue
Les constructions envisagées, par leur ampleur, vont entraîner des pertes d’ensoleillement / luminosité et de vue significatives de nos biens, non évaluées dans le projet.
Nous disposons aujourd’hui d’une vue dégagée sur les montagnes environnantes, qui se verrait obstruée par des constructions.
Pour nous permettre d’émettre un avis éclairé, il conviendrait de disposer de simulations des taux de luminosité avant / après de l’impact des constructions aux différentes heures de la journée, et particulièrement en début et fin de journée.
Comme indiqué dans une autre contribution, il en résulté une perte d’apports solaires passifs, en contradiction avec l’OAP Climat Energie qui préconise pour les nouveaux aménagements d’éviter les effets de masque.

Ces pertes d’ensoleillement / luminosité et de vue constituent un frein sérieux à la mise en œuvre du projet sans concertation avec les propriétaires des logements existants, car elles exposeront le promoteur et/ou les acheteurs de biens construits à des recours pour l’indemnisation des préjudices subis, octroyés en tenant compte de la valeur vénale des biens, et en cas de trouble / perte d’ensoleillement trop important, un risque même de démolition des nouvelles constructions.

- Sur les préjudices indirects lié à la création d’un parc public en accès libre non sécurisé

Notre copropriété subit aujourd’hui des incivilités face auxquelles nous sommes largement démunis en raison de l’accès non fermé à notre porche, des SDF s’y installant avec des chiens effrayants pour nos enfants en bas âge si ce n’est pour nous-mêmes, urinant dans le recoin sous les boîtes aux lettres et laissant sur place des détritus .

D’autres contributions ont soulevé également le trafic de stupéfiant, amené à se multiplier sous nos fenêtres en cas de jardin public non sécurisé.

=> La végétalisation de l’îlot Chardonnet / Banque reste un objectif partagé, mais dans un cadre sécurisé et dans l’intérêt des habitants de l’îlot

Je partage l’importance de végétaliser l’environnement de l’îlot Chardonnet / Banque mais suggère de le faire dans un cadre sécurisé pour les habitants :
- en autorisant la cession d’un partie de la parcelle à notre copropriété (sous notre porche et en arrière de notre bâtiment) pour la création d’un local vélo et d’un jardin propre à notre copropriété, comme nous l’avons déjà proposé à la mairie ;
- pourquoi pas en créant des jardins collectifs sécurisés accessibles aux habitants de l’îlot Chardonnet / Banque ;
- en tout état de cause, tout jardin public s’il est créé doit être sécurisé, clos le soir / la nuit, avec vidéosurveillance pour éviter la création de points de deal dans ses recoins.

En résumé, mon opinion est qu’il revient de revoir drastiquement toute l’OAP concernée pour la co-conconstruire avec et dans l’intérêt des résidents du quartier.

Document joint


Contribution n°54 (Email)

Par alain peaquin ensemble a challes
Déposée le 30 mai 2025 à 16h30
Objet : contribution supplémentaire

Monsieur le commissaire enquêteur,
Nous vous prions de bien vouloir trouver en pièce-jointe, [...]
Objet : contribution supplémentaire

Monsieur le commissaire enquêteur,
Nous vous prions de bien vouloir trouver en pièce-jointe, une contribution
supplémentaire concernant le projet 'gens du voyage" sur la commune de
CHALLES LES EAUX.
Nous vous en souhaitons bonne réception.
Cordialement.
Pour le bureau
Alain PEAQUIN

Document joint


Contribution n°53 (Web)

Par marie Reverchon
Déposée le 31 mai 2025 à 13h59
Veuillez trouver ci joint ma contribution relative à l'OAP161 Chardonnet/Banque.

Document joint


Contribution n°52 (Web)

Par MAX Aviva
Déposée le 31 mai 2025 à 09h55
Propriétaire de la parcelle I238, un proche m’a alertée sur l’inscription de celle-ci dans la révision du PLUIHD.
 
Il me semble que [...]
Propriétaire de la parcelle I238, un proche m’a alertée sur l’inscription de celle-ci dans la révision du PLUIHD.
 
Il me semble que la moindre des choses dans ce type de projet est a minima de prendre attache des propriétaires en amont or, aucune information ni consultation préalable émanant de la Mairie ou de Grand Chambéry n’est arrivée jusqu’à moi (et pourtant la police municipale sait parfaitement me trouver quand une branche dépasse un peu ou quand elle a besoin de faire ouvrir ma cave en mon absence pour s’assurer qu’aucun chat sauvage ne s’y est trouvé enfermé).
 
Le projet prévoit de passer la parcelle de UGCE à UGI, elle serait alors la seule parcelle de ce type coincée entre des UGCE, UGe et UD. Rien ne justifie un tel changement de classification alors que les terrains voisins et notamment la parcelle I 184 qui est tout autant boisée et en proximité immédiate de La Mère, seront prochainement remplacés par un ensemble d’immeubles. Cette parcelle I184 serait d’ailleurs bien plus adaptée au maintien d’une zone de continuité (corridor vert) pour permettre les déplacements de la faune entre le Mont Saint Michel et le lac du Bourget, elle est en effet, de par son emplacement et sa mise « en jachère » depuis des décennies, particulièrement prisée des animaux.
 
Je ne m’oppose aucunement à conserver des arbres, notamment, en bordure de route (rue des Comtes de Challes et avenue du Parc), dans la mesure de mes moyens ou en contrepartie d’une prise en charge de l’entretien et du renouvellement de ceux-ci par la collectivité, mais je m’oppose totalement à un reclassement de ma propriété en UGI, classification extrêmement contraignante et totalement injustifiée pour un terrain privé entouré de parcelles construites ou en construction. Cette classification dans l’environnement est assimilable à une confiscation privant le petit propriétaire que je suis de toute possibilité de permettre à mes enfants de construire leur logement sur la parcelle. Je trouve par ailleurs que cette classification est une véritable sanction alors que contrairement aux voisins je résiste depuis des années contre le harcèlement incessant des promoteurs immobiliers.
 
Au regard de l’ensemble de ces éléments, je sollicite le maintien en UGCE.

Contribution n°51 (Web)

Anonyme
Déposée le 30 mai 2025 à 22h52
Je m’oppose aux modifications du zonage : entre autre ouverture de zones 2AU pour des projets d’habitat et reclassements d’espaces [...]
Je m’oppose aux modifications du zonage : entre autre ouverture de zones 2AU pour des projets d’habitat et reclassements d’espaces naturels agricoles et forestiers (ENAF) en zonage A ou N.
En effet, ce n’est pas protéger notre habitat et le travail agricole que de reclasser ces zones dans un unique but de profit et de commercialisation d’habitations

Contribution n°50 (Web)

Par Duprat Yannick, collectif Nature en Ville
Déposée le 30 mai 2025 à 16h38
Mesdames, Messieurs les commissaires d'enquête,

Ma contribution se porte essentiellement sur l'OAP thématique « continuités écologiques [...]
Mesdames, Messieurs les commissaires d'enquête,

Ma contribution se porte essentiellement sur l'OAP thématique « continuités écologiques et lutte contre les ilots de chaleurs ».
Félicitations à Grand Chambéry pour la prise en compte de ce thème dans le développement des communes et des pistes d'adaptation du vivant face aux défis du changement climatique. C'est une belle étape en sachant que Chambéry sera la 6eme ville de France la plus impactée par la hausse de température (voir doc stratégie de désimperméabilisation du 12/12/2024 https://participons.chambery.fr/processes/desimper).

Je me permets de vous proposer des recommandations pour plus de pertinence à cette OAP.

A/ Dans le volet 1 paragraphe 2/ favoriser la préservation et le développement de la biodiversité au sein des projets (p. 7), un certain nombre de prescriptions est listé, sans en donner l'aspect opérationnel. Voici quelques propositions, pour toutes demandes de permis de construire où se trouve des réservoirs de biodiversité ou des corridors (trames vertes et bleues) :

- les communes devront exiger au mieux une étude environnementale par un ou une écologue. Le CIBI (Conseil International Biodiversité ) par son label BiodiverCity propose une liste d'écologues certifiés et un accompagnement lors du chantier.

- ou a minima les communes mettent à disposition des porteurs de projet et avant toute délivrance du permis un inventaire de l'atlas de la biodiversité. Une base de donnée existe déjà NaturaList, alimenté-es par des amateur-rices. Une meilleure communication avec des organismes locaux de défense de la nature ou de collectif d'habitants identifiés permettrait par leurs expertises d'usages de remettre aux porteurs de projets la pertinence des types de nichoirs, de leurs emplacements et des essences d'arbres à conserver ou à planter.

- Les communes désigneront dans les services d'urbanisme une personne en charge de vérifier avec sérieux si les demandes de permis de construire sont sur des parcelles concernées par des réservoirs biologiques, TVB, et de faire appliquer les 2 premiers points. Cette même personne devra s'assurer que le porteur de projet respecte bien les prescriptions de la présente OAP au moins une fois pendant et après chantier ou suivant une demande d'habitant.
Ou alors Grand Chambéry ou les communes engagent en interne un-e ou plusieurs écologues spécialistes en accompagnement des projets urbains.

Les agent-es de service espaces verts et élagage devront être informé-es de l'emplacement des réservoirs biologiques et trames vertes et bleues du pluiHD.
Tout une partie d'un boisement (OAP 107 Ancien internat de Vaugelas) a été coupé récemment par le service élagage de Chambéry (ce service aurai pu être épaulé par un ou une écologue) et un projet immobilier rase tout un ensemble haie et jardin centenaire dans la continuité de ce même "ex"-boisement, noté comme « inclus dans la trame verte et bleue urbaine ». De nombreuses espèces protégées dont l'écureuil roux sont menacées, un pan entier de leur territoire est amputé sans y appliquer la séquence ERC (Eviter Réduire Compenser).


B/ Dans le volet 3 Nature en ville et lutte contre la surchauffe urbaine sur la commune de Chambéry au paragraphe 2/ conserver les arbres et déployer la canopée dans les milieux urbains.(p. 33)

Attention à la possible interprétation de l'objectif de pourcentage de canopée fixé dans le cas où la canopée dépasse 15% et 25%, il serait possible de la réduire à 15%. Le texte "et/ou retrouver à minima 15% de canopée" est à supprimer pour éviter cette confusion !

Pour éviter toutes ces confusions, il serait intéressant que Chambéry se dote d'un « plan canopée ».
Des villes comme Lyon ou Strasbourg ont adopté leur plan. https://developpementdurable.grandlyon.com/en-actions/dispositifs-partenariaux/plan-canopee-larbre-au-service-du-climat-urbain/

C/ Dernière remarque figurant dans le règlement écrit du secteur urbain pour la zone UCA et plus précisément dans le tableau reliant le pourcentage de pleine terre à conserver à celui de l'emprise au sol (p.30).

Attention là aussi à l'interprétation des limites de pourcentages à 20, 40 et 60 % concernant l'emprise au sol. Rien n'est indiqué si c'est une limite incluse ou exclue, les mêmes limites sont reprises dans la tranche suivante laissant libre cours aux promoteurs de choisir la ligne qui les arrangent c'est à dire celle où il y a le plus petit pourcentage de pleine terre. En effet en limite max d'emprise au sol pour la zone UCA qui est de 60% , le promoteur peut très bien laisser que 10% de pleine terre au lieu de 20% comme le stipule la ligne juste au dessus, donc une pleine terre divisée par 2.

Consciente que nos contributions n'ont aucun poids, j'espère tout de même que certaines vous semblent pertinentes et que les responsables de la future modification n°5 du pluiHD en prendront compte, veuillez agréer mes sincères salutations.

Contribution n°49 (Web)

Anonyme
Déposée le 30 mai 2025 à 13h10
La zone que vous souhaitez transformé pour l'accueil de gens du voyage sédentaire n'est vraiment pas adapté. Dans un virage sur une [...]
La zone que vous souhaitez transformé pour l'accueil de gens du voyage sédentaire n'est vraiment pas adapté. Dans un virage sur une route départementale, un accès et une sortie sans visibilité qui risque d'être accidentogène. Cette zone qui sera occupée de caravane et autre mobil homes mitoyen à la cour de l'école n'est vraiment pas adapté non plus. Nous connaissons tous les aménagements et la non propreté de ces zones dans d'autres quartiers de l'agglomération et la mitoyenneté avec une cour d'école n'est pas adapté, ni pour les enfants qui la fréquentent ni pour les habitants de ces zones ( bruits, amas de stockage de matériaux...). De plus cette zone à proximité d'un site classé avec le château ne semble pas vraiment adapté non plus. Enfin, l'utilisation du stade manger comme jardin de cette zone va certainement être problématique. En effet, il est fort probable que les familles en manque d'espace dans cette zone utilise le
stade comme leur propre jardin et s'auto approprient des zones du stage créant des nuisances et des conflits avec les usagers du stade et les riverains.

Contribution n°48 (Web)

Par Brunat emilien
Déposée le 30 mai 2025 à 08h09
La verdure se fait rare sur challes les eaux avec toute ces constructions si on pouvais garder quelques espaces vert ou alors des [...]
La verdure se fait rare sur challes les eaux avec toute ces constructions si on pouvais garder quelques espaces vert ou alors des projets de construction pour les écoles ou les enfants ce serait mieux, la commune a pour projet de construire des immeubles de 9 mètre de hauteur à côté de l'école primaire, il ferait mieu d'agrandir cette école qui est surchargé, l'école nous demande même de faire en sorte de récupérer les enfants le midi.

Étant donné qu'on habite en face du terrain nous préférons avoir des poneys et notre maraîchère que du béton et des immeubles

Merci par avance

Contribution n°47 (Web)

Par VERDEGAY EVANGELINE
Déposée le 30 mai 2025 à 08h00
Bonjour
Je souhaite contribuer aux avis suite aux futurs projets de construction de Challes Les Eaux.
Je suis contre tous les [...]
Bonjour
Je souhaite contribuer aux avis suite aux futurs projets de construction de Challes Les Eaux.
Je suis contre tous les projets à venir , car nous perdons tous les espaces verts de Challes les Eaux chaque jour un peu plus.
Il faut arrêter de tout betonner, nous devons préserver un minimum de verdure.
Il y a déjà trop de nouvelles constructions à Challes , trop de bétons, de moins en moins d'arbres et d'ombres.
Challes n'est bientôt plus que béton.
Et puis construire c'est bien mais il faut que les infrastructures suivent ce qui n'est pas le cas , la crèche ne suit plus , les écoles débordent....tout ca au detriment des familles et des enfants.
Et puis Challes les Eaux a perdu de son charme , de sa tranquillité, de son histoire.
Je souhaite que ma commune reste un endroit agréable à vivre , et qu'elle ne soit pas surpeuplé , plus assez équipé en infrastructures et qu'elle soit en souffrances , et surtout qu'on laisse une place à la nature ....
Personnellement je me sens de moins en moins bien dans ma commune.

Merci et on croise les doigts pour l'avenir

Contribution n°46 (Web)

Par Christophe
Déposée le 29 mai 2025 à 19h42
Contribution à l'OAP 161 "Chardonnet - Banque"

Bonjour
Veuillez trouver en pièce jointe ma contribution à l'enquête publique.
Cordialement.
Contribution à l'OAP 161 "Chardonnet - Banque"

Bonjour
Veuillez trouver en pièce jointe ma contribution à l'enquête publique.
Cordialement.

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