Les contributions

Contribution n°8 (Web)

Par DAVIES Colette
Déposée le 4 décembre 2025 à 17h34
Mesdames les Commissaires enquêtrices,
Monsieur le Commissaire enquêteur,

Veuillez trouver en fichier joint mes remarques concernant [...]
Mesdames les Commissaires enquêtrices,
Monsieur le Commissaire enquêteur,

Veuillez trouver en fichier joint mes remarques concernant la demande d’autorisation environnementale au titre des ICPE présentée par la société Carrières LAGADEC, pour le renouvellement de l’autorisation d’exploiter et l’extension du périmètre de la carrière de Kérastang.

Cordialement.

Document joint


Contribution n°7 (Web)

Par MILIN Patrick
Déposée le 2 décembre 2025 à 14h31
MINOU PAYSAGES vote pour le renouvellement de l’autorisation d’exploiter et l’extension du périmètre de la carrière de Kérastang

Contribution n°6 (Web)

Par Jézéquel Catherine et François
Déposée le 27 novembre 2025 à 11h03
Mon épouse et moi même habitons Pen an Dour à St Renan.
Nous avons étudié le dossier mis en ligne et avons relevé diverses interrogations.
( [...]
Mon épouse et moi même habitons Pen an Dour à St Renan.
Nous avons étudié le dossier mis en ligne et avons relevé diverses interrogations.
( Tout d'abord nous tenons à signaler que lors de la première réunion, seuls cinq riverains étaient présents, les autres n'ayant pas eu connaissance de cette réunion).

- Environnement humain
Etude de danger et résumé. Ne sont pas mentionnés les lieux dits Kernévézic et Pen an Dour pourtant situés à 285 et 360 mètres (Géoportail) du futur périmètre de la carrière.

- Retombées atmosphériques
Aucune donnée d'activité n'a été communiquée pour l'année de référence 2019 ( la carrière était-elle en sommeil ? )
Les jauges n'étaient pas placées sous les vents dominants.
Les mesures ont été réalisées en octobre - novembre, mois les plus pluvieux.
La jauge n° 2 a été déplacée en cours d'année (?), souhait de la carrière.
Les jauges doivent être situées hors de retombées de poussière de carrière pour les points témoins. Ce n'est pas le cas de la jauge 1.

- Déchets inertes.
Il existe déjà un centre d'enfouissement des déchets inertes à Ty Colo (Guilers - Milizac )

- Faune.
Malgré les mesures de protection des batraciens vivant déjà sur le site, qu'en sera t'il des espèces qui verront arriver les "pelleteuses" sur les zones précédemment agricoles qu'elles colonisaient ?
Comme pour les humains, l'impact supplémentaire en bruit et en poussière concernera la faune sur un espace bien plus large que celui déterminé par le périmètre de la carrière.

- Périmètre réel d'activité.
Toutes les cartes nous montrent un débordement du périmètre nord au delà de la vieille route du Conquet au niveau de Kérastang. Nous espérons que cela ne correspond pas à un futur accès, engendrant un trafic supplémentaire sur cette route communale.
Ce point est impérativement à préciser.

- Remise en état.
La carrière Lagadec ne va t'elle pas demander une dérogation à la remise en état pour y implanter une autre activité telle qu'un champ de panneaux photovoltaïques ( c'est ce qu'il s'est passé en Dordogne dans la carrière de Lempours par la société Imérys.

- Perte de surface agricole.
La France perd 55000 ha chaque année depuis quarante ans en surface agricole. Il est déplorable qu'une commune comme St Renan accepte de sacrifier 1% de ses terres agricoles pour une activité qui n'apportera plus rien à l'alimentation humaine et à la biodiversité.

Enfin, deux points nous concernent personnellement ( et malheureusement nous ne sommes pas les seuls ).

- Impact visuel.
Du fait de l'extension de la carrière, la ligne d'horizon ( 670 m ) visible depuis notre maison va descendre de quinze mètres avec une vue possible, désormais, sur la circulation quotidienne sur la RD67.

- Impact financier.
Si l'on s'en réfère à l'étude financière effectuée en Dordogne concernant la carrière de Lempzours notre bien va être dévalué de 20% à cause de :
- Baisse de l'attrait pour les acheteurs potentiels
- Problème de santé et de sécurité
- Problèmes de dommages structurels ( nombreuses fissures sur notre maison )
- Impact esthétique énorme sur le paysage
- Impact environnemental ( bruit , poussière )

Qui payera ces 20% à nos enfants lors de la transmission successorale ?

Nous émettons donc un avis négatif sur ce projet d'extension de la carrière de Kérastang.

Contribution n°5 (Web)

Par CROY JOEL
Déposée le 26 novembre 2025 à 18h31
Dans l'hypothèse où l'extension de la carrière est validée et après lecture du document "étude d'impact", voici quelques questions:

Réf: Document "Etude d'impact – Partie 2" au chapitre 5.5 - Mesures de suivi

1 - Il est indiqué qu'un contrôle des niveaux sonores sera réalisé au niveau des ZER les plus proches dès l'obtention du nouvel arrêté préfectoral.
Cette mesure sera t'elle la référence avant les travaux d'extension de la carrière et par quel biais sera-t-elle accessible aux riverains (DREAL, carrière LAGADEC ou autre)?

2- Par la suite ce contrôle est prévu d'être réalisé tous les 3 ans.
Cette échéance pourrait-elle être aussi ramenée occasionnellement en fonction de l'évolution des différentes phases et/ou lorsque les riverains constateront une évolution notable du bruit?

3 - La chronologie pour la mise en place des merlons durant les différentes phases d'extensions n'est pas clairement indiquée dans le document de référence "étude d'impact".
Serait-il possible de créer les merlons en fonction des nuisances sonores constatées par les riverains dès le début de chacune des phases d'extension?

Réponse apportée

Carrières Lagadec le 28 novembre 2025 à 16h10
Nos réponses à Monsieur Croy, point par point :

1 – Les mesures des émissions sonores de références seront celles effectuées lors de la première campagne de mesurage. La campagne sera réalisée au cours de la première année.
Par ailleurs, la campagne de mesure des niveaux sonores de l’année 2023 peut aussi être considérée comme une mesure de référence puisqu’effectuée en amont du projet d’extension. De plus, le Point de mesure N°4, de cette campagne, a été implanté à proximité de l’adresse 375, Kerastang, il constitue donc un point de comparaison judicieux (cf. document « 3c_LAGADEC - St Renan - Etude Impact – Annexes, Annexe 8).

Nous pourrons venir vous présenter les résultats des mesures sur demande.

2 – Les contrôles réglementaires sont effectivement prévus tous les 3 ans.
Nous pourrons, dans le cadre du projet d’extension, effectuer des contrôles des niveaux sonores aléatoires plus régulièrement ou sur demande avec l’un de nos sonomètres afin de vérifier de la conformité des émissions.
Une des dispositions retenues pour réduire les éventuelles émissions sonores au droit de l’habitation de Monsieur Croy, après concertation, est de mettre en place un merlon de terre en amont du remblaiement prévu aux Phases 3 et 4 du projet.

3 – La mise en place des merlons et talus périphériques sera démarrée au cours de la première phase quinquennale d’exploitation puis poursuivie à l’avancée du phasage d’exploitation.
Comme explicité ci-avant, nous proposons de venir constituer le merlon au Nord du site en amont des remblaiements prévus dans le phasage d’exploitation. Cette modification du dossier permettra de réduire les éventuelles nuisances sonores au droit des riverains de Kerastang mais aussi à la végétation de reprendre ses droits au plus tôt.

Contribution n°4 (Web)

Anonyme
Déposée le 5 novembre 2025 à 17h31
Habitant Rue de Quillimérien, chaque tir entraîne des vibrations ressenties au niveau du bâti en l’état actuel des carrières sur Saint Renan.
Il parait donc irresponsable d’étendre la zone d'exploitation.

C'est donc une opposition claire et basée sur le vécu.

Réponse apportée

Carrières Lagadec le 19 novembre 2025 à 18h41
Comme il a été précisé à la Contribution N°2, les mesures effectuées dans le cadre des suivis actuels des tirs de mines, au droit des habitations à proximité de la carrière (entre 150 et 400m du tir de mine), ont toujours respecté le seuil de vibration de 10mm/s, seuil réglementaire.
Les habitations de Quillimérien les plus proches de la carrière se situent 3.5 fois plus éloignées que l’habitation la plus proche de la carrière, actuellement. Les maisons de Quillimérien se trouveront toujours, au plus près, 2 fois plus éloignées dans le cadre du projet d’extension. Comme le montre les données des mesures de vibrations aux habitations voisines où sont posés les sismomètres, les vibrations au droit de la rue de Quilimérien, compte-tenu de la distance d’éloignement, devraient être similaires à celles observées à côté de la carrière.
Ces mesures sont consultables dans le dossier en ligne au « 6.1.2 Constat » du THEME 7 de l’étude d’impact. Ces vibrations, même si elles peuvent être ressenties, tout comme le bruit, ne sont pas susceptibles de porter atteinte au bâti.

Enfin, il est important de noter que sur les 13.7 ha d’extension de la carrière, seulement 10% de cette surface s’approche de Quillimérien et que par conséquent 90% des terrains de l’extension s’en éloignent.

Pareillement à la Contribution N°2, nous proposons de venir effectuer une mesure de vibration au domicile de cette personne, s’il elle le souhaite, lorsqu’un tir de mine sera effectué.

Contribution n°3 (Web)

Anonyme
Déposée le 29 octobre 2025 à 19h12
Bien sûr ! Voici une version rédigée et structurée de votre avis à concertation pour qu’il soit clair, percutant et bien argumenté [...]
Bien sûr ! Voici une version rédigée et structurée de votre avis à concertation pour qu’il soit clair, percutant et bien argumenté tout en restant dans un ton sérieux et constructif :


---

Avis dans le cadre de la concertation publique sur le projet d’agrandissement de la carrière

Je souhaite exprimer mon opposition au projet d’agrandissement de la carrière située à proximité de mon domicile.

Résidant à proximité immédiate du site, je constate déjà au quotidien les nuisances générées par l’activité actuelle : à chaque explosion, notre maison subit de fortes vibrations. Ces secousses sont suffisamment importantes pour être ressenties clairement et ont déjà provoqué l’apparition de fissures sur les murs de notre habitation, pourtant récente. Ces désordres structurels témoignent d’un impact tangible de l’exploitation sur les constructions environnantes.

L’agrandissement de la carrière ne ferait qu’aggraver ces phénomènes, augmentant le risque de dommages matériels et d’insécurité pour les habitants du quartier. Il est donc légitime de craindre une atteinte supplémentaire à la solidité des habitations, ainsi qu’à la qualité de vie des riverains.

Par ailleurs, il me semble que la zone concernée bénéficie d’un certain niveau de protection environnementale, ou du moins présente un intérêt paysager et écologique qui mérite d’être préservé. Une extension de l’exploitation minière serait contraire à ces objectifs de protection et à la volonté de développement durable du territoire.

Enfin, le projet apparaît en contradiction avec l’évolution récente du secteur, marqué par le développement d’un quartier résidentiel. Le maintien et a fortiori l’agrandissement d’une carrière à proximité immédiate de zones d’habitation semblent incompatibles avec la vocation actuelle de ce secteur.

Pour toutes ces raisons — risques structurels avérés, nuisances sonores et vibratoires, atteinte potentielle à l’environnement et incohérence avec l’aménagement du territoire — je m’oppose à ce projet d’extension de la carrière.

Contribution n°2 (Web)

Par MICHEL Glen
Déposée le 27 octobre 2025 à 08h28
Bonjour,
Ma principale inquiétude est le rapprochement de la carrière des habitations.
En effet, quid du glissement des sols, des risques associés au rapprochement de la carrière et de son exploitation.
Les maisons des quartiers environnants vibrent déjà lors des explosions de la carrière. Qu’en sera t’il lors d’un rapprochement ? Je vois un risque accrue quant à l’exploitation prolongée et élargie de cette carrière. Sur du moyen/long terme, nos habitations ne risquent elles pas de s’endommager ? (Fissures, mouvement des sols…)

Réponse apportée

Carrières Lagadec le 29 octobre 2025 à 19h07
Depuis la maison située au 14, Rue Des Monts D’Arrée 29290 SAINT-RENAN, la zone d’extraction actuelle la plus proche est située à 795m. Dans le futur avec l’extension de la carrière, elle se situera à 750m. A titre de comparaison certaines habitations, par exemple de Kerastang sont situées à moins de 200m de la fosse actuelle, y sont respectées les limites réglementaires pour les vibrations, le bruit et les poussières. Vu l’éloignement de la Rue des Monts d’Arrée à la carrière, les seuils seront aussi respectés.

Concernant la stabilité des terrains, compte-tenu de l’éloignement des habitations de la rue des Monts d’Arrée avec la carrière actuelle ou étendue dont la distance est supérieure à 700m, le risque de glissement de terrain dû à la carrière est très improbable voire impossible. La stabilité des terrains alentours à la carrière peut être illustré par l’intégrité de la route départementale D67 située à 20m au sud de la carrière. La stabilité des terrains est traitée dans l’étude d’impact au 2.2.2.1 « MESURES DE REDUCTION ET DE COMPENSATION PREVUES POUR ASSURER LA STABILITE DES TERRAINS ».

Pour les vibrations, les mesures effectués dans le cadre des suivis actuels des tirs de mines dans les habitations à proximité de la carrière (entre 150 et 400m du tir de mine) ont toujours respecté le seuil de vibration de 10mm/s. Ces mesures sont présentées au « 6.1.2 Constat » du THEME 7 de l’étude d’impact.
Enfin, les vibrations comme le déplacement d’air se dissipent proportionnellement à la distance, par conséquent, et vue la distance entre la carrière actuelle (795m) et future (750m), et l’habitation de Monsieur Michel, les vibrations seront inférieures à 10mm/s rue des Monts D’Arrée. Nous proposons donc à Monsieur Michel de venir effectuer une mesure de vibration à son domicile, s’il le souhaite, lorsqu’un tir de mine sera effectué.

Contribution n°1 (Web)

Par FAUDET Jean-Paul
Déposée le 9 octobre 2025 à 13h01
Plusieurs habitations sont implantées à proximité de la carrière.
Des nuisances sonores ont été mises en évidence et les modélisations [...]
Plusieurs habitations sont implantées à proximité de la carrière.
Des nuisances sonores ont été mises en évidence et les modélisations ont révélé des points de non conformité.
Des compléments devront être apportés :
-afin de démontrer que les mesures préventives envisagées entraîneront l'absence d'incidence pour les habitations voisines sur le plan acoustique et l'émission des poussières,
-ou alors de proposer d'autres aménagements et d'en évaluer l'impact.

L'avis de la CLCV sera donné après présentation de ce dossier au CODERST.

Jean-Paul FAUDET
Association consommation, logement, cadre de vie

Apportez votre contribution à cette consultation : Déposer une contribution

Apportez votre contribution

Déposer un avis sur le registre dématérialisé de cette consultation est simple, sécurisé et si vous le souhaitez anonyme.

Il vous reste encore 3 jours.

Déposer une contribution