Les contributions

Contribution n°19 (Hôtel de Ville d'Yvré l'Evêque)

Par Association Yvré Champagné Environnement (YCE)
Déposée le 16 octobre 2025 à 17h28
Merci de prendre en compte les éléments en pièce jointe.

Document joint


Contribution n°18 (Le Gesnois Bilurien - ateliers communautaires)

Par Association pour la protection de l'environnement des Cohernières
Déposée le 16 octobre 2025 à 17h18
Merci de prendre en compte les éléments en pièce jointe.

Document joint


Contribution n°17 (Web)

Par Association Arnage en vélo
Déposée le 16 octobre 2025 à 15h25
Contribution de l’association Arnage en vélo / SCOT AEC.
Nous allons évoqué ci-dessous l’ensemble des points relevés par le dossier [...]
Contribution de l’association Arnage en vélo / SCOT AEC.
Nous allons évoqué ci-dessous l’ensemble des points relevés par le dossier INSEE Pays de la
Loire n°8 délivré en réunion publique SCOT.

Le Scot du Pays du Mans, un territoire avec des défis à relever.
1.Une croissance démographique modérée mettant en avant le défi de l’attractivité.
Vous notez que « la population augmente de 0.08% par an en moyenne , moins vite que celle
du référentiel. »
Or une des composantes de l’attractivité d’un territoire est d’accueillir les jeunes et futurs
parents dans des conditions optimales. Entre autres faciliter leur accessibilité dans un lieu de
polarité qu’ils fréquentent quotidiennement : l’école.
Comme vous le savez , 80% des enfants habitent à moins de 2 km de leur école et 70% de ses
trajets sont réalisés en voiture.
Une des clefs est de sécuriser le trajet domicile - école en adoptant un plan de circulation
pertinent (semi impasse, tête bêche,sens unique etc...) . L’objectif étant de hiérarchiser les
voies.
Une fois ce plan réalisé à l’échelle du Scot (en osmose avec les communes), il en résulte deux
types de voies :
-axe de desserte accueillant uniquement un flux résidentiel. (trafic très faible + potentiel vitesse
faible)
-axe de transit. Volume ou/et potentiel vitesse fort : nécessité d’une séparation
spatiale.Présence de pistes cyclable.
Avec naturellement une gestion des interactions avec le flux motorisé adapté. (système dit à
l’orthogonal, carrefour à la Hollandaise, giratoire à la Hollandaise etc...)
L’enjeu est d’adopter cette stratégie à l’échelle du Scot et de manière cohérente, autrement dit,
de manière uniforme.

2. Un manque d’attractivité pour les étudiants , mais un territoire accueillant pour les 35 à 39
ans.
Vos notez qu’ « attirer des étudiants et des jeunes actifs est un véritable enjeu pour le scot ».
Oui, cette classe d’âge (futurs parents) est sensible à sa qualité de vie et plus particulièrement à
son environnement sonore et olfactif. Elle a davantage tendance à aller au « plus offrant » en
terme de choix de ville.
La pollution sonore générée par la hausse encore notable (+2% du trafic / an) est loin d’être
une source d’attractivité.
Par ailleurs, la qualité de l’air est un des critères pris en compte par cette génération.
Pour rappel, la pollution de l’air génère à elle seule 40 000 décès prématurés par an.

Une des clefs est donc d’adopter un Scot ambitieux pour les mobilités actives entre autres le
vélo.
Notre pays se classant en terme de part modale avant dernier de l’UE.(3%)

3.Vers une limitation du départ des étudiants par la diversification du pôle universitaire.
Vous décrivez « un manque d’attractivité du Mans pour les étudiants «
Les enjeux aussi bien de sécurité, de mobilité et d’indépendance énergétique vont tendre vers
un besoin impérieux de formation.
En effet, il se trouve que la filière formation « urbanisme cyclable » n’existe pas.
Elle est à créer ex nihilo.
Actuellement, les techniciens se contentent d’une formation en urbanisme général voire le néant
et l’improvisation qui en résulte. Ils peuvent de gré à gré s’auto former via entre autres les
expériences plus ou moins pertinentes de leurs prédecesseurs.Ou via leur contact avec les
associations.
Cela est loin de suffire. Pire, cette carence conduit à des aberrations urbanistiques
indéféctibles(cf le coloriage sur routes sans intérêt au Mans)
Une uniformisation qualitative des concepts est indispensable.
Pour monter en gamme d’une part et pour que le potentiel captif ne subisse plus une altérité
dans la manière de concevoir l’espace qu’il utilise.
Profitons de cette opportunité historique afin de créer un centre de formation à l’instar de
l’expertise de l’acoustique au Mans.

4. Un territoire bien équipé en services mais des difficultés d’accès aux soins.
Vous décrivez que « certaines communes ont des temps d’accès moyen en voiture aux services
de santé supérieure à 13 minutes , contre 5 minutes en moyenne sur l’ensemble du Scot ».
Vous ajoutez : « l’indicateur d’accessibilité potentielle localisée révèle un déficit de médecins
généralistes ».
Ces données révèlent l’éloignement des hommes des services.
L’enjeu est de rapprocher les services des humains afin de diminuer le besoin de déplacement.
C’est d’une part une politique d’aménagement du territoire global qu’il faut repenser (proximité
de l’ensemble des services publics) et d’autre part, améliorer l’accessibilité de ces services.
Les trajets étant devenus plus courts, l’intermodalité (usage des transports en commun et du
vélo) peut contribuer à diminuer les distances.
Et surtout, l’OMS n’a de cesse de le dire.
La sédentarité tue. C’est la deuxième cause de maladie cardio vasculaire dans le monde.
Récemment, le professeur Carré, cardiologue, avec son équipe, a remis un rapport sur cette
thématique :

En 40 ans, les enfants ont perdu un quart de leur capacité respiratoire.
La qualité de l’air est un enjeu de santé.
La pollution sonore génère du stress, de l’anxiété, des troubles de l’attention, des insomnies
etc...
Tous ces méfaits ont un coût.
Tous ces facteurs engendrent des consultations et par conséquent une carence médicale.
Prendre le sujet à la source.
Comment réunir les critères afin que les habitants soient moins dépendants des médecins ?
Autrement dit, comment mettre les chances de notre côté pour être en meilleure santé ?
La mobilité est une piste.
Explorons là en adoptant une politique cyclable lucrative fiscalement (baisse des coûts
inhérents aux soins) et digne de notre pays.

5.Une concentration des lycées dans l’agglomération mancelle.
Eloigner l’adolescent de son établissement scolaire est lourd de conséquence. Exclusion
sociale, territorial, scolaire, financière etc...
Donner sa chance à chacun relève de la grandeur du Pays du Mans.
Etre rejeté par des difficultés de déplacement est intolérable.
Vous citez un trajet scolaire motorisé :
Il engendre une dépendance douloureuse avec les parents. Le trajet est ni toujours possible, ni
souhaitable entre autres en terme de coût individuel et collectif. Mais aussi de temps. (trouble
du sommeil, stress, incompatibilté d’emploi du temps voire sacrifice professionnel d’un des
deux parents)
Une des clefs est l’intermodalité.
Oui, un maillage ferroviaire pensé pour la génération future est indispensable.
Mais pas seulement.
Il doit être relié par un maillage « vélo » où chaque trajet deviendra l’addition de plusieurs
modes :
Vélo/train/ puis transport en commun type car, bus ou autre trajet vélo.

6.Vers le développement d’une politique de mobilité pour réduire les déplacements en voiture.
Vous notez que : « pour se rendre à leur travail, les habitants du Scot sont 75% à utiliser leur
voiture ».
Et vous ajoutez que « les ouvriers utilisent plus la voiture que dans le référentiel ».
Vous justifiez cet constat injuste socialement par le transport de charges encombrantes (tenues
et matériel) , les horaires décalées, et leur lieu d’emploi pas toujours fixe.

Le premier argument est falacieux. Le prendre comme une fatalité est symptomatique d’une
politique prudente, peureuse, sans relief.
En effet, avec un équipement adapté type vélo cargo, un ouvrier peut le cas échéant bénéficier
d’une capacité de stockage adapté.
Des solutions intermédiaires existent. La collectivité peut aller dans ce sens.
Pour le deuxième argument, il se trouve que la solution vélo « seule » est davantage adaptée
puisqu’elle ne dépend pas des horaires des transports en commun.
Pour ce qui est de la solution « vélo » couplée avec une offre de transport. Là encore, des
offres pertinentes de plan de déplacement inter entreprise doivent être déployées. Au sein d’un
bassin d’emploi par exemple.
On se retrouverait alors dans un schéma : vélo+ covoiturage le cas échéant.(horaires tardives)
Fiscalement parlant, le forfait mobilité durable peut être accentué voire pérénnisé .
Son caractère obligatoire serait un gain pour tous à l’instar du versement mobilité.
Pour rappel, le coût de la voiture est pris en charge à raison d’ 1/3 par l’usager et de 2/3 par le
contribuable.(aménagement des routes et giratoires , maintenance, sédentarité, santé énergie
etc...)
Un levier tangible du Scot en ce sens serait un message puissant.
Les entreprises ont un intérêt consubstantiel à l’adopter. Les employés venant à vélo étant en
meilleure santé. Il sont plus productifs et moins absents.

7. Un équilibre territorial à trouver pour limiter les inégalités sociales.
En proportion, vous relevez un nombre plus important d’ouvriers au sein du Scot par rapport au
référentiel.
Surreprésentés au sein du Scot, les ouvriers sont davantage consommateurs de la voiture. Où
la voiture en plus du coût sociétal, a un coût individuel. Evalué en moyenne à 5000 euros/an.
Du reste , en moyenne, moins payé qu’un cadre, c’est donc la double peine pour eux.
Une des clefs serait d’offrir une alternative fiable, sécure, crédible aux protagonistes.

8.Vers une diversification et une rénovation du parc en réponse à la consommation d’espace et
au vieillissement des logements.
C’est l’erreur du demi siècle.
Consommer de l’espace, éloigner les hommes de leur lieu de travail, éloigner les hommes de
leur lieu de consommation, éloigner les hommes de leur lieu de loisir. Avec pour relier ces
activités des routes, des distances de plus en plus grandes et du temps.
La dépendance à la route en est artificiellement créé ex nihilo.
Un programme disruptif est indispensable.
Repenser l’aménagement des territoires. Rapprocher les hommes de leurs activités.
Vous soulignez la vacance de certains logements.(3 millions en France)

Une des clefs est d’améliorer l’accessibilité de ces logements. En favorisant l’apaisement du
quartier. Et sa connexion « modes actifs » avec l’existant (commerces, travail, loisir etc...)
La densification du trafic, la proximité avec un volume motorisé factuel (ou futur) fait fuir les
potentiels acquéreurs ou/et locataires.
La dangerosité d’accès à un logement en devient parfois rédhibitoire.

9. Des spécificités industrielles et historiques à valoriser avec le développement de nouvelles
filières (hydrogène etc..)
La filière vélo est toute nouvelle. Elle est porteuse. Oui, produire des vélos en France est
possible.Le Scot peut œuvrer en ce sens.
La filière vélo est une source d’emplois non délocalisables notamment sa filière réparation.
Encore sous dotée actuellement au vu du potentiel captif de notre pays.(rappel : avant dernier
de l’UE)
Concernant la logistique.
Vous notez que : « dans le secteur de la logistique, le Scot pourrait profiter de ses atouts en
termes d’infrastructures ferroviaires et autoroutières pour prendre en compte les nouveaux
besoins , liés notamment à la montée en charge du e commerce ».
Oui, vous semblez omettre le ou les derniers kilomètres pour acheminer les marchandises.
C’est en ce sens que la cyclo logistique intervient.
Elle est une mine d’emploi eux aussi non délocalisables. Le Scot doit œuvrer en ce sens
justement par sa politique en terme de mobilité vélo.
Vous notez la surreprésentation du secteur assurantiel. Qui perd davantage d’emplois que le
référentiel.
Un des leviers de l’augmentation des marges de manœuvre du secteur est la baisse du coût
des accidents (et des soins liés) , de la baisse de la mortalité et de la baisse de la sédentarité.
Pour rappel, la sédentarité est la deuxième cause de maladie cardio vasculaire dans le
monde.Elle engendre de facto une érosion de la marge du secteur pré cité. Sans parler des
coût médicaux engendrés par les accidents de la route.
L’objectif du Scot doit être de sauver des vies et de faire en sorte que les habitants soient en
meilleure santé.
Pour se faire, un véritable plan vélo doit être mis sur la table.Pas uniquement des pistes
cyclables, mais aussi un plan de circulation pertinent.(semi impasse, tête bêche , sens unique
etc...)
Oui, en amont il nécessite des moyens. Et en aval, il rapporte.
En amont, un moratoire sur les routes et giratoires est indispensable.Le département d’Ile et
Vilaine l’a fait.
Le pays du Mans peut le faire.
Ce moratoire nous donnera la marqe de manœuvre financière pour entrer dans l’Histoire .

On mesure la cyclablilité d’une entité publique à sa part modale vélo.
Celle du Pays du Mans est de 3%. Nous classant parmi les dernières communautés de
communes.

10.Vers un positionnement du Pays du Mans comme étape touristique.
Vous soulignez que le pays du Mans est une étape touristique.
Oui, une première étape.
Au vu de la configuration, nous pouvons allons beaucoup plus loin.
Un chiffre :
L’obtention du Label accueil vélo a fait bondir de 86 % la fréquence des sites récipendiaires
entre 2019 et aujourd’hui.
Imaginons qu’à ce label viennent s’ajouter un plan de circulation pertinent et un réseau
armature ambitieux à l’échelle du scot.
C’est toute une économie qui peut en profiter.
L’assiette fiscale étant élargie, les retombées fiscales n’en seront que meilleures.(entre autres
taxe de séjour).

Tout reste à faire.
Mais tout est possible.
Le choix politique est devant nous .
Restant à votre disposition.
L’équipe Arnage en vélo.
Arnageenvelo@gmail.com
Facebook : Arnage en vélo

Contribution n°16 (Web)

Par Stephane
Déposée le 16 octobre 2025 à 10h05
Le territoire 4CPS et la plaine autour de Conlie est déjà un contributeur essentiel de fourniture des ENR pour le département, et [...]
Le territoire 4CPS et la plaine autour de Conlie est déjà un contributeur essentiel de fourniture des ENR pour le département, et ce territoire ne pourra pas à lui seul héberger toutes les éoliennes de la région. Les projets en exploitation ainsi que tous les projets à venir déjà validés positionnent le territoire de la 4CPS à la pointe des ENR avec une production supérieure à sa consommation. Cette situation vertueuse et à la pointe des ENR dépasse très largement les objectifs nationaux. Merci d'arrêter tout nouveau projet qui ne ferait pas consensus et de systématiquement prendre en compte l'avis des conseils municipaux et des élus des communes concernées. Par ailleurs, la multiplication des éoliennes fait perdre une grosse part de la valeur du foncier pour les résidences principales et les rend souvent compliquées à vendre. Nous sommes sur un territoire plus pauvre que l'agglomération du Mans, et les résidences principales sont souvent l'investissement d'une vie pour les habitants. Il n'y a aucune prise en compte de cet aspect dans le développement actuel de l'éolien, que comptez vous mettre en place pour protéger les familles touchées par cette détérioration du marché foncier? Comment avez vous prévu stopper cette hémorragie?

Contribution n°15 (Email)

Par Catherine GARREAU
Déposée le 15 octobre 2025 à 07h26
Objet : Avis sur éolienne en Sarthe

Bonjour,

Je confirme que notre département est déjà saturé d’éoliennes et que les habitants [...]
Objet : Avis sur éolienne en Sarthe

Bonjour,

Je confirme que notre département est déjà saturé d’éoliennes et que les habitants n’en profitent pas directement alors qu’ils en subissent les nuisances sur le paysages, les oiseaux , les bruits et les lumières de nuit sans parler des problèmes sur la santé des animaux et des personnes à proximité dont on refuse de parler .
Merci d’en prendre compte

Catherine GARREAU
Avocat honoraire
55, rue Lamarck
75018 Paris
06 60 47 10 94
catherinegarreau1avocat@gmail.com

Contribution n°14 (Web)

Par Surut Jackie
Déposée le 15 octobre 2025 à 08h42
Bonjour,
Je vous joins la délibération du conseil municipal du 17 septembre portant sur l'avis sur le SCoT. La commune a rendu un [...]
Bonjour,
Je vous joins la délibération du conseil municipal du 17 septembre portant sur l'avis sur le SCoT. La commune a rendu un avis favorable avec néanmoins quelques reserves notamment sur l'équilibre des logements neufs entre Le Mans Métropole et les autres EPCI, à commencer par le Gesnois Bélurien. La deuxième remarque porte sur la densification et nous demandons un allégement car nous avons depuis 10ans entrepris des aménagements ayant conduit à la création de 26 logements en centralité.
Dans l'attente
Bien Cordialement
Jackie Surut
Maire

Document joint


Contribution n°13 (Web)

Anonyme
Déposée le 14 octobre 2025 à 13h46
Pour atteindre 347 000 habitants en 2050, comme le préconise le document d’orientation et d’objectifs (DOO), est-ce que le Pays du [...]
Pour atteindre 347 000 habitants en 2050, comme le préconise le document d’orientation et d’objectifs (DOO), est-ce que le Pays du Mans a pour objectif d'appliquer la délimitation de l'actuelle aire urbaine du Mans composée de 123 communes établie par l'INSEE ?

Contribution n°12 (Web)

Par BLIN Jean-Paul
Déposée le 13 octobre 2025 à 14h16
Cette deuxième (et dernière) contribution à cette enquête d'utilité publique est le pendant de la première que nous avons déposée [...]
Cette deuxième (et dernière) contribution à cette enquête d'utilité publique est le pendant de la première que nous avons déposée : si le besoin d'une compensation solidaire est un des éléments fondamentaux du projet SCOT-AEC, nous montrons que la création d'une commission, non contraignante, d'écoute des citoyens est un des moyens nécessaires d'y parvenir.
Merci de lire le document joint.

Document joint


Contribution n°11 (Communauté de communes Maine Coeur de Sarthe)

Par Association Mieux vivre à Montbizot
Déposée le 13 octobre 2025 à 11h14
Merci de prendre en compte les éléments en pièce jointe.

Document joint


Contribution n°10 (Communauté de communes Maine Coeur de Sarthe)

Par Arnaud MONGELLA
Déposée le 13 octobre 2025 à 11h10
Merci de prendre en compte les éléments en pièce jointe.

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