Contribution n°12 (Web)
Déposée le 7 avril 2025 à 11h41
Quand on parle de SCoT- AEC, on parle d'un projet de territoire pour 20 ans.
Deux priorités vitales pour ses habitants s'imposent : la résilience au changement climatique et la préservation des terres agricoles et de la biodiversité, précisé en page 3 du guide de l'exposition " en économisant les ressources, en limitant l'artificialisation du sol, tout en prenant en compte le bien-être, la qualité de vie et l'adaptation au changement climatique".
Défi 4 : « considère que la façon dont nous utilisons les espaces, la terre constitue avant tout une ressource qui devient inerte quand elle est artificialisée »
Il nous semble donc indispensable de réserver l'utilisation de la terre pour développer le maraichage Bio qui permettrait de nourrir les enfants dans les cantines scolaires et les collectivités ainsi que la population en général.
Quelle cohérence avec les 9 projets de plateforme logistique sur la Sarthe plus de 400 000 m2 de bâtiments sur 100 ha de terres agricoles, la première nuisance de ces projets réside dans l’artificialisation irréversible des terres.
Pour le Pays du Mans, 4 projets :
- Trangé, arrêté préfectoral ICPE Enregistrement du 14 avril 2023 et permis de construire le 11 juillet 2023 ;
- Ecommoy, dépôt dossier ICPE Enregistrement en préfecture le 3 octobre 2024 et demande de permis de construire le 8 octobre 2024 ;
- La Milesse et La Bazoge, aucune formalité administrative en cours.
Le site du projet de La Milesse est au 2/3 sur une friche.
Défi 5 : « diminuer le nombre de véhicules sur les routes, réduire les embouteillages, les bruits et la pollution »
Quelle cohérence avec les 9 projets de plateforme logistique sur la Sarthe sachant qu’un seul de ces projets prévoit 100 poids lourds par jour et 200 VL jour (dossier ICPE projet Ecommoy).
Il faut ajouter à cela la circulation de camions liée au projet d'usine à Pellets également située sur Ecommoy et très proche du projet d’entrepôt logistique.
Défi 7 : 5000 vélos Setram :
Uniquement sur le Mans et qu’en est-il pour les campagnes ? Les habitants des campagnes restent dépendant de la voiture ce qui provoque une pollution importante. Le SCoT- AEC semble ne pas prendre en compte la spécificité du déplacement en zone rurale. Il est indispensable de développer des pistes cyclables également en campagne.
Défi 8 : " Rendre le renouvelable désirable. « C’est avant tout affirmer que ces nouvelles énergies font partie intégrant de notre cadre de vie ».
Il est indispensable d'utiliser des toitures plutôt que des surfaces agricoles qui doivent être maintenues pour l'alimentation des habitants.
Défi 9 : " Une des priorités est de réduire les vulnérabilités du territoire et de s'adapter au changement climatique."
Or l'artificialisation des sols au travers des projets d'entrepôt est à l'opposé de ces objectifs.
Défi 11 : Le Zéro artificialisation nette " afin de préserver les espaces agricoles et naturels, support de la production alimentaire, de bio-diversité"
Défi 12 : Sobriété foncière, décarbonation et qualité des paysages
Défi 13 : " épargner les ressources dans tous les sens du terme"
Quelle cohérence avec les 9 projets de plateforme logistique sur la Sarthe dont 4 concernent le pays du Mans ?
En ce qui concerne le recyclage, celui du verre est extrêmement gourmand en énergie, pourquoi ne pas envisager un centre de lavage de verre ?
En conclusion,
Au regard de ce qui vient d'être mentionné et au regard des objectifs du SCoT- AEC :
- OBJECTIF 1 - Préserver et améliorer la qualité de l’eau du territoire (page 31/82),
- OBJECTIF 17 - Limiter l’imperméabilisation et végétaliser les milieux urbains (page 31/82)
OBJECTIF 31 - Renforcer la préservation des espaces agricoles et naturels face à l’artificialisation (page 32/82)
- OBJECTIF 39 - Réduire et « éviter » la consommation des espaces NAF pour l’activité économique et commerciale (page 32/82)
- OBJECTIF 40 - Conforter et renforcer les continuités écologiques et corridors
L'association Orée de Bercé Belinois Environnement constate que les projets d’entrepôts logistique envisagés sont contraires aux objectifs du SCoT- AEC, contraires aux attendus de la Loi Climat et résilience et contraire aux préconisations émises par le GIEC, observe que les projets logistiques sont envisagés sans concertation avec les populations et les besoins et ne sont nullement démontrés.
Dans le nouveau SCoT- AEC, le projet d'entrepôts logistique d'Ecommoy ne doit pas être maintenu.
Contribution n°11 (Web)
Déposée le 6 mars 2025 à 21h23
Même remarque pour Laplace de la république et du jet d’eau.
Une deuxième contribution serait de développer la fréquence des trains ter pour en faire de véritables trains de banlieue un peu comme des extensions du tramway jusqu’à montbizot, conlie , ecommoy la suze, connere pour remplacer les flux automobiles aux abords de la ville. Mais cela ne peut tenir que si ces trains de banlieue sont fréquents et fiables en termes de circulation. Peut être confier ces réseaux à la de tram plutôt que la sncf, incapable d’assurer sa mission de service public.
Contribution n°10 (Web)
Déposée le 5 mars 2025 à 21h32
Contribution n°9 (Web)
Déposée le 7 janvier 2025 à 11h10
Document joint
Contribution n°8 (Web)
Déposée le 16 novembre 2024 à 18h19
Il est absolument primordial de poursuivre les réflexions afin d'améliorer l'offre de transports en commun (avec des horaires adaptées aux besoins actuels) notamment pour la deuxième couronne de Le Mans Métropole non dotée de ligne ferroviaire.
La présence de lignes de transports en commun est un atout majeur pour l'attractivité d'une commune et d'un territoire. Ce type d'infrastructure de transport offre de nombreux avantages, à la fois économiques, sociaux, et environnementaux, qui renforcent l'attrait d'une région pour les résidents, les entreprises, et les visiteurs.
Accessibilité et mobilité améliorées : Une ligne de transport en commun facilite les déplacements vers les centres urbains, les zones d’emploi, les institutions éducatives et les lieux de loisir. Les habitants des communes bénéficient ainsi d’une alternative aux déplacements en voiture, réduisant ainsi le stress et les coûts associés au transport individuel. Cela contribue à attirer de nouveaux résidents, notamment les jeunes actifs et les familles, qui recherchent des solutions de transport pratique et économique.
Dynamisme économique et création d’emplois : La présence d’une ligne de transport en commun favorise le développement économique local. Les entreprises y voient un moyen de recruter une main-d’œuvre plus large grâce à une accessibilité accrue, et cela contribue indirectement à la création d’emplois et à l’augmentation des revenus fiscaux de la commune.
Réduction de l'empreinte écologique : Les transports en commun sont des moyens de transport bien moins polluants que la voiture. En proposant une alternative au transport individuel, ceci contribue à la réduction des émissions de gaz à effet de serre et des embouteillages, et participe aux objectifs de transition écologique que poursuivent de nombreuses collectivités.
En somme, une ligne de transport en commun est un levier essentiel de développement et d’attractivité pour une commune et son territoire. Elle améliore la qualité de vie des habitants, soutient l'économie locale, attire les visiteurs, et contribue à des pratiques de mobilité durable, renforçant ainsi l’ensemble de la communauté.
Contribution n°7 (Web)
Déposée le 17 octobre 2024 à 10h19
2- dans les zones à proximités de la rivière , zone non pas en bordure mais éloignée de 50 metres et plus ou le niveau d eau a été de moins d un mètre lors des inondations , pourquoi ne pas autoriser la mise en place de terrain de sport ou de terrains de boules ou de creer des jardins pour particuliers avec des locaux sur pilotis ou de construire des locaux où des bureaux sur pilotis , avec la raréfaction des surfaces constructibles, cela serait une solution pour avoir plus de surface et utiliser des surfaces qui ne servent à rien actuellement
Contribution n°6 (Web)
Déposée le 7 octobre 2024 à 21h54
Façonner un urbanisme sain :
-préserver les arbres dans les villes en toute circonstance (remplacer des arbres de 50 ans par des jeunes est un non-sens en matière de CO2)
-valoriser les espaces verts
-limiter les enrobés et les revêtements imperméables au profit de surfaces drainantes quand c'est possible ( parking)
-développer les trottoirs vivants
-valoriser les entretiens raisonnés ( bernes et jardins)
-penser à l'accessibilité des PMR
-favoriser l'accès des villages en mobilités douces
Un territoire rural répondant aux enjeux écologiques :
-favoriser réellement les mobilités douces en zone rurale par la création de voies sécurisées pour les vélos ( pistes cyclables Ruaudin Le Mans / Parigné Le Mans / Mulsanne Antarès )
-préserver les haies en campagne. Inciter à leur entretien. Poursuivre les incitations à la plantation. Favoriser les fruitiers, les haies bocagères et interdire la plantation de l'érable sycomore dans les haies en zone rurale
-préserver les environnements boisés par des mesures de prévention (ex : interdire par exemple l'accès des voitures dans les chemins de forêt ( sauf propriétaires et exploitants))
-préserver nos chemins tout en conservant la nature des sols et leur structure initiale
-proscrire l'utilisation des gravats (et des déchets ! ) issus du concassage de la déchèterie dans les chemins boisés au prétexte de les entretenir ou de faire des économies.
-penser le cheval comme mobilité écologique quand on aménage une voie verte ...certains départements y arrivent....pourquoi pas la Sarthe !
Documents joints
Contribution n°5 (Web)
Déposée le 28 septembre 2024 à 11h03
depuis des années, je demande avec d'autres utilisateurs, de déchetterie de Conlie, de modifier l'accès à la borne d'entée, qui est vraiment pas pratique du tout,
M.Méténier ainsi que Mme Radou m'avaient promis de faire le nécessaire, et toujours rien,
j'espère que bientôt elle sera modifiée,
merci
Contribution n°4 (Web)
Déposée le 28 septembre 2024 à 10h14
Contribution n°3 (Web)
Déposée le 26 juin 2024 à 11h05
" l'agrivoltaique"