Contribution n°8 (Web)
Déposée le 29 avril 2025 à 17h43
Je souhaite signaler une incohérence importante relevée entre les annonces publiques faites par Monsieur le Maire et le contenu officiel du dossier de modification du PLU n°2 actuellement soumis à enquête publique.
Lors des réunions de quartier, le Maire a indiqué la création d’un rond-point au niveau du bois du Tamariguer, qui ferait également office d’entrée pour le camping Roussillonnais. Pourtant, dans le document de modification du PLU, l’emplacement réservé n°33, censé correspondre à ce projet, est situé environ 100 mètres plus à l’est, à l’intersection du chemin de la Marende et de la Route du Littoral.
Ce décalage géographique significatif soulève plusieurs interrogations :
- S’agit-il d’une erreur dans les documents officiels ?
- Le rond-point annoncé sera-t-il réellement construit là où il est indiqué dans le PLU ?
- Faudra-t-il en prévoir deux ?
Pourquoi une telle divergence entre communication publique et planification réglementaire ?
Cette situation n’est malheureusement pas isolée. D’autres projets, comme celui du Parc Marin, ont déjà été annoncés dans un secteur du PLU mais réalisés ailleurs dans les faits. De même, des dispositions du règlement ouvrent la voie à des projets non explicitement annoncés, comme des logements et commerces sur l’Esplanade du Roussillon.
Ces zones d’ombre sont problématiques. Elles mettent en question la transparence, la concertation et la clarté attendues dans un document d’urbanisme censé encadrer de manière précise l’avenir du territoire communal.
Je demande donc :
- Que les emplacements réservés soient revus et clarifiés pour correspondre aux projets annoncés ;
- Que toute modification d’implantation significative fasse l’objet d’une communication publique claire, et si nécessaire, d’une nouvelle concertation.
Le PLU engage le futur d’Argelès-sur-Mer pour les années à venir. Il est essentiel que les habitants puissent s’y référer en toute confiance.
Contribution n°7 (Web)
Déposée le 29 avril 2025 à 17h38
Je souhaite attirer l’attention sur l’usage du terme mixité sociale dans le cadre de la modification n°2 du PLU actuellement soumis à enquête publique.
Le document présente cette notion comme un objectif affirmé. Toutefois, en analysant les zones concernées, on constate un écart préoccupant entre l’affichage de l’intention et les moyens réels mis en œuvre.
En effet, la zone identifiée pour accueillir cette mixité est localisée en secteur Plage Nord, notamment dans les zones UDb1 et UDc, soit des secteurs où une grande partie des bâtiments sont classés au patrimoine bâti. Cela signifie que ces constructions sont protégées, non modifiables, et par conséquent quasiment inconstructibles.
Il paraît dès lors contradictoire – voire illusoire – de désigner une zone de mixité sociale dans un secteur où il est structurellement impossible de développer une offre nouvelle de logements, a fortiori sociaux ou accessibles.
Par ailleurs, la seuil de 1000 m² de surface pour déclencher l’obligation d’intégrer des logements sociaux est maintenu. Dans un tissu urbain fragmenté comme celui d’Argelès, ce seuil est trop élevé pour produire des effets concrets. Il ne contraint pratiquement aucun projet, et laisse donc libre cours à un urbanisme sans obligations de mixité.
Dans une commune classée en zone tendue, où la pression sur le logement est forte et l’accès au logement de plus en plus difficile, il est regrettable que cette modification du PLU n’introduise aucune disposition sérieuse, contraignante ou incitative pour favoriser une réelle mixité sociale.
Je demande donc que cette modification du PLU soit revue afin de :
- Repositionner les zones de mixité sociale dans des secteurs réellement constructibles et proches du cœur de village ;
- Réduire le seuil de surface déclenchant l’obligation d’intégration de logements sociaux, pour rendre cette obligation réellement applicable.
Contribution n°6 (Web)
Déposée le 29 avril 2025 à 17h32
Prenons l'exemple du Boulevard du Canigou : dans cette zone, les constructions ont toujours été implantées en retrait par rapport à la route. Or, le PLU spécifie ce qui suit pour l'implantation des façades des nouvelles constructions :
À l’alignement de la voie ou de l’emprise publique qui s’y substitue
Dans une bande allant de 0 à 10 mètres par rapport à la limite de la voie ou de l’emprise publique qui s’y substitue
Ou avec le même retrait que les constructions voisines.
L’usage du mot "OU" dans cette formulation ouvre la possibilité à plusieurs configurations, ce qui crée une ambigüité dans l’interprétation des règles. Dans le cas précis du Boulevard du Canigou, toutes les habitations avoisinantes présentent un retrait par rapport à la voie, créant ainsi un alignement visuel cohérent.
Afin de préserver cette harmonie urbaine et de respecter le caractère de l'ensemble du quartier, il serait logique que les nouvelles constructions respectent le même retrait que les bâtiments existants, pour s'intégrer à cet alignement « virtuel » déjà en place.
Cependant, nous constatons que ce n'est pas le cas avec les récentes constructions, qui empiètent sur cet alignement existant. Cette ambigüité dans la réglementation ouvre donc la porte à des dérives urbanistiques, compromettant ainsi la qualité de l'environnement bâti.
Contribution n°5 (Web)
Déposée le 27 avril 2025 à 18h43
Projet en cause: : OAP les olivettes
modification du classement de la zone
je comprends que la ville de champigny sur marne, avec l'accord de la mairie veuille tirer la meilleure partie de la vente de ses terrains mais cela ne peut se faire au détriment de ses voisins en annexant sans préavis et accord leur terrain.
Ce n'est qu'une pure équation économique pour tirer le meilleur prix de leur terrain en respectant les règles d'urbanisme il leur faut un certain nombre de places de parking. Il est facile de les mettre sur le terrain du voisin. pour maximiser le nombre de logements à construire
Une telle procédure est inacceptable et relève du vol.
je refuse donc de donner mon accord à ce projet et me réserve le droit de lancer toute procédure en vue de conserver ma propriété.
je précise que je suis allé plusieurs fois en mairie et que le directeur u service de l'urbanisme n'a jamais accepté de ma recevoir. Il devait m'appeler ce qui n'a jamais été fait.
Laurent SERBANNE
0610484566
Contribution n°4 (Web)
Déposée le 27 avril 2025 à 16h12
Suite à ma visite en mairie du mercredi 23 avril 2025, je vous demande de bien vouloir prendre en considération mes réflexions ci-après :
Sachant que notre département est toujours à ce jour en sècheresse depuis 3 ans et que les nappes phréatiques ne sont toujours pas rechargées, est-il concevable de continuer à déboiser et à construire ?
Le projet de la colonie de Champigny va encore apporter aux riverains un nombre important de constructions, parkings et va et vient de véhicules.
Les infrastructures ne sont pas actuellement dimensionnées pour recevoir cet afflux de circulation et de nuisances.
A mon avis beaucoup trop de constructions d'immeubles ont eu lieu sur la commune ces dernières années.
Cordialement F. SANTO
Contribution n°3 (Web)
Déposée le 27 avril 2025 à 16h07
Suite à ma visite en mairie du mercredi 23 avril 2025, je vous demande de bien vouloir prendre en considération mes réflexions ci-après :
Sachant que notre département est toujours à ce jour en sècheresse depuis 3 ans et que les nappes phréatiques ne sont toujours pas rechargées, est-il concevable de continuer à déboiser et à construire ?
Le projet de la colonie de Champigny va encore apporter aux riverains un nombre important de constructions, parkings et va et vient de véhicules.
Les infrastructures ne sont pas actuellement dimensionnées pour recevoir cet afflux de circulation et de nuisances.
A mon avis beaucoup trop de constructions d'immeubles ont eu lieu sur la commune ces dernières années.
Cordialement F. SANTO
Contribution n°2 (Web)
Déposée le 23 avril 2025 à 15h28
Je réside à proximité du centre de vacances de Champigny-sur-Marne.
J'ai consulté le dossier, et quelques points m'inquiètent.
-Vous dites aspirer à une urbanisation "douce". Pourquoi alors passer cette zone de UCb à 1AU, qui signifie passer d'une emprise au sol de 40% à une emprise au sol de 70%. Un quasi doublement de l'imperméabilisation du sol.
-Cet occupation du sol semble tempéré par cet OAP "quartier Saint Pierre". Néanmoins, ce texte ne comporte que des déclarations d'intention et aucune mesure autoritaire. En particulier la limitation de hauteur n'apparaît que sur le schéma sur lequel il est bien précisé que l'implantation et la hauteur des bâtiments ne sont qu'indicatifs. Aucune obligation donc pour un promoteur de les respecter.
Avec une couverture de 70% de bâtiments de 11m de haut et toit terrasse, cela représenterait de 200 à 500 logements. Avec des façades implantées sur une bande de 0 à 5m de la limite de voie, où mettre les places de parking en principe obligatoires ? L'assainissement est -il prêt à supporter une telle charge ?
C'est ce qui pourrait arriver si cet OAP n'est pas suffisamment contraignante.
En espérant que ces intentions déclarées pourront se traduire en actes.
Je vous adresse mes distinguées salutations.
Jean-Claude Bornes
Contribution n°1 (Web)
Déposée le 23 avril 2025 à 13h39
vu loi énergie-climat adoptée le 8 novembre 2019, l'installation d'ombrières dotées de procédés de production d'énergies renouvelables situées sur des aires de stationnement peuvent ne pas être prise en compte pour le calcul de l'emprise au sol.
Bien à vous.