Contribution n°18 (Web)
Déposée le 17 septembre 2025 à 09h53
Votre consultation est lancée dans le même temps qu'une enquête complète sur le scandale d'Etat des Eoliennes et leur fins à venir.
Je vous invite à consulter avec grande attention l'enquête dans la revue "LA REVUE DE L'ENERGIE" dans laquelle Fabien BOUGLE, expert en politique énergétique rassemble les preuves de ce scandale lié à l'impact écologique des éoliennes mais surtout les liens de corruptions, l'étroite relation de dépendance de tout les acteurs liés aux Eoliennes via des lobbyings écrasants.
Contribution n°17 (Web)
Déposée le 16 septembre 2025 à 19h21
Contribution n°16 (Web)
Déposée le 16 septembre 2025 à 18h59
Vu les effets sur la santé les plus souvent signalés 'migraines,maux de tête,problèmes d audition,palpitations cardiaques,,anxiété,dépressions, etc..la liste est longue...
En ajoutant les moins bonnes conditions de vie, et les effets socio-économiques néfastes
Contribution n°15 (Web)
Déposée le 16 septembre 2025 à 17h10
Je vous écris pour exprimer ma profonde préoccupation concernant le projet de construction d'éoliennes géantes à proximité de ma propriété. Bien que je comprenne les avantages des énergies renouvelables, je suis très inquiète quant à l'impact que ces éoliennes pourraient avoir sur notre environnement local, notre santé (déjà très précaire en ce qui me concerne), notre qualité de vie et la valeur de ma propriété.
Ma maison représente le travail de toute une vie et constitue l'héritage que je souhaite transmettre à mes enfants. Je suis profondément préoccupée par le fait que ce projet éolien puisse réduire à néant la valeur de mon bien immobilier et, par conséquent, compromettre l'avenir financier de ma famille.
Je suis également choquée de constater qu'une société nantie puisse prendre une décision aussi lourde de conséquences pour notre communauté, en surfant sur la dernière vague de l'écologie, sans prendre en compte les répercussions sur nos vies et nos biens.
De plus, je tiens à souligner que les éoliennes n'ont pas encore prouvé leurs bienfaits en matière de durabilité. Leur démantèlement s'avère complexe et coûteux, et le recyclage des matériaux qui les composent reste un défi majeur. Nous manquons de recul sur les conséquences à long terme de ces installations, et je m'interroge sur la pertinence de ce projet au regard de ces incertitudes.
Après avoir soigneusement pesé les avantages et les risques de ce projet, je me permets de vous suggérer de le déplacer à proximité de vos propres habitations ainsi, vous pourrez constater par vous même les nuisances et les désagréments qu'il engendre.
Je vous prie de bien vouloir prendre en considération mes objections et de me tenir informée de l'avancement de ce projet.
Contribution n°14 (Web)
Déposée le 16 septembre 2025 à 13h32
Nous, à Chevannes, subirons les principales nuisances sans avoir eu voix au chapitre ni compensation financière, contrairement à Griselles. Mes arguments s'inspirent des objections massives des riverains de Chevannes (pages 2-5 du registre), qui mettent en lumière les impacts directs sur notre quotidien familial et communal.
#### 1. **Nuisances acoustiques et impacts sur la santé et la qualité de vie des familles de Chevannes**
La nuisance acoustique de ces machines est telle que le promoteur prévoit des mesures de bridage (arrêts nocturnes et matinaux en fonction des vents), comme admis dans le dossier. Page 4, un habitant de Chevannes alerte : "Ce sont les résidents de Chevannes qui seront fortement impactés, pas ceux de Griselles ; les études complémentaires post-projet montrent que ce risque est réel et mal maîtrisé." À 560 m, le bruit aérodynamique (40-50 dB) et les infrasons perturberaient le sommeil de nos enfants et causeraient du stress chronique, aggravé par le cumul avec l'A77. La MRAE (page 5) critique l'étude acoustique incomplète, notant un risque de dépassement des seuils en sept secteurs, avec des enjeux forts en soirée et nuit. En tant que mère, je refuse que nos familles supportent ces troubles de santé sans alternative, alors que le dossier minimise ces effets sur les populations sensibles.
#### 2. **Impacts visuels et environnementaux écrasants, biaisés dans le dossier**
Les caractéristiques altimétriques de Chevannes rendent ces éoliennes visibles partout : depuis nos maisons, écoles et chemins. Page 3, un riverain souligne : "Lorsque seul le sommet est visible, les phares lumineux et le mouvement des pales constituent une gêne permanente ; partout où les pylônes HT sont vus, les éoliennes écraseront le paysage." Les photomontages sont biaisés, sélectionnés par le promoteur pour être favorables (page 4). La MRAE (page 5) recommande un réexamen du secteur pour le paysage, plaidant pour le déplacement ou la suppression de N1. Sur la biodiversité, l'étude standard ignore les incidences locales : page 5, déficit de Noctules (chauves-souris protégées) dans le Loiret, chassant à haute altitude ; les bridages proposés attestent de la nocivité sans protection efficace. Page 2 : "Risque de collisions pour oiseaux et chauves-souris minimisé." À Chevannes, ces impacts altéreraient notre tourisme rural et fluvial (Loire UNESCO), sans bénéfices pour nous.
#### 3. **Incohérences socio-économiques, risque d'extension et négation des droits locaux**
Le raccordement souterrain à un poste source (Fontenay à 7 km ou Joigny à 11 km) implique un coût élevé, amorti par une extension inévitable sur Chevannes (zones Wattier/Bordes favorables au DREAL, page 3). Page 4 : "La procédure de comité de projet contourne les délibérations communales ; c'est parce que le maire de Chevannes a accepté ce comité rejeté ailleurs que le projet avance." Le préjudice immobilier est estimé à 20 % de perte de valeur (page 2), et économique : page 4, nos projets d'animation communale (succès récents) seraient remis en cause. Le démantèlement pose problème : la MRAE note les engagements, mais la garantie financière est 2-5 fois inférieure au coût réel (300 000 €/éolienne, page 5) – charge probable pour la commune ou propriétaires fonciers, seuls bénéficiaires financiers. Les informations du promoteur sont biaisées, minimisant les inconvénients (page 5). Nos communes ont exclu les zones éoliennes via les Zones d'Accélération ; le programme PETR Montargois (approuvé par la Préfète) atteint les objectifs PPE 2030/2050 sans ce projet inutile (page 4). La surproduction renouvelable estivale mène à des arrêts RTE, priorisant le nucléaire (page 3).
#### 4. **Contexte d'instabilité gouvernementale et oppositions à la PPE**
L'instabilité politique (crise 2024-2025, démission d'Attal, Lecornu Premier ministre depuis le 11 septembre, dégradation Fitch à A+) rend ce projet risqué. Manifestations ("Bloquons tout" du 10 septembre) et Assemblée divisée pourraient inverser les priorités. La PPE est contestée : moratoire éolien/solaire rejeté en juin 2025, collectifs comme Vent de Colère dénoncent l'imposition rurale. Page 5, le député Thomas Ménagé a questionné la Ministre sur les comités de projet ; nous attendons la réponse pour contester la procédure. À Chevannes, nous refusons d'être sacrifiés sans compensation, comme le soulignent ces objections.
En conclusion, alignée sur les objections des habitants de Chevannes (pages 2-5), ce projet transfère les nuisances sur nous sans avantages. Je demande au Préfet du Loiret de refuser l'autorisation, et à la commission (M. Michel Carquis) de rejeter le dossier. Pour préserver Chevannes et Griselles, stoppons ce projet inadapté.
Contribution n°13 (Web)
Déposée le 16 septembre 2025 à 13h11
Par ailleurs, il pourrait se produire des accidents techniques ou d'incendies en plus de la destruction de la biodiversité du lieu. Et pour finir, cela aurait un impact direct sur les cavités souterraines et zones à risques déjà identifiées. Je trouve cela scandaleux qu'on nous impose sans cesse des projets que l'on rejette massivement, cela s'apparente à de la "dictature", surtout quand on sait que l'éolien reste une solution peu efficace en terme de production électrique!!!!
Contribution n°12 (Web)
Déposée le 16 septembre 2025 à 11h53
Notre société, spécialisée dans les travaux de terrassement, plateformes et réseaux, emploie plus de 200 personnes dans le département du Loiret.
Une part importante de notre activité est liée au développement des énergies renouvelables dans ce département. C’est pourquoi, en tant qu’employeur et entrepreneur du territoire, nous apportons notre soutien plein et entier à ce projet. Il pourrait mobiliser 6 à 10 personnes pendant 6 mois environ.
Cordialement,
Contribution n°11 (Web)
Déposée le 16 septembre 2025 à 11h40
Ayant pris ma retraite dans le Loiret pour y trouver une vie paisible loin de de la région parisienne, je m'oppose à toutes constructions qui provoqueraient une pollution visuelle et sonore à cote de chez moi.
Cordialement
Dominique Traversa
Contribution n°10 (Web)
Déposée le 16 septembre 2025 à 10h40
Quand l'éolien sera obsolète dans 10 ans, qui viendra retirer ces verrues de nos paysages ?
Hélas, personne...
Contribution n°9 (Web)
Déposée le 16 septembre 2025 à 09h56
Habitant de la commune de Chevannes (Loiret), limitrophe avec Griselles et directement impactée par la proximité géographique du projet (à moins de 1 km pour certains riverains, avec des vues directes depuis nos habitations).
En tant qu'habitante de Chevannes, une commune rurale paisible et agricole du Loiret, limitrophe de Griselles, je m'oppose fermement au projet de parc éolien CPENR de Griselles, tel que présenté dans le dossier d'autorisation environnementale soumis par ABO Energy.
Ce projet prévoit l'installation de trois éoliennes de 5,7 MW chacune (puissance totale 17,1 MW), avec une production estimée à 38 GWh/an.
Bien que le promoteur mette en avant des bénéfices énergétiques, je considère ce développement incompatible avec les enjeux locaux, environnementaux et sociétaux. Devant l'opposition ferme de Griselles, le projet initial a été modifié, déplaçant les éoliennes aux confins de Griselles mais en extrême limite de Chevannes (Eolienne N1 à 560 m de la première habitation de Chevannes et à 5 km du centre de Griselles).
Ce sont donc les habitants de Chevannes qui supporteront les principales nuisances, sans mot à dire ni compensation financière. Mes arguments s'appuient sur les objections détaillées recensées dans le dossier d'enquête publique, intégrant les préoccupations spécifiques des riverains de Chevannes.
Impacts visuels et paysagers inacceptables, particulièrement pour Chevannes :
Les caractéristiques altimétriques de Chevannes font que ces éoliennes seront visibles pratiquement en tous points de notre commune. Lorsque seul le sommet sera visible, l'impact lumineux des phares et le mouvement des bouts de pales constitueront une gêne permanente. Partout où les pylônes HT de la plaine de Griselles sont visibles, les éoliennes écraseront le paysage.
Les photomontages sont faits à partir de points de vue soigneusement sélectionnés par le promoteur et favorables à lui, minimisant les inconvénients.
Les Nuisances de projet impacterons les les riverains de Chevannes, avec une dévalorisation immobilière estimée à 20 %.
À Chevannes, où le calme visuel attire résidents et touristes (randonnées fluviales le long de la Loire), ces structures industrielles (hauteur estimée 150-200 m) altéreraient irrémédiablement notre cadre de vie, sans bénéfices locaux. (la société productrice est installée dans une autre commune : pas de CFE et taxes associées)
Incohérences dans l'évaluation des impacts environnementaux et sur les riverains de Chevannes :
Le dossier présente des lacunes flagrantes, comme relevées dans les contributions suivantes :
-Nuisance acoustique :
La nuisance acoustique de ces machines est telle que des mesures de bridage (arrêt des éoliennes nuit et matinée en fonction de la force des vents) sont prévues par le promoteur. Ce sont les habitants de Chevannes qui seront fortement impactés, et non ceux de Griselles ; le fait que le promoteur s'engage à des études complémentaires post-projet montre que ce risque est réel et mal maîtrisé.
Les seuils ICPE sont dépassés en certains secteurs, avec un impact cumulatif ignoré (trafic A77).
- Biodiversité et faune : la MRAE souligne que l'étude des enjeux en matière de biodiversité est standard et n'a pas porté sur les incidences spécifiques de cette zone ; elle recommande de renforcer les mesures de bridage.
Le Loiret constate un déficit de Noctules (chauves-souris protégées chassant à haute altitude), identifiées dans la zone ; les mesures proposées attestent de la nocivité sans protection efficace.
- Démantèlement et coûts : la MRAE prend note des engagements du promoteur pour remettre en état le site, mais la garantie financière est 2 à 5 fois inférieure au coût réel (jusqu'à 300 000 €/éolienne). Il est irrecevable que les frais reste à de la commune mais devrait être mis à la charge exclusive des propriétaires fonciers ayant donné bail, seuls à avoir un intérêt financier dans ce projet.
- Raccordement et risque d'extension : Le raccordement souterrain à un poste source (Fontenay à 7 km ou Joigny à 11 km) représente un coût supplémentaire, inévitablement amorti par un parc étendu sur Chevannes.
Les zones du Wattier ou des Bordes sont identifiées comme favorables par le DREAL ; la procédure de comité de projet permet de contourner les délibérations communales.
C'est parce que le maire de Chevannes a accepté ce comité rejeté ailleurs que le projet avance.
- Préjudice économique et immobilier : le préjudice sur la valeur des biens immobiliers est estimé à 20 % dans les zones proches.
- Préjudice économique : des projets d'animation communale (succès récents) seraient remis en cause par une extension.
Incohérences dans l'évaluation des impacts environnementaux
L'étude d'impact, menée depuis 2019, adopte la démarche "Éviter-Réduire-Compenser" (ERC), avec la suppression d'une éolienne pour des raisons environnementales. Cependant, plusieurs incohérences sautent aux yeux :
Biodiversité : Les études sur la faune et la flore mentionnent des compensations (plantation de haies pour les coupes), mais ignorent les corridors migratoires d'oiseaux et de chauves-souris le long de la Loire, à proximité immédiate. Le risque de collision pour les espèces protégées (hirondelles, rapaces) est minimisé, alors que des études indépendantes (comme celles du Muséum national d'Histoire naturelle) soulignent les mortalités élevées dans les zones humides et agricoles comme la nôtre. L'absence de suivi à long terme post-implantation rend ces compensations hypothétiques.
Bruit et santé : Les mesures de bridage (réduction de vitesse ou arrêt) pour respecter les seuils acoustiques sont évoquées, mais le dossier ne quantifie pas l'impact cumulatif avec le bruit routier (A77 à proximité) ni les effets sur la santé des riverains sensibles (stress, troubles du sommeil). À Chevannes, où le calme rural est un atout, cela aggraverait la qualité de vie.
Incohérence technique : Le choix de trois turbines de 5,7 MW semble optimisé pour la rentabilité (retombées fiscales de 170 000 €/an), mais le dossier admet des variantes écartées sans justification exhaustive sur l'empreinte carbone de la construction (béton, transport), contredisant les objectifs de transition écologique.
- Informations biaisées du promoteur minimisant les inconvénients."
Ces objections collectives, malgré une enquête de 32 jours (15 septembre au 17 octobre 2025), rendent le dossier peu fiable et appellent à son rejet.
- Contexte d'instabilité gouvernementale et oppositions à la PPE, amplifié par les préoccupations locales de Chevannes :
L'instabilité politique actuelle (crise de 2024-2025, démission de Gabriel Attal, nomination de Sébastien Lecornu comme Premier ministre le 11 septembre 2025, dégradation de la note souveraine par Fitch à A+) rend ce projet prématuré. Avec des manifestations (mouvement du 10 septembre "Bloquons tout") et une Assemblée divisée, les priorités énergétiques pourraient changer. La PPE 2025-2030 est contestée : amendements pour moratoire éolien/solaire rejetés en juin 2025, mobilisations de Vent de Colère dénonçant l'imposition rurale. Les habitants de Chevannes rejoignent ces voix : "Le député Thomas Ménagé a questionné la Ministre sur les comités de projet ; nos communes ont exclu les zones éoliennes via les Zones d'Accélération, respectant la PPE sans ce projet inutile (programme PETR Montargois approuvé par la Préfète, atteignant les objectifs 2030/2050).
Il est également à préciser que la surproduction estivale d'énergies renouvelables mène à des arrêts et déconnections du réseau de transport d'énergie, priorisant le nucléaire.
Il et nécessaire d'ajouter que Griselles apportent déjà sa large contribution en matière d'énergie renouvelable avec l'installation sur son territoire d'un méthaniseur.
À Chevannes, nous refusons d'être sacrifiés pour des objectifs nationaux volatiles, comme le soulignent ces contributions.
En conclusion, alignée sur les objections des habitants de Chevannes, ce projet génère plus de nuisances que de bénéfices. Je demande au Préfet du Loiret de refuser l'autorisation, et à la commission d'enquête (M. Michel Carquis) de rejeter le dossier en tenant compte de ces préoccupations locales. Pour préserver notre cadre de vie à Chevannes et Griselles, stoppons ce projet inadapté.