Contribution n°254 (Email)
Déposée le 8 octobre 2024 à 09h33
Bonjour
Veuillez trouver en pièce jointe une contribution de la CCI Nantes St Nazaire relative à l'enquête publique sur St Colomban dans le cadre du projet d'extension de la sablière.
Vous en souhaitant bonne réception,
Cordialement,
Anne-Cecile BERNARD
Chargée de Missions Aménagement Territoire
Attractivité Territoriale
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Document joint
Contribution n°253 (Web)
Déposée le 8 octobre 2024 à 16h46
Il me semble un peu facile pour GSM aujourd'hui :
- De considérer qu'il n'y a plus le choix et qu'il faut s'étendre pour satisfaire des besoins d'intérêt général. GSM les a en fait créés et maintenus sans anticiper la situation et malgré les avis négatifs des municipalités de St-Colomban, Saint-Philbert-de-GL ou La Chevrolière en 2012 quand GSM demandait une augmentation de tonnage (rapport du commissaire enquêteur de juin 2012). La raison évoquée était en particulier la crainte d'une extension de leur site...Qui arrive donc bien aujourd'hui !
- De balayer assez facilement d'autres sites potentiels (voir note de présentation non-technique V-1). En particulier celui situé à l'ouest de la RD178 en invoquant une consommation d'espaces agricoles trop importantes. Je souhaiterais avoir une explication beaucoup plus argumentée sur ce point de la part de GSM (leur justification tient ici en une seule phrase).
En fait j'ai le sentiment à la lecture du dossier d'être pris au piège d'une entreprise qui n'a pas su anticiper ou peut-être à l'inverse qui a sait très bien le faire en créant les besoins et en attendant le dernier moment pour nous dire "on n'a pas le choix, désolé, il n'est plus temps de se poser des questions et c'est ici que ça se passera".
Pour cette raison, je suis totalement opposé à ce projet
Contribution n°252 (Web)
Déposée le 8 octobre 2024 à 16h11
Il est aujourd’hui indispensable de réduire ces activités extractivistes écocidaires: c'est la responsabilité de chaque citoyen du monde!
Contribution n°251 (Web)
Déposée le 8 octobre 2024 à 15h57
Je me positionne en faveur de l'extension des carrières pour plusieurs raisons.
Le sable est indispensable à la fabrication du béton et nous n'avons pas actuellement d'alternative suffisante à ce matériau. Cela permettra la construction de nos écoles, hôpitaux et logements qui sont nécessaires et dont les besoins sont évidents. L'utilisation de ce sable sera très intéressant pour la grande métropole nantaise et évitera de le faire parvenir par camions de contrées plus lointaines (source de pollution également). D'autre part les carrières sont un moindre mal par rapport à l'utilisation de bateaux sabliers qui ont un impact beaucoup plus important sur l'écologie et la biodiversité.
Par ailleurs, le maintien de ces carrières créera et maintiendra des emplois locaux et favorisera l'économie locale.
Le dossier répond à de nombreuses interrogations écologiques et la réhabilitation des carrières est possible avec une reprise de la biodiversité progressive.
Enfin la consultation publique du 9/1/22 de Saint Colomban a voté pour l'extension de ces carrières. Le respect de la démocratie participative devraient être respectées. Ce ne sont pas toujours les plus bruyants qui remportent l'avis majoritaire.
En vous remerciant pour la prise en compte de mon avis.
Bien cordialement,
Contribution n°250 (Web)
Déposée le 8 octobre 2024 à 13h42
En faisant une extraction dans les terre on ne participe pas à l'érosion du littoral qui naturellement est déjà conséquente.
La proximité de se site est également pratique pour moi
Contribution n°249 (Web)
Déposée le 8 octobre 2024 à 11h28
Concernant:
La vue du paysage (aménagement paysagé, merlons, entretien des espaces aménagés..),
Les poussières générer par les périodes sèches,
L'utilisation de la ressource hydraulique en période de restriction d'eau, est-ce que la production sera mise à l'arrêt ou irons nous jusqu'à l'épuisement de la ressource hydraulique des nappes phréatiques au alentours ?
Quel impact négatif aura l'implantation sur mon bien immobilier ? Y aura t-il des compensation sur les pertes engendrées, prises en charges par GSM ?
Les riverains seront-ils régulièrement consultés durant l'exploitation de l'extension, sur le bien être, la santé, et les points précédemment évoqués afin d''avoir un avis positif ou négatif de cet extension ?
Contribution n°248 (Web)
Déposée le 8 octobre 2024 à 11h00
Contribution n°247 (Web)
Déposée le 7 octobre 2024 à 19h48
Je reviens vers vous suite à nos échanges lors de ma visite certainement trop courte mais nécessaire à la permanence de ce samedi 5 octobre à la mairie de Saint Colomban.
Je me présente, contrairement à certaines personnes, au centre de ce débat à travers toutes ces contributions en majorité négatives (ce qui me semble normal, c’est le but de cette enquête). Je vis depuis 60 ans au même endroit entre ces deux sablières et plus particulièrement à proximité de celle de Lafarge dans le village de Lincuire.
Je vous ai évoqué ma position vis a vis de ce projet sous différentes formes ; autant du coté de mon parcours agricole que durant les dix années passées à exploiter différentes parcelles concernées par ce projet d’extension en tant que propriétaire ou locataire. Mes réflexions vis a vis de l’avenir de l’agriculture dans notre secteur géographique suite aux futurs départs du monde paysan et du très faible taux de remplacement de ceux-ci. Les surfaces maraîchères occupent certes une partie de plus en plus importante mais cette production existait déjà il y a plus de cinquante ans à proximité du site de GSM et ce bien avant l’extraction du sable… Je ne dit pas que c’est un mode de culture à privilégier ou à encourager malgré des efforts du côté de cette profession à limiter les intrants et la consommation d’eau. Mais l’accroissement de la population fait, qu’avec ou sans sablière, nous ne pourrons freiner ces agrandissements et ce mode de culture qu’en responsabilisant le consommateur de manière constructive.
Ma deuxième réflexion, concerne un autre besoin en sable à proximité du site d’extraction : C’est un agrégat important pour la fabrication du parpaing étant donné que la fabrique de Point P de Geneston (à une période utilisatrice du sable de GSM) se situe seulement à 7 kilomètres par la route pour GSM et 4 kms pour Lafarge. Ce site de production ravitaille de nombreuses enseignes du groupe Saint Gobain ainsi que d’autres distributeurs de matériaux. Actuellement, par insuffisance de sable à proximité, le sable utilisé sur l’usine provient d’extraction en mer et est acheminé par la Loire pour ensuite être transporté par camion, ce qui engendre un bilan carbone plus important qu’autrefois. Peut être qu’à terme ce sable proviendra de la sablière de Vritz ( 85 kms ) soit environ 60 000 tonnes acheminées pour les années les plus importantes dans la construction de maisons particulières.
Mon troisième point de réflexion, c’est de vous informer des nuisances que certains ont tendance à surévaluer et leur donner une interprétation différente de la réalité auprès d’un public assoiffé de luttes environnementales : A Lincuire, il y a quelques années, nous avons été confronté à une baisse significative du niveau d’eau dans 2 puits dont le mien. Ce n’a jamais été une surprise étant donné que Lafarge nous avait informé avant l’exploitation d’un rabaissement possible de la nappe superficielle et qu’il remédierait à cela par différents moyens. Notre demande a bien été prise en considération par le sablier par la mise en place d’un fossé hydraulique ainsi que par le financement de compteur par la Saur à leur charge.
En ce qui concerne le bruit perçu par la population en journée, il est vraiment minime et plutôt ponctuel. Comment peut-on le qualifier de significatif alors qu’à ma connaissance aucun riverain ne l’a signalé comme une gêne?
De même pour les poussières provenant de certains travaux sur la sablière sur les 15 dernières années : le constat pour ma part est identique et ne correspond qu’à des périodes de courte durée, certainement perçues selon la direction du vent et l’état de sécheresse au moment de décapage de la terre arable.
Les entrées et sorties des camions sur la départementale 937, comme il avait été demandé lors du lancement du projet, ont bien été respectés et à ma connaissance personne n’a parlé de passage régulier de camions au milieu du village de Lincuire.
Pour la partie enfouissement de matériaux inertes : il y a quelques années j’ai eu la possibilité en tant qu’élu participant à la commission environnement d’accompagner le premier adjoint au maire actuel afin de constater la façon de procéder des sabliers aussi bien pour la réception que pour l’enfouissement de ces matériaux. Aucune réserve n’a jamais été émise à cette époque. Il en est de même en ce qui concerne la visite de remise en état de sites du groupe gsm et lafarge pour permettre le retour des terrains en culture : la commission composée d’élus et de membres de l’association des sables du Redour ont eu l’occasion de constater un réaménagement correcte des terrains. Bien évidemment si le projet gsm abouti, je souhaiterais que la commission de suivi annuelle soit respectée et que si des nuisances proviennent du lieu d’extraction que des moyens d’action efficaces soient mis en place rapidement.
L’association « la tête dans le sable » a toujours été fermement opposée dans l’extension de sablières. La plupart les propositions, aménagements ou études qui ont été ou sont proposés par les carriers ne leur conviennent pas. Du fait de leur appartenance à certains collectifs, et de leurs actions radicales, le dialogue a été souvent interrompu avec le monde des élus et des habitants de Saint Colomban.
En conclusion, je voudrais vous informer que dans ce genre de projet il est indispensable d’être accompagné d’une association représentant des personnes ayant pour préoccupation l’étude objective des bénéfices-risques du projet sur la prise en compte globale environnementale (et pas que sur les terres au niveau local) mais aussi sur les réponses aux besoins matériels et économiques de la population et ce en dehors de toute bataille politique ou personnelle.
A ce titre voilà quelques points que je souhaitais mettre à jour et indiquer pour plus d’objectivité face à ceux qui souhaitent dramatiser en créant des divisions ou conflits dans notre campagne.
Merci monsieur le commissaire enquêteur, de m’avoir écouté lors de mon passage et de prendre en considération ma demande favorable à la continuité de l’exploitation du sable sur notre commune.
Contribution n°246 (Web)
Déposée le 7 octobre 2024 à 18h42
Le dossier d'étude d'impact indique en page 136 qu'en l'absence de projet GSM, les terrains concernés devraient "étant donné le contexte agricole, être convertis en terrains maraichers exploités intensivement" (ligne "milieu naturel") ou encore "la tendance d'évolution du paysage du secteur devrait être stable, voire dégradée en cas d'implantation maraichère intensive (conséquences le paysage : destruction de haies, création de zones sous serres ou bâchées" (ligne "paysage et patrimoine").
Outre le fait que ce n'est pas très sympa pour un de ses principaux clients (maraichage intensif), est-ce que GSM peut apporter des informations plus précises sur ce point : pourquoi des exploitations de maraichages arriveraient nécessairement sur ces parcelles?
Est-ce que des compromis auraient déjà été conclus?
Au contraire, le gaspillage de la ressource en sable par le maraichage intensif, principal bénéficiaire local de cette ressource, nécessite d'avoir une carrière proche. L'arrêt ou un très fort ralentissement de l'activité de GSM rendra plus difficile leur approvisionnement et donc nécessairement leur expansion. Il permettra aussi de changer localement la donne avec des prix de foncier agricole qui, depuis des années, du fait de ce cocktail carrières / maraichage rendent totalement impossible toute reprise d'exploitation agricole en polyculture/élevage.
Pour cette raison, je suis totalement opposé à ce projet et demande la protection de ces terres dans le cadre d'un PEAN.
Contribution n°245 (Web)
Déposée le 7 octobre 2024 à 18h28