Contribution n°203 (Email)
Par Jean-Alexandre MANCHES
Déposée le 1 avril 2025 à 18h55
Déposée le 1 avril 2025 à 18h55
Objet : Avis consultation enquête publique
La politique anti-voitures menées aujourd'hui est extrêmement agressive et contre-productive.
Elle induit une recrudescence de l'agressivité au volant, augmente considérablement les temps de trajets et génère des zones de pics d'air irrespirable du fait des embouteillages permanents.
La volonté d'inciter les modes doux est forcément bonne, mais pas en punissant les autres.
Il parait de plus essentiel qu'une équité et une égalité existent dans le traitement des comportements routiers.
Les modes doux, surtout les vélos et les trottinettes ont un passe droit total pour faire n'importe quelle infraction au code de la route en mettant en danger leurs vies et celles piétons avec des véhicules qui vont pour certains au-delà de 50Km/h du fait de l'assistance électrique.
Non seulement le danger est réel, mais la notion de non-droit se développe, incitant désormais même les scooters à eux aussi griller tous les feux rouges et faire des contre-sens.
Le projet n'est viable qu'à la condition d'une vraie régulation de cette multitude de moyens de déplacements qui n'avait jamais été connu auparavant.
Ne voyant aucune évolution en la matière, face au danger que cette prolifération non contrôlée représente, je m'oppose à ce projet.
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Jean-Alexandre MANCHES
Si vous recevez ce message en dehors des périodes de travail ou pendant vos congés, vous n’êtes pas tenu(e) de répondre sauf en cas d’urgence exceptionnelle.
La politique anti-voitures menées aujourd'hui est extrêmement agressive et contre-productive.
Elle induit une recrudescence de l'agressivité au volant, augmente considérablement les temps de trajets et génère des zones de pics d'air irrespirable du fait des embouteillages permanents.
La volonté d'inciter les modes doux est forcément bonne, mais pas en punissant les autres.
Il parait de plus essentiel qu'une équité et une égalité existent dans le traitement des comportements routiers.
Les modes doux, surtout les vélos et les trottinettes ont un passe droit total pour faire n'importe quelle infraction au code de la route en mettant en danger leurs vies et celles piétons avec des véhicules qui vont pour certains au-delà de 50Km/h du fait de l'assistance électrique.
Non seulement le danger est réel, mais la notion de non-droit se développe, incitant désormais même les scooters à eux aussi griller tous les feux rouges et faire des contre-sens.
Le projet n'est viable qu'à la condition d'une vraie régulation de cette multitude de moyens de déplacements qui n'avait jamais été connu auparavant.
Ne voyant aucune évolution en la matière, face au danger que cette prolifération non contrôlée représente, je m'oppose à ce projet.
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Jean-Alexandre MANCHES
Si vous recevez ce message en dehors des périodes de travail ou pendant vos congés, vous n’êtes pas tenu(e) de répondre sauf en cas d’urgence exceptionnelle.
Contribution n°202 (Web)
Anonyme
Déposée le 2 avril 2025 à 08h09
Déposée le 2 avril 2025 à 08h09
Nous aimerions que la traversée d’oullins soit praticable en mode doux (vélo). Le lycée de secteur de Chaponost est situé à Oullins. Nos enfants ont actuellement une heure de bus (18 arrêts entre la bonnette et pont d’oullins) à une heure d’affluence. Si le passage entre Chaponost et Oullins se faisait via une piste cyclable sécurisée se serait très utile. Les nombreux habitants de Chaponost travaillant à Lyon (c’est mon cas) seraient aussi ravis.
Contribution n°201 (Web)
Anonyme
Déposée le 2 avril 2025 à 08h08
Déposée le 2 avril 2025 à 08h08
Améliorer les transports en commun passe par une approche globale qui prend en compte l’accessibilité, la fiabilité, le confort et la communication. Voici quelques suggestions concrètes :
1. Fiabilité et Fréquence
Augmenter la fréquence des bus/trains/trams, notamment aux heures de pointe.
Respecter des horaires fixes et fiables pour éviter les temps d’attente trop longs.
Mettre en place un suivi en temps réel via une application ou des écrans d’affichage à tous les arrêts, comme la SNCF ou Citymapper.
2. Connexions et Intermodalité
Améliorer les correspondances entre les différents modes de transport (bus, tram, TER, vélo, covoiturage…).
Développer des hubs de transport bien conçus pour faciliter les changements.
Offrir des parkings-relais gratuits ou à tarif réduit pour inciter les automobilistes à prendre les transports en commun.
3. Accessibilité pour Tous
Assurer l’accès aux personnes à mobilité réduite (PMR) avec des quais et bus adaptés.
Étendre les lignes vers les zones rurales ou mal desservies avec des minibus ou des lignes de transport à la demande.
Expérimenter des navettes autonomes pour les zones à faible densité.
Mettre des abris à tous les arrêts, avec possibilité de s'assoir, se protéger du froid, de la pluie et du soleil l'été avec pourquoi pas les végétaliser pour de la fraicheur l'été.
4. Tarification Incitative
Proposer des tarifs attractifs et des abonnements flexibles (ex : ticket journée, abonnement modulable, réductions pour familles et étudiants).
Mettre en place des incitations financières pour ceux qui abandonnent leur voiture au profit des transports en commun.
Supprimer les zones tarifaires trop contraignantes qui pénalisent les trajets longs.
5. Développement Écologique
Passer à des bus électriques ou à hydrogène pour réduire l’empreinte carbone.
Encourager le co-voiturage et l’intégration avec les vélos (ex : transports permettant d’embarquer un vélo facilement).
Développer des voies réservées aux transports en commun pour éviter les embouteillages.
6. Communication et Sensibilisation
Lancer une grande campagne de communication pour montrer les avantages des transports en commun.
Sensibiliser les usagers aux bons comportements (respect des autres passagers, maintien de la propreté, etc.).
Créer une application unique qui regroupe tous les moyens de transport et facilite l’achat de billets.
7. Confort et Aménagement des Arrêts
Pour rendre l’expérience des transports en commun plus agréable, les arrêts doivent être bien conçus et adaptés aux besoins des usagers.
Installer des abris à tous les arrêts pour protéger les voyageurs du vent, de la pluie et du soleil.
Prévoir des assises adaptées pour tous, y compris pour les personnes âgées ou à mobilité réduite.
Végétaliser les abris pour offrir de l’ombre et de la fraîcheur en été, tout en améliorant l’esthétique urbaine.
Ajouter des corbeilles de propreté pour éviter les déchets et maintenir les lieux agréables.
Mettre des prises USB-C pour recharger son téléphone en attendant le bus.
Installer un voyant lumineux qui s’allume lorsqu’un usager attend, afin d’alerter le conducteur et éviter que le bus ne passe sans s’arrêter.
Équiper les arrêts d’affichages dynamiques indiquant les temps d’attente en temps réel et les perturbations éventuelles.
Avec ces actions, les transports en commun deviendraient une alternative crédible et attractive à la voiture individuelle !
1. Fiabilité et Fréquence
Augmenter la fréquence des bus/trains/trams, notamment aux heures de pointe.
Respecter des horaires fixes et fiables pour éviter les temps d’attente trop longs.
Mettre en place un suivi en temps réel via une application ou des écrans d’affichage à tous les arrêts, comme la SNCF ou Citymapper.
2. Connexions et Intermodalité
Améliorer les correspondances entre les différents modes de transport (bus, tram, TER, vélo, covoiturage…).
Développer des hubs de transport bien conçus pour faciliter les changements.
Offrir des parkings-relais gratuits ou à tarif réduit pour inciter les automobilistes à prendre les transports en commun.
3. Accessibilité pour Tous
Assurer l’accès aux personnes à mobilité réduite (PMR) avec des quais et bus adaptés.
Étendre les lignes vers les zones rurales ou mal desservies avec des minibus ou des lignes de transport à la demande.
Expérimenter des navettes autonomes pour les zones à faible densité.
Mettre des abris à tous les arrêts, avec possibilité de s'assoir, se protéger du froid, de la pluie et du soleil l'été avec pourquoi pas les végétaliser pour de la fraicheur l'été.
4. Tarification Incitative
Proposer des tarifs attractifs et des abonnements flexibles (ex : ticket journée, abonnement modulable, réductions pour familles et étudiants).
Mettre en place des incitations financières pour ceux qui abandonnent leur voiture au profit des transports en commun.
Supprimer les zones tarifaires trop contraignantes qui pénalisent les trajets longs.
5. Développement Écologique
Passer à des bus électriques ou à hydrogène pour réduire l’empreinte carbone.
Encourager le co-voiturage et l’intégration avec les vélos (ex : transports permettant d’embarquer un vélo facilement).
Développer des voies réservées aux transports en commun pour éviter les embouteillages.
6. Communication et Sensibilisation
Lancer une grande campagne de communication pour montrer les avantages des transports en commun.
Sensibiliser les usagers aux bons comportements (respect des autres passagers, maintien de la propreté, etc.).
Créer une application unique qui regroupe tous les moyens de transport et facilite l’achat de billets.
7. Confort et Aménagement des Arrêts
Pour rendre l’expérience des transports en commun plus agréable, les arrêts doivent être bien conçus et adaptés aux besoins des usagers.
Installer des abris à tous les arrêts pour protéger les voyageurs du vent, de la pluie et du soleil.
Prévoir des assises adaptées pour tous, y compris pour les personnes âgées ou à mobilité réduite.
Végétaliser les abris pour offrir de l’ombre et de la fraîcheur en été, tout en améliorant l’esthétique urbaine.
Ajouter des corbeilles de propreté pour éviter les déchets et maintenir les lieux agréables.
Mettre des prises USB-C pour recharger son téléphone en attendant le bus.
Installer un voyant lumineux qui s’allume lorsqu’un usager attend, afin d’alerter le conducteur et éviter que le bus ne passe sans s’arrêter.
Équiper les arrêts d’affichages dynamiques indiquant les temps d’attente en temps réel et les perturbations éventuelles.
Avec ces actions, les transports en commun deviendraient une alternative crédible et attractive à la voiture individuelle !
Contribution n°200 (Web)
Par Jean-Alexandre
Déposée le 1 avril 2025 à 15h11
Déposée le 1 avril 2025 à 15h11
La politique anti-voitures menées aujourd'hui est extrêmement agressive et contre-productive.
Elle induit une recrudescence de l'agressivité au volant, augmente considérablement les temps de trajets et génère des zones de pics d'air irrespirable du fait des embouteillages permanents.
La volonté d'inciter les modes doux est forcément bonne, mais pas en punissant les autres.
Il parait de plus essentiel qu'une équité et une égalité existent dans le traitement des comportements routiers.
Les modes doux, surtout les vélos et les trottinettes ont un passe droit total pour faire n'importe quelle infraction au code de la route en mettant en danger leurs vies et celles piétons avec des véhicules qui vont pour certains au-delà de 50Km/h du fait de l'assistance électrique.
Non seulement le danger est réel, mais la notion de non-droit se développe, incitant désormais même les scooters à eux aussi griller tous les feux rouges et faire des contre-sens.
Le projet n'est viable qu'à la condition d'une vraie régulation de cette multitude de moyens de déplacements qui n'avait jamais été connu auparavant.
Ne voyant aucune évolution en la matière, face au danger que cette prolifération non contrôlée représente, je m'oppose à ce projet.
Elle induit une recrudescence de l'agressivité au volant, augmente considérablement les temps de trajets et génère des zones de pics d'air irrespirable du fait des embouteillages permanents.
La volonté d'inciter les modes doux est forcément bonne, mais pas en punissant les autres.
Il parait de plus essentiel qu'une équité et une égalité existent dans le traitement des comportements routiers.
Les modes doux, surtout les vélos et les trottinettes ont un passe droit total pour faire n'importe quelle infraction au code de la route en mettant en danger leurs vies et celles piétons avec des véhicules qui vont pour certains au-delà de 50Km/h du fait de l'assistance électrique.
Non seulement le danger est réel, mais la notion de non-droit se développe, incitant désormais même les scooters à eux aussi griller tous les feux rouges et faire des contre-sens.
Le projet n'est viable qu'à la condition d'une vraie régulation de cette multitude de moyens de déplacements qui n'avait jamais été connu auparavant.
Ne voyant aucune évolution en la matière, face au danger que cette prolifération non contrôlée représente, je m'oppose à ce projet.
Contribution n°199 (Web)
Par PILLARD François
Déposée le 1 avril 2025 à 12h11
Déposée le 1 avril 2025 à 12h11
Je salue le travail qui a été mené avec ce plan de mobilités, et je suis conscient que la planification joue un rôle pour orienter les habitats et lieux d'attraction de l'avenir. Toutefois je crois qu'il reste encore beaucoup de travail pour intégrer les besoins au plus près des habitants d'aujourd'hui. Quelques remarques dans ce sens en me concentrant sur l'ouest lyonnais, la CCVG et Chaponost.
- La CCVG est depuis longtemps active sur le terrain de l'activité économique, et offre ainsi de nombreux emplois de proximité, mais ils sont plutôt situés dans des zones dédiées, distincts des secteurs d'habitat. Elle a longtemps résisté à la dispersion de ses commerces et services, mais la pression est grande (exemple des sept chemins). Vu à cette échelle, il semble que la desserte en TC ou en voies cyclables permettant de relier les zones d'habitat avec ces zones de travail ou de service mériterait une réflexion approfondie.
- Le développement des TC, et l'objectif du Tram-Train au 1/4h sont très bien, mais il est obligatoire d'arriver enfin à une billetterie unique entre TER et bus/métro, et il faut absolument arriver à faciliter l'accès au train par les bus. Une moitié de Chaponost irait à la gare de Chaponost, et l'autre moitié à la gare de Francheville, si les bus calquaient leurs horaires sur ceux du train, et non des écoles. Cela plaide pour une navette de gare à gare passant par le centre de Chaponost.
- L'arrivée du 12 au métro de St-Genis est une très belle chose, mais son détour par Brignais le pénalise considérablement.. En revanche le stationnement gratuit au Métro est un très bon service, qui paradoxalement encourage la voiture.
- Les flux pendulaires de l'ouest sont un vrai problème pour la traversée de communes comme Chaponost; il faut arriver à les capter en amont , soit à l'entrée de Chaponost, soit au rond point du Boulot.
- Les itinéraires cyclables sont essentiels, ils doivent être sécurisés dans leurs points de confrontation avec l'automobile. Et ils doivent être conçus en fonction des reliefs, et des points importants à relier. Pour Chaponost, cela signifie une rocade urbaine douce en site propre, reliée à la via Garona aux Collonges et au réseau des voies lyonnaises au Merlo.
- Enfin si on dézoome, on ne peut que se demander pourquoi l'agglomération lyonnaise se désintéresse de façon aussi ostensible du transport par câble, peu coûteux, et seul vraiment adapté au franchissement des fleuves et des reliefs tourmentés. L'itinéraire Piscine de Vaugneray-Aqueducs de chaponost-Gare de Francheville-Chassagnes-Métro de Gerland- Gare de Vénissieux pourrait être très structurant à peu de frais, et plus intéressant qu'une nouvelle ligne de métro.
- Le prolongement de la ligne TER de Brignais vers Givors doit rester un objectif pas trop lointain, si on le considère dans la perspective d'un traitement ferroviaire de la liaison avec Saint- Etienne et la vallée du Gier. Cet aspect m'a semblé absent du document.
- La CCVG est depuis longtemps active sur le terrain de l'activité économique, et offre ainsi de nombreux emplois de proximité, mais ils sont plutôt situés dans des zones dédiées, distincts des secteurs d'habitat. Elle a longtemps résisté à la dispersion de ses commerces et services, mais la pression est grande (exemple des sept chemins). Vu à cette échelle, il semble que la desserte en TC ou en voies cyclables permettant de relier les zones d'habitat avec ces zones de travail ou de service mériterait une réflexion approfondie.
- Le développement des TC, et l'objectif du Tram-Train au 1/4h sont très bien, mais il est obligatoire d'arriver enfin à une billetterie unique entre TER et bus/métro, et il faut absolument arriver à faciliter l'accès au train par les bus. Une moitié de Chaponost irait à la gare de Chaponost, et l'autre moitié à la gare de Francheville, si les bus calquaient leurs horaires sur ceux du train, et non des écoles. Cela plaide pour une navette de gare à gare passant par le centre de Chaponost.
- L'arrivée du 12 au métro de St-Genis est une très belle chose, mais son détour par Brignais le pénalise considérablement.. En revanche le stationnement gratuit au Métro est un très bon service, qui paradoxalement encourage la voiture.
- Les flux pendulaires de l'ouest sont un vrai problème pour la traversée de communes comme Chaponost; il faut arriver à les capter en amont , soit à l'entrée de Chaponost, soit au rond point du Boulot.
- Les itinéraires cyclables sont essentiels, ils doivent être sécurisés dans leurs points de confrontation avec l'automobile. Et ils doivent être conçus en fonction des reliefs, et des points importants à relier. Pour Chaponost, cela signifie une rocade urbaine douce en site propre, reliée à la via Garona aux Collonges et au réseau des voies lyonnaises au Merlo.
- Enfin si on dézoome, on ne peut que se demander pourquoi l'agglomération lyonnaise se désintéresse de façon aussi ostensible du transport par câble, peu coûteux, et seul vraiment adapté au franchissement des fleuves et des reliefs tourmentés. L'itinéraire Piscine de Vaugneray-Aqueducs de chaponost-Gare de Francheville-Chassagnes-Métro de Gerland- Gare de Vénissieux pourrait être très structurant à peu de frais, et plus intéressant qu'une nouvelle ligne de métro.
- Le prolongement de la ligne TER de Brignais vers Givors doit rester un objectif pas trop lointain, si on le considère dans la perspective d'un traitement ferroviaire de la liaison avec Saint- Etienne et la vallée du Gier. Cet aspect m'a semblé absent du document.
Contribution n°198 (Web)
Par Turban Matthieu
Déposée le 1 avril 2025 à 10h31
Déposée le 1 avril 2025 à 10h31
Il faudrait améliorer la desserte du parc technologique en transport, avec une communication sur les modes doux et les correspondances pour la ligne de tramway. Les gens ont tendance à y aller uniquement en voiture
Ou alors prévoir des bus ou tramways "express" qui font directement 1 arrêt de métro - Lyon - Bron centre - parc technologique pour accélérer la desserte pour les professionnels.
Serait-il judicieux d'avoir des "trams express" qui sautent des stations ?
Ou alors prévoir des bus ou tramways "express" qui font directement 1 arrêt de métro - Lyon - Bron centre - parc technologique pour accélérer la desserte pour les professionnels.
Serait-il judicieux d'avoir des "trams express" qui sautent des stations ?
Contribution n°197 (Web)
Anonyme
Déposée le 31 mars 2025 à 22h00
Déposée le 31 mars 2025 à 22h00
Nous attendons avec impatience la mise en service du tramway T8.
Bien cordialement,
Bien cordialement,
Contribution n°196 (Web)
Anonyme
Déposée le 31 mars 2025 à 20h21
Déposée le 31 mars 2025 à 20h21
Pour favoriser les modes doux (vélo ..) pour aller au travail il faudrait
- améliorer la sécurité des cyclistes sur des routes de campagne (routes plus larges...)
- continuer à financer une partie de l'achat de vélo électrique puisque le dénivelé est présent sur le territoire rhodanien !!!
- améliorer la sécurité des cyclistes sur des routes de campagne (routes plus larges...)
- continuer à financer une partie de l'achat de vélo électrique puisque le dénivelé est présent sur le territoire rhodanien !!!
Contribution n°195 (Web)
Anonyme
Déposée le 31 mars 2025 à 19h07
Déposée le 31 mars 2025 à 19h07
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Contribution n°194 (Web)
Anonyme
Déposée le 31 mars 2025 à 17h01
Déposée le 31 mars 2025 à 17h01
J’ai longuement parcouru les documents mis à disposition pour mieux comprendre le plan de mobilité. Je dois reconnaître le travail qui a été effectué et les projets ambitieux qui ont été présentés. C’est, je crois, un projet global pour l’ensemble de l’agglomération et du département.
L’objectif est clair : améliorer les déplacements en proposant des alternatives efficaces à la voiture individuelle, ce qui est une bonne chose. Le développement des transports en commun est un des piliers de ce plan, avec de nouvelles lignes de cars à haut niveau de service et des pôles d’échanges pensés pour mieux connecter les territoires, idées intéressantes puisque ces territoires sont encore peu desservis. En parallèle, la marche et le vélo sont encouragés avec un réseau cyclable structuré, qui, je l’espère, sera adapté aussi bien au tourisme qu’au déplacements du quotidien.
L’enjeu est aussi de simplifier l’usage des transports pour les habitants. La simplification de la tarification est un point positif et un support unique, aussi.
Cependant, ce plan se heurte à des difficultés de coordination entre les différentes collectivités. La région Auvergne-Rhône-Alpes, qui joue un rôle clef dans les transports ferroviaires et interurbains, manque d’ambition sur certains aspects essentiels. Par exemple, le développement du réseau TER et la mise en place de véritables solutions intermodales avancent lentement. Ce manque de cohérence dans les décisions rend plus difficile l’amélioration globale des déplacements et freine certains projets structurants qui nécessiteraient un engagement plus fort de la région, notamment dans l’Ouest avec l’intégration du TTOL dans les TCL.
Enfin, malgré ces obstacles, la transition écologique reste un objectif majeur, avec la volonté de réduire de moitié l’usage de la voiture individuelle d’ici 2040. Je crois que l’on peut se féliciter d’un plan qui a l’ambition de limiter l’impact environnemental et d’améliorer la qualité de l’air et donc de vie.
L’objectif est clair : améliorer les déplacements en proposant des alternatives efficaces à la voiture individuelle, ce qui est une bonne chose. Le développement des transports en commun est un des piliers de ce plan, avec de nouvelles lignes de cars à haut niveau de service et des pôles d’échanges pensés pour mieux connecter les territoires, idées intéressantes puisque ces territoires sont encore peu desservis. En parallèle, la marche et le vélo sont encouragés avec un réseau cyclable structuré, qui, je l’espère, sera adapté aussi bien au tourisme qu’au déplacements du quotidien.
L’enjeu est aussi de simplifier l’usage des transports pour les habitants. La simplification de la tarification est un point positif et un support unique, aussi.
Cependant, ce plan se heurte à des difficultés de coordination entre les différentes collectivités. La région Auvergne-Rhône-Alpes, qui joue un rôle clef dans les transports ferroviaires et interurbains, manque d’ambition sur certains aspects essentiels. Par exemple, le développement du réseau TER et la mise en place de véritables solutions intermodales avancent lentement. Ce manque de cohérence dans les décisions rend plus difficile l’amélioration globale des déplacements et freine certains projets structurants qui nécessiteraient un engagement plus fort de la région, notamment dans l’Ouest avec l’intégration du TTOL dans les TCL.
Enfin, malgré ces obstacles, la transition écologique reste un objectif majeur, avec la volonté de réduire de moitié l’usage de la voiture individuelle d’ici 2040. Je crois que l’on peut se féliciter d’un plan qui a l’ambition de limiter l’impact environnemental et d’améliorer la qualité de l’air et donc de vie.
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