Les contributions

Contribution n°56 (Web)

Anonyme
Déposée le 24 mai 2025 à 13h21
La hauteur permise des futures constructions est démesurée dans les secteurs submersibles, notamment gare, Rocabey…
Ce plan ne tient [...]
La hauteur permise des futures constructions est démesurée dans les secteurs submersibles, notamment gare, Rocabey…
Ce plan ne tient aucun compte de la montée des eaux qui est alarmante. Aujourd'hui avec un coefficient de 54 la mer touche la chaussée du sillon, on ne peut plus passer par la plage pour rejoindre intramuros alors qu’il y a encore 7/8 ans la marée devait atteindre un coefficient de 80, voire 90 il y a une dizaine d’années.
C’est de l’inconscience pure et une prise de risque incommensurable…
D’autre part, la densification de ce secteur n’est-elle pas incompatible avec l’état actuel du réseau d’approvisionnement en eau « dite potable »……..?
En outre, il semblerait qu’au bas mot 2000 logements seraient complètement vacants à Saint-Malo mais que la réalité serait plus proche des 5000. Alors ne serait-ce pas plus cohérent, après une étude exhaustive de cet état de fait, de faire en sorte que ces habitations soient mises ou remises sur le marché avant de raser des maisons en parfait état habitées et de contraindre leurs occupants à déménager pour y construire de nouveaux immeubles dont les appartements sont pour une bonne partie achetés à titre de résidence secondaire, en vue d’une future retraite ou encore pour de la location saisonnière.
Les promoteurs prévoient une ou deux places de parking par logement
La circulation en cœur de ville est déjà bien dense à certaines heures de la journée, qu’en sera-t-il avec une telle densification ? Sans compter que durant la période saisonnière la ville est saturée de véhicules puisqu’il n’y a qu’un seul parking extérieur…
Ne parlons pas de la pollution ajoutée à celle déjà existante dans notre ville.

Contribution n°55 (Web)

Par Cariguel Yannie
Déposée le 23 mai 2025 à 18h54
Mesdames et Monsieur les Commissaires,

En tant que résidente malouine et plus précisément résidente du hameau de La Banneville, je [...]
Mesdames et Monsieur les Commissaires,

En tant que résidente malouine et plus précisément résidente du hameau de La Banneville, je porte à votre connaissance mon opposition au projet de révision du PLU de Saint-Malo, notamment en ce qui concerne l’OAP Campus II.
En effet, un grand nombre de points m’interpelle dans le montage de ce dossier, à savoir :
• Non information et non concertation avec les résidents dont certains ont appris par le plus grand des hasards la préemption de certaines de leurs parcelles et la construction de collectifs aux abords de leurs terrains (voir ce qui a été fait à la place du Camping de la Fontaine aux Pèlerins, dénotant un mépris total pour les riverains),
• Suppression de zones humides et terres agricoles, pourtant indispensables à la biodiversité et à l’équilibre hydrique au profit d’une urbanisation massive insuffisamment justifiée et contraire aux objectifs du ZAN pour 2026,
• Station d’épuration existante déjà sous tension, d’où une saturation prévisible engendrant des déversements pouvant compromettre la qualité des eaux locales, ressources en eau potable en danger (au 15 mai de cette année, nous puisons déjà dans les réserves…), risques d’inondations etc…
• Agrandissement du Campus non justifié (nombre d’étudiants en baisse en Bretagne annoncé par la presse), suppression d’une partie de l’avenue du Maréchal Juin et construction d’une nouvelle route longeant les habitations : impact négatif sur un trafic déjà dense puisque cette voirie dessert Rothéneuf Cancale, St Méloir, St Coulomb et, durant la saison touristique l’ensemble de la Côte et de la Baie du Mont Saint-Michel, sans parler des coûts engendrés pour les contribuables,
• Nuisances sonores, olfactives, pollution atmosphérique non prises en compte...

Je vous remercie de bien vouloir prendre ces points en considération dans le cadre de l’enquête menée, et porter à la connaissance des résidents permanents de Saint-Malo et de son quartier de La Banneville les études d’impact réalisées.

Contribution n°54 (Web)

Par ROBLOT Daniel
Déposée le 23 mai 2025 à 18h43
Mes observations sur l'actuelle proposition de PLU sont les suivantes, en grande partie déjà exprimées lors de l'élaboration...
1 [...]
Mes observations sur l'actuelle proposition de PLU sont les suivantes, en grande partie déjà exprimées lors de l'élaboration...
1 - L'écart entre l'ancien PLU et son application réelle montre qu'un PLU à St MALO est surtout un document servant à opposer des règles aux habitants (et beaucoup plus rarement aux promoteurs immobiliers, suite à moults exemples vécus et prouvés), bien plus qu'à l'administration ou aux élus, qui s'en sont affranchis avec une légèreté plus que blâmable. Car oui, un exemple parmi tant d'autres, un adjoint à l'urbanisme m'a déjà opposé une "conformité au PLU" en réponse à un recours gracieux contre un permis de construire si grossièrement illégal que le promoteur bénéficiaire l'a retiré de lui-même dès saisine du TA. Dans quel monde cela est-il possible?
Ce PLU manque donc d'une pièce, type préambule ou règlement, marquant sans ambiguïté son caractère opposable à toutes les parties, de manière équitable, à l'image d'un dictionnaire fixant les règles d'orthographe. Et il doit lui-même s'affirmer subordonné aux règles de droit de niveau supérieur, ce qui va de soi, mais l'histoire a prouvé que non. D'autant plus que les TA, débordés de recours, se montrent extrêmement laxistes dans leurs jugements (et ce n'est pas une appréciation personnelle, juste une conclusion rationnelle suite à plusieurs cas vécus, par exemple écartant une décision administrative imposée à des particuliers pour en affranchir un promoteur sur un même terrain d'assiette, dans une période très rapprochée).
Pourquoi : parce que, sauf exception, les particuliers n'ont pas la surface financière, l'endurance, la détermination pour entamer des procédures qui dureront des années lorsqu'ils sont dans une dynamique de projet et surtout de charges à assumer... Le pot de terre contre le pot de fer....
Le PLU doit être un document permettant une EQUITE entre justiciables.

2 - Les années précédentes, la constructibilité des terrains de la rue du fil d'Ariane (Rothéneuf, proche du Nicet) avait été subordonnée au recul de la limite par rapport au trait de côte. Décision étrange au vu de l'environnement urbain préexistant de part et d'autre, mais compréhensible si la priorité eût été d'agrandir l'espace naturel à proximité de la zone Natura 2000. Or, sauf erreur de ma part, ce recul n'est plus reporté sur les documents que j'ai consultés.
Alors certes, depuis environ 2010-2015, la Varde est devenue tellement enclavée, déconnectée de toute la vie sauvage qui pouvait encore s'y installer, qu'elle ne mérite plus la dénomination de zone naturelle, au point d'ailleurs que la jolie flèche rouge censée figurer sur un document graphique une "continuité écologique" ou une "coupure verte" est un leurre grossier, c'est le mot le moins offensant qui me vienne.
Le report de la limite de constructibilité à cet endroit s'impose néanmoins dans le nouveau PLU, faute d'une justification solide étayant une telle modification.

3 - le PLU concerne au premier chef les habitants, du moins en principe. Lesquels ont besoin de se déplacer et se faire livrer, conditions essentielles de vie, et pas seulement économique. Or la fluidité des flux est précisément entravée par les propositions qui sont faites, c'est une ville qui va s'étouffer faute d'une véritable étude (pas par des "urbanistes", par pitié, par des scientifiques compétents!) des conséquences à long terme. A titre d'illustration bien connue, la densification du tissu urbain, au détriments d'espaces qui auraient pu devenir ou rester verts, a créé des ilôts de chaleur et des effets canyons, que maintenant on s'emploie à combattre en replantant.... mais comme on replante mal, d'autres conséquences suivront, j'y reviendrai par la suite
3-1 les espaces de circulation et encore pire de stationnement, ne tiennent pas compte de la densification de la population.
Il faudrait
- soit proposer une (sans doute coûteuse) politique de transports collectifs permettant l'évitement de l'achat d'une voiture, ce qui serait cohérent avec les punitions collectives que sont ces moults chicanes et rehaussements de chaussée (dont la plupart sont hors normes, donc illégaux).
-soit vraiment penser la fluidité des axes de circulation et se donner les moyens de lutter contre les infractions qui sont le lot d'une petite partie pour les véhicules lourds, et le lot commun pour les prétendus "modes de déplacements doux". Et ce n'est pas hors sujet que de dire que la projection d'une infrastructure doit obligatoirement être accompagnée de son mode d'emploi faute de quoi elle devient inopérante, inefficace, dispensable.
On peut tout autant se questionner sur le développement des pistes cyclables : préalable nécessaire au développement du cyclisme, ces pistes occupent une surface importante alors qu'elles ne sont jamais obligatoires pour leurs utilisateurs. Explication plausible à leur trop faible utilisation : leur discontinuité quasi systématique, qui permet de se demander si leur création ne relèverait pas plutôt de l'affichage d'un kilométrage en pied de bilan municipal...
Dans tous les cas, elles forment des surfaces artificialisées, et a minima doivent remplir leur rôle (cf Fluidification de la circulation). Comme pour le paragraphe précédent, il faut que leur utilisation soit accompagnée d'une vraie volonté de les faire respecter, car une grande majorité de cyclistes, faute de toute contrainte réelle, circulent absolument partout, n'importe comment, dans tous les sens, y compris en infraction avec la largeur maximale admise sur les voies (sic : j'ai bien écrit "largeur", cf ces vélos avec plateforme de transport ou caisson, qui transportent des objets dépassant , parfois, la largeur maximale autorisée). Il faut bien admettre que si aucun reproche ne leur est jamais adressé, pourquoi se gêneraient-ils?
En aparté, même les éclairages des vélos des facteurs, éblouissants, ne sont pas conformes à la réglementation, alors qu'ils sont révisés par des pros... Cela laisse imaginer le degré de laxisme qui tourne autour de ce mode de déplacement que seuls ceux qui les ont déjà physiquement "rencontrés" devraient pouvoir nommer "doux" (parce que quand un vélo à contresens illégal dans la rue ville Pépin vous percute en tant que piéton, vous vous demandez pourquoi un énarque a décidé de faire valoir ce terme délirant).

3-2 Continuons sur le plan de déplacement et la fluidité nécessaire d'une ville : le PLU devrait prendre en compte le comportement réel des habitants et utilisateurs.
Certains habitants ont des pratiques très égocentriques, contradictoires même (le cycliste, le piéton et l'automobiliste peuvent être la même personne, mais leur comportement différer d'un opposé à l'autre). Citons quelques exemples aussi identifiés que récurrents : les prestataires (telle cette infirmière ce 23 mai 2025 matin stationnant longuement sur l'emplacement de livraison de la résidence seniors Bld des Talards) stationnent partout, bloquant des aires de livraison, que de toute façon les livreurs n'utiliseraient pas parce que ça va plus vite de rester au milieu de la voie ou encombrer un trottoir, ces commerçants outrepassant leur autorisation d'utilisation de la voirie (tables chaises, pannonceaux, etc...), ces artisans ou entreprises s'affranchissant des règles de voirie pour faire leurs travaux (jusqu'à 2 ans d'affilée, sic!) le plus souvent sans aucune autorisation, ou alors cette autorisation n'est pas du tout respectée, ces commerçants fonçant à vive allure dans des zones à 30 km/h pour installer leurs stands de marché, ces "camping-caristes" utilisant l'espace public plusieurs jours d'affilée au lieu des zones réservées pour leurs séjours,.... la liste des manquements aux règles prévues est si invraisemblable qu'il faut sérieusement se poser la question de l'intérêt de spécialiser des zones et prévoir des règles si l'on ne se dote pas des moyens de les faire respecter. Il faudrait, à mon avis, mettre tout le monde à égalité et donc abolir la plupart des règles, l'on saurait ainsi que chacun a le droit de faire n'importe quoi. Personnellement je ne supporte plus de me faire apostropher par quelqu'un à qui je manifeste mon mécontentement parce qu"il me force à me faufiler le long de ma maison pour pouvoir rentrer chez moi, son camion installé sur le trottoir face à ma porte d'entrée ne me laissant plus qu'une largeur de 50 cm. De devoir attendre plus de 20 minutes (malgré un appel à la police municipale, évidemment sans réaction) parce qu'un camion me bloque dans la rue du Chanoine Lainé (alors qu'il disposait d'une zone pour livrer Carrefour Market sur son parking) et que d'autres voitures, engagées comme moi, ne peuvent reculer sans danger vers le boulevard Pasteur...ETC... ETC....
Même en matière de construction, le commettant qui n'a rien demandé est plus à l'aise que celui qui sollicite des autorisations officielles. J'ai déjà observé de visibles infractions aux permis de construire restées sans réaction, alors à quoi bon...
Le PLU ignore les dérives de comportement et prévoit des règles et zonages qui ne contraignent de facto que ceux qui y consentent. Au contraire de ces ONG qui assignent en justice l'Etat qui ne remplirait pas ses obligations (inaction climatique par ex.), il n'existe pas de telles organisations qui assigneraient les collectivités locales, donc une municipalité comme Saint Malo, pour les forcer à remplir leurs obligations, faute d'ailleurs de pouvoir prouver quoi que ce soit, car il n'existe pas non plus de vrais traceurs de l'action publique dans ces domaines : est-on seulement capable de faire un bilan des infractions routières suivant le type de véhicule et d'infraction, ou pour le dire autrement, combien de PV adressés à des cyclistes ou des trottinettistes?
Encore une fois, donc, l'organisation d'une infrastructure doit s'accompagner des outils de gestion et suivi de leur utilisation, ce qui fait défaut au PLU.

3-3 Les infrastructures, les équipements publics, et même privés parfois, s'entassent de plus en plus dans la droite ligne de la densification urbaine, mais sans tenir compte des conséquences de leur utilisation. Ainsi, prévoir un musée, un bâtiment scolaire ou à utilisation sociale ou sportive suppose de prévoir aussi sa desserte, toujours avec pour objectif de préserver la fluidité de la circulation. Il suffit d'assister à une rentrée ou sortie d'un établissement scolaire, même tout petit, au hasard rue Gesril du Papeu a St Ideuc, pour constater que les règles de sécurité les plus élémentaires sont bafouées par ceux qui les réclament... Chacun veut se rendre au plus près de son vendeur de tabac, de pain, son établissement scolaire, son commerçant, le membre de sa famille. Elargissons la vue et regardons le projet du groupe RAULIC sur le site des Nielles : D'après mon expérience de gestion de structures d'hébergements H24, et les données déposées pour le projet, il faudrait en fait a minima deux fois plus de places de stationnement que celles qui sont prévues, et cela même en faisant abstraction des flux de la clientèle!! A proximité du marché de St Servan, chaque mardi et surtout vendredi est un défi pour les riverains qui voient affluer des centaines de clients en voiture : ce ne sont plus des commerces de proximité !!
A contrario, le déménagement de la piscine en zone extérieure a mis en évidence l'intérêt de cette implantation nouvelle. Celui du futur hôpital, et de l'école d'infirmières, auront les mêmes heureuses conséquences si sur les emplacements libérés, on étudie vraiment l'impact des destinations d'urbanisme qui les remplaceront avec pragmatisme (professionnalisme?)
Autant dire qu'en entassant les activités, entreprises dont l'activité requiert de nombreux véhicules (services à domicile entre autres....), organismes d'accueil et commerces, un quartier peut devenir attractif, mais aussi s'étouffer et voir mourir toutes ces implantations mal irriguées.
Le PLU méconnaît assez largement les projections des implantations qu'il prévoit, de manière fautive.

4 - le plan de développement durable est une contradiction dans ses termes : tout développement, à long terme, n'est durable que s'il ne consomme pas plus de ressources que ce qu'il produit en préservant la ressource. Transposé à l'échelle d'un PLU, l'on comprend surtout que le PLU doit être économe, un terme équivalent à écologique rapporté à la sphère économique.
4-1 Certes, le projet de PLU préserve assez bien les surfaces agricoles, mais pour le fonctionnement de la ville, on ne peut que se questionner quand on implante des arbres qu'il faudra tailler plusieurs fois par an parce que leur gabarit ne convient pas en bordure des voiries d'implantation (rue p de Coubertin, une partie de la rocade, rue de la croix Désilles, etc...). Ou génèrent de lourds nettoyages de voirie avec force machines thermiques, y compris un 1er mai à 8h du matin, tant qu'on y est (exemple place Constantine, parmi d'autres). Bref, la ville devrait mettre en évidence des choix, tels le fauchage partiel déjà mis en place, qui trouveraient leur justification dans l'économie de moyens à mettre en oeuvre. Au lieu de cela, on bétonne et bitume, puis on constate (ra?) des conséquences dommageables pour lesquelles on doit (devra) dépenser pour y pallier. La politique, c'est l'art de l'anticipation parait-il.

4-2 Dans le PADD figurent, de mémoire, un zonage censé illustrer le verdissement de la ville, le maintien d'une ceinture verte, et des continuités écologiques... Je ne reviens pas sur ces dernières, elles n'existent que sur le papier et sont inopérantes pour tout observateur naturaliste s'intéressant à la faune terrestre.
Il faudrait en réalité inciter, voire contraindre les propriétaires à laisser des petites ouvertures dans leurs clôtures dans des zones où cela aurait un sens, à implanter des arbres de haute tige, si possible à déroger aux principe de voisinage pour que des arbres puissent se développer en fonds de parcelles, combattre vraiment la luminosité nocturne, mille et un petits gestes pouvant améliorer la faune courante, rampante et volante.
Il faudrait aussi combattre les espèces invasives, notamment certaines plantes, au lieu de se contenter de les couper de temps de temps, je ne reviens pas sur ce que j'ai déjà détaillé dans mes premières observations sur le PLU. Et cela regarde l'urbanisme, bien sûr, car des espaces verts endommagés par cortaderia ou reynoutria , etc...ne sont plus pertinents, voire deviennent dangereux pour les autres.
Condition indispensable pour améliorer l'intérêt de la ceinture verte autour de la ville : qu'elle exclue toutes les cultures avec pesticides, de façon à créer a minima une sorte de cordon sanitaire pour éloigner la population des substances toxiques. Pas forcément suffisant, mais c'est mieux que rien.

Tout cela pour conclure que le PLU est bien trop vague, pétri de belles intentions (et même un peu mensonger....) quand il prétend promouvoir la faune et la flore de la ville, sans proposition vraiment forte pour aller dans ce sens.

J'en oublie, forcément, je n'ai fait qu'une lecture rapide de certaines pièces du dossier.

Je crois néanmoins que ce sera suffisant pour qu'on me considère comme un ronchon, un empêcheur de bétonner (ou pédaler..) en rond, peu me chaut en réalité. Je pourrai au moins dire, plus tard, que j'avais donné mon avis et qu'il n'a pas été retenu. C'est le maximum que j'espère de tout ce cirque administratif.

Contribution n°53 (Web)

Par MAILLARD Bertrand
Déposée le 23 mai 2025 à 18h41
Bonjour Mesdames bonjour Monsieur
Je suis inquiet du projet d’aménagement du secteur Campus II à Saint-Malo, qui s'est fait sans que [...]
Bonjour Mesdames bonjour Monsieur
Je suis inquiet du projet d’aménagement du secteur Campus II à Saint-Malo, qui s'est fait sans que l'on soit informé au préalable.
Habitant la Banneville depuis 33 ans, je redoute beaucoup des nuisances sonores avec la nouvelle routes et l’arrivée de plusieurs centaines de véhicules supplémentaires.
De plus, la construction d’immeubles de plusieurs étages près de ma maison entraînera un ombrage important sur mon terrain.
Créer de nombreux logements et équipements semble démesurée au regard des besoins réels de la ville. Les données disponibles montrent une stagnation de la population à St Malo et une baisse continue du nombre d’élèves et d’étudiants en Bretagne et dans la commune.
Il n’y aucune nouvelle école supérieure prévue.
Enfin je suis préoccupé par le béton qui va remplacer les terres agricoles et de zones naturelles sensibles et attaquer la biodiversité: eau, milieu humide
Et de ce fait je suis contre ce projet,et je pense avec concertation de la population que l'on peut trouver sur St malo.
En vous remerciant de votre attention, je vous prie d’agréer, Mesdames, monsieur , l’expression de ma considération distinguée.
Bertrand Maillard

Contribution n°52 (Web)

Par Côme
Déposée le 23 mai 2025 à 17h14
Madame, Monsieur,

Par la présente je souhaite vous faire part de mes réflexions autour de ce projet. Il s’agit d’un territoire auquel [...]
Madame, Monsieur,

Par la présente je souhaite vous faire part de mes réflexions autour de ce projet. Il s’agit d’un territoire auquel ma famille est très attachée et que nous fréquentons régulièrement, notamment avec nos jeunes enfants.
La Banneville, située en lisière sud de Saint-Malo, est aujourd’hui un espace résidentiel calme, à dominante rurale, traversé par des axes de circulation routiers secondaires, notamment la route qui relie le Pont Robert à la Fontaine aux Pélerins. Ce tronçon est connu pour sa dangerosité, du fait de la vitesse excessive des véhicules qui y circulent, et de l'absence d’aménagements pour les piétons ou les mobilités douces.
Nous avons, à plusieurs reprises, été témoins de situations particulièrement inquiétantes : dépassements dangereux, absence de visibilité en sortie de virage, véhicules roulant à vive allure en l’absence de contrôle de vitesse. Il est aujourd’hui très difficile de circuler à pied ou avec une poussette sur cette voie, qui ne dispose ni de trottoirs, ni d’un accotement praticable. Ce constat soulève une préoccupation majeure : la sécurité des riverains et des usagers de passage n’est aujourd’hui pas assurée.
Or, le projet d’OAP « Campus II » prévoit non seulement l’aménagement d’un nouveau boulevard de délestage à proximité immédiate du quartier, mais également une densification importante de l’habitat, avec la création de plusieurs centaines de logements. Cela induira mécaniquement une augmentation du trafic motorisé, notamment dans les voies traversant la Banneville.
À ce jour, aucune étude de circulation n’est jointe au dossier de l’enquête publique, du moins accessible au public. L’analyse d’impact semble absente, alors même qu’elle est indispensable pour anticiper les conséquences d’un tel projet sur un réseau viaire local déjà fragile. Cela pose une première série de questions légitimes :
Une étude de trafic, incluant des scénarios de report de circulation, a-t-elle été conduite pour le secteur de la Banneville ?
Quels volumes de circulation supplémentaires sont attendus suite à la mise en œuvre du projet Campus II ?
Quels aménagements sont envisagés pour assurer la sécurité des piétons et cyclistes, notamment sur la route Pont Robert – Fontaine aux Pélerins ?
Le dossier de l’ADBEH rappelle à juste titre que la transformation de l’avenue du Maréchal Juin (ex-RD301) et la création d’un nouveau boulevard supposent une modification en profondeur du schéma de circulation local. Ces infrastructures, si elles sont conçues sans analyse fine des effets secondaires, peuvent aboutir à un effet contre-productif : non pas la fluidification du trafic, mais son déplacement vers des voies inadaptées, comme celles qui traversent la Banneville.
La sécurité routière, en particulier pour les plus vulnérables (enfants, personnes âgées, cyclistes), doit être une priorité absolue. En l’absence de trottoirs ou de voies cyclables, ces populations sont directement exposées à un risque d’accident. Les documents présentés ne mentionnent aucun projet structurant d’apaisement du trafic pour ce secteur. Aucune modération de vitesse n’est envisagée. Aucun passage piéton sécurisé n’est prévu.
Par ailleurs, la configuration actuelle de la Banneville ne permet pas l’accueil d’un volume important de circulation sans dégrader significativement la qualité de vie des habitants : nuisances sonores, pollution de l’air, stress des riverains, perte de tranquillité. Le projet semble ignorer cette dimension humaine, pourtant essentielle.
Nous demandons donc à la commission de formuler des recommandations fortes auprès de la municipalité, afin que :
toute nouvelle infrastructure soit précédée d’une étude d’impact mobilité rigoureuse et indépendante ;
le projet tienne compte de l’ensemble des voies adjacentes affectées par le projet Campus II, y compris les routes de desserte de la Banneville ;
des mesures concrètes soient mises en œuvre pour réduire la vitesse et protéger les usagers fragiles sur les routes actuellement dangereuses (installation de chicanes, radars pédagogiques, trottoirs, pistes cyclables séparées) ;
une concertation soit organisée avec les riverains du secteur concerné, afin de prendre en compte leur expérience quotidienne du terrain.
Plus largement, ce projet d’aménagement, tel qu’il est présenté, soulève une contradiction de fond : il entend promouvoir un urbanisme durable, mais propose des infrastructures routières qui renforcent la dépendance à la voiture individuelle, sans offrir d’alternative crédible. Le Plan Global de Déplacements (PGD) de l’agglomération date de 2019 et ne semble pas avoir été actualisé dans le cadre de ce projet. Il serait pourtant nécessaire d’en actualiser les données, pour évaluer objectivement les besoins en déplacement et les capacités réelles du réseau.
Quelles sont les projections en matière de mobilité douce sur le secteur Banneville ?
Existe-t-il un budget alloué à la sécurisation de ces itinéraires, et dans quel calendrier ?
La création d’un boulevard à proximité immédiate ne va-t-elle pas aggraver les nuisances pour les riverains ?
Nous ne sommes pas opposés à l’évolution raisonnée du territoire, mais celle-ci ne peut se faire au détriment de la sécurité ni de la qualité de vie des habitants existants. Ce projet doit être repensé à l’échelle humaine, avec une attention particulière portée aux infrastructures existantes, à la tranquillité des quartiers, et à l’usage de la voirie par tous.
Je souhaite que vous puissiez, dans votre avis final, exiger de la municipalité de Saint-Malo :
la publication complète et transparente des études de circulation ayant motivé les choix d’aménagements ;
une évaluation d’impact détaillée sur la sécurité routière dans les quartiers traversés ;
l’intégration obligatoire d’aménagements de protection pour les piétons, les cyclistes et les familles ;
un moratoire sur la mise en œuvre de toute nouvelle voie tant que ces conditions ne sont pas remplies.
Je vous remercie pour l’attention portée à ces observations, qui traduisent une préoccupation sincère et partagée par de nombreux habitants du quartier.
Veuillez agréer, Madame, Monsieur, l’expression de ma considération distinguée.

Contribution n°51 (Web)

Par Emilie Collonge
Déposée le 23 mai 2025 à 17h12
À l’attention de :
Madame Anne RAMEAU
Madame Marie-Isabelle PERAIS
Monsieur Jean-Christophe BUAILLON
Membres de la commission d’enquête [...]
À l’attention de :
Madame Anne RAMEAU
Madame Marie-Isabelle PERAIS
Monsieur Jean-Christophe BUAILLON
Membres de la commission d’enquête publique

Madame, Monsieur,

Je vous adresse la présente contribution dans le cadre de l’enquête publique portant sur le projet de Plan Local d’Urbanisme (PLU) de la commune de Saint-Malo, et plus spécifiquement sur l’Orientation d’Aménagement et de Programmation (OAP) intitulée « Campus II », qui concerne le secteur de la Banneville.
Cette zone, que je connais bien pour y avoir de forts liens familiaux, est un espace naturel d’une grande valeur. La Banneville est un lieu de vie paisible et verdoyant, où la nature a su conserver une place importante malgré la pression urbaine croissante. C’est un territoire à la fois rural et vivant, qui joue un rôle essentiel dans l’équilibre écologique du sud malouin. C’est aussi un lieu de mémoire et de lien, qui participe à l’identité des quartiers périphériques de Saint-Malo.
La lecture du projet d’OAP « Campus II » fait apparaître une urbanisation importante de ce secteur, avec la perspective de constructions nouvelles, la requalification des voies et une densification de l’habitat. Or, cette perspective soulève plusieurs inquiétudes majeures, que je me permets d’exposer ici.
La fragilité écologique du secteur de la Banneville mérite une évaluation approfondie.
Ce territoire constitue un véritable corridor écologique, entre les zones humides du sud et les boisements plus au nord. Il héberge une biodiversité remarquable, incluant de nombreuses espèces végétales et animales. Sa destruction ou artificialisation partielle pourrait rompre l’équilibre de ces écosystèmes. Or, aucune étude d’impact environnemental indépendante ne semble être annexée au dossier d’enquête publique, en tout cas pas dans un format accessible aux citoyens. Cela soulève une première question : quelles études naturalistes ont été réalisées avant de planifier une telle opération ? Et surtout : les conclusions de ces études sont-elles compatibles avec les engagements environnementaux de la commune et de l’agglomération ?

En l’absence d’une cartographie précise des habitats naturels et d’un inventaire actualisé de la faune et de la flore, l’évaluation du projet reste lacunaire. La doctrine « éviter, réduire, compenser » impose que la destruction d’un milieu naturel soit strictement justifiée. À ce jour, rien ne prouve que cette exigence soit remplie pour l’OAP « Campus II ».
La logique d’étalement urbain entre en contradiction avec les objectifs de sobriété foncière.
Le projet PLU évoque l’accueil de nouveaux logements à proximité du campus universitaire et de l’IUT. Si cette intention peut se justifier à l’échelle métropolitaine, elle ne doit pas s’opérer au détriment des espaces naturels. Le Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) du Pays de Saint-Malo prône une densification des zones déjà urbanisées, non la consommation de nouveaux terrains vierges.
La Banneville constitue justement un de ces derniers bastions non urbanisés. Pourquoi privilégier l’ouverture de nouveaux secteurs à urbaniser, alors que des friches ou des zones à requalifier existent déjà dans les quartiers sud de Saint-Malo ? Une étude comparative a-t-elle été menée sur les alternatives de densification intra-urbaine avant de cibler la Banneville ?
Le Plan Climat Air Énergie Territorial (PCAET) du territoire met en avant des objectifs clairs de lutte contre l’artificialisation des sols. Le projet de PLU tel qu’il est présenté semble en décalage avec ces ambitions. Une planification urbaine cohérente doit s’inscrire dans la transition écologique, pas la retarder.
L’intégration paysagère et sociale du projet reste floue.
Le secteur de la Banneville ne dispose aujourd’hui ni d’infrastructures adaptées ni de services publics de proximité permettant d’envisager une urbanisation rapide. La route de la Buzardière est déjà surchargée aux heures de pointe. L’arrivée de nouveaux logements risque d’aggraver la congestion, sans réelle garantie d’un renforcement des mobilités douces ou des transports collectifs.

L’enjeu n’est pas seulement environnemental, il est aussi humain. La population locale, attachée à la qualité de son cadre de vie, n’a pas été suffisamment associée à la définition de cette OAP. Des ateliers de concertation ont-ils été organisés spécifiquement pour les habitants du secteur de la Banneville ? Si oui, quelles contributions citoyennes ont été retenues dans la version actuelle du projet ?

La mixité sociale, l’équilibre intergénérationnel, l’inclusion des jeunes et des familles dans des quartiers bien desservis ne peuvent être obtenus sans une réflexion globale sur l’urbanisme.

En l’état, l’OAP « Campus II » apparaît davantage comme une opération d’extension urbaine que comme un projet structurant fondé sur des principes durables. La mobilisation citoyenne en faveur des espaces naturels est croissante. Nous sommes nombreux à considérer que les zones comme la Banneville sont essentielles à l’équilibre de notre territoire. Préserver ces espaces, c’est aussi protéger nos enfants des effets du dérèglement climatique. C’est garantir la qualité de l’air, la régulation thermique, la préservation des nappes phréatiques. Des associations de protection de l’environnement locales ont déjà exprimé leur vigilance sur ce secteur. Si la municipalité persiste dans une logique de consommation d’espaces naturels, il est à craindre que ce projet suscite une opposition plus large, légitime, et potentiellement contentieuse.
À ce stade, la sagesse commanderait de surseoir à toute décision engageant l’avenir de la Banneville sans une réévaluation sérieuse de l’impact environnemental et social. Il est encore temps d’envisager d’autres scénarios d’aménagement.
Je souhaite soumettre aux membres de la commission les questions suivantes :
Quel bilan écologique détaillé a été établi pour le secteur de la Banneville avant sa désignation comme zone à urbaniser ?
Quels dispositifs concrets sont prévus pour compenser la perte de biodiversité liée à l’artificialisation des sols dans cette OAP ?
Quelles alternatives d’aménagement ont été étudiées pour réduire l’impact du projet sur les milieux naturels existants ?
Comment la commune prévoit-elle d’intégrer durablement les enjeux de résilience climatique dans ses projets d’aménagement ?
Pourquoi ne pas privilégier les secteurs déjà partiellement urbanisés pour répondre aux besoins en logements ?

En conclusion, je vous invite à recommander la suspension ou la révision de l’OAP « Campus II », tant que les garanties environnementales, sociales et démocratiques ne sont pas pleinement réunies. Le projet de PLU doit incarner une vision à long terme du territoire, respectueuse de ses richesses naturelles et de ses habitants. Ce serait, à mon sens, le véritable progrès. Je vous remercie pour l’attention portée à cette contribution, et pour le rôle crucial que vous jouez dans la préservation du bien commun à travers cette enquête publique.

Veuillez agréer, Madame, Monsieur, l’expression de ma considération distinguée.

Document joint


Contribution n°50 (Web)

Par Le Normand Pierre
Déposée le 23 mai 2025 à 16h40
Mesdames, Messieurs
Je souhaite faire part de mes inquiétudes concernant le projet d’aménagement prévu dans le quartier de Banneville. [...]
Mesdames, Messieurs
Je souhaite faire part de mes inquiétudes concernant le projet d’aménagement prévu dans le quartier de Banneville.
Ce projet a été lancé sans que les habitants concernés soient consultés.
Mon frère Bruno est directement touché, car une partie de son terrain a été intégrée au projet sans qu’il en soit informé.

Je m’inquiète également pour l’environnement : cette zone comprend des terres agricoles, des zones humides et une nature qu’il est important de préserver.
Un tel projet pourrait détruire un équilibre naturel fragile.
Je pense que Saint malo devrait donner l'exemple et stopper la bétonisation
J'ai 70 ans cette année. Quand petit j'allais en camping à St malo , c'était la plage quand il faisait beau et la campagne. quand il pleuvait. Aujourd'hui c'est la plage et le béton.
Et quand je vois ce qu'est devenu le camping de lafontaine, c'est triste d'avoir remplacé un lieu de camping par des immeubles.
Merci de tenir compte de mes remarques.
Pierre Le Normand

Contribution n°49 (Web)

Anonyme
Déposée le 23 mai 2025 à 16h00
J'ai lu avec attention les documents du projet de PLU de Saint Malo, la ville dans laquelle je réside tout au long de l'année.
La [...]
J'ai lu avec attention les documents du projet de PLU de Saint Malo, la ville dans laquelle je réside tout au long de l'année.
La logique de la conception du projet semble respecter la loi et les schémas supérieures. L'ensemble des documents sont clairs et précis.

Il y a un points qui ne me semble pas être logique, et qui, de plus, est lui-même précisé dans les document du projet de PLU : Ce projet de PLU est rédigé avant que l'Agglomération de Saint Malo ait finalisé et validé le (PSM) Plan de Submersion Marine. Hors 30% environ de la population de Saint Malo se trouve ou se trouvera dans les zones innondables !
Pour être trivial, pourquoi met-on la charue avant les boeufs ! En effet, si St Malo Agglo ne souhaite pas protéger ces secteurs dans lesquels vivent 30% de la population de la ville, une grande partie de ce projet de PLU deviendra totalement caduc. Il devra donc être totalement et entièrement revu :
- des surfaces constructibles ne le seront plus
- il faudra trouver d'autres surfaces constructibles pour l'habitat dans des zones qui ont été exclues pour diverses raisons : espaces verts, espaces protégés, zones artisanales ... et dans le cadre du ZAN

Je demande donc que ce projet de PLU ne soit pas validé, mais que le (PSM) Plan de Submersion Marine de St Malo Agglo soit d'abord rédigé, passé en enquête publique et puis approuvé par toutes les instances. Et qu'à la suite seulement, le projet de PLU soit mis en conformité avec le PSM, et puis soumis à enquête publique.

Contribution n°48 (Web)

Par I. Briand
Déposée le 23 mai 2025 à 15h57
Contribution sur la politique de logement à Saint-Malo

Saint-Malo connaît une pression immobilière importante. Cette dynamique, bien [...]
Contribution sur la politique de logement à Saint-Malo

Saint-Malo connaît une pression immobilière importante. Cette dynamique, bien que significative, doit être repensée pour répondre à des enjeux sociaux, environnementaux et démographiques urgents.

Aujourd’hui, 41 % des Malouins ont 60 ans ou plus et la moitié des ménages sont des personnes seules. À cela s’ajoute une forte présence de résidences secondaires et de logements sous-occupés, alors que de nombreuses maisons individuelles ont récemment vu le jour dans l’arrière-pays malouin, souvent sans répondre à des critères de densité ou de durabilité.

Dans ce contexte, je souhaite exprimer mon soutien au développement de logements à prix maîtrisés, respectueux de critères sociaux et environnementaux exigeants, afin de favoriser l’installation des familles et des actifs, aujourd’hui en difficulté pour se loger à Saint-Malo. Ainsi, seulement 20 % des logements seront construits en extension urbaine sur un total de 500 logements. il pourrait être aussi par exemple intéressant de densifier le secteur inutilisé de "Keriaden", d'urbaniser le secteur du complexe Henri Lemarié ou de remplacer par des immeubles de logements + commerces la zone But/Bricomarché située à Paramé.

Dans ce cadre, je suis favorable aux projets portés dans le cadre des OAP Campus, Rothéneuf et Houssaye, ainsi qu’aux opérations de densification douce prévues dans les secteurs déjà urbanisés. Ces démarches permettront d’éviter l’étalement urbain tout en apportant des réponses concrètes aux besoins des Malouins.

Je souhaite que la Ville et l’Agglomération continuent à soutenir ces orientations, tout en veillant à la qualité des projets, à leur insertion dans les quartiers existants et à leur accessibilité pour les ménages modestes et intermédiaires.

Contribution n°47 (Email)

Par Lydie Brondello
Déposée le 21 mai 2025 à 17h39
Objet : Fwd: Requête OAP Campus II

Envoyé de mon iPad

Début du message transféré :

De: Lydie Brondello <lydie.brondello@>
Date: [...]
Objet : Fwd: Requête OAP Campus II

Envoyé de mon iPad

Début du message transféré :

De: Lydie Brondello <lydie.brondello@>
Date: 21 mai 2025 à 17:37:27 UTC+2
À: enquete-publique-6183@registre-dematerialise.fr
Objet: Requête OAP Campus II


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Disponible jusqu'au 20 juin 2025
Mesdames, Monsieur les enquêteurs,

Voici un complément à ma requête dématérialisée 17.
Vous en souhaitant une bonne lecture,

Lydie Brondello
3 bis la Banneville
Saint-Malo


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