Les contributions

Contribution n°71 (Web)

Par yolande
Déposée le 21 janvier 2025 à 20h26
pour la protection intégrale de ce site merveilleux, qui doit être mis à l'abri du tourisme dévastateur pour la faune !

Contribution n°70 (Web)

Par ARMATI Jean-Louis
Déposée le 21 janvier 2025 à 19h50
A quoi servent les textes de protection s'ils ne sont pas appliqués ? Il faut une surveillance permanente et renforcée à certaines [...]
A quoi servent les textes de protection s'ils ne sont pas appliqués ? Il faut une surveillance permanente et renforcée à certaines périodes de l'année et notamment à l'époque de la nidification, de l'élevage et du nourrissage des jeunes balbuzards, sinon laissez tomber!

Contribution n°69 (Web)

Par Ruchon, Patrice
Déposée le 21 janvier 2025 à 12h12
Si ce site magnifique veut réellement être une réserve, il est indispensable de beaucoup plus le protéger : limiter drastiquement [...]
Si ce site magnifique veut réellement être une réserve, il est indispensable de beaucoup plus le protéger : limiter drastiquement l'accès aux multiples embarcations dans les zones protégées (en mer) et interdire l'accostage.
La destruction progressive de cet environnement de survie d'espèces en voie de disparition est une catastrophe pour la réputation de la Corse "Ile de Beauté" d'une part, mais finira par tuer les entreprises vivant uniquement de ce commerce (location de bateaux, promenades, ...) d'autre part.
Il est temps de prendre des décisions courageuses en incitant les nombreux touristes à se tourner vers d'autres sites moins critiques.
La nouvelle proposition de réglementation est un début courageux qu'il faut absolument appliquer.

Contribution n°68 (Web)

Par Joël Jenin
Déposée le 21 janvier 2025 à 11h59
De multiples alertes sur les atteintes à la santé environnementale de la Réserve de Scandola ont été émises par le groupe d'experts [...]
De multiples alertes sur les atteintes à la santé environnementale de la Réserve de Scandola ont été émises par le groupe d'experts de la Convention de Berne depuis plus de 10 ans, aucune n'avait eu d'effet dans la gestion de la Réserve de Scandola. La perte du Diplôme Européen des espaces protégés en 2020 a marqué l'impérieuse nécessité de mettre un terme aux dérives constatées. La réaction plus récente de l'Unesco a sans doute contribué aussi à la révision du décret initial de 1975. Les associations et la pression de l'opinion publique auprès des instances politiques insulaires ont aussi eu leur rôle. Il suffisait d'aller à Scandola en été pour constater la surfréquentation ou hyperfréquentation de la Réserve durant l'été avec ses multiples excès : centaines de bateaux, mouillage nocturne, vitesses excessives, nuisances sonores en surface et sous-marines, débarquement sur la plage d'Elbu malgré l'interdiction, embouteillage pour entrer dans la faille sous Palazzu. Le lien entre l'échec reproductif du balbuzard pêcheur et l'hyper-fréquentation touristique a été clairement établie par le scientifiques. Il était tout à fait incompréhensible que la partie terrestre soit totalement interdite d'accès, alors que la partie maritime était tellement fréquentée.
Le projet de nouveau décret est donc très positif en instituant deux zones de protection intégrale et renforcée où toute circulation en mer est interdite toute l'année, le mouillage prohibé jour et nuit avec plus largement une zone de quiétude autour des nids de balbuzards de février à fin août , cohérente du point de vue ornithologique. Le fait de ne plus pouvoir naviguer en utilisant la passe de Gargallo entraîne un détour de moins d'un kilomètre, donc tout à fait mineur pour des bateaux généreusement motorisés. Les documents mentionnent aussi l'attribution de licences pour les bateliers sans que cette question soit évoquée plus précisément dans le projet de décret. La diminution du nombre d'embarcations sur la zone doit être un objectif, pour soulager la pression dans l'ensemble de la zone. Les intentions sont bonnes, il faut que cela soit suivi d'effet sur le terrain avec balisages, information aux loueurs, présence effective de gardes.
Les semi-rigides avec des moteurs de 2x300 CV génèrent un bruit sous-marin nocif, cette puissance devrait être réduite y compris en dehors de la Réserve de Scandola dont la surface est très limitée ( 200 Ha) par rapport à la zone classée au Patrimoine mondial. L'apparition de ces semi-rigides de 12 places ont permis l'augmentation de nombre de rotations quotidiennes sur Scandola.
Seule restriction, d'après le plan montrant la ZPI, il semble que la faille sous la Punta Palazzu dont l'entrée est orientée Nord ne soit pas incluse, mais soit seulement en ZPR, alors que c'est précisément celle qui concentre le maximum de bateaux avec une forte pollution aux hydrocarbures du fait de l'exiguïté de l'endroit. La présence d'un nid à cet endroit interdirait l'accès à la faille étant en ZPR ?
Je suis globalement favorable à ce projet de décret.

Contribution n°67 (Web)

Par Pistoresi Valérie
Déposée le 20 janvier 2025 à 20h10
Enfin un projet qui va dans le sens de l’histoire de la science et du bon sens, cette réserve doit être protégée bec et ongles, sans [...]
Enfin un projet qui va dans le sens de l’histoire de la science et du bon sens, cette réserve doit être protégée bec et ongles, sans modération et même plus!

Contribution n°66 (Web)

Par Michel Cornette
Déposée le 20 janvier 2025 à 12h17
Cette révision est une nécessité absolue si ce magnifique département veut se préserver du sur-tourisme et des pressions financières.
Cette révision est une nécessité absolue si ce magnifique département veut se préserver du sur-tourisme et des pressions financières.

Contribution n°65 (Web)

Anonyme
Déposée le 20 janvier 2025 à 11h41
La réserve de Scandola n'a de réserve que le nom, et ce nom c'est du marketing territorial. D'autant plus qu'elle n'a visuellement [...]
La réserve de Scandola n'a de réserve que le nom, et ce nom c'est du marketing territorial. D'autant plus qu'elle n'a visuellement rien n'a envie au Senino ou Capo Rosso.

En plein coeur de la saison estivale, il suffit de se mettre au niveau de Gargalo pour constater que toutes les 90 secondes passe une embarcation motorisée. Et ce dès 9h le matin !
La vitesse de 5 noeuds dans la bande côtière des 300 m n'est clairement pas respectée par les semi-rigides.

Lunaire, j'ai vu des gardes aller saluer et demander si tout va bien à des personnes ayant débarqué pour pique-niquer à terre au fond de l'anse de Gattaghja. Des bateaux SR et vedettes passer plein pot sous les nids HYPER visibles au sud de Cala di Ponte.

Faire des isochrones sur une carte et dire qu'il est interdit d'y passer c'est bien mais cela restera moins efficace que d'accompagner les acteurs économiques locaux par une label, un recyclage et des contrôles sur le respect des chartes (cf. Syndicat de Gestion des Gorges de l'Ardèche). L'accès ne doit pas y être interdit, il doit être davantage réglementé, contrôlé. Privilégier des bateaux plus petits, plus discret, instaurer des quotas.

Enfin raisonner uniquement sur Scandola va déplacer le problème de la sur-fréquentation sur d'autres sites tels que le Capo Rosso... Pour rappel, Scandola n'est pas la plus grosse concentration de balbuzards sur la façade ouest. Vous avez des nids autour du Senino, et encore 3-4 nids au moins entre le Senino et Porto. Deux entre Porto et Ficaghjola, Facilement 4 voire 5 encore entre Ficaghjola et Arone. Dans la baie de Topiti et autour d'Orchinu 2-3 nids supplémentaires.

Contribution n°64 (Web)

Par Michel Ceccaldi
Déposée le 20 janvier 2025 à 09h00
Je constate que ce sont les personnes qui ne sont pas concernées par les restrictions qui sont les plus sévères. Je voudrais bien [...]
Je constate que ce sont les personnes qui ne sont pas concernées par les restrictions qui sont les plus sévères. Je voudrais bien les voir le jour où ce sera leur tour.

Contribution n°63 (Web)

Anonyme
Déposée le 19 janvier 2025 à 20h13
Bonjour, cette réserve mérite une grande attention, la pêche par des professionnels devrait être réglementée quant aux bateliers et [...]
Bonjour, cette réserve mérite une grande attention, la pêche par des professionnels devrait être réglementée quant aux bateliers et location de bateaux une stricte réglementation ainsi qu une limitation sévère devraient être envisagées.

Contribution n°62 (Web)

Par Cingal Georges
Déposée le 19 janvier 2025 à 18h13
L'ouverture des réserves naturelles avait un objectif pédagogique. Force est de constater que la fréquentation n'est pas toujours [...]
L'ouverture des réserves naturelles avait un objectif pédagogique. Force est de constater que la fréquentation n'est pas toujours causée par une curiosité intellectuelle.
La surfréquentation induit une dégradation de la biodiversité.
Je partage l'avis d'U Levante : la révision du décret s'impose naturellement.

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