Les contributions

Contribution n°187 (Web)

Anonyme
Déposée le 7 décembre 2025 à 14h51
Non aux éoliennes.

Contribution n°186 (Email)

Par THOMAS Nicolas
Déposée le 6 décembre 2025 à 10h45
Objet : Projet éolien à Levroux

Monsieur le Commissaire-enquêteur,

Aucune séance du Conseil communautaire de la Communauté de communes [...]
Objet : Projet éolien à Levroux

Monsieur le Commissaire-enquêteur,

Aucune séance du Conseil communautaire de la Communauté de communes Val de l'Indre-Brenne et du Conseil municipal de la Ville de Buzançais n'est prévue dans les délais, très courts, fixés pour émettre un avis sur la demande d'autorisation environnementale d'exploiter un parc éolien sur la commune de Levroux.

Néanmoins, je vous affirme mon entière opposition à ce projet présenté par la Société Ferme éolienne de Saint-Martin-de-Lamps.

Cordialement
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Document joint


Contribution n°185 (Web)

Anonyme
Déposée le 6 décembre 2025 à 15h09
Je souhaite que des eoliennes soit installées sur la commune pour lutter contre les changements climatiques. Pour l'avenir de nos [...]
Je souhaite que des eoliennes soit installées sur la commune pour lutter contre les changements climatiques. Pour l'avenir de nos enfants, il est important de décarboner notre production d énergie.

Contribution n°184 (Web)

Par Menut Dorothée
Déposée le 5 décembre 2025 à 19h49
Non aux éoliennes en surnombre dans notre Champagne Berrichonne

Contribution n°183 (Email)

Par VANDENBORRE Sarah
Déposée le 5 décembre 2025 à 14h09
Objet : Parc éolien Saint-Martin-de-Lamps

Madame, Monsieur,

Je vous prie de trouver ci-joint la délibération prise par le conseil [...]
Objet : Parc éolien Saint-Martin-de-Lamps

Madame, Monsieur,

Je vous prie de trouver ci-joint la délibération prise par le conseil de la
Communauté de Communes Ecueillé – Valençay le 25 novembre dernier concernant
l'implantation et l'exploitation d'un parc éolien à Saint-Martin-de-Lamps.

Je vous en souhaite bonne réception.

Cordialement,







Sarah VANDENBORRE

Assistante de direction

Chargée de mission transition énergétique
02 54 00 32 38

Communauté de Communes Ecueillé – Valençay
23, avenue de la Résistance 36600 VALENCAY

<http://www.cc-ecueille-valencay.fr/> www.cc-ecueille-valencay.fr

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Contribution n°182 (Web)

Par Delrue Clotilde
Déposée le 5 décembre 2025 à 07h52
Non au projet d’éolienne aux éoliennes de levroux !

La brenne est proche avec ses oiseaux singuliers cela aurait encore un impact [...]
Non au projet d’éolienne aux éoliennes de levroux !

La brenne est proche avec ses oiseaux singuliers cela aurait encore un impact sur ces populations.

Non pour le paysage degradé

Contribution n°181 (Web)

Par Association de Défense de l'Environnement de Villentrois Faverolles en Berry
Déposée le 4 décembre 2025 à 21h00
Notre association ADEV (Association pour la Défense de l'Environnement de Villentrois Faverolles en Berry) formule un avis défavorable [...]
Notre association ADEV (Association pour la Défense de l'Environnement de Villentrois Faverolles en Berry) formule un avis défavorable au projet, pour les motifs suivants :

1. saturation du territoire

Le territoire concerné est déjà fortement équipé en éoliennes industrielles (cf l'arrêté du Préfet du 24 juin 2024 pour un autre projet sur LEVROUX ). Ce dossier est à considérer non comme un objet isolé. Il s'avère que l’enjeu est celui du cumul avec l'ensemble des parcs du secteur.
- Etude paysagère : quid de la forêt de mâts désormais visible à l’échelle du plateau, en particulier en direction d'Issoudun ?. Cf arrêté du Préfet du 24 juin qui évoque une composition déséquilibrée dans un grand paysage, la nécessité de préserver le territoire à l'ouest de l'axe Châteauroux-Levroux.
- Les formulations du dossier évoquent une « d’insertion satisfaisante », la « lisibilité du paysage » ou une « faible altération des perceptions », reposant ainsi sur des jugements (absence de grille de lecture objective avec des indicateurs chiffrés).
- La préservation des paysages emblématiques du Boischaut Nord et de la silhouette de la commune de Levroux ne peut être reléguée au second plan. quid également de la conformité aux règles d'urbanisme?

2. des effets cumulés minimisés, avec un traitement réservé à ce seul parc
Le Code de l’environnement impose la prise en compte des effets cumulés avec les autres projets et installations. Or :
- Le dossier ne présente que quelques cartes, quelques phrases, mais à notre sens pas une vraie modélisation cumulative ni de scénario global à la bonne échelle, celle du bassin de vie (bruit, avifaune, chiroptères ou paysage...) .
- La MRAe rappelle l'exigence d'une analyse d’ensemble. Le maître d’ouvrage se contente souvent de réaffirmer que « les impacts resteront faibles ». Produit-il de nouvelles données ou des études complémentaires à l’échelle pertinente ? Cela ne nous semble pas être le cas.
- Chaque parc est présenté comme supportable « pris isolément ". La réalité pour les habitants est une accumulation, en continue.

3. Des approximation et angles morts de l’étude acoustique
Les études acoustiques produites nous semblent insuffisantes et partielles, avec une minimisation systématique des nuisances subies par les riverains :
- Les modélisations se fondent généralement sur des hypothèses moyennes de vent et de fonctionnement, alors que les scénarios les plus pénalisants (vents forts, direction du vent alignée vers les habitations, fonctionnement nocturne continu) ne sont pas analysés spécifiquement.
- Le traitement du bruit basse fréquence, du bruit tonal et des phénomènes de modulation d’amplitude (effet « woof-woof ») est absent à notre sens et ce sont ces phénomènes qui sont les plus mal supportés par les riverains.
- Il n’apparaît pas de véritable plan de suivi acoustique post-mise en service, avec critères et modalités clairs de remise en conformité, ni les moyens concrets pour les riverains d’obtenir des mesures indépendantes en cas de gêne.

4. La faiblesses des inventaires naturalistes et de l’analyse biodiversité
Sur la faune (oiseaux, chauves-souris), l’étude reste très en-deçà de ce que l’on serait en droit d’attendre :
- Les inventaires sont limités dans le temps (nombre restreint de sorties, plages horaires réduites, périodes de passage migratoire). Des conclusions, qui se veulent rassurantes (« impact faible »), ne reposent pas sur des données pluriannuelles robuste. Les conclusions du type "un état de conservation favorable" de la population des espèces protégées, sont évasives bien en deçà des attendus, qui plus est non objectif.
- Les risques de collision et de dérangement sont analysés essentiellement sur ce parc, sans prendre en compte la fragmentation cumulative des habitats, liée à la multiplication des lignes de mâts ainsi que des plateformes d’accès très présents dans le nord de l'Indre.
- Les réponses aux remarques de la MRAe restent pour l’essentiel déclaratives : le pétitionnaire réaffirme que les impacts sont maîtrisés, et se réfère à des études générales. Il met en avant la possibilité d'une collaboration avec Indre Nature, sans engagements précis et avec des réserves. Il y a ainsi un décalage manifeste entre le niveau de sensibilité écologique du secteur et la modestie des mesures dites « ERC » (éviter, réduire, compenser), qui ressemblent plus à un habillage administratif, une stratégie pour répondre aux observations, qu’à une véritable stratégie de protection.

5. Démantèlement, garanties financières et pollution des sols
Le dossier évoque le démantèlement futur et les garanties financières, mais de façon incomplète et peu convaincante :
- Les coûts de démantèlement nous semblent sous-estimés. Quid de l’augmentation prévisible des coûts de main-d’œuvre, de transport et de traitement des déchets dans 20–25 ans ?
- Les garanties financières sont traitées de manière générale, sans démonstration concrète que les montants seront suffisants pour couvrir l’intégralité du démantèlement (y compris l’excavation réelle des massifs béton, et pas seulement un arasement superficiel).
- Le risque de pollution durable des sols (fuites d’huiles, béton enfoui, câbles, plateformes) est minimisé ; les modalités de remise en état sont très théoriques. Il y a de très fortes probabilités que le béton ne soit pas totalement excavé au regard de la possibilité ouverte à ce jour par le législateur, ce que ne manque pas de rappeler le dossier.
Dans un territoire préservé, ces approximations sur la fin de vie des installations sont particulièrement préoccupantes.

6. Utilité énergétique contestable au regard des nuisances locales
Au plan énergétique, le dossier se contente de répéter les éléments de langage habituels (contribution à la transition énergétique, équivalent nombre de foyers, CO₂ évité) sans :
- Mettre en regard la production intermittente réelle avec les besoins locaux et les contraintes du réseau (nécessité de moyens pilotables de secours, renforcement de lignes, etc.). A ce titre rappelons l'arrêté préfectoral de juin 2024 qui fait mention de la contribution de l'Indre,2d producteur d'énergies renouvelables de la Région Centre Val de Loire, la production atteignant déjà les besoins de consommation
- Discuter honnêtement du facteur de charge réaliste pour ce type de machines dans la région, par rapport aux données publiques disponibles.
- Fournir une analyse coût-bénéfice complète intégrant les pertes de valeur foncière, les nuisances paysagères et sonores, la désorganisation des usages agricoles et cynégétiques.
Ainsi, l’« utilité publique » mise en avant apparaît très théorique, alors que les nuisances locales, elles, sont certaines et immédiates.

7. Rejet clair de la population locale et contradiction avec la notion d’acceptabilité
Le dossier insiste sur des dispositifs d’« information » et de « concertation ». Dans les faits :
- Le conseil municipal, ainsi que de nombreux habitants, ont exprimé un refus net de ce projet supplémentaire, dans une zone menacée par l'avancée des parcs saturants les paysages autour d'Issoudun .
- Les réponses du pétitionnaire balayent ces oppositions en quelques lignes, en parlant d’enjeux « de perception » ou « de ressenti », sans jamais prendre au sérieux cette absence d’acceptabilité sociale.
- Il y a là une contradiction flagrante entre la rhétorique de la « transition juste » et la réalité d’un projet imposé à une population qui n’en veut plus, d'autant qu'il semblerait que les propriétaires des terrains sont à ce jour opposés à l'implantation de ce parc.

Aussi, nous demandons à la commission d’enquête d’émettre un avis défavorable et à l’autorité compétente de refuser l’autorisation ICPE pour le projet de parc éolien de Saint-Martin-de-Lamps / Levroux.

Le Collège des Administrateurs

Contribution n°180 (Mairie de Levroux)

Par MOULIN Denis
Déposée le 4 décembre 2025 à 18h45
Merci, de bien vouloir prendre en compte cette contribution (RP n°6)

Document joint


Contribution n°179 (Mairie de Levroux)

Par COLLIN Jackie & PITET Simone
Déposée le 4 décembre 2025 à 18h41
Merci, de bien vouloir prendre en compte cette contribution (RP n°5)

Document joint


Contribution n°178 (Web)

Anonyme
Déposée le 4 décembre 2025 à 17h46
Bonjour, il y a trop d’éoliennes dans le nord de l'Indre, je suis défavorable au projet à Levroux

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