Contribution n°6 (Web)
Déposée le 7 octobre 2025 à 18h24
On connaît le précepte médical de prudence : Primum non nocere, c’est-à-dire « en premier, ne pas nuire ». Quel rapport avec le dossier de PPVE qui nous est présenté ? Il pourrait s’appliquer à l’un des terrains concernés par la rénovation urbaine : un ancien terrain de foot, devenu dans la demande de Permis d’aménager “Secteur 1” et placé sous la maîtrise d’ouvrage du groupement EIGO-Batignolles 2025. A l’origine, il semble que le promoteur, intéressé par la rénovation des nefs, la transmission du patrimoine industriel et sa bonne intégration dans le quartier n’ait pas eu l’intention de construire sur cette annexe verte de l’usine des Batignolles, mais qu’il y ait été fortement incité. De fait, on va l'artificialiser. Or, il se trouve que ce terrain est situé sur le tracé d’un “axe vert” entre Loire et Erdre, et plus précisément : “le quartier des Batignolles organise l’intersection entre la grande longitudinale paysagère de l’Erdre à la Loire, et l’axiale paysagère de la route de Paris. “ (Etude d’impact, vol. 1, p. 16/277).
Et plus loin :
« Il y a peu d’espaces paysagers de qualité autour du site des Batignolles (exceptés les bords de l’Erdre). Le site actuel, de par son histoire industrielle, est quant à lui largement imperméabilisé. Un boisement confère au secteur une dimension végétale intéressante, elle-même prolongée par deux alignements d’arbres : le long de la rue de Koufra, et le long de la nef A des Batignolles (espace boisé classé). Le boulevard Jules Verne constitue un troisième alignement. » (Id. p. 24).
L’ex terrain de foot n’offre-t-il pas l’occasion de renforcer significativement le modeste « boisement triangulaire » de Koufra qui à lui seul, même accosté d’un square public, ne suffira pas à répondre « aux problématiques des îlots de chaleur urbains » (id., p. 24) ? Pourquoi ne la saisit-on pas ? Le projet du promoteur, tout appréciable qu’il soit notamment en voulant conserver les beaux sujets, est-il adapté à un scénario d’augmentation de + 3 ou 4 ° ? Les canicules actuelles sont déjà difficiles à supporter. La génération naissant aujourd’hui aura 75 ans en 2100, mais leurs enfants connaîtront le XXIIe siècle. Que pensera-t-on en 2100 ou 2150 des décisions prises à une époque où l’on savait et où l’on pouvait ?
Je plaide pour que l’on révise le projet en doublant la surface boisée et qu’ainsi on ne perde pas l’occasion de conforter l’axe vert « Loire-Erdre », en verdissant davantage ce terrain encore disponible dans un quartier très affecté par les îlots de chaleur.
Contribution n°5 (Web)
Déposée le 7 octobre 2025 à 18h19
Nous formulons les observations et demandes suivantes :
• 1- Procédure : On déplore que Nantes Métropole ait choisi la procédure de la participation du public par voie électronique (article L.123-19 du code de l’environnement) au lieu d’une enquête publique (article L.123-2) qui est plus fouillée et donc plus respectueuse de l’avis des habitants.
A défaut d’une concertation directe avec nos élus, le promoteur de Ouest Réalisations, M. Cougnaud a bien voulu présenter son projet aux Associations du quartier, le 17 décembre 2024 et à nouveau le 2 septembre 2025 et décrire, à l’aide de plans et de maquettes, le contenu du permis d’aménager déposé. Mais c’était avant tout une information sur un projet bouclé.
Nous restons donc sur une faim démocratique de réelle participation citoyenne à l’élaboration des projets.
• 2- Densification . En ce qui concerne le secteur 1 (EIGO-Batignolles) (terrain de foot), lors d’une réunion entre l’Association et la Ville en 2019, cette dernière s’était engagée en particulier à réduire la surface de plancher pour le logement de l’OAP Batignolles de 25 000 à 20 000 m² (courriel de confirmation de l’adjoint à l’urbanisme, en date 26 mars 2019), mesure effectivement actée dans le PLUm de 2019. Nous avons été très surpris de constater que le projet de révision n° 2 du PLUm, en 2025, portait cette surface à 30 000m² (soit une augmentation de 50% !). Nos observations dans l’enquête publique n’ont pas été prises en compte par Nantes Métropole. Une lettre recommandée à la Présidente de Nantes Métropole, en date du 4 février 2025, s’étonnant que l’engagement de la Ville puisse être remis en cause sans concertation préalable, est demeurée sans réponse.
En outre, ce projet de renouvellement urbain s’ajoute :
- à ceux récemment construits : les 3 ensembles de l’emprise de l’ancien siège du Crédit Mutuel et de l’îlot Canon) autour du Rond-Point des combattants d’Indochine ;
à ceux en cours de construction (rue de l’Ouche Buron entre la ligne de tramway et le rocade) ;
- à ceux ayant reçu un permis d’aménager (Leclerc Paridis) ;
- à ceux en projet ( Zone du supermarché Carrefour ; OAP Eraudière au sud d’Intermarché, en vis à vis de la partie sud de la rue de Baccarat).
Le fait que l’impact de chaque projet soit étudié indépendamment de celui des autres contribue à sous-évaluer l’impact global en terme de circulation, de stationnement, de pollution, d’îlots de chaleur, etc. En effet, chaque étude d’impact – rédigée par le promoteur concerné – tend naturellement à conclure que l’impact de son projet est acceptable.
Nous demandons que l’augmentation de la surface de plancher du secteur 1, décidée unilatéralement, soit compensée par une augmentation de la surface arborée : petit bois, jardin public.
• 3- Circulation et stationnement.
- 450 logements (778 habitants prévus), c’est au grand minimum 350 voitures sans compter celles des employés venant travailler aux nefs ou aux hôtels industriels du secteur Kelvion en passant par Koufra (combien de voitures pour les 3000 personnes employées ?).
L’hypothèse que la circulation n’augmentera pas en raison d’une diminution de l’usage de la voiture repose sur une vision optimiste des choses et surtout sur une étude limitée à ce seul projet (voir ci-dessus). Nantes sera donc confrontée à des blocages aux heures de pointe.
- Alors que les immeubles des lots 1, 2, 3 disposeront de 185 places de parking en sous-sol, l’habitat de l’îlot 4 ne disposera pas de parking individuel ni de stationnement de rue et devra utiliser des ouvrages mutualisés : soit le parking silo de Kelvion (271 places), soit le parking souterrain du secteur des nefs (150 places sur les 476 places prévues ).
- Une partie du stationnement sera non satisfait – celui d’une partie des habitants se détournant des parkings mutualisés (et payants ?) et celui des employés sans places. On peut logiquement redouter qu’il ne se déporte sur le Grand Clos où il est déjà souvent à la limite de la saturation. A titre d’exemple, la rue de Mourzouck (45 maisons : 22 d’un côté, 23 de l’autre) ne peut accueillir plus de 50 véhicules. On constate déjà, compte-tenu de la faiblesse du stationnement de voirie sur Koufra, qu’une dizaine de véhicules stationnent à l’entrée du terrain de foot et se déplacent dans la rue de Mourzouck quand il y des travaux comme cela a été la cas au printemps 2025.
Ajoutons enfin que l’augmentation des émissions de polluants atmosphériques générés par la circulation automobile pourrait être – selon l’étude - de 10 % en attendant leur baisse fondée - toujours selon l’étude d’impact - sur l’espérance d’évolutions technologiques et réglementaires suffisantes.
Face à cette étude restrictive aux conclusions peu convaincantes, nous demandons la réalisation d’une étude exhaustive et indépendante de la circulation qui intègre tous les autres projets environnants, de l’entrée de ville jusqu’au quartier de la caserne Mellinet.
• 4 – Espaces verts et Biodiversité.
- L’étude impact sur la biodiversité, notamment la faune, nous paraît minimiser cette dernière (voir les observations de la MRAE et la réponse de l’aménageur) .
- Les nouveaux habitants seront logés à proximité d’un îlot de chaleur dans un quartier déjà très marqué par ce phénomène. L’effet d’îlot de chaleur urbain sur un site déjà très artificialisé, sera renforcé par la densité des constructions (ilots 1, 2 , 3). Le projet prépare-t-il réellement à vivre à + 4° C en 2100 ? Et aux épisodes climatiques violents (ruissellement à partir de terrains surélevés par rapport au Grand Clos) ? On doute que les « larges prairies inondables » et « des noues généreusement plantées » [mais peu profondes] suffisent à faire face à des épisodes climatiques violents appelés à devenir plus fréquents. On s’étonne que le traitement par infiltration des eaux pluviales ruisselant ait été imposé par Nantes Métropole en dépit d’un avis hydrologique défavorable (Tome 1 p. 99/277).
- Le promoteur annonce sa volonté d’augmenter la superficie des espaces de pleine terre qu’il estime à 50 %, chiffre difficile à contrôler dans le détail, surtout qu’il ne semble pas concerner l’ensemble des 3 secteurs, mais seulement le secteur 1.
- On prend bonne note de la préservation des boisements et du talus existants le long de la rue de Koufra et de l’aménagement d’un square de quartier au nord (2176 m2). Cet aménagement est dit s’inscrire dans l’arc vert de L’Erdre à la Loire. Toutefois, un coup d’œil sur une carte montre que cet axe vert Erdre-Loire n’est pour l’heure constitué que de petits îlots verts dispersés. Les plans annoncent une superficie « verte » de 10788 m² annoncée comprend aussi les axes de « circulation douce » bordés d’arbres, les bordures plantées, les pelouses etc. Cela ne répond pas au défi de l’adaptation au réchauffement de la fin du siècle et du siècle suivant qui rendra indispensable le rafraîchissement zonal de l’atmosphère lors des canicules.
On souhaite que la superficie de la zone boisée soit notablement agrandie (par exemple en doublant la superficie du square public actuellement prévu à 2176 m² (qui n’équivaut dans ce projet qu’à la surface de 4 à 5 jardins individuels) afin de constituer un véritable îlot de fraîcheur susceptible de faire vraiment baisser la température. Ce serait aussi une manière de revenir sur la hausse - décidée unilatéralement - de 50 % de la surface plancher du secteur 1.
• 5- Incidences patrimoniales.
.- On déplore la dégradation des nefs industrielles et du pavillon Bechmann (Inscrits au titre des Monuments Historiques), ainsi que la destruction du monument aux morts élevé à la mémoire des ouvriers des Batignolles « tombés pour la liberté » lors de la guerre 1939-1945, suite à un vandalisme permanent depuis au moins deux ans.
Nous avons noté l’engagement de reconstruire le monument aux morts à l’identique mais la réhabilitation des nefs étant prévue à partir de 2028, la perspective de la poursuite du vandalisme pendant encore 2 années n’est pas acceptable.
- L’intégration du projet au quartier et au patrimoine industriel demande à être affiné. D’une part, on s’étonne que soit tolérée la construction de bâtiments très hauts qui ne semblent guère respecter la volumétrie des nefs qu’elles écrasent de leur hauteur : c’est le cas du parking silo dans le secteur Kelvion et de la « tour signal » prévue en bordure de Jules Verne. D’autre part, les constructions R+2 du côté Koufra dites « dans l’esprit de la cité-jardin du Grand-Clos située de l’autre côté de la rue » ne sont encore que de simples esquisses (ou bien des cubes figurés sur les plans ou bien des évocations photographiques comme celle Arlesheim (tome 1, p. 71/277), réalisation suisse en bois . Dans la mesure où cela devrait concrétiser la vision d’une cité jardin du XXIe siècle en regard de celle du milieu du XXe siècle représentée par le Grand Clos, l’Association souhaiterait pouvoir être associée à la réflexion et émettre un avis préalable au dépôt du permis de construire.
Nous demandons que ces deux points soient pris en compte : révision des hauteurs dans un cas, concertation dans l’autre.
• 6- Nuisances des Travaux.
Six ans des travaux : 2026-2030 (nefs et bureaux du secteur 2), 2028-2032 (habitat du secteur 1), donc camions, poussière, évacuation de terres polluées, bruit, etc.
- Des diagnostics de la pollution des sols ont conclu à la nécessité d’évacuer environ 6 900 m³ de terres polluées sur l’ensemble des secteurs 1, 2 et 3, sous réserve du choix définitif du plan de gestion pour le secteur Batignolles 2025. En outre, il est prévu l’évacuation de près de 20 000 t de déchets de démolition (superstructures et sols béton) et de dépose d’enrobés.
- On lit, entre autres, que les futurs habitants du projet ainsi que les riverains seront exposés à des concentrations en dioxyde d’azote et particules, supérieures aux valeurs guides recommandées par l’OMS, et ce en raison de la pollution de fond existante (Résumé non technique, p. 24/31).
• 7-Conclusion.
Au total, l’Association émet un avis réservé à ce dossier de PPVE et demande que des améliorations lui soient apportées notamment dans le sens d’une occupation plus raisonnée de ces terrains.
Nous souhaitons obtenir des réponses précises à ces observations et demandes.
Le bureau de l’Association du Grand Clos.
Contribution n°4 (Web)
Déposée le 7 octobre 2025 à 17h25
J P BOURNAT
Document joint
Contribution n°3 (Web)
Déposée le 5 octobre 2025 à 10h20
- réhabilitation des nefs, et du monument vandalisé, circulation piétonne entre Koufra et Jules Verne, préservation du petit bois
3 autres points apparaissent inquiétants et appellent commentaires et demandes de réponse claire :
1 Procédure : la PPVE est moins fouillée et démocratique qu'une enquête publique, en dépit de la présentation soignée du promoteur de Ouest Réalisation. Rappelons que ces projets engagent la vie quotidienne concrète de milliers de citoyens réels (et non statistiques), ce qui mérite une attention plus approfondie
2 Densification : la présentation au coup par coup des projets revient à occulter la charge réelle pour l'ensemble du quartier des projets passés , en cours et à venir. (Credit Mutuel, ilot Canon, Ouche Buron, Leclerc Paridis, Carrefour, OAP Eraudière). L'impact global en terme de circulation, de stationnement, d'ilots de chaleur apparait alors impossible à évaluer globalement alors qu'il sera globalement énorme.
Autre mauvais coup : la révision n° 2 du PLUM porte à 30 000 m2 la surface habitable prévue alors qu'elle avait été ramenée à 20 000 m2 par courriel de l'adjoint à l'urbanisme du 26 mars 2019. Décision interrogée par courrier à la Présidente de Nantes Métropole le 4 Février 2025, sans réponse.
Il s'agit d'un passage en force inacceptable pour le respect de la démarche citoyenne et plus encore pour l'impact sur le quartier.
Il faut dénoncer cette manoeuvre qui contredit tout un discours pseudo écologiquement responsable à la veille de scrutin municipal, hélas…
Il est a minima indispensable que l'augmentation massive (50%) de la surface de plancher soit compensée par une augmentation proportionnée de la surface de jardin public.
3 les incidences en terme de circulation subissent ce même morcellement de présentation des projets alors que les effets seront beaucoup plus importants. Une étude exhaustive et indépendante est indispensable. Encore une fois c'est la vie quotidienne réelle de milliers de citoyens réels qui est en cause.
De même pour la création de véritables ilots de fraicheur sous forme d'espaces verts et boisés, par exemple en doublant la superficie du square et du bois . Rappelons que les prévisons climat rendent cette réflexion particulièrement pertinente pour la vie quotidienne.
En conclusion : sans méconnaître les aspects positifs des projets, il importe de rectifier toutes les projections dont les incidences sur la qualité de vie quotidienne seraient gravement préjudiciables pour les habitants du quartier.
Contribution n°2 (Web)
Déposée le 29 septembre 2025 à 21h33
Nous, habitantEs du quartier, souhaitons exprimer notre profonde inquiétude face au projet présenté et aux conditions du PPVE.
1. Un processus injuste et déséquilibré
Alors que Nantes Métropole dispose des éléments du projet depuis décembre 2024, nous, habitantEs concernés, n’avons qu’un mois pour réagir. Ce délai minimal nuit à la qualité du dialogue.
2. Engagements non tenus
La surface constructible était initialement fixée à 20 000 m² en logements suite à une concertation en 2019 avec les habitants. Le projet en prévoit aujourd’hui 30 000 m², sans justification ni consultation. Cela signifie plus de béton, plus de chaleur et moins de qualité de vie.
3. Enjeux environnementaux négligés
• L’intégration du guide technique LPO est absente : aucune prise en compte réelle de la faune (oiseaux, chauves-souris) mis à part quelques nichoirs..
Ressources pédagogiques - LPO (Ligue pour la Protection des... https://www.lpo.fr/la-lpo-en-actions/education-a-l-environnement/ressources-pedagogiques?Outil%20p%C3%A9dagogique=Guide%20technique
• L'annonce de planter "plus d’arbres" est trompeuse : un arbrisseau ne compense pas un arbre mature d'une cinquantaine d'année.
• Les impacts de l’éclairage nocturne sur les chiroptères ne sont pas traités.
• Le risque d’inondation rue de Koufra est insuffisamment pris en compte.
4. Un projet sans vision globale
Le projet est pensé isolément, sans articulation avec les projets voisins (Paridis21, Eraudière, Kelvion, OAP Beaujoire 1, projet le long du périphérique derrière la mairie annexe du Ranzay....etc). Aucune étude de flux, de coactivités, ni de stationnement n’est fournie, alors que les risques sont bien réels de saturation du quartier.
5. Un manque de respect pour la mémoire et les riverains
• Le mémorial des morts pour la liberté est sous-dimensionné, sans plan clair ni concertation.
• Le parc ludique est trop petit, alors que les besoins du quartier augmentent. Il faudrait multiplier la surface proposée pour cet espace par 3. Nous demandons la suppression de l'ilot 4 ; c'est-à-dire les R+2 sur la rue de Koufra.
• Le site des Batignolles restera livré au vandalisme pour deux ans de plus, c’est inacceptable.
Nous demandons :
1. Un allongement du délai de concertation, pour un dialogue sincère.
2. Le respect des engagements de 2019 sur la densité.
3. L’intégration du guide LPO et d’un vrai plan biodiversité.
4. Des études d’impact complètes sur l’eau, les flux et le stationnement.
5. Une réelle participation citoyenne pour les aménagements publics et le lieu de mémoire.
Nous restons disponibles pour toute rencontre constructive et espérons un engagement fort de la collectivité en faveur d’un projet durable, juste et partagé.
Cordialement,
Le bureau
Contribution n°1 (Web)
Déposée le 23 septembre 2025 à 12h29
Dans la note partagée, pour laquelle je vous remercie, il est indiqué que les immeubles du secteur 1, ilots 1, 2 et 3 seront édifiés en R+5, pouvez-vous le confirmer svp? Et si je comprends bien, l'émergence en R+7 serait uniquement sur la partie de l'ilot 1 qui donnerait sur le boulevard Jules Verne?
Est-il possible de renseigner les hauteurs demandées sur le fichier joint?
Egalement, il n'y a pour l'instant aucune indication de phasage des travaux (début, phasage, durée de chaque phase, livraison). Avez-vous des grandes dates à nous partager svp?
Merci pour votre retour. Cordialement,